Synthèse des fonctions de Bastien Coriton : Mise à jour le 6 octobre 2019.
Lire particulièrement les notes en bas de page.

http://www.aredam.net/la-manifestation-visible-d-un-reseau-de-pouvoir-occulte-le-cas-bastien-coriton.html  
Documentation :
Aménagement du territoire (important) :
http://www.aredam.net/vers-le-grand-rives-en-seine-et-la-presidence-de-agglo-caux-seine.pdf
Bibliographie :
Ron Hubbard Le gourou démasqué de Russel Miller, Plon, 1987.
Le Monde secret de l'Opus Dei de Michael Walsh, Pygmalion, 1989.
Dossier en cours :
http://www.aredam.net/procedures-calme.html
http://www.aredam.net/sommaire-publications-procedures-calme.html
http://www.aredam.net/procedures-calme-documentation.html

la

 

 (naissance 1981)


1 - Parti socialiste : Membre du secrétariat fédéral (Rouen), chargé des élections.

2 - Collaborateur de la sénatrice Nelly Tocqueville.

3 - Maire de Caudebec-en-Caux 2008. Maire de Rives-en-Seine 2016.
(Rives-en-Seine : regroupement de Villequier 776 habitants, Saint-Wandrille Rançon 1196 habitants et Caudebec-en-Caux 2280 habitants, total : 4283 habitants). (voir 1 en bas de page).

4 - Conseiller général 2015.

5 - Membre de la commission agriculture au Conseil général.

6 - Membre de la commission finance au Conseil général.

7 – Membre du Syndicat « Seine-Maritime Numérique ».

8 – Membre de « Seine-Maritime Attractivité » (volet tourisme)

9 – Membre du conseil d'administration du collège Albert Calmette à Notre-Dame-de-Gravenchon-Port-Jérome-sur-Seine.

10
- Suppléant du député Christophe Bouillon (2017).

11
- Vice-président de la Communauté d'agglomération Caux Vallée de Seine.

12
- Président du Conseil d'administration de l'EPHAD Maurice Collet à Caudebec-en-Caux (maison de retraite).

13
- Membre du Conseil d'administration du SDIS de Seine-Maritime (Service départemental d'incendie et de secours de la Seine-Maritime).

14
- Délégué de la Communauté d'agglomération Caux Vallée de Seine au Pôle métropolitain de l'estuaire de la Seine (regroupement du Havre et des communautés d'agglomérations).

15
- Membre titulaire du Bureau syndical du Parc régional naturel des boucles de la Seine.

16
- Président de la Société Mixte des bassins versants Caux-Seine.

17
- Administrateur de la SPL (Société Publique Locale) Caux Seine Développement, Lillebonne.

18
- Administrateur de la SCIC d'HLM Seine Manche Promotion, Yvetot.

19
- Administrateur de l’Établissement Publique Foncier de Normandie, Rouen.

20
- 4ème vice-président du Centre de Gestion de la fonction territoriale de Seine-Maritime (CDG 76).

21
- Président de la commission administrative paritaire catégorie C du CDG76.

22
- Membre titulaire du comité technique du CDG76.

23
- Activité de Mme Coriton Virginie (épouse).
Présidente
du Comité de la fête du cidre et de la pomme (annuelle), association loi 1901 domiciliée à la mairie de Caudebec-en-Caux (150 bénévoles, 20 000 visiteurs).

Liste ne prétendant pas à l'exhaustivité, erreurs possibles


Notes de bas de page :

Devenir Calife à la place du Calife :
http://www.aredam.net/vers-le-grand-rives-en-seine-et-la-presidence-de-agglo-caux-seine.pdf

(1) Arelaune-en- Seine, commune faisant face à Caudebec-en-Caux séparée d'elle par la Seine. Cette commune résultant au 1
er janvier 2016, donc à la même date que Rives-en-Seine, de la fusion des communes de La Mailleraye-sur-Seine 2072 habitants et de Saint-Nicolas-de-Bliquetuit 573 habitants.
La dénomination Rives-en-Seine, avec Rives au pluriel, suggère que dans les plans de M. Coriton, il est prévu de fusionner Rives-en-Seine avec Arelaune-en-Seine. Ces fusions permettraient avec
celles ultérieures englobant les communes voisines (au total environ une dizaine de milliers d'habitants), de prétendre à la direction de l'agglomération Caux Seine, à la place du successeur de Jean-Claude Weiss, et ainsi de devenir « Calife à la place du Calife ». Ha ! Régner sur une centaine de milliers d'habitants.
Lors du processus de fusion, il a donc été demandé de façon qu'on peut raisonnablement supputer comme étant symbolique, aux habitants de proposer des noms pour la nouvelle commune, alors qu'il avait déjà peut-être (peut-on le penser ?) été décidé que au moins, les
mots rives et Seine au pluriel devaient figurer dans ce nom, sans en informer les habitants, qui naïvement ont proposé diverses dénominations (comme l'auteur de ce texte). Cela a donné ce nom a-territorial et a-historique de Rives-en-Seine, pouvant s'appliquer à toutes les agglomérations établies sur la Seine depuis sa source jusqu'à son embouchure sur la côte atlantique, y compris Paris, Le Havre et Rouen.

Voilà comment on détruit ce qui est l'une des racines géographico-historiques parmi les plus importantes pour un lieu et ses habitants, son nom. Voilà autrement dit comment on détruit l'identité d'un lieu et celles de ses habitants qu'on dépersonnalise.

Il faut rappeler que l'agglomération Caux Seine recèle l'une des raffineries parmi les plus importantes de France, desservant l’Île de France, celle de Notre-Dame-de-Gravenchon du pétrolier US dont la puissance dépasse celle de l’État français, ExxonMobil. Caux-Seine agglo est une entité administrative riche et donc puissante.

Il est à noter que l'actuel maire d'Arelaune-en-Seine, M. Yves Delaune, est le remplaçant de M. Coriton pour son poste de Conseiller général.

Il faut rappeler aussi que l'actuelle maire adjointe de Villequier, M. Stéphanie Haquet, s'est présentée aux élections
régionales de décembre 2015 sur la liste PS.

Soutiens
déclarés à cette liste (tract « Votons Nicolas Mayer Rossignol - Stéphanie Haquet » PS élections régionales 6 et 13 décembre 2015 :
- Christophe Bouillon député de la 5ème circonscription
- Martine Blondel conseillère départementale
- Bastien Coriton conseiller départemental
- Valérie Colé-Hanot conseillère municipale
de Notre-Dame-de-Gravenchon
- Yves Delaune maire de Notre-Dame-de-Bliquetuit
- Daniel Delaune maire de Grand-Camp
- Nelly Tocqueville sénatrice de la Seine-Maritime.

Documentation : Aménagement du territoire :
http://www.aredam.net/vers-le-grand-rives-en-seine-et-la-presidence-de-agglo-caux-seine.pdf

Notes :
- Valérie Colé-Hanot est professeur au Lycée de Lillebonne, et remplaçante de Mme Martine Blondel au Conseil départemental.
- Stéphanie Haquet est professeur à Lillebonne.
- Yves Leroy, premier adjoint de Rives-en-Seine, est un ancien directeur d'école
(lire à son sujet le chapitre « Le militant », de son livre « Brouiller les pistes », évoquant
un secrétaire d'une section locale du PS.
- Annick Dussaux, maire-adjointe de Saint-Wandrille-Rançon, est une ancienne professeur.
-Émilie Cahagne, est une professeur et conseillère municipale de Villequier.

Les fonctions de politicien et d'enseignant se rejoignent, car en démocratie de façade, ce qui est le cas du régime occidental depuis l'instauration de la pseudo démocratie (1789), l'enseignant est en charge, à la place des religieux, d'inculquer la soumission et le mensonge qui va avec, les politiciens étant en charge de remplacer les fonctionnaires royaux d'autorité et de gestion, d'animer le mensonge des élections et de convaincre la population qu'elle a voix au chapitre.

L’Éducation Nationale ne s'y trompe pas en laissant
toute facilité pour que les enseignants puissent se consacrer à la carrière politique, comme on peut le constater.

Les russes se sont mis à copier ce système (les chinois préfèrent le système panoptique parfait), qui est très économique pour le maintien de l'ordre totalitaire, car la population se ment à elle-même et s'épuise en vaines illusions et combats politiques fictifs. Ceux qui ne croient pas à l'imposture démocratique sont désignés comme étant au mieux soit des gens qui crachent dans la soupe, soit des idéalistes immatures et irréalistes, au pire
des fascistes, des extrémistes, des nihilistes (lire le chapitre « Le militant » du livre d'Yves Leroy (1er adjoint à la mairie de Rives-en-Seine) « Brouiller les pistes », un modèle conservateur et hyper normatif de répression mentale de toute pensée originale, personnelle, critique et libre, sous couvert de progressisme et de réalisme. Cela transparaît même dans le style de l'auteur qui est à la fois laborieux, contraint, appliqué, discipliné, geignard, moraliste et pontifiant (un sacré cocktail). Quant à l'interprétation du terme « militant », certains la résument par celui qui est suffisamment croyant pour porter une pancarte dans une procession de manifestants. Dans le temps, on l'appelait plus prosaïquement un homme-sandwich. Voilà l'ombre du commandeur Coriton … Quant au contenu du livret, il est ce qu'il peut être par rapport à une vie entièrement passée sous les fourches caudines de la notation perpétuelle de Môssieur l'Inspecteur de l'Acâdémie et cela jusqu'au tombeau (le montant de la retraite et la classe des obsèques doivent en dépendre … cercueil en chêne, en sapin, en carton, fosse commune ?), et de plus dans les écoles primaires à la campagne. N'est pas le père Alexandre, ni Flaubert, ni Maupassant, ni Octave Mirbeau qui veut. C'est l'équivalent en littérature de la peinture du dimanche, mais d'un peintre qui aurait une drôle d'inspiration, disons un peu carcérale ... Il y a d'ailleurs une prison datant du moyen-âge et conservée en l'état à Caudebec-en-Caux (à voir, ces cellules auxquelles on accédait par une échelle en façade, retirée une fois le prisonnier casé, ne pas manquer non-plus la chute de reins de la petite sirène, hélas déplacée près de cette ridicule mairie, du canon de tranché, du monument dément aux cadavres méritants, ces massacrés obéissants des guerres diverses qui ont fait leur devoir avec application, et de l'horrible hangar à musée … quel bled ! Ne pas manquer surtout le point de vue unique au monde du « Belvédère de la merde », route de Barre-y-va, qui devrait figurer dans les guides touristiques. French speciality, on peut y tremper ses mouillettes, comme dans les vespasiennes des « soupeurs » ou les backroom parisiennes).

Le bilan énergétique mental est simple à poser :

a) - Procédé « L'espoir fait vivre », ce qui permet à la majorité de la population de supporter sa vie privée de tout espoir de se diriger soi-même, sans cesse en attente
que la prochaine élection lui donne enfin cette liberté (procédé utilisé par toutes les religions, les lendemains qui chantent, le paradis après la mort, la réincarnation dans une espèce supérieure etc ...).

b) - « La carotte et le bâton », c'est à dire rester à sa place et voter, et on vous donne un minimum de confort, ou bien dénoncer l'imposture, ne pas voter et même au-delà entrer en rébellion, et là l'inconfort et la souffrance apparaissent (d'où la raison de l'existence
des partis extrémistes qui forcent les gens à aller voter car constituant une menace d'empirer les conditions de vie en perdant le peu de liberté et de tolérance chichement octroyées). Le problème primordial dans ce système est le risque d'une abstention majoritaire qui décrédibiliserait trop le système, et rendrait obligatoire des mesures coercitives plus coûteuses et moins confortables que la mascarade des élections. Un taux d'abstention écrasant serait logique au regard du fait plus que vérifié que rien ne change quel que soit le parti élu, et que donc la pluralité des partis n'est qu'une façade trompeuse qui masque qu'il n'y a qu'un seul parti partagé artificiellement en factions concurrentes qui ne font que se disputer le même gâteau. Il ne peut y avoir que les crétins congénitaux pour croire avoir un choix politique et économique. La portion réelle de ces crétins ne doit pas dépasser 10%, les 90% autres se laissent tromper sciemment en contrepartie d'une niche et d'une gamelle plus ou moins confortable et copieuse. C'est humain de préférer la pitance et le toit aux coups de bâton voire aux yeux éclatés par les flash ball policiers. Il faut un nerf de la vitalité anormalement développé pour nager à contre-courant et garder les yeux ouverts.

De plus, on ne peut se libérer du jour au lendemain d'un conditionnement plusieurs fois millénaires à la soumission et à la crédulité, qui consiste avant tout à persuader de son
incapacité à gérer les affaires collectives, de son impuissance, qui vous fait rester enfant, immature, craintif, ce conditionnement s'attaquant à la confiance en soi, conditionnement qui serait très long et difficile à surmonter et qui se transmet générations après générations au sein de la famille même, surtout que rien n'est fait - bien au contraire - pour que les gens se libèrent de cette perte de la confiance en eux et apprennent à devenir sûrs d'eux, autonomes, adultes et responsables.

Alors les gens s'en remettent aux politiciens, aux
enseignants et autres casseurs de conscience des médias de masse qui les abreuvent à chaque moment des 24 heures de leurs poisons mentaux qui rendent leurs esprits rabougris comme des bonzaïs.

Alors, le piège se referme sur la population.

Ce qui se passe au niveau local est une inestimable source de connaissance vivante sur le global.

Quant au processus psychologique de groupe qui préside à l'action propre aux
partis, dont à celui au niveau local, dénommé avec humour « socialiste », il n'y a qu'à l'observer dans ses manifestations plus visibles, que sont les organisations américaines Amway ou Tuperware hyper rodées, ou bien celle ultra efficiente de la Scientologie qui est très bien documentée car ayant inquiété la religion dominante catholique en place, dont la clientèle la plus importante est constituée comme pour la Scientologie, des malheureux.

Annonce spéciale à l'adresse des services (sections ethno-psychologiques) :

Documentation à se procurer pour étude de cas :

D'Yves Leroy (1
er adjoint au maire de Rives-en-Seine), livre : « Brouiller les pistes », éditions SCUP 1 cavée Saint-Léger à Caudebec-en-Caux, 2017. ( http://scup.fr/ )

Bibliographie :
Ron Hubbard Le gourou démasqué de Russel Miller, Plon, 1987.
Le Monde secret de l'Opus Dei de Michael Walsh, Pygmalion, 1989.