Base de données "Yves PIGNIER",
sur la psychiatrie politique en France.

 

Document paraissant sur le site Internet :

http://www.aredam.net

 

Adresse Internet de ce document :

http://www.aredam.net/yves-pignier-base-donnee-psychiatrie-politique.html

 

Proposition de création d’un Réseau de résistance à la psychiatrie politique RRPP :

Argumentation sur : http://www.aredam.net/reseau-resistance-psychiatrie-politique-rrpp.html

Contact :

Michel Dakar
Route de Barre-y-va
76490 Villequier

 

 

Mise à jour du document le : 29 juillet 2012

 

Consulter sur un thème similaire, le dossier sur aredam.net, relatif à la psychologie opérationelle coercitive (policière politique, militaire et autres) :

Dossier : "Psychologie opérationnelle", ou, l'abolition de fait , dans notre actuel régime sioniste-capitaliste, de tout droit, de tout "habeas corpus" (mot latin : "que tu aies ton corps". Notion anglo-saxonne de garantie des libertés individuelles et de protection contre l'arbitraire).

Ce sujet est quasiment ignoré en France, alors que cette science du contrôle policier politique de la population est en plein essort, et que les méthodes répressives inventées par la psychologie opérationnelle policière politique sont utilisées plein pot.

Il s'agit d'une forme de l'usage de l'arme du viol, dans ce cas, viol à la fois psychique et physique (celui du domicile, de l'intimité, de la vie; de l'espace privé, soit symboliquement de l'intérieur du corps), viol effectué par des fonctionnaires policiers du régime, pour détruire l'opposant, comme le viol est utilisé en masse, par certaines armées pour détruire une population ennemie.

Mis à jour du dossier "psychologie opérationnelle", le : 28 juin 2009

http://www.aredam.net/psychologie-operationnelle-politique-coercitive.html

 

 

Centre de goulag policier psychiatrique l'Intermède, 28 rue de la Chapelle à Paris 18ème, dépendant de l'hôpital psychiatrique Maison Blanche.

 

Un cas de psychiatre légal, le docteur Roland COUTANCEAU
de La Garenne Colombe (92. Voir les chapitres 6, 14, 17 et 18 de cette base de données)

 

Jean-Yves CAMUS est un cas exemplaire, démontratif et passionnant d'envahissement total de la psyché par la "maladie du psychiatre", affection caractéristique, sorte de maladie professionnelle, qui atteint tout humain employé par un appareil répressif. Jean-Yves CAMUS est l'un des nombreux salariés de l'appareil de propagande du système général répressif sioniste. Ce personnage qui n'est pas un médecin (il a fait science-po), illustre ce qu'est le psychiatre, par son emploi abondant de son vocabulaire technique, et le policier, dont il révèle ses méthodes.
Voir au chapitre 19 sur cette base de donnée.

 

 

 

Base de données Yves PIGNIER,
sur la psychiatrie politique en France.

 

Introduction : Pourquoi avoir choisi le nom d'Yves PIGNIER pour intituler cette base de données ?

Cette base de données a été baptisée "Yves PIGNIER", car c'est le nom du médecin psychiatre employé par la Préfecture de police de Paris, par son "Bureau des actions pour la santé mentale", pour "terroriser" les "agitateurs" politiques, en les "convoquant", ce qui est une procédure "classique", selon les propres termes d'Yves PIGNIER, procédure qui suffit en général à "calmer" les "agitateurs" politiques. Voir les articles de Le Monde et du Figaro à ce sujet, articles où apparaît la conséquence policière recherchée de l'action d'Yves PIGNIER, puisqu'une personne à laquelle ce médecin psychiatre a adressé l'une de ses convocations, véritablement traumatisée, envisage de quitter la France, pour s'établir en Grèce, sans doute en demandant l'asile politique.
Il est exeptionnel qu'un employé tel qu'Yves PIGNIER, à ce genre d'activité policière répressive, activités qui normalement doivent être gardées cachées, dévoile ainsi sans aucune hypocrisie la réalité de sa tâche.
Yves PIGNIER rend là un service inestimable à la population, aux libertés publiques, et à la démocratie.

C'est en hommage à Yves PIGNIER, ce courageux médecin, à son intégrité et à l'intelligence de sa manière de dénoncer la violence policière que lui-même et ses collègues sans doute subissent, que cette base de données portera son nom, comme dans certains hôpitaux, on donne des noms de médecins méritants à des pavillons hospitaliers.

Il est à noter que le centre nommé "Intermède" (dépendant de l'hôpital psychiatrique parisien "Maison Blanche"), où officient ce médecin psychiatre et ses collègues, se dissimule derrière une façade de centre de soins, et l'aide aux malades.
Il est très clair que, eu égard aux déclarations du médecin psychiatre Yves PIGNIER, nous sommes en train de voir s'établir une sorte de "goulag" policier politique répressif, usant de la psychiatrie.

 

 

Liste des documents disponibles sur cette base de données :

 

1 - Annonce de la création de l'association "Réseau Résistance à la Psychiatrie Politique" (RRPP), association qui sera déclarée à la Préfecture de police de Paris, et de la base de données "Yves PIGNIER", de cette association.

http://www.aredam.net/reseau-resistance-psychiatrie-politique.html

 

 

2 - Les articles de Le Monde (16/08/2007) et du Figaro (18/08/2007), relatifs à la violence policière psychiatrique faite à Mme Sylvia BOURDON, engageant le centre de soins l' "Intermède", 28 rue de la Chapelle à Paris 18ème, centre dépendant de l'hôpital psychiatrique "Maison Blanche" de Paris. C'est au sein de ce centre l'Intermède, qu'exerce le médecin psychiatre pour la Préfecture de police de Paris, Yves PIGNIER, lequel a donné son nom à cette base de données.

http://www.aredam.net/yppp1.html

 

 

3 - Un arrêté de la Préfecture de police de Paris, où apparaît le nom de la directrice du "Bureau des actions pour la santé mentale", Mme Catherine BOSSARD, bureau qui diligente les actions de répression politique par la psychiatrie.

http://www.aredam.net/yppp2.html

 

 

4 - Une visite en photos, du bâtiment abritant l'embryon de goulag policier psychiatrique français, camouflé en centre de soins, et nommé joliment "l'Intermède", sis au 28 rue de la Chapelle à Paris 18ème. L'Intermède dépendant de l'hôpital psychiatrique parisien "Maison Blanche", dont le siège administratif est 20 rue Pierre Bayle à Paris 20ème. (des futurs reportages photographiques sont prévus, concernant Sainte Anne et l'IPPP - Infirmerie psychiatrique de la Préfecture de police de Paris, et la rue Pierre Bayle ; dans un premier temps).

http://www.aredam.net/yppp3.html

 

 

5 - Affaire Nicole COLAS - BOURBON, mettant en cause deux psychiatres, l'un de Moiselles (95), le docteur Emmanuel HACHE, l'autre de Villejuif (94), le docteur ROCHER.

http://www.aredam.net/colas-bourbon-violence-psychiatrique.html

 

 

6 - Affaire Claude Karsenty, mettant en cause les docteurs en psychiatrie Arnaud MARTORELL et Roland COUTANCEAU (membres éminents du noyau dur de la psychiatrie policière française). Voir son site :

http://www.defensedescitoyens.org

et voir les paragraphes 14, 17 et 18 de ce présent sommaire.

Nota : le site http://www.defensedescitoyens.org est une base de données très riche pour qui veut connaître la réalité au-delà des apparences, de notre régime politique. Ce site est à faire connaître, et la personne qui le tient, Claude KARSENTY, qui prend de véritables risques, est à soutenir.

 

 

7 - Texte d'une victime de la violence psychiatrique, suivi d'un arrêté du Ministère de la santé (voir à l'article 4, la nomination du docteur Christian KOTTLER, de Villejuif, à la commission « violence et santé mentale ».
"La démocratie française, la psychiatrie française et le docteur-mercenaire Kottler.
Monsieur Dakar est convoqué pour une visite psychiatrique parce qu'il soutient la lutte du peuple palestinien et parce qu'il appelle de ses voeux un procès international pour génocide contre Israël. Est-ce bien possible en France ?
Ma réponse est oui !
J'ai vécu une situation semblable dont je témoigne ici ... "

Http://www.aredam.net/kottler-christian-villejuif.html

 

 

8 - Communiqué et 3 dessins (affaire de répression politique par la psychiatrie de l'antisionisme, et de la dénonciation du génocide des Palestiniens) :

Suite de la tentative de la répression par la psychiatrie de l’activité politique d’opposition au sionisme, par le Préfet de police de Paris.
Compte rendu de la visite imposée à Michel DAKAR, militant antisioniste, à un centre psychiatrique, le lundi 12 mars 2007, afin de décider si Michel DAKAR doit recevoir des soins.

http://www.aredam.net/intermede-maison-blanche.html

 

Dessin :

République psychiatrique mondiale israélienne en France. Inauguration de l'infirmerie spéciale de la Préfecture de la scène répressive. Discours de son médecin chef, le bon docteur Wang Mou-Tzeu.

http://www.aredam.net/infirmerie-psychiatrique-mondiale.html

 

Dessin :

Enfin une solution "hygiénique" au problème de maladie mentale qu'est l'antisionisme, grâce au préfet de la scène répressive Wang Mou-Tzeu : la "Camisole antisioniste". Merci Wangenstein !!

http://www.aredam.net/camisole-antisioniste.html

 

Portrait :

Portrait en pied du Préfet psychia-Trique (sioniste) de la Scène répressive, l'Honorable Wang Mou-Tzeu (Troisième dynastie du Royaume de Wu (nord de la Chine actuelle), époque des Royaumes conquérants, 6ème siècle avant J.C.

http://www.aredam.net/prefet-psychiatrique.html

 

Nota : le préfet Pierre MUTZ, préfet de police de Paris avant la nomination de Nicolas SARKOZY par les "Usraéliens" comme gouverneur général de la colonie La France, est actuellement à tête de la Préfecture de région d'Île de France. Pierre MUTZ est un militaire, ancien directeur de la gendarmerie nationale. Il faut avant tout savoir que Pierre MUTZ est un ancien de la DGSE (service de contre espionnage français), qu'il a occupé, après avoir été en service à la base de la DGSE des nageurs de combats d'Aspreto en Corse (corps de combat dissout depuis), un poste stratégique en Préfecture dans le Pays Basque français, juste à la période de formation des GAL (Groupes antiterroristes de libération), avant leurs premières actions. Les GAL sont une organisation de terrorisme d'Etat, parapolicière, du type des commandos de la mort sud-américains. Ils sont constitués d'éléments des polices française et espagnole. Les GAL ont à leur actif les assassinats d'une quarantaine de militants indépendantistes de l'ETA. Des poursuites officielles à l'encontre des policiers espagnols responsables du GAL ont été menées - pour la façade - en Espagne, en France ce n'est même pas le cas. Pierre MUTZ a ensuite été en poste dans la zone coloniale française en Polynésie dans l'Océan indien, là où sont testées les armes atomiques françaises, dont les émanations radioactives finissent d'empoisonner mortellement les polynésiens. Le Préfet de police de Paris, remplaçant Pierre MUTZ, M. GAUDIN, est un très très proche de Nicolas SARKOZY. Il a fait sa carrière dans les Hauts de Seine, comme SARKOZY, et Charles PASQUA. Les Hauts de Seine est un département qui est une sorte de chef lieu de toutes les affaires de corruption et mafieuses en France, département très proche d'Israël, qu'on peut même considérer comme n'étant un simple canton israélien.

 

 

9 - Recherche juridique concernant la violence psychiatrique utilisée pour réprimer les militants politiques, ou les personnes dérangeant politiquement l'ordre, ou encore les personnes dérangeant les intérêts de notables.

Nota :

Ce fichier est un outil de travail, et son état actuel est temporaire. Il sera complété au fur et à mesure de la recherche. Il vise à faciliter l'engagement de poursuites judiciaires ou administratives contre les responsables, complices et témoins passifs, des violences psychiatriques.

http://www.aredam.net/incrimination-violence-psychiatrique.html

 

 

10 - Le relais par une antenne de la police politique française, l'organisation de façade antinazie, dénommée "Scalp Reflex", sise 21 ter rue Voltaire à Paris 11ème, d'une campagne de déstabilisation orchestrée par cette police politique, campagne utilisant la violence psychiatrique, à l'encontre des antisionistes s'opposant au génocide des Palestiniens.

http://www.aredam.net/scalp-reflex-police-renseignement-generaux.html

Voir aussi le fichier de la base de données "Yves PIGNIER" :

http://www.aredam.net/jean-yves-camus-maladie-du-psychiatre-sioniste.html

Voir aussi, à ce sujet, une série de vues du siège de l'officine de diffamation anonyme sioniste "Scalp reflex", sis 21 ter rue Voltaire à Paris 11ème, officine mise à contribution dans une campagne d'étouffement d'un crime sioniste.

http://www.aredam.net/siege-scalp-reflex-paris.html

 

 

11 - Un texte de Michel DAKAR : "Qu'est-ce qu'un psychiatre légal, qu'est-ce que la psychiatrie politique ?", et sa conclusion : le "syndrome de Caïn", et son évitement, suivi d'un texte de l'ami Jean-Claudius KOENIGSTEIN, dit RAVACHOL, et de l'ami Emile POUGET.

http://www.aredam.net/psychiatre-legal-ravachol.html

 

 

12 - Liste de sites Internet relatifs à la psychiatrie politique. Liste de sites de résistance des victimes, liste de sites d'entretien du moral des bourreaux.

http://www.aredam.net/sites-internet-psychiatrie-politique.html

 

 

13 - Bibliographie.

http://www.aredam.net/bibliographie-psychiatrie-politique.html

 

 

14 - Un cas psychiatrique politique, le docteur Roland COUTANCEAU : « Il faut aider la victime et l'homme violent ». Roland COUTANCEAU par lui-même, et trois vues photographiques de Roland COUTANCEAU et autres.

http://www.aredam.net/roland-coutanceau-psychiatrique-politique.html

 

 

15 - Un cas psychiatrique politique, le docteur Jacques FEILLARD, chef de l'Infirmerie psychiatrique de la Préfecture de police de Paris (IPPP), suivi d'un article du journal Libération, sur cette infirmerie.

http://www.aredam.net/jacques-feillard-psychiatrique-politique.html

 

 

16 - Texte général. Ce texte est diffusé séparement, par Internet, par e-mail, et par envoi postal, sur support papier.

Le retour de la psychiatrie politique en fin de règne du régime totalitaire siono-capitaliste occidental, à façade démocratique.

1 - La réalité de la fonction de psychiatre et de la psychiatrie, du point de vue du droit, et la réalité des organisations de défense des psychiatrisés, dont le Groupe Information Asile est la caricature.

2 - Vers le déni de droit, le déni d'existence, vers la démonstration de la vraie folie du système, et de ceux qui le défendent.

3 - La "personnalité psychiatrique", ou, l'usage de grands invalides relationnels pour museler la liberté d'expression dérangeant l'ordre social totalitaire criminel. Vers une définition de la maladie mentale du psychiatre.

http://www.aredam.net/psychiatrie-policiere-non-droit.html

 

 

17- La "LIGUE FRANCAISE D'HYGIENE MENTALE" (ligue pour le lavage du cerveau) :

La Ligue française d'hygiène mentale accueille nos amis Roland COUTANCEAU (Président) et Arnaud MARTORELL (simple membre). http://lfsm.org

Objectifs de la Ligue :
" Rechercher les méthodes les plus aptes à favoriser l'épanouissement de la personnalité humaine dans le milieu social complexe qu'est le monde d'aujourd'hui. "
(lire, au sujet de ce très digne et très louable objectif, les deux lettres du Président de "Défense des citoyens", M. Claude KARSENTY, adressées à Arnaud MARTORELL, psychiatre, relatives à l'expertise policière par la force, conduite par ce psychiatre sur M. KARSENTY. Ces lettres sont restées sans réponse)

http://www.aredam.net/ligue-francaise-hygiene-mentale.html

 

 

18 - Trouvé sur le site :

http://www.libertes-internets.net/archives/index.html ,

un article évoquant COUTANCEAU-MARTORELL dans leurs oeuvres d'experts psychiatriques policiers en service commandé (les Dupont et Dupond).

http://www.aredam.net/libertes-internet-coutanceau-martorell.html

 

 

19 - Jean-Yves CAMUS est un cas exemplaire, démontratif et passionnant d'envahissement total de la psyché par la "maladie du psychiatre", affection caractéristique, sorte de maladie professionnelle, qui atteint tout humain employé par un appareil répressif. Jean-Yves CAMUS est l'un des nombreux salariés de l'appareil de propagande du système général répressif sioniste. Ce personnage qui n'est pas un médecin (il a fait science-po), illustre ce qu'est le psychiatre, par son emploi abondant de son vocabulaire technique, et le policier, dont il révèle ses méthodes.

http://www.aredam.net/jean-yves-camus-maladie-du-psychiatre-sioniste.html

 

 

20 - Instauration du "Goulag psychiatrique politique national" : la loi de "prévention de la délinquance", préparée par les "socialistes" depuis 2004, votée par l'UMP à la fin de l'année 2006, qui facilite la répression de tous ceux qui ne tombent pas sous le coup de la loi, mais qui manifestent encore la conscience et leur refus de l'ordre criminel de notre société (encore plus de facilités d'hospitalisation d'office arbitraires, quasi impossibilité de sortir d'une hospitalisation d'office, pouvoir arbitraire donné aux maires pour hospitaliser d'office, mise en place d'un fichier national des internés d'office, inscription sur 5 ans des hospitalisés d'office). Dossier à lire absolument.

http://www.aredam.net/loi-prevention-delinquance-2006.html

 

 

 

21 -

14 août 2008 :

AVIS

aux gens d'extrême droite

 

Un inconnu a été hospitalisé d'office dans un établissement psychiatrique inconnu, pour avoir tagé à Neuilly que Sarkozy, Tapie, et les juifs étaient des voleurs.

Pour ma part, tous les juifs que je connais et que j'ai connu n'étaient pas des voleurs, quant à Sarkozy et à Tapie ...

Ainsi, pour de simples tags politiques, le psychiatre appelé lors de la garde à vue, a prononcé immédiatement un diagnostic de : "délire de persécution et d'une abolition totale du discernement".

Qu'on se le dise, penser et/ou écrire que Sarkozy, Tapie, et pour ceux que ça arrange, les juifs, sont des voleurs, est désormais une maladie mentale grave, qui nécessite d'être immédiatement incarcéré dans un soi-disant centre de soins, mais en réalité dans une prison politique psychiatrique, et il se trouve naturellement des "médecins" pour collaborer à cette ignominie.

C'est la répression politique antisioniste par la psychiatrie qui commence à se mettre en place, par cette affaire.

Il faut s'attendre à ce que ceux qui expriment des évidences dérangeantes sur l'Etat d'Israël, ou sur le droit de réfléchir à l'histoire, spécialement à celle de la seconde guerre mondiale, soient tôt ou tard traités de même.

Il est évident qu'on se trouve en face de vrais fous, qui ne s'arrêteront pas, et qu'il est de notre devoir de les freiner, de les contrer .....

Lire la totalité de l'Avis :

http://www.aredam.net/police-politique-psychiatrique-sioniste.html

 

 

22 -

Introduction à la Psychologie opérationnelle policière :

Dossier : "Psychologie opérationnelle", ou, l'abolition de fait , dans notre actuel régime sioniste-capitaliste, de tout droit, de tout "habeas corpus" (mot latin : "que tu aies ton corps". Notion anglo-saxonne de garantie des libertés individuelles et de protection contre l'arbitraire).

Ce sujet est quasiment ignoré en France, alors que cette science du contrôle policier politique de la population est en plein essort, et que les méthodes répressives inventées par la psychologie opérationnelle policière politique sont utilisées plein pot.

Il s'agit d'une forme de l'usage de l'arme du viol, dans ce cas, viol à la fois psychique et physique (celui du domicile, de l'intimité, de la vie; de l'espace privé, soit symboliquement de l'intérieur du corps), viol effectué par des fonctionnaires policiers du régime, pour détruire l'opposant, comme le viol est utilisé en masse, par certaines armées pour détruire une population ennemie.

Mis à jour du dossier "psychologie opérationnelle", le : 9 novembre 2008

http://www.aredam.net/psychologie-operationnelle-politique-coercitive.html

 

 

Extraits du dossier :

1 er novembre 2008,

Avis à tous les dissidents du régime Siono capitaliste totalitaire d'Occident :

Les procédés de la Stasi, la police politique de l'ex RDA, remis à l'ordre du jour en France, par les services des Renseignements généraux de la Préfecture de police de Paris, et de l'ex DST; la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) : "mesures de déstructuration de la personnalité", visant à détruire et liquider les regroupements de personnes négatives-ennemies, utilisation de la "psychologie opérationelle" (Operative Psychologie), de la sociologie, psychosociologie ... déstabilisation des opposants par des "cambriolages" sans effraction de leurs domiciles et disparitions d'objets ou modifications de leurs environnements domestiques, de façon à provoquer un début de psychose, principe de la répression et du châtiment invisibles, et autres de la part des services policiers peuplés d'authentiques psychopathes, dont la pathologie mentale est utile au maintien de l'ordre.

Voici cinq pages scannées du livre d'une historienne spécialiste des pays de l'est, Sonia Combe, relatant ces méthodes, qui ont essaimé dans les pays capitalistes après la chute du communisme, et que tous les dissidents se doivent de connaître et de faire connaître :

http://www.aredam.net/stasi-sonia-combe.html

 

1er novembre 2008,

Manuel de psychologie opérative politique policière (Operative psychologie), de l'ex RDA.

Introduction de l'étude sur nos bourreaux psychologues policiers psychopathes.

Si l'un d'entre eux souhaite se décharger d'un peu de la noirceur de sa conscience, il peut se confesser en écrivant à :

EDE - BP 324 - 75868 Paris cedex 18

L'anonymat et le plus total respect lui seront garantis.

http://www.aredam.net/operative-psychologie-ex-rda-manuel.html

 

1er novembre 2008,

Définition du docteur psychiatre Marie-France HIRIGOYEN, du "pervers narcissique", suivie de son interview relatif à la violence perverse.

Résumé :

Le type psychologique du "pervers narcissique", pourrait être celui de tout homme à la recherche du pouvoir sur autrui, comme de l'homme religieux, et de tout policier, et agent du pouvoir, particulièrement de ceux qui sont employés dans les services spéciaux, dont de la police politique.

L'article qui suit, de Marie-France HIRIGOYEN, est éloquent et se suffit à lui-même.

Pour résumer, le "pervers narcissique" est un humain totalement inabouti, dont la personnalité profonde, la partie centrale, est un vide, un lieu vacant, et qui doit, pour au moins simuler l'existence, s'approprier l'existence d'autrui.

Cela fait immanquablement penser à ces employés des services spéciaux dont l'activité consiste à noyauter les groupes de dissidents, et à s'introduire dans les demeures de ces dissidents, en leurs absences, comme des fantomes, qui vampyriseraient les vies, vie dont ils sont eux-mêmes, en réalité totalement dépourvus.

On assiste là, à l'emploi par le système d'oppression, d'humains, dont l'enfance malheureuse a fait qu'ils sont définitivement privés de vie personnelle. Marie-France HIRIGOYEN estime qu'une famille produit des "pervers narcissiques", quand l'enfant est considéré comme un "mauvais objet", ou qu'il est utilisé comme objet sexuel, ou qu'il est idolâtré, ce qui revient aussi à le nier, à nier son originalité en temps qu'être, à nier son être.

http://www.aredam.net/pervers-narcissique-police-politique-typologie-homme-de-pouvoir-religieux.html

 

1er novembre 2008,

Article du Nouvel Observateur, du 30 octobre 2008, introduisant à la psychiatrisation des opposants au régime Siono-capitaliste totalitaire d’Occident (SCTO). On peut constater là, l’articulation entre la presse et la police politique, les deux principaux éléments qui constituent au sens large, l’appareil de contrôle psychique de la population, appareil anciennement dénommé « religion ».
Dans cet article, le journaliste, Christophe Boltanski, se fait le relais volontaire du début de la psychiatrisation officielle d’un opposant, Kemi Seba : «C’est un grand rassemblement de psychopathes, déclare l’un d’eux [un policier de la police politique de Paris – sans doute des RGPP], à propos des activités politiques de Kemi Seba].

Ce qui est paradoxal, est que le trait de caractère type, des personnes appartenant à l’appareil de répression psychique, que certains nomment « police de la pensée », est la psychopathologie, car seuls des psychopathes vrais peuvent quotidiennement s’adonner à la destruction, ou à l’amoindrissement de la psyché d’autrui, de plus, sur une échelle massive. Ainsi, ce Christophe Boltansky est sans aucun doute un total malade mental, et c’est sa maladie mentale qui lui permet son intégration au sein de la police politique du SCTO.

Nota :

Les principaux organes policiers de répression psychiques en France, sont les « Renseignements Généraux de la Préfecture de police de Paris » RGPP, sis sur l’Île de la Cité, en face du Palais de justice, dans le bâtiment de la Préfecture de police), l’autre organe principal de la police politique en France étant la DCRI – Direction centrale du renseignement intérieur, sis à Levallois Perret, 84 rue de Villiers, un organe subsidiaire étant la BRDP – Brigade de Répression de la Délinquance à la Personne, située 126 rue du Château des Rentiers à Paris 13ème, dépendant de la Préfecture de police de Paris, et chargée principalement de la répression judiciaire de la résistance à l’hégémonie sioniste en France. Ces services peuvent agir de concert avec des psychiatres vendus délivrant à la demande des certificats de maladie mentale à l’encontre des gêneurs politiques, certains oeuvrant au sein de la fameuse « Infirmerie spéciale » de la Préfecture de police de Paris, un sinistre lieu hors le droit, ou à l’Hôpital psychiatrique Maison Blanche de Paris (docteur Yves Pignier, centre l’Intermède, 28 rue de la Chapelle à Paris 19ème) et ses autres multiples succursales qui quadrillent Paris, ou agissant de façon libérale sur l’Île de France, comme Coutanceau et Martorell. On peut considérer les chambres judiciaires spécialisées dans les délits d'opinion politiques, comme de simples extensions de l'appareil politique policier, et ses juges, non comme des magistrats, mais comme de simples officiers subalternes policiers - sur Paris, 17ème chambre du TGI, 11ème chambre de la Cour d'appel, à Versailles, 6ème chambre du TGI, et 8ème de la Cour d'appel.

Article du Nouvel Observateur.
Kémi Séba, leader de Tribu Ka
«On me traite de nazi noir» ... Lire l'article :

http://www.aredam.net/kemi-seba-opposant-sionisme-psychiatrisation.html

 

 

 

8 juin 2009,

Lettres datée du 30 mai 2009 et du 8 juin 2009, adressées à l'Hôpital Maison Blanche; demande de communication du dossier concernant la convocation ordonnée par le Préfet de police de Paris, en répression de l'opposition au colonialisme de peuplement au Proche-Orient.

http://www.aredam.net/hopital-maison-blanche-paris-nicole-pruniaux-directrice-repression-politique-psychiatrie-plainte-comite-droit-homme-onu-article-19.html

 

 

 

4 juillet 2009,

Lettre au Préfet de police de Paris, demandant une communication de documents.

http://www.aredam.net/repression-usage-psychiatrie-policiere-politique-sionisme-france.html

Voir les pièces probantes scannées, relatives à cette affaire, ainsi que certains liens internet : http://www.aredam.net/sommaire-pieces-ecrites-scannees.html

Voir l'ensemble du dossier :

http://www.aredam.net/denonciation-publique-methode-repression-politique-police-stasi-sioniste.html


 

10 août 2009,

Suite de l'opération "Lutte contre la psychiatrie politique punitive" :

1 - Deux documents rares : une commande d'internement psychiatrique pour opposition politique antisioniste, à l'encontre de Michel DAKAR, de la part du "Bureau des actions de santé mentales" de la Préfecture de police de Paris, Bureau qui est le donneur d'ordre central à Paris des internements psychiatriques politiques, et sa lettre d'accompagnement du cabinet du Préfet :
http://ww
w.aredam.net/ippp-1.html

2 - "La tête de l'emploi" d'un assassin des consciences, une psychopathie majeure, protégée et entretenue par le pouvoir :

Le Dr Eric Mairesse a pris ses fonctions le 17 juillet en qualité de médecin-chef de l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police (IPPP). Il succède au Dr Daniel Mercadier. ... http://www.aredam.net/docteur-eric-mairesse-ippp.html

3 - Lettre à la CADA (Commission d'accès aux documents administratifs) demandant l'intégralité de la lettre de commande d'internement psychiatrique politique, le nom du signataire ayant été effacé, comme d'autres indications relatives à ce service : http://www.aredam.net/infirmerie-psychiatrique-prefecture-de-police-signalement.html

Accéder à la base de donnée générale sur la psychiatrie politique punitive :
http://www.aredam.net/yves-pignier-base-donnee-psychiatrie-politique.html

 

 

29 juillet 2012,

Une tentative d'explication du procédé classique de destruction psychologique de la personnalité, appliqué aux dissidents intellectuels par toutes les police politiques :

Les travaux du psychiatre Shitij Kapur semblent donner un fondement théorique aux procédés des polices politiques visant à briser les intellectuels qui échappent à l'emprise de l'appareil de conditionnement idéologique des régimes politiques, en les rendant fou, atteints de paranoïa. Ces procédés qui se retrouvent sous toutes les latitudes, et à toutes les époques, ont été très raffinés par la police politique de l'ex-RDA (Allemagne de l'Est), la Stasi, qui avait même créé une section "destruction de la personnalité" dans son institut de formation de ses cadres (lire le livre de la sociologue française Sonia Combe "Les intellectuels et la Stasi").

Lire le texte dans son entier (texte suivi d'un scan d'un article de Christian Jarret) :

http://www.aredam.net/kapur-shitij.html