Site internet http://www.aredam.net

 

Voir les nouveautés sur le site : http://www.aredam.net/divers.html

 

Titre de cette page :
http://www.aredam.net/mosquee-des-ulis-essonne-91.html

 

[Retour à la Documentation générale du sionisme opérationnel (DGSO) :

http://www.aredam.net/dgso-documentation-generale-sionisme-operationnel.html ]

 

 

Le contrôle de la masse des musulmans en France (environ 5 millions d'individus) est un enjeu stratégique pour le pouvoir sioniste qui s'est installé en France. Ce contrôle passe par les mosquées. La mosquée, pour tout politicien religieux musulman, est le champ de prédilection de sa course à la réussite personnelle (argent, influence, pouvoir, notoriété). Les politiciens religieux musulmans inféodés aux sionistes de gauche (PS, Verts et PC) disputent les mosquées aux politiciens religieux musulmans inféodés aux sionistes de droites (UMP et centre Bayrou).

[ Erratum du 19 juillet 2008 :

Les informations qui suivent au sujet d'Abdelhakim Séfrioui ont été communiquées oralement par un responsable de la Sous-Préfecture de Palaiseau, lieu d'enregistrement des associations créées par M. Séfrioui. Ces informations ne concordent pas avec les documents écrits transmis ultérieurement par la Sous-Préfecture elle-même (?). Une grande confusion semble régner au sujet de ces multiples associations. Tout le monde semble confondre les ACMU diverses (Associations cultuelle des Musulmans des Ulis, Associations culturelle des Musulmans des Ulis) au point que dans la lettre d'introduction de la Sous-Préfecture de Palaiseau, on indique communiquer des documents sur l'association cutuelle alors que les documents communiqués sont ceux de l'association culturelle (?). De même, dans des arrêtés préfectoraux pris en 2004, et qui figurent plus bas, il est question de l'ACMU ASSALAM, comme association cultuelle des musulmans des Ulis, alors que d'évidence il ne s'agit de l'association culturelle.

Il sera intéressant d'élicider cette confusion des diverses ACMU, outre les autres associations, dont les objets sont toujours pour la gestion de la mosquée future des Ulis comme Al Andalousia (on retrouve en 2008 une référence du Parisien, pour une ACMU - cultuelle).

Chaque avancée dans cette élucidation sera portée sur le fichier spécialement créé pour ce but, sur le site aredam.net, avec reproduction par scan des documents probants de nature publique, donc publiables, collectés :

http://www.aredam.net/analyse-enjeu-politique-financier-mosquee-ulis.html.

En ce qui concerne, en l'état, les documents probants transmis par la Sous-Préfecture de Palaiseau, il s'agit de l'association ASSALAM, créée en 1992, et de l'Association Culturelle des Musulmans des Ulis - ACMU, créée en 1997, les deux ayant pour président M. Séfrioui, la seconde ayant son siège social rue Chantereine, au domicile de M. Séfrioui, la première ayant son siège au foyer SONACOTRA des Ulis.

Oralement, la Sous-Préfecture avait originellement indiqué qu'il n'existait pas d'Association Culturelle des Musulmans des Ulis (?). ]

Fin de l'erratum, suite du texte gardé en l'état, donc comprenant des erreurs, qui ne sont que la transcription exacte de ce que la Sous-Préfecture a communiqué oralement :

Un exemple typique de cette guerre pour la prise des mosquées, est celle des Ulis, en banlieue sud de Paris, en Essonne (91). Cette guerre était menée en 2004, par Abdelhakim Sefrioui, contre les autorités municipales de gauche. Abdelhakim Sefrioui était président de l'ACMU ASSALAM (Association Cultuelle des Musulmans des Ulis), depuis 1992, date de la création de cette association, dont le siège était à l'époque dans un foyer SONACOTRA local, siège transféré en 1997 à son propre domicile, aux Ulis, rue Chantereine.

Il semble avoir été évincé de cette association en 2006 (changement du lieu du siège et de président - remplacé par Ajar). En 2005, on peut constater sur l'Internet l'activité d'une autre ACMU (Association culturelle des muslmans des Ulis), dont la sous-préfecture de Palaiseau ignore la déclaration.

En 2005, apparaît une autre association cultuelle des musulmans des Ulis : "Al Andalous", dont l'objet est la mosquée des Ulis.

Dans ce dossier figure ensuite un article des Verts locaux, et des arrêtés préfectoraux où il est question de violence verbales, d'attitudes agressives et de menaces publiques, de manifestations non déclarées, soit illégales, tout cela sans conséquences judiciaires, alors que pour infiniment bien moins, les religieux musulmans qui s'obstinent à conserver leur indépendance vis à vis du pouvoir sont emprisonnés et expulsés hors de France.

L'itinéraire d'Abdelhakim Sefrioui est intéressant à suivre. Parallèlement, il montait une maison d'édition de livres religieux dénommée Arrissala (le Messager), une librairie rue Jean-Pierre Timbaud à Paris 11ème, juste à proximité d'une mosquée, dans un secteur occupé par de multiples librairies musulmanes, une SARL, nommé "Distributeurs Unis" (1998), enregistrée dabord à la chambre de commerce de Paris, puis son siège social ayant été déménagé boulevard de la Boissière à Montreuil (2005), à la chambre de commerce de Bobigny. En 1992, Abdelhakim Sefrioui selon la déclaration de l'association ACMU ASSALAM à la Sous-Préfecture de Palaiseau, était enseignant (dans le technique).

 

Site actuel de la future Mosquée des Ulis (Association Al Andalous) :

http://www.mosqueedesulis.fr

 

 

Sommaire de cette page :

 

1 - Article tiré du site internet des "Verts", du 91 (Essonne), relatif à la future mosquée des Ulis.

2 - L'islam des "caves" : Introduction du site Internet de l'association Al Andalous, pour la mosquée des Ulis.

3 - Arrêtés préfectoraux de 2004, interdisant les manifestations organisées par l'ACMU.

4 - Témoignages d’amitié reçus en 2005 à l'occasion de la mort du pape Jean-Paul Deux.
(voir celui de l'Association Culturelle des Musulmans de Ulis, le mot de son président, plus bas).

5 - Un article de 20 minutes, du 12 octobre 2004, au sujet des manifestations de 2004, pour la mosquée des Ulis.

 

 

1 - Article tiré du site internet des "Verts", du 91 (Essonne)

http://www.lesverts91.ouvaton.org

 

POUR UNE MOSQUEE AUX ULIS, sortons de l'impasse
par Charron Etienne , le lundi 6 décembre 2004


L es Verts et le PS s'associent dans un tract à propos du projet de Mosquée aux Ulis : le dialogue doit reprendre, sous l'égide du bon sens.

POUR UNE MOSQUEE AUX ULIS, sortons de l'impasse

La majorité de gauche élu en mars 2001, a respecté l'engagement pris devant les ulissiens de favoriser la construction d'une mosquée pour les musulmans des Ulis par la mise à la disposition d'un terrain pour sa construction, dans les mêmes conditions que pour ulissiens de confession catholique et juive. La majorité municipale de gauche après avoir entendu l'expression des besoins des musulmans a proposé à l'Association Cultuelle des Musulmans des Ulis un terrain de 1500 m2 de surface au sol : cette surface permet la construction d'un édifice de 2000 m2 avec une hauteur de 9,5 mètres. En effet dès juin 2003, la gauche a réservé un terrain retenu à l'occasion du vote du Plan Local d'Urbanisme, dans le respect de la loi de 1905 dite " loi de séparation des religions et de l'Etat ", pour garantir à chaque citoyen de la ville des Ulis la pratique de sa religion dans les meilleures conditions. Aujourd'hui l'Association Cultuelle des Musulmans des Ulis refuse cette proposition qu'elle considère comme insuffisante. Estimant de ne pas être entendue et reconnue, elle a décidé de manifester son désaccord chaque samedi devant la mairie. Après onze semaines de manifestations, il apparaît évident qu'il n'y a plus de discussions possible : cette situation est très préoccupante pour l'avenir des relations humaines dans notre ville. Personne ne peut de bonne foi, considérer que cette proposition de la gauche est indigne et irrespectueuse. L'attitude agressive des dirigeants de l'Association Cultuelle des Musulmans des Ulis provoque au sein des ulissiens un phénomène de rejet et une montée de l'intolérance. Il est du devoir de la gauche dans ces conditions de rappeler les principes de ce qui fait la République et la citoyenneté et ses valeurs. Le parti socialiste et les verts rappellent que la France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinctions d'origine, de sexe ou de religion. La gauche a toujours eu comme valeurs pour notre ville, la tolérance et respect de chacun. Il est temps que les citoyens musulmans de la ville prennent leurs responsabilités pour l'aboutissement de ce projet et accepte la proposition qui leur a été faite par la majorité de gauche.


2 - L'islam des "caves" : Introduction du site Internet de l'association Al Andalous, pour la mosquée des Ulis.

LE MOT DE L’ASSOCIATION
L’époque de l’islam des « caves » est révolue. Aujourd'hui, le culte musulman s'organise de plus en plus et le droit des concitoyens de foi musulmane de pratiquer dignement leur culte a trouvé écho à différents niveaux. Il traduit la volonté de tous de vivre ensemble dans le respect et l'égalité.

L’association Cultuelle Musulmane El Andalous, déclarée à la sous-préfecture de Palaiseau le 22 Mars 2005 sous le numéro 0913014218 s’inscrit dans cette mouvance. Consciente plus que jamais du besoin de nos citoyens Ulissiens de confession musulmane, d’un lieu de culte digne de ce nom, l’association El Andalous s’est fixée comme objectif de porter le projet de construction d’une mosquée aux Ulis tant attendue et de le mener à terme dans les meilleurs délais. De part notre action, nous souhaitons avant tout obtenir l'agrément et la bénédiction d’Allah.

Un tel projet soulève de multiples enjeux. Tout d’abord un enjeu social pour nos concitoyens de confession musulmane, désormais profondément enracinés dans la ville des Ulis. Également un enjeu culturel, la ville des Ulis offre en effet un métissage fascinant des cultures. C’est pourquoi favoriser l’épanouissement de chacun d’entre nous dans sa pratique, dans son expression permettrait d’inculquer aux Ulissiens une valeur fondamentale qui est celle du respect de l’autre. De tels enjeux, gages d’une société égalitaire et résolument tournée vers l’avenir, aboutiront au rayonnement de notre société.

Le projet que nous portons ne réside pas dans l’intérêt d’une minorité, au contraire cette perspective de travail à laquelle s’exerce ardemment notre association contribue à faire d’une volonté particulière, un intérêt collectif. N’est ce pas là le socle qui régit le bon fonctionnement de la vie en société.


3 - Arrêtés préfectoraux de 2004, interdisant les manifestations organisées par l'ACMU.

http://www.aredam.net/arretes-prefectoraux-ulis-manifestations.html

 

4 - Site Internet : catholique-evry-cef.fr

Témoignages d’amitié reçus en 2005 à l'occasion de la mort du pape Jean-Paul Deux.
(voir celui de l'Association Culturelle des Musulmans de Ulis, le mot de son président, plus bas).

http://www.aredam.net/temoignage-mort-jean-paul-deux.html

 

5 - Un article de 20 minutes, du 12 octobre 2004, au sujet des manifestations de 2004, pour la mosquée des Ulis.

Essonne Aux Ulis (91), un différend oppose l’association cultuelle des musulmans et la municipalité au sujet de l’agrandissement de la mosquée actuelle. Fin septembre, 300 fidèles ont manifesté en centre-ville.

Nicolas Sarkozy serait-il nostalgique de l’époque où, installé Place Beauveau, il était chargé des religions ? Profitant de son costume de président du conseil général des Hauts-de-Seine, il a en tout cas foncé, hier matin, à la pose de la première pierre de la nouvelle mosquée d’Asnières. L’occasion, d’abord, de retrouver son « cher ami Dalil ». Comprenez Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris et président du Conseil français du culte musulman, créé par Sarkozy. L’occasion aussi de ressortir de ses archives personnelles les passages les plus « vibrants » de ses discours sur l’islam, prononcés du temps de l’Intérieur. L’architecte du futur lieu de culte a commenté sa maquette au ministre. 1 800 m2, un minaret de 12 m de haut, deux salles de prière, une bibliothèque et même un cyber-espace. Ce sera « l’une des plus grandes mosquées d’Ile-de-France », affirme Boubakeur. « Nous voulions ouvrir la mosquée sur le quartier et accueillir l’autre quelle que soit sa conviction », souligne le concepteur. Nicolas Sarkozy est ravi. Face à plus de 300 fidèles massés sur le terrain du futur bâtiment, l’occasion est trop belle pour ne pas sortir la piqûre de rappel de ses positions sur la religion musulmane. « Un islam de France, pas un islam en France, car la République n’a pas à négocier ses valeurs », « nous n’avons rien à craindre des mosquées officielles », « l’islam n’a rien à voir avec les terroristes ! » Acclamations. G. M.