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Titre de cette page :

http://www.aredam.net/psychologie-operationnelle-politique-coercitive.html

 

Dossier : "Psychologie opérationnelle", ou, l'abolition de fait , dans notre actuel régime sioniste-capitaliste, de tout droit, de tout "habeas corpus" (mot latin : "que tu aies ton corps". Notion anglo-saxonne de garantie des libertés individuelles et de protection contre l'arbitraire).

Ce sujet est quasiment ignoré en France, alors que cette science du contrôle policier politique de la population est en plein essort, et que les méthodes répressives inventées par la psychologie opérationnelle policière politique sont utilisées plein pot.

Il s'agit d'une forme de l'usage de l'arme du viol, dans ce cas, viol à la fois psychique et physique (celui du domicile, de l'intimité, de la vie; de l'espace privé, soit symboliquement de l'intérieur du corps), viol effectué par des fonctionnaires policiers du régime, pour détruire l'opposant, comme le viol est utilisé en masse, par certaines armées pour détruire une population ennemie.

Mis à jour du dossier "psychologie opérationnelle":

29 juillet 2012

 

Qu'est-ce que la "psychologie opérationnelle" ?

Voici une définition de cette science policière, donnée par la lecture d'extraits du livre de Sonia Combe, "Les intellectuels et la Stasi, une société sous surveillance" :

http://www.aredam.net/stasi-sonia-combe.html

 

1 er novembre 2008,

Avis à tous les dissidents du régime Siono capitaliste totalitaire d'Occident :

Les procédés de la Stasi, la police politique de l'ex RDA, remis à l'ordre du jour en France, par les services des Renseignements généraux de la Préfecture de police de Paris, et de l'ex DST; la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) : "mesures de déstructuration de la personnalité", visant à détruire et liquider les regroupements de personnes négatives-ennemies, utilisation de la "psychologie opérationelle" (Operative Psychologie), de la sociologie, psychosociologie ... déstabilisation des opposants par des "cambriolages" sans effraction de leurs domiciles et disparitions d'objets ou modifications de leurs environnements domestiques, de façon à provoquer un début de psychose, principe de la répression et du châtiment invisibles, et autres de la part des services policiers peuplés d'authentiques psychopathes, dont la pathologie mentale est utile au maintien de l'ordre.

Voici cinq pages scannées du livre d'une historienne spécialiste des pays de l'est, Sonia Combe, relatant ces méthodes, qui ont essaimé dans les pays capitalistes après la chute du communisme, et que tous les dissidents se doivent de connaître et de faire connaître : http://www.aredam.net/stasi-sonia-combe.html

 

1er novembre 2008,

Manuel de psychologie opérative politique policière (Operative psychologie), de l'ex RDA.

Introduction de l'étude sur nos bourreaux psychologues policiers psychopathes.

Si l'un d'entre eux souhaite se décharger d'un peu de la noirceur de sa conscience, il peut se confesser en écrivant à :

EDE - BP 324 - 75868 Paris cedex 18

L'anonymat et le plus total respect lui seront garantis.

http://www.aredam.net/operative-psychologie-ex-rda-manuel.html

 

 

1er novembre 2008,

Définition du docteur psychiatre Marie-France HIRIGOYEN, du "pervers narcissique", suivie de son interview relatif à la violence perverse.

Résumé : Le type psychologique du "pervers narcissique", pourrait être celui de tout homme à la recherche du pouvoir sur autrui, comme de l'homme religieux, et de tout policier, et agent du pouvoir, particulièrement de ceux qui sont employés dans les services spéciaux, dont de la police politique.

L'article qui suit, de Marie-France HIRIGOYEN, est éloquent et se suffit à lui-même.

Pour résumer, le "pervers narcissique" est un humain totalement inabouti, dont la personnalité profonde, la partie centrale, est un vide, un lieu vacant, et qui doit, pour au moins simuler l'existence, s'approprier l'existence d'autrui.

Cela fait immanquablement penser à ces employés des services spéciaux dont l'activité consiste à noyauter les groupes de dissidents, et à s'introduire dans les demeures de ces dissidents, en leurs absences, comme des fantomes, qui vampyriseraient les vies, vie dont ils sont eux-mêmes, en réalité totalement dépourvus.

On assiste là, à l'emploi par le système d'oppression, d'humains, dont l'enfance malheureuse a fait qu'ils sont définitivement privés de vie personnelle. Marie-France HIRIGOYEN estime qu'une famille produit des "pervers narcissiques", quand l'enfant est considéré comme un "mauvais objet", ou qu'il est utilisé comme objet sexuel, ou qu'il est idolâtré, ce qui revient aussi à le nier, à nier son originalité en temps qu'être, à nier son être.

http://www.aredam.net/pervers-narcissique-police-politique typologie-homme-de-pouvoir-religieux.html

 

3 novembre 2008,

Illustration du champ de manoeuvre principal de l' "Operative psychologie" policière de la police politique :

La pratique centrale de l'idiot de service. Le cas Olivier Besancenot, de la LCR-NPA.

Le champ de manoeuvre principal de l' Operative psychologie dans le domaine de la police politique, est non pas les opérations de visites à domicile clandestines et sans effraction (opérées par la brigade dite "Brigade des ectoplasmes"), mais la manipulation psychologique des groupements politiques, le façonnage de ces groupes d'opposants, de façon à en faire des outils du pouvoir, allant jusqu'à la fabrication intégrale par la police politique du régime, de l'opposition.

L'une des multiples méthodes pour parvenir à "domestiquer" l'opposition, et la faire devenir l'un de ses chiens de garde par le régime, est la promotion de personnalités de l'opposition choisies parmi les plus stupides, les plus idiotes. La promotion de ce type de personnages suffit à affaiblir l'opposition, en faisant de ces personnages des centres, marginalisant tous ceux qui présentent par leur intelligence, leur lucidité, leur force de caractère et leur intégrité, un véritable obstacle à l'emprise du pouvoir.

La promotion des idiots utiles est réalisée par exemple, par des affaires d'espionnages policiers dévoilées publiquement et relayées par l'appareil de propagande général, nommé "médias d'information", comme dans le cas de Besancenot et de la société Tazer, ou bien d'agressions dont miraculeusement, on retrouve les auteurs, comme dans le cas de cette militante de la cause palestinienne (un himalaya indépassable de naiserie consentante ... "les RG sont là pour nous protéger !" ...), ou par des poursuites judiciaires, comme dans le cas de ce ""génial"" ""écrivain"" juif israélien, antisioniste, "reconverti" dans la crémerie d'à-côté, le christianisme.

Le choix de ce type de personnalité à promouvoir, par l'appareil policier politique, est fait en fonction du caractère maladivement narcissique des individus à promouvoir, allié à une totale médiocrité, laquelle normalement sans l'action de la police, aurait dû leur garantir de rester durablement à l'ombre. Ces personnages présentent un manque infantile profond de reconnaissance parentale, et par la suite, sociale (voir l'analyse du psychiatre Marie-France HIRIGOYEN sur le "pervers narcissique"). Ces gens sont au fond prêts à toutes les compromissions, pour accéder et rester sur un estrade, aux yeux de tous, et sont donc prêts à fermer les yeux sur ces manoeuvres policières, pourtant cousues de fil blanc. De plus, les milieux qui se prêtent le mieux à ces manoeuvres, sont des milieux d'opposition factice, milieux dont le caractère principal est le conformisme, et qui ne recherchent au fond qu'à s'assurer une place dans l'opposition politique convenue, au régime en place.

Un rapide tour d'horizon suffit à constater qu'il ne reste plus en France dans l'opposition, quasiment que des idiots de service utiles, promus par les services de la police politique usant de l' "Operative psychologie". Actuellement, le plus connu est "C'est Moi, C'est Bâte", l'opposant à l' "impérialisme", qui lui, au moins, semble conscient du rôle que la police lui fait jouer, et paraît tenter d'inverser les rôles de manipulateur et de manipulé. De plus, lui au moins, est un réel comique.

Illustration :

Article du Parisien, l'un des torche-cul d'élite de l'appareil de propagande-manipulation du régime SCTO (Siono-capitaliste totalitaire d'Occident), du 1er novembre 2008, promouvant l'idiot de service Besancenot, et sa lutte des classes appliquée aux boîtes de nuits du régime, peuplées d'employées du show-bizeness, attitrés à la fonction d'abrutissement des masses exploitées. Voir l'article et la photo du Parisien : "Comme un poisson dans l'eau" ...

http://www.aredam.net/olivier-besancenot-npa-lcr-cretin-de-service-operative-psychologie.html

 

1er novembre 2008,

Article du Nouvel Observateur, du 30 octobre 2008, introduisant à la psychiatrisation des opposants au régime Siono-capitaliste totalitaire d’Occident (SCTO). On peut constater là, l’articulation entre la presse et la police politique, les deux principaux éléments qui constituent au sens large, l’appareil de contrôle psychique de la population, appareil anciennement dénommé « religion ».
Dans cet article, le journaliste, Christophe Boltanski, se fait le relais volontaire du début de la psychiatrisation officielle d’un opposant, Kemi Seba : «C’est un grand rassemblement de psychopathes, déclare l’un d’eux [un policier de la police politique de Paris – sans doute des RGPP], à propos des activités politiques de Kemi Seba].

Ce qui est paradoxal, est que le trait de caractère type, des personnes appartenant à l’appareil de répression psychique, que certains nomment « police de la pensée », est la psychopathologie, car seuls des psychopathes vrais peuvent quotidiennement s’adonner à la destruction, ou à l’amoindrissement de la psyché d’autrui, de plus, sur une échelle massive. Ainsi, ce Christophe Boltansky est sans aucun doute un total malade mental, et c’est sa maladie mentale qui lui permet son intégration au sein de la police politique du SCTO.

Nota :

Les principaux organes policiers de répression psychiques en France, sont les « Renseignements Généraux de la Préfecture de police de Paris » RGPP, sis sur l’Île de la Cité, en face du Palais de justice, dans le bâtiment de la Préfecture de police), l’autre organe principal de la police politique en France étant la DCRI – Direction centrale du renseignement intérieur, sis à Levallois Perret, 84 rue de Villiers, un organe subsidiaire étant la BRDP – Brigade de Répression de la Délinquance à la Personne, située 126 rue du Château des Rentiers à Paris 13ème, dépendant de la Préfecture de police de Paris, et chargée principalement de la répression judiciaire de la résistance à l’hégémonie sioniste en France. Ces services peuvent agir de concert avec des psychiatres vendus délivrant à la demande des certificats de maladie mentale à l’encontre des gêneurs politiques, certains oeuvrant au sein de la fameuse « Infirmerie spéciale » de la Préfecture de police de Paris, un sinistre lieu hors le droit, ou à l’Hôpital psychiatrique Maison Blanche de Paris (docteur Yves Pignier, centre l’Intermède, 28 rue de la Chapelle à Paris 19ème) et ses autres multiples succursales qui quadrillent Paris, ou agissant de façon libérale sur l’Île de France, comme Coutanceau et Martorell. On peut considérer les chambres judiciaires spécialisées dans les délits d'opinion politiques, comme de simples extensions de l'appareil politique policier, et ses juges, non comme des magistrats, mais comme de simples officiers subalternes policiers - sur Paris, 17ème chambre du TGI, 11ème chambre de la Cour d'appel, à Versailles, 6ème chambre du TGI, et 8ème de la Cour d'appel.

Article du Nouvel Observateur.
Kémi Séba, leader de Tribu Ka

«On me traite de nazi noir» ... Lire l'article :

http://www.aredam.net/kemi-seba-opposant-sionisme-psychiatrisation.html

 

 

 

9 novembre 2008,

Article exposant la réalité et les méthodes de la Stasi

Extraits, suivis de l'article dans son entier :

" ... ces fameuses Zersetzungsmassnahmen, ou mesures visant à déstabiliser/détruire la personnalité ... "

" D'autres mesures pouvaient être plus raffinées encore, celles du cambriolage qui ne laisse pas de traces : un premier cambriolage sans effraction, portait, par exemple, sur des objets intimes comme les gants de toilette ; un deuxième, trois mois plus tard, sur les torchons à imprimé écossais ; un troisième, sur des taies d'oreiller. Un quatrième cambriolage aurait été, selon la Stasi, inutile, la personnalité des occupants de l'appartement cambriolé ayant été atteinte au point de les rendre totalement inoffensifs : ne sachant d'où viennent les coups, passant pour fou auprès de son entourage, le couple ainsi visé dans la part la plus intime de son intimité, l'intimité corporelle, serait bel et bien devenu paranoïaque, but de la Stasi. Variante « douce » de la psychiatrisation des dissidents en URSS, les Zersetzungsmassnahmen correspondent à la forme la plus achevée de l'oeuvre criminelle de la Stasi. "

http://www.aredam.net/sonia-combe-stasi-cambriolage-paranoia.html

 

 

9 novembre 2008,

Article traitant des manoeuvres de la Stasi, qualifiables de "tortures mentales", appliquées aux dissidents dans le but de les mener au suicide.

http://www.aredam.net/stasi-torture-mentale-suicide.html

 

 

9 novembre 2008,

Article traitant des manoeuvres de la Stasi ; extrait : "La Stasi recourait massivement à la psychologie opérationnelle et la "décomposition des âmes" qui consistait dans un premier temps à analyser de façon intimiste les comportements des dissidents actifs ou potentiels, pour ensuite agir par manipulation et détruire leur influence sociale et leur vie privée."

Lire l'article dans son entier :

http://www.aredam.net/stasi-decomposition-de-la-personnalite.html

 

 

9 novembre 2008,

Deux articles faisant état du recyclage des agents de la Stasi, réemployés par le dictateur tunisien Ben Ali, et ayant ouvert une société de surveillance privée en RFA. On sait que de nombreux agents de la Stasi oeuvrent aussi dans le secteur commercial (formation des professionnels de l'encadrement), et que l'un des dirigeants de la Stasi, a été recruté par les USA, pour enseigner les méthodes de la Stasi, pour détruire les opposants. Il est très probable que les trouvailles et l'esprit de la Stasi sont maintenant répandus dans toutes les polices du monde, dont la police politique en France.

http://www.aredam.net/stasi-recyclage-agent.html

 

 

Psychologie opérationnelle : exercice de travaux pratiques :

17 novembre 2008,

Participation du site Internet aredam.net à la confusion :

Sabotage terroriste des TGV par la DCRI selon le Parisien du 17 novembre 2008,
page 11. Scan de la page historique : un journal dit la Vérité.

Voir la page : http://www.aredam.net/sabotage-terroriste-tgv-dcri.html

 

25 janvier 2011,

Quelques aventures vécues par des antisionistes parisiens,
véridiques et révélatrices de la véritable nature du sionisme et de l’état réel de nos libertés en France.

http://www.aredam.net/aventures-antisionistes-parisiens.html

 

 

26 janvier 2011,

Lettre de demande d'un rendez-vous, adressée à la présidente de la Fédération Internationale des Droits de l'Homme à Paris, madame Souhayr Belhassen, pour évoquer les procédés actuels de la police politique française dans la répression des antisionistes.

http://www.aredam.net/demande-rendez-vous-presidente-fidh-souhayr-belhassen.html

 

 

19 septembre 2011 :

Proposition de création d’un Réseau de résistance à la psychiatrie politique RRPP

Argument :

La répression des opinions non conformes à l’ordre dominant a dernièrement franchi une limite dangereuse et révélatrice de l’état de santé réel du régime.
Une personne a été retenue dans un hôpital psychiatrique contre son gré, et a été contrainte d’ingérer de très fortes doses de médicaments nocifs, sous le motif écrit qu’il : « n’a pas rompu avec ses idées d’extrême-droite ni avec une certaine forme d’antisémitisme » (http://herve-ryssen.blogspot.com).
Il faut là rappeler l’énoncé de l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, de l’ONU, du 10 décembre 1948, qui constitue le socle du droit politique actuel de la communauté humaine :
« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de répandre sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelques moyen d’expression que ce soit ».
Selon la norme mondiale de droit politique, nulle opinion ne peut être réprimée, dont celles que les autorités en Occident stigmatisent comme les plus délictueuses, l’antijudaïsme mal dénommé antisémitisme et le révisionnisme mal dénommé négationnisme ...
Lire la totalité du texte : http://www.aredam.net/reseau-resistance-psychiatrie-politique-rrpp.html

 

29 juillet 2012,

Une tentative d'explication du procédé classique de destruction psychologique de la personnalité, appliqué aux dissidents intellectuels par toutes les police politiques :

Les travaux du psychiatre Shitij Kapur semblent donner un fondement théorique aux procédés des polices politiques visant à briser les intellectuels qui échappent à l'emprise de l'appareil de conditionnement idéologique des régimes politiques, en les rendant fou, atteints de paranoïa. Ces procédés qui se retrouvent sous toutes les latitudes, et à toutes les époques, ont été très raffinés par la police politique de l'ex-RDA (Allemagne de l'Est), la Stasi, qui avait même créé une section "destruction de la personnalité" dans son institut de formation de ses cadres (lire le livre de la sociologue française Sonia Combe "Les intellectuels et la Stasi").

Lire le texte dans son entier (texte suivi d'un scan d'un article de Christian Jarret) :

http://www.aredam.net/kapur-shitij.html