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Base de données "Yves PIGNIER"

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Le retour de la psychiatrie politique en fin de règne du régime totalitaire siono-capitaliste occidental, à façade démocratique.

 

1 - La réalité de la fonction de psychiatre et de la psychiatrie, du point de vue du droit, et la réalité des organisations de défense des psychiatrisés, dont le "Groupe Information Asile" est la caricature.

2 - Vers le déni de droit, le déni d'existence, vers la démonstration de la vraie folie du système, et de ceux qui le défendent.

3 - La "personnalité psychiatrique", ou, l'usage de grands invalides relationnels pour museler la liberté d'expression dérangeant l'ordre social totalitaire criminel. Vers une définition de la maladie mentale du psychiatre.

 

 

1 - La réalité de la fonction de psychiatre et de la psychiatrie, du point de vue du droit, et la réalité des organisations de défense des psychiatrisés, dont le "Groupe Information Asile" est la caricature.

En général, aucune des organisations de défense des psychiatrisés, n'est politisée.

Pour ces organisations, c'est comme si la psychiatrie n'était pas qu'une simple arme policière de plus, et les psychiatres, une sorte de flics dispensés du respect du code pénal, du code de procédure pénale et du code civil, soit qui sont officiellement placés au-dessus du droit.

En effet, par exemple, pendant ce qu'on peut appeler l'enlèvement psychiatrique et la séquestration psychiatrique en Île de France (conduite de force à l'Infirmerie psychiatrique de la Préfecture de police de Paris - IPPP) :

a) - vous ne jouissez plus du respect du droit de garder le silence comme pendant une garde à vue policière (droit présent dans le code de procédure pénale) :

si vous persistez à refuser de parler au psychiatre chargé de vous examiner, il va considérer ce refus comme un symptome de folie (par exemple paranoïa), et vous allez le payer très cher, plus tard par un internement et à coups d'électrochocs par exemple, ce qui est une forme d'emprisonnement et de torture, comme dans les dictatures ouvertes, où le refus de répondre à un policier se solde par des scéances de torture et un enfermement prolongé,

b) - vous ne jouissez plus du respect du principe de la présomption d'innocence (loi de 2000 et Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales) :

si on vous mène devant le psychiatre, c'est donc que vous êtes "dangereux", car sinon, on ne vous aurait pas amené là. Telle est leur logique. Cette logique part du principe, du postulat plutôt, d'une "vérité révélée", que les autorités sont honnêtes, droites et justes. Au fond, pour le psychiatre, l'autorité c'est dieu, on ne peut contester l'autorité, si on le fait c'est qu'on est un hérétique, un malade, c'est qu'on est le mal, un diable. C'est à vous de prouver au psychiatre que vous n'êtes pas "dangereux", un mal, le diable, alors que dans la procédure "civile", c'est à l'autorité policière ou judiciaire de prouver votre culpabilité, de prouver votre "dangerosité". Il s'agit là d'une inversion fondamentale de l'obligation de la preuve, qui est contraire à la plus élémentaire conception du droit. Si vous persistez à vous taire, où bien à exiger le respect de vos droits, vous risquez de le payer très cher, car cela démontrera au psychiatre (l'exorciste), que vous êtes agressif, donc dangereux. Au fond, si vous acceptez de vous expliquer, cela démontrera que vous vous soumettez, c'est à dire que vous abandonnez vos droits face aux autorités, et c'est tout ce qu'on vous demande, ce qui dévoile bien dans quelle genre de société nous sommes, une société où les droits ne sont pas garantis, même plus, où ils ne sont que de façade, et encombrant pour l'ordre. Cela signifie que nous sommes en réalité dans une société sans droit. Si vous insistez pour obtenir le respect de vos droits, vous pourrez être classé "maniaque", ou encore "fétichiste", et vous serez bien "soigné".

c) - vous ne jouissez plus du droit reconnu dans le code civil à son article 9 : "Chacun a droit au respect de sa vie privée". Vous devez déballer devant des étrangers, de plus hostiles, votre intimité. Gare à vous, si vous restez réservé, cela pourra être interprêté pour de la dissimulation psychotique (schyzophrénie).

Toute les organisations de défense des psychiatrisés, renforcent au fond le système de police psychiatrique, soit le système policier général, dont la psychiatrie ne constitue qu'une partie, par leur omission de l'essentiel, c'est à dire que psychiatre et flic se confondent, sauf sur un point.

Le flic est encadré par le droit et devant le flic, vous avez des droits, le psychiatre lui n'est pas encadré par le droit, et devant lui, vous n'avez aucun droit.

C'est pourquoi face aux cas d' "agitateurs" politiques (selon l'expression du psychiatre Yves PIGNIER de la Préfecture de police de Paris, travaillant à l'hôpital psychiatrique Maison Blanche), "agitateurs" qui déstabilisent l'ordre, sans toutefois tomber sous le coup de la loi, on fait intervenir le psychiatre, qui lui, est capable de traverser le mur de la loi qui protège tout individu. Pour le psychiatre, il n'existe plus de droit de l'individu, de droits de l'homme, comme on dit, à respecter, puisque vous êtes "aliéné", c'est à dire que vous n'êtes pas conscient, et particulièrement pas conscient d'enfreindre l'ordre, de constituer un trouble, que ce que vous dites n'est qu'imagination, que vous avez des hallucinations quand vous constatez que l'ordre social est un ordre criminel, et que vous délirez, quand vous dénoncez publiquement cet ordre criminel - "Mais enfin monsieur, la société est juste, la police est là pour vous aider, pour vous protéger, je suis là pour vous aider, pour vous soignez, calmez-vous, vous voyez, vous êtes excité, vous allez vous faire mal, il vous faut vite une petite piqure, ça ira mieux après !".

Le psychiatre est l'arme ultime policière, pour clouer le bec aux "agitateurs" politiques, qu'on ne parvient pas à museler dans un régime policier à façade démocratique, comme le nôtre, régime qui présente une seule faiblesse, celle de devoir se camoufler derrière l'apparence du respect du droit, apparence du droit derrière laquelle les "agitateurs" se réfugient, pour revendiquer la réalité du droit.

Le psychiatre fait partie de l'arsenal courant du maintien policier de l'ordre en régime de dictature policière cachée. Il y a, rien qu'à Paris, 2500 conduites à l'Infirmerie psychiatrique de la Préfecture de police (IPPP) chaque année (autant que pour toute la Grande Bretagne), soit environ 7 chaque jour. L'enlèvement et la séquestration à l'IPPP ne sont donc pas qu'une simple bavure, excès, abus, comme le dénonce ces organisations de plaignants plaintif, soumis, des victimes dans l'âme, tel le caricatural "Groupe Information Asile" d'André BITTON ( http://www.groupeinfoasiles.org ), types d'associations en réalité ralliées à la psychiatrie, supplétives de l'appareil répressif, mais d'un mode normal d'agissements policiers (comme le dit d'ailleurs l'honnête Yves PIGNIER ; "une procédure classique").

 

2 - Vers le déni de droit, le déni d'existence, vers la démonstration de la vraie folie du système, et de ceux qui le défendent. Pour une restitution de la qualité de fou aux vrais fous, et pour leur traitement.

Le psychiatre politique, et au-delà, tout psychiatre, est en charge d'exprimer à l'opposant, à l'insoumis à l'ordre social inégalitaire, ordre d'exploitation et de violence, qui ne repose que sur la force et le dévoiement du droit, ordre criminel, ordre qui est le nôtre, cette sentence :

- soit vous vous soumettez, c'est à dire vous renoncez à vos droits, c'est à dire, vous n'existez plus de vous-même, (car un être sans droit n'a pas d'existence sociale), et on vous laisse la vie sauve, vous jouirez d'une existence mécanique, vous serez une chose, à l'instar des esclaves des temps anciens, qui n'étaient pas des personnes juridiques, mais des biens meubles,

- soit vous persistez à vous opposer et à vous insoumettre, c'est à dire que vous persistez à être, à exister, à conserver vos droits, à ne pas nous les abandonner, et alors, on vous les retire de force, en déclarant que vous ne pouvez faire usage de vos droits, de votre liberté qui va avec l'exercice de ces droits, car vous êtes un danger pour vous-même et pour autrui, car vous êtes un "fou", un aliéné (étranger à vous-même étymologiquement), la preuve c'est que vous ne vous rendez pas compte que vous êtes fou, mais nous on s'en rend compte, et on va vous aider à guérir, à redevenir "normal". C'est le strict discours implicite que tient le psychiatre policier à l'insoumis, qu'il doit réduire.

Il est clair, dès lors, que le vrai fou est ce psychiatre, car dire à un être dont de toutes les façons et définitivement, il veut nier l'existence, "Vous n'existez pas", ce qui revient à parler à un être inexistant, à parler seul, et de plus, attendre une réponse de cet être inexistant, donc attendre une réponse du vide, du néant, et de plus en plus grave, entendre cette réponse issue du néant, ce qui est comme entendre des voix (Jeanne d'Arc), est bien la preuve que le vrai fou dans cette affaire est ce psychiatre (à moins que le psychiatre soit un prophète inspiré, qui entend la voix de dieu ... dans ce cas, pourquoi ne soignent-ils pas les gens dans les églises, les mosquées, les synagogues, ou les temples bouddhistes).

Ce psychiatre étant le représentant de l'ordre, du système, et ce psychiatre n'étant qu'un simple rouage de ce système, c'est la démonstration que ce système est un système tenu par des vrais fous, et que cet ordre est l'ordre de la vraie folie.

Le psychiatre politique, c'est à dire les Yves PIGNIER de Maison Blanche, les Jacques FEILLARD de l'Infirmerie psychiatrique de la Préfecture de police de Paris, les MARTORELL-COUTANCEAU-KOTTLER, et autres, ne sont que les révélateurs de ce qu'est le psychiatre en général, le psychiatre n'étant que la caricature grotesque de la folie qu'ils incarnent, de notre système social, dont le fondement est le crime.

 

3 - La "personnalité psychiatrique", ou, l'usage de grands invalides relationels pour museler la liberté d'expression dérangeant l'ordre social totalitaire criminel. Vers une définition de la maladie mentale du psychiatre.

Le psychiatre ne conçoit l'être humain que comme un individu soumis totalement à l'autorité, soit dépossédé de tous ses droits, dont du plus important, celui de résister, de s'affronter à l'autorité, à l'oppression, droit inscrit dans la Déclaration des droits de l'homme (à quand des escouades de psychiatres pour mater la résistance en Irak, en Palestine, et Hugo Chavez au Venezuela ...).

Le psychiatre ne peut supporter la société que composée d'êtres soumis, soit inexistants, c'est à dire qu'il ne peut vivre qu'au milieu du néant, ce qui induit la conclusion que sa propre personnalité est un néant. C'est le fou intégral, l'aliéné, celui qui étymologiquement, est devenu "étranger" à lui-même, à sa nature d'être, d'existant. Le psychiatre est un aliéné "total", l'étranger à tout, un "hors le monde". Le psychiatre combat contre la vie. C'est avant tout un flic, et de la pire espèce, de l'espèce du flic qui se camoufle, ce qui est l'exacte définition de la police politique, et il est logique de rencontrer un véritable collusion, entre la police politique et la psychiatrie.

L'individu libre, est son pire ennemi. La notion de droit lui est parfaitement étrangère. Il est l'aliénation suprême. La justice n'est pour lui qu'un songe creux, un lieu qu'il ne peut même pas concevoir, même pas une abstraction. Sa pensée est totalement fermée à l'idée de justice et de droit (à l'Infirmerie psychiatrique de la Préfecture de police de Paris (IPPP), essayez donc d'exiger le respect de votre droit de garder le silence, le respect de votre droit à la présomption d'innocence et le respect de votre droit à la vie privée).

La psychiatrie recrute ses praticiens parmi les personnes atteintes d'une invalidité relationnelle majeure, incapables de réels contacts et d'échanges avec d'autres humains, et qui trouvent dans cette fonction de flic de l'esprit, l'une des seules manières de parvenir à exister au sein d'une société, c'est à dire au sein d'une assemblée d'individus qui eux son capables malgrè tout, de communiquer, d'échanger.

La maladie du psychiatre peut-être simplement définie comme étant une incapacité totale à communiquer, cette incapacité trouvant un palliatif dans la fonction sociale du psychiatre, en régime totalitaire criminel comme le nôtre, fonction qui consiste à retirer la communication à ceux qui persistent, dans un tel régime, à exiger la liberté de communiquer, la liberté d'expression.

Le psychiatre, est à sa manière révélateur d'un système malade, tel le nôtre, ce qui apparaît clairement lors des périodes de crises, comme celle que nous sommes en train de vivre, qui est une période de désagrégation, semblable à celle de la fin de l'Empire soviétique totalitaire. En ces fins de régime, peu avant l'effondrement, apparaît toujours l'usage des psychiatres, comme arme ultime contre la libre parole et la libre pensée, car la conscience de l'effondrement proche, de la part des tenants de ce type de régime, leur est absolument insupportable. Il n'y a que le psychiatre, dont c'est le rôle fondamental, rôle qui se révèle alors, qui est capable de castrer l'expression de la réalité. C'est en ces périodes d'effondrement, que sa vraie fonction se révèle aux yeux de tous.

La psychiatrie est la non-communication imposée, la perte de la conscience imposée, ce qui est clairement illustré par les pratiques psychiatriques de destruction de la personne , telle l'opération psychiatrique chirurgicale d'amputation d'une partie du cerveau, la partie qui conduit la pensée, la conscience, opération qu'on nomme "lobotomie", tel l'électrochoc dans le cerveau, qui provoque la perte de connaissance, la perte de la conscience, ou par le coma insulinique, dont l'effet est le même. Le psychiatre est le bourreau de l'esprit, de la pensée. Ce n'est qu'un exécuteur, un tueur d'Etat, un assassin officiel. Le psychiatre n'est au fond qu'un criminel, qui trop lâche pour s'autoriser de lui-même à passer à l'acte, se réfugie sous les auspices de l'Etat pour assouvir ses penchants destructeurs.

Ainsi, lors de la fin de la période soviétique, bien des opposants subirent les électrochocs, lobotomies, comas insuliniques, et autres injections de force de poisons neurotoxiques nommés "neuroleptiques", et il est probable que cela recommencera chez nous. Ce qui diffère entre notre période et celle soviétique, est que maintenant nous savons tout cela, et que dès à présent nous nous communiquons notre savoir vis-à-vis de ce qu'est la réalité des psychiatres et de la psychiatrie, et que le crime psychiatrique ne s'opérera pas dans le silence.

 

Michel DAKAR, Paris, le 29 août 2007

Adresse Internet de ce document (à diffuser le plus largement possible) :

http://www.aredam.net/psychiatrie-policiere-non-droit.html

Nota : ce présent document est communiqué à l'Ordre des médecins à Paris, pour avoir son avis sur la psychiatrie politique, et connaître si cet ordre couvre la psychiatrie politique.

 

Voir pour les organisations de psychiatrisées :

http://www.aredam.net/sites-internet-psychiatrie-politique.html

et particulièrement :

Groupe information asile :

http://www.groupeinfoasiles.org (semble être devenue une organisation supplétive du système psychiatrique dont elle ne peut se passer, une sorte de para-psychiatrie, de plus, cette organisation semble impliquée dans une affaire d'Etat (assassinat de René Bousquet, par l'un des membres de son bureau (soi-disant illuminé, mais sûrement manipulé par des officines), et son actuel dirigeant - André Bitton - paraît opérer une distinction d'après certains critères, entre les bonnes et les mauvaises victimes - voir à ce sujet le
site : http://www.guerreaugrandorient.com )

Voir le dossier déjà publié sur le site aredam sur le Groupe information asile :

Une organisation commentée par des documents rendus public en 1996 et 1997 : le "Groupe information asiles", site internet http://www.groupeinfoasiles.org. Selon ces documents, cette organisation pourrait être du type de celles qui sont dédiées aux victimes de la justice, et qui sont une forme de prolongement de l'appareil de répression, dont la justice n'est qu'une partie (police, justice, psychiatrie). Les organisations de défense des victimes de la justice agissent en aval du système judiciaire, en encadrant, pacifiant, et même utilisant jusqu'à en avoir extrait le tout dernier suc vital, les individus passés dans la machine à broyer qu'est la justice. Le site internet du "Groupe information asile", est cité dans le site internet de l'organisation "Défense des citoyens", http://www.defensedescitoyens.org.

Voici les six documents parus en 1996 et 1997. D'après l'auteur de ces documents, le dirigeant actuel du "Groupe information asiles", M. BITTON, était déjà membre à cette époque, de cette organisation.

http://www.aredam.net/groupe-information-asiles-1.html

http://www.aredam.net/groupe-information-asiles-2.html

http://www.aredam.net/groupe-information-asiles-3.html

http://www.aredam.net/groupe-information-asiles-4.html

http://www.aredam.net/groupe-information-asiles-5.html

http://www.aredam.net/groupe-information-asiles-6.html