Apport d'éléments tirés de l'expérience personnelle de l'auteur (« Mouvement des chômeurs » des années 1997-98 en France et particulièrement à Paris) permettant une approche du mécanisme caché des rassemblements d'encadrement des masses du type « Nuit debout », conçus par les services policiers spécialisés du Conglomérat judéo-américain à vocation hégémonique mondiale (Cjam). Texte élaboré à destination des services apéciaux des puissances contrebalançant le Cjam (Russie, Chine, Iran et autres), par Michel Dakar, chercheur autonome en politique globale, Villequier, ex-France, le 10 mai 2016.

http://www.aredam.net/experience-personnelle-encadrement-masses-en-conglomerat-judeo-americain-a-vocation-hegemonique-mondiale-cjam.html

Liens documentaires sur le site aredam.net
 :

Illustration, article de l'outil
de déréelisation des masses Le Parisien-Aujourd'hui en France du 9 avril 2015 avec photographie : « Depuis trois heures, Emmanuelle gère le débat qui anime la place ».
http://www.aredam.net/agent-manipulateur-en-action-nuit-debout-pseudo-emmanuelle.html

Iconographie historique :
http://www.aredam.net/pour-la-defense-de-l-empire-daesh.html

Le CICP, Centre International de Culture Populaire à Paris, un centre historique de manipulation des masses
des services du Cjam à Paris 11ème, 21ter rue Voltaire :
http://www.aredam.net/analyse-du-fonctionnement-administratif-et-financier-du-cicp-rue-voltaire-paris.html
http://www.aredam.net/gustave-massiah.html
http://www.aredam.net/courriers-sans-reponse-a-direction-du-cicp-olivier-blamangin-21ter-rue-voltaire-paris-11-au-sujet-de-reflexes.html


Préambule

Ce texte est un texte libre qu'on peut rapprocher de ce qu'on dénomme l'écriture automatique des surréalistes.

C'est la seule manière qui me vient de procéder, car je dois faire état de ma propre expérience, d'une vie trop dense, trop intense, et de plus toute fondée sur l'intuition, pour que je puisse la communiquer en très peu de pages et de
temps, afin qu'elle soit utilisable par les services concernés des puissances opposées au Cjam, qui seules peuvent limiter l'entreprise de destruction des populations mise en oeuvre par le Cjam, de façon de plus en plus intensive et paroxistique, de ses propres populations ainsi que de celles présentes dans les parties du monde que le Cjam cherche à conquérir.

De plus, et sous une autre forme, la vie présente de l'auteur est toujours autant remplie, et il
n'a ni le temps ni le désir d'écrire des mémoires. Aussi, il faudra lui pardonner un style sec et des raides énumérations, des absences de démonstration et d'apports de preuves, de même qu'une structuration élaborée et logique du texte. Un amateur n'est pas lié aux contraintes d'un professionnel encarté par un service, d'autant plus quand il se moque de sa renommée et de son crédit. Tout cela le rend libre d'exprimer ce que personne d'autre ne ferait de cette manière. De même, il est possible que dans ce qui suit, existent des éléments pouvant conduire au tribunal. L'auteur assumera devant le juge de rapporter ce qu'il a entendu et vu, même si il ne peut en apporter les preuves formelles. Cela dit, l'auteur n'invente rien, il n'a pas besoin de le faire. Il est même plutôt enclin à conserver par devers lui ce qui n'est pas nécessaire à l'émancipation et à l'éveil d'autrui.

La difficulté spécifique à relater ce que l'auteur a connu durant la période des années 1990, lesquelles étaient
une expérimentation, une répétition et une introduction, un prélude à la période actuelle, est que la réalité des mécanismes des évènements socio-politiques auxquels l'auteur a participé était secrète, et que l'auteur doué d'une large faculté intuitive, qui n'est autre qu'une forme d'esprit d'observation particulièrement exacerbé, remarquant le moindre détail, le moindre hiatus, la moindre incohérence, et la capacité à les assembler et à les fondre en un questionnement global, est que cette relation ne peut s'appuyer que sur des sensations subtiles qu'il est très difficile de transcrire. Aussi, la solution choisie par l'auteur est la pure affirmation comme on le fait de certitudes. L'auteur doit ne pas avoir été loin de la vérité, car les services spéciaux n'ont eu de cesse de reconduire l'auteur au delà de la frontière parisienne à l'intérieur de laquelle se joue la pièce du théatre de l'illusion dans laquelle est immergée la population. Les manœuvres d'éloignement ont duré 10 années, de 2006 à 2015. Un camarade les avait qualifié de « manœuvres de guerre de basse intensité ». En effet, je suis toujours entier, pour le moment.

Pour clore ce préambule, l'auteur a le sentiment d'avoir été expulsé de force d'une prison en devenir avant que ses murs ne se rejoignent et que ses portes ne se ferment, cette prison étant le monde parisien où tout ce qui importe en France se passe, monde parisien et au-delà français et européen, où
les récents évènements Charlie, Bataclan et Nuit debout, démontrent que la vie sociale et politique est totalement factice et fabriquée par la police politique du régime, donc que c'est une vie politique défunte, l'animation d'un cadavre, que le régime politique réel dans lequel nous vivons est celui d'un état totalitaire qui règne sur une société de prisonniers, ces prisonniers étant par la propagande persuadés de vivre en liberté et d'être protégés par le pouvoir qui détruit leur liberté quand ils ne sont pas directement la cible d'attentats, et qui va très bientôt de plus les priver radicalement de l'ensemble de leurs biens.


Introduction

J'ai vécu une manifestation d'encadrement policier
similaire à celle de « Nuit debout », en 1997 et durant les quelques années suivantes. Elle a été baptisée « Mouvement des chômeurs », et a été marquée par la création des « Collectif anti-expulsion » (CAE), s'opposant aux reconduites à la frontières des immigrés clandestins dits « sans-papiers », et aux premiers camps de rétention administratifs. Les CAE étaient de même une stratégie d'encadrement des immigrés clandestins et des activistes les soutenant. Il est maintenant clair pour moi que le Mouvement des chômeurs et les CAE ont été conçus et menés par les services spécialisés de la police politique française. On peut penser aux Renseignements généraux de la Préfecture de police de Paris, entre autres, et imaginer leur collaboration avec des services spéciaux américains et judéo-sionistes (il y a quelques juifs non-sionistes, cela justifie de ne pas écrire « services juifs », quoique ces services en question proviennent d'Israël, qui se définit lui-même comme l'Etat juif).

De même qu'on peut imaginer que le Mouvement des Chômeur et les CAE, de 1997 à 1998 et suivantes,
ont été une expérimentation à grande échelle et sur le terrain, des procédés imaginés dans les laboratoires de socio-psychologie politique des appareils de police politique, pour obtenir le contrôle absolu des masses, et que ces recherches en psychologie sociale appliquée, soient internationales et engagent la collaboration de plusieurs services nationaux, comme ceux français, américain, israélien et quelques autres de l'actuel Cjam (britannique, belge, italien …).


Principaux lieux acceuillant les organisations apparaissant lors du Mouvement des chômeurs et des CAE de 1997, 1998 et après.

Immeuble du CICP « Centre International de Culture Populaire », 21ter du Voltaire à Paris 11ème.

L'un de ses principaux fondateurs est
Gustave Massiah. Le CICP est issu de l'ex-immeuble associatif de la rue de Nanteuil à Paris 15ème (Centre anti-impérialiste). Cet ensemble associatif aurait été financé par le régime algérien (pour la façade, les fonds seraient le produit d'une collecte), investissant dans le contrôle social en France, muselant ainsi toute opposition externe à sa politique intérieure, dont plus tard à sa guerre civile engagée contre sa propre population qui a fait 200 000 morts de 1992 à environ 2002, dite contre le terrorisme islamiste, terrorisme que ce gouvernement a lui-même organisé (le régime algérien est intimement lié aux services spéciaux français). Gustave Massiah apparaît très impliqué en Afrique sous couvert de développement, de même qu'il est en tant qu'agent crypto-sioniste engagé dans la défense d'Israël. Le CICP est un centre parisien de l'encadrement politique à la fois national et international. Son accès n'est possible que par un sas blindé et surveillé par des caméras, cela sous le prétexte qu'il pourrait être la cible de l'extrême droite (elle-même entièrement encadrée par les services français et autres). On trouve au CICP (voir son site internet), une liste importante d'associations, dont une pro-palestinienne d'obédience israélienne (AFPS, Association France Palestine Solidarité), une opposée à l'armée subventionnée par l'armée (MAN, Mouvement d'Action Non-violent), parmi d'autres (dont à l'époque les « anti-fa » du « Scalp Réflexes », que j'observais de l'étage supérieur partir en randonnée-ratonnade des militants d'extrême-droite, munis de leurs petites barres de fer, le bureau du site Indymedia Paris, réseau internet mondial Indymedia des services spéciaux US). Il existe sur le site aredam.net un lourd dossier concernant le CICP et Gustave Massiah, qui est l'homme clé de ce centre important français des services spéciaux du Cjam. L'auteur a failli prendre Gustave Massiah comme directeur de mémoire, lors de la fin de ses études d'architecte à l'école d'architecture de Paris La Villette. L'auteur a préféré y renoncer en raison de son manque de compétence (les cimetières selon Massiah serviraient de réserves foncières urbaines, quand j'ai répété cela lors d'un travail à la Direction de l'environnement de la Préfecture de région de la France-Comté aux chargés de mission, en 1992, je me suis fait foutre de ma gueule, d'une façon que je ne suis pas prêt d'oublier ...). Gustave Massiah semble être une idole pour les jeunes idiots utiles naïfs du CICP. Je l'avais rencontré au début de mes années d'études à Paris, alors qu'il organisait une chaîne humaine associant arabes et juifs, sous l'égide d'une organisation dénommée « Amitiés judéo-arabes », l'un de ces innombrables et caractéristiques faux-nez des services sionistes destinés à faire accepter aux arabes la domination des sionistes (comme les dialogues inter-religieux organisés par le CRIF et le Consistoire de Paris, avec sa ribambelle d'imams casse-croûte bègues et lobotomiques, comme l'inénarrable Kradouchi de Drancy).

Nota : il existe un très important complexe immobilier parisien de regroupement des ONG humanitaires et de développement tournées vers le tiers-monde, situé 14 passage Dubail à Paris 10ème (« Coordination SUD »), très certainement totalement phagocyté par les services secrets français et autres - les ONG étant toutes des antennes d'espionnage du tiers-monde.

A l'époque du Mouvement des chômeurs et des CAE, je fréquentais au CICP, une micro organisation gracieusement dénommée
TCPC (Travailleurs, Chômeurs, Précaires en Colère), opaque, qui semblait d'obédience communiste libertaire. Selon la vision que j'en ai maintenant, un noyau d'agents de la police politique encadrait une nébuleuse d'innocents naïfs, en charge de pimenter par leur radicalité littéraire, les mouvements sociaux plus convenus entièrement créés par la police politique.

Comme dans les poupées russes, il y avait encore d'autres degrés
de radicalité plus prononcés, et plus on s'enfonçait dans la radicalité, plus on rencontrait de personnages louches, armés (pistolet), déséquilibrés, violents, interlopes. Les TCPC se situaient à un degré « civilisé » de la radicalité. Cela était visible par l'octroi par le CICP d'une boîte aux lettres (au rez-de-chaussée ouverte au tout venant), et d'une pièce de réunion et de dépôt de leur matériel de propagande, sous les toits, juste à côté de la pièce accueillant un collectif trotskiste d'encadrement des organisations féministes (plutôt de domestication sado-masochiste des femmes ayant tendance à la soumission par des femmes dominatrices), la CADAC (Coordination des associations pour le droit à l'avortement et à la contraception), d'obédience de la LCR, actuelle NPA, dirigé par une kapo harpie Maya Surduts, un être de cauchemar (protégée dans les manifs par un néandertalien de la LCR). Maya Surduts, qui est actuellement décédée (les femmes en sont libérées), est l'une des fondatrices de Ras l'front.

Il est maintenant indispensable
de faire la remarque superbement antisémite que Gustave Massiah et Maya Surduts sont juifs, et que l'auteur de ce texte est lui un authentique sémite, descendant des antiques araméens, et qu'il est né dans la région où se parle encore l'araméen, qui était la langue du juif renégat Jéshua, cette région étant actuellement dévastée par les sémites factices d'importation tels les deux précédemment évoqués. Ceci dit, l'auteur se fout bien des origines, et comme le dit l'ami Brassens, des imbéciles heureux qui sont nés quelque part, comme ceux de la rue Broca, de la Victoire et Rabelais.

Ce qui est remarquable dans l'utilisation par la police politique de la dite « radicalité », est la présence en son sein d'une majorité de personnes atteintes de troubles psychiatriques, à des degrés
divers, depuis celui du déséquilibre léger, jusqu'à ceux des troubles profonds, et la place de choix faite à ceux qui étaient les plus gravement atteints, lesquels jouissaient d'une véritable aura de prestige (je pense à un d'origine arable, prénommé Kroumir, brutal et malgré ou pour cela respecté par les TCPC, et qui était de façon éclatante un espion et un provocateur à la violence de la police politique, je pense aussi à deux éléments féminins, deux « dévorantes », Kanina, qui avait mordu au sang l'un de ses enfants, et Sangsua, qui continuait d'allaiter son enfant unique à cinq ans passés, enfant et futur adulte devenant comme une extension du sein de sa mère. Un élément orbitant autour des TCPC était titulaire d'une émission hebdomadaire sur Radio Libertaire « Sans le beurre et la brioche», Patrick Delangle, un calme déprimo-psychique, dominateur refoulé, sorte de Savonarole téteur de canettes de bierre). Le chef omnipotent, mais égalitariste puisque libertaire, était bizarrement logé par la mairie de Paris par sa société d'HLM, d'ailleurs comme beaucoup d'autres militants révolutionnaires acharnés à la mise à bas du système, tout comme la fameuse CNT anarcho-syndicaliste, dont les locaux appartiennent toujours à cette même mairie (rue des Vignoles à Paris 20ème), mairie qui est de notoriété publique un bâtiment annexe des ambassades d'Israël et des USA, au statut d'extra-territorialité (bonjour en passant au plongeur d'Eilat).

Au-delà de l'usage des fous à des fins de police politique, on doit relever chez ces derniers ce qui est un
culte de la violence, la violence en tant que religion, religion dont la centralité est la toute puissance. Cet objet caché, la toute puissance, est enrobé sous l'apparence de l'égalité, du partage des richesses, de la protection des faibles. L'extrême-gauche est sans doute la place politique où est le plus cultivé le culte de la toute puissance, où se réfugient ceux dont l'appétit de pouvoir est le plus exacerbé, mais qu'ils se doivent de dissimuler en tant que serviteurs du peuple.

C'est pourquoi il est extrêmement difficile de séparer au sein de l'extrême-gauche, qui est pur agent de la police politique de qui est auto-manipulé et tient le rôle dévolu par la police politique sans en être conscient. L'extrême-gauche est le principal vivier de la police politique où elle se pourvoie en agents, et en marionettes inconscientes. L'extrême-droite est son
vivier secondaire. L'exemple récent de marionette inconsciente est celui de Clément Méric (décédé au cours d'une agression visant un militant d'extrême-droite), et un ancien (1994) est le couple pluri-meurtriers Florence Rey (survivante défendue par un avocat de la Ligue des Droits de l'Homme) et Audrey Maupin (décédé au cours de l'action).

(Voir en fin de texte : Note sur la folie)


La « Maison des Ensembles », 3 rue d'Aligre dans le 12ème arrondissement de Paris.

Ce lieu est un ensemble immobilier de bureaux appartenant à la Ville de Paris, et anciennement loué par le ministère du travail pour y héberger les organisations syndicales. On note que beaucoup de lieux occupés par des organisations révolutionnaires appartiennent à la Mairie
de Paris, un « extra-territoire » d'Israël et des USA en France, dont le Palais de l'Elysée n'est qu'une annexe et son président qu'un chef de service (le dernier en a de plus le physique).

La stratégie de la police politique en 1997,
a consisté non à l'occupation nécessairement très limitée dans le temps, comme pour les « Nuit debout », d'une place centrale publique parisienne (aussi comme Maïdan à Kiev), mais à « squatter » un lieu fermé, permettant de circonscrire sur le moyen terme l'agitation et les quelques rares éléments réellement incontrôlables, dans le but de maintenir l'ordre public. La Maison des Ensembles (MDE) était prévue pour durer, et elle dure toujours puisqu'elle s'est transformée en une sorte de maison des organisations citoyennes (voir son site actuel internet), à l'exemple d'un texte de l'auteur soviétique Alexandre Zinoviev sur le « bon citoyen » soviétique, qui sert de façade au pouvoir pour manifester toujours dans le bon sens, en une agitation et des activités progressistes qui ne gènent en rien le pouvoir.

Ce qu'est devenue
la MDE révèle le rôle qu'elle a joué lors de la période de simulacre de révolution qu'a été le Mouvement des Chômeurs.


Principaux types d'organisations « occupant » la MDE.

Le bloc des organisations d'obédience trotskistes de la LCR.
Les organisations catholiques de gauche.
Les organisations d'encadrements des immigrés.

La direction de la MDE était structurée tel un conseil d'administration, au sein duquel avait lieu une lutte de pouvoir entre les deux premiers types d'organisation.

Le troisième type était bien illustré
par l'organisation musulmane « La Chorba pour tous », qui servait gratuitement une soupe populaire nord africaine, la chorba, aux indigents, de toutes origines. Il faut noter, comme pour le reste, que le matériel de cuisine du type popote de campagne militaire, apte à cuisiner et à servir des centaines voire des milliers de repas par soirée, ainsi que les tentes, était fourni par l'armée française. Cette organisation La Chorba pour tous existe toujours. Elle s'est pérennisée dans ce rôle de « pacification » des immigrés errants et nécessiteux.

Le second pôle des organisations, celui fondé sur le principe de substituer la charité catholique à
la récupération par la force par la masse des pauvres des produits du vol opéré sur elle par la poignée de riches, était représenté par le fameux et immortel DAL, « Droit Au Logement », dont les manœuvres, comme sur les chantiers, sont des immigrés, et dans ce cas, quasiment exclusivement des noirs africains, bien dociles, et qui trouvent en récompense de leur servilité intéressée un gîte lointain en grande banlieue. L'un des dirigeants à vie du DAL a été qualifié par l'ancien syndicaliste policier socialiste Deleplace, d'agent secret de la police tenu par elle. Toujours est-il que Paris s'est peu à peu « libéré » de la multitude de squatts subversifs; novateurs, politisés et incontrôlés dont les quartiers populaires de l'Est et du Nord de Paris étaient surchargés jusque dans les années 1990, en grande partie grâce au DAL, qui lui se porte toujours aussi bien, et est toujours aussi bien relayé par l'appareil de déréelisation du régime (par exemple Le Parisien). Le DAL a été créé par une soixantaine d'organisations, provenant du milieu trotskiste, du milieu syndical, du milieu catholique de gauche (Emmaüs), et des ONG de pacification sociale du régime telle la Ligue des Droits de l'Homme. Le rôle du DAL a été celui de l'Abbé Pierre lors de la période de l'après-guerre, quand une part de plus en plus importante de la population commençait à s'organiser à la base en coopératives de construction et d'acquisition de terrains, à grande échelle, en raison de la crise aigüe du logement (destructions massives dues aux bombardements alliés, manque d'investissement dans le locatif par le secteur privé et public depuis des dizaines d'années, vétusté et dégradation générale de l'habitat populaire, insalubrité), et que ce mouvement autogestionnaire d'inspiration libertaire et communisante prenait de l'expansion et menaçait l'investissement et la spéculation immobiliers, voire l'ordre social dans sa totalité par le mauvais exemple donné. Le régime sorti de son chapeau le fameux Abbé (issu d'une riche famille d'industriels lyonnais), le propulsa grâce à la diffusion nationale d'une émission de radio, le fit aider par l'élite des jeunes polytechniciens pour l'organisation d'une collecte nationale de fonds. C'est ainsi que fut créé artificiellement le mouvement Emmaüs, qui depuis, comme toute affaire qui profite de la crise sociale qui ne peut que croître, de même connaît une croissance continue. Le problème pour Emmaüs est le réinvestissement de ses fonds, ce qu'il résoud en une création de nouvelles communautés, devant se faire au-delà de la France, ce pays étant déjà saturé de ses communautés. Il est dommage qu'Emmaüs ne soit pas côté à la bourse, on serait sûr de faire un bon placement. Emmaüs vérifie l'adage que la pauvreté est la source de la richesse, ainsi que la guerre, la maladie, la détresse, comme l'énonce si bien le dicton « le malheur des uns fait le bonheur des autres ». Quant aux « usagers » d'Emmaüs, eux, ils restent à leur place, exposant au jour la véritable finalité d'Emmaüs, qui est le maintien du statut quo social.

Le DAL a inspiré quelques autres organisations, sortes de diverticules
de celui-ci. « Droits Devant », qui étend la lutte du DAL à tous les droits sociaux, par exemple au droit de vote pour les SDF … ce qui leur fait une belle jambe. Le but réel de Droits devant est illustré par cette revendication du droit de vote pour les SDF, qui forment une population par nature vagabonde, difficile à saisir, à contenir, et qu'il est possible ainsi d'encarter, voire de fixer.

Concernant toujours les SDF, suivant le principe romain du « malheur aux vaincus », leur contention politique a fait l'objet d'une suite encore plus
spécifique, par la création du « Comité des Sans Logis », avec placé à sa tête un SDF ambitieux et carriériste.

Concernant les chômeurs encore munis d'un domicile, l'organisation trotskiste AC ! Agir contre le chômage, jouait le rôle clair exposé par le DAL et ses diverticules Droits devant et le Comité des sans logis, mais dans le domaine du droit au travail. Il est notable que revendiquer le droit au travail pour une organisation révolutionnaire la décrédibilise, car il est indéniable que le droit de travailler, dans l'actualité, est celui de se faire exploiter et d'y laisser sa santé sinon sa vie, et qu'on n'est jamais devenu riche en travaillant, mais en faisant travailler d'autres pour soi, et en les sous-payant (c'est à cette seule condition qu'existent
le profit et l'enrichissement, si le salaire est équitable, il n'y a ni bénéfice ni capitalisation, comme pour le commerçant qui vendrait au juste prix). Afin de suppléer à cette contradiction, la police politique a créé et fait agir des organisations du type TCPC, Travailleurs Chômeurs Précaires en Colère, qui elles mimaient la radicalité et donnaient un vernis d'authenticité aux manifestations de tous ordres organisées par les précédents, et au-dessous des TCPC, d'autres groupuscules encore plus radicaux, formées de gens toujours très jeunes vivant dans des squatts parisiens ou de la proche banlieue (par exemple le couple Rey-Maupin vivait dans un squatt à Montreuil).

L'appui de l'Etat
du Vatican au maintien de l'ordre social était représenté par l'ex-évêque d'Evreux Jacques Gaillot, exhilé sur place pour les besoins de la cause dans un évêché virtuel, Parténia, lui permettant de participer à temps plein à ces simulacres d'agitation sociale (on dirait révolution virtuelle maintenant), grâce à son association Parténia 2000 et à ses bênets-bénévoles juvénils catéchisés. Jacques Gaillot était donc le berger des laissés pour compte. Etant de la région rouennaise, il m'a été rapporté de bonne source que le Jacquo déjeunait bien au meilleur restaurant de Rouen, La Couronne, place du Vieux marché, et qu'il n'y réglait jamais sa note, considérant que sa renommée rejaillissait sur l'établissement et constituait une publicité gratuite réglant ses repas.

C'était l'époque de l'éclosion d'une nuée d'organisations fantasques et poétiques, la misère étant une source inépuisable d'inspiration, dont l'une me revient en mémoire, « Aux captifs la libération », en charge d'organiser des funérailles décentes aux SDF morts dans la rue.

Parallèlement à cette occupation du terrain dans le domaine économique, l'autre priorité de la police politique était l'encadrement des immigrés clandestins, dits sans-papiers, dont le nombre commençait à croître, en raison de la demande constante dans
l'industrie, le bâtiment, l'agriculture, l'hôtellerie-restauration, la domesticité et la prostitution.

Apparurent
les collectifs de sans-papiers, désignés par un numéro, le Premier collectif, le Second etc …, dirigés en sous-main par les pseudo révolutionnaires trotskistes de la LCR de la rue Richard Lenoir à Montreuil et les pseudo révolutionnaires anarcho-syndicalistes de la CNT de la rue des Vignoles à Paris, c'est à dire par le service « agit-prop » de la police politique du régime, mouvement lancé avec la pseudo occupation de l'église Saint Bernard dans le 18ème arrondissement de Paris, dans le Nord, près de la Chapelle.

De même que pour le contexte précédent, celui des droits économiques, il était nécessaire de crédibiliser ce mouvement par l'intervention d'éléments d'apparence radicale.

Ce fut réalisé par la création des Comités anti-expulsion (CAE), qui s'opposaient « physiquement », c'est à dire en simulant une opposition physique,
aux reconduites aux frontières par des interventions en groupe dans les gares et les aéroports, et aux premiers centres administratifs de rétention, en faisant des simulacres de siège et en mimant leur investissement.

De même que pour les autres secteurs de la pseudo-radicalité, il était notable que celui-ci était pris en main par des agents de la police politique, sous obédience trotskiste et anarcho-syndicaliste.

On peut aussi remarquer la présence d'éléments appartenant à la Fédération anarchiste, très probablement à classer dans la catégorie des naïfs auto-manipulés, par contre, il est très probable que l'appareil dirigeant de la Fédération anarchiste était lui déjà aux mains de la police politique. Il faut noter le lien entre la Fédération anarchiste et le réseau de trafic d'influence Grand Orient de France, de même qu'il faut noter que l'Etat subventionne Radio Libertaire, et lui permet de diffuser
grâce à l'émetteur des Lilas, sur l'Île de France, soit sur 11 millions d'habitants.


Conclusion : La fabrique de la haine, de la déréelisation et des armes.

Il n'y a rien de nouveau dans le principe avec les évènements du type Charlie, Bataclan
et Nuit debout, sinon un bouclage parfait du réel, qui fait que la population dans sa quasi totalité, est inconsciente de vivre dans une simulation mise en œuvre par le régime.

C'est peut-être l'unique nouveauté de notre époque. Et encore. Je suis certain qu'à d'autres moments de l'histoire, et en d'autres lieux, les populations ont perdu pied et ont été plongées dans la plus totale déréelisation (comme en Israël).

Pour avoir cotoyé des fanatiques durant quelques années, en l'occurence ceux d'extrême-gauche, dits
Scalp Réflexes, ou actuellement dénommé « antifa », et avoir vu moi-même ce que haïr signifie, la manifestation physique de la haine par cet éclat particulier dans les yeux, ce rictus sur le visage, cette contracture des traits, cela chez des jeunes d'une vingtaine d'années, qui étaient endoctrinés par l'appareil de police politique du régime sous la forme des organisations d'extrême-gauche, il me faut finir en évoquant cette pratique de fabrique de la haine, dont le but est la production de fanatiques propres à tous les usages.

La haine est un sentiment unique. C'est la même haine qui est créée à l'extrême-gauche, à l'extrême-droite, chez les fanatiques islamistes, et chez les fanatiques juifs sionistes, par les régimes pseudo-démocratiques européens, américains et israéliens, et les autres; tel celui arabe-saoudien.

Il n'y a aucune étude sérieuse réalisée sur le sentiment de haine, mais ce qu'on peut dire, est qu'on est parvenu, dans le bloc occidental, incluant l'Europe, les USA, Israël, et les dépendants, tels la Turquie, l'Arabie-Saoudite pour les plus importants, à une production intensive de la haine, qui n'a jamais existé auparavant.

La haine dans ce conglomérat est devenu avec les armes et la déréelisation, la troisième fabrication
stratégique de ce système.

Les principaux types de fanatiques, en Occident, sont ceux des extrêmes gauche et droite, ceux islamistes
et ceux juifs sionistes.

Armes, déréelisation, haine, voici les trois piliers actuels sur lesquels repose le régime occidental.

Quelque soit ce qu'on peut penser des régimes russe, chinois, iranien, syrien et des autres qui échappent encore à la domination occidentale, tout être en possession de ses capacités intellectuelles et morales, ne peut qu'aider ces régimes à résister à l'agression occidentale, car si l'Occident vient à dominer l'ensemble de la planète, il vaut mieux que l'humanité disparaisse.

Il est probable que le développement exacerbé de la haine chez le fanatique, soit un processus de compensation à une rétractation de la capacité à ressentir des sentiments, cette rétractation étant une réaction à une douleur psychique due à un contexte
ou à un événement social ou familial malheureux. L'épanouissement de la capacité à haïr permet au sujet de continuer à ressentir, c'est à dire d'être. Le reste n'est qu'un habillage idéologique. Il ne s'agit que de recyclage d'éclopés de la vie par de froids calculateurs, eux encore plus privés de la capacité à ressentir; les hommes de pouvoir - l'épanouissement de ce sentiment dénommé ivresse du pouvoir étant aussi un processus de compensation permettant de continuer à ressentir, soit d'être, pour des individus quasi intégralement amputé de toute capacité à ressentir, des quasi morts, encore plus diminués que les fanatiques que leurs services secrets conditionnent et manipulent. Quant au type d'humain devenant agent de ces services secrets, il se situe entre les deux types précédemment évoqués. Ce serait à l'un de ces agents d'explorer et de faire connaître la spécificité de cette catégorie, plus méconnue que celle des fanatiques et des hommes de pouvoir. Seul l'écrivain anglais Graham Greene a tenté de le faire, ayant été lui-même un agent des services secrets.


Entre fanatiques de base manipulés et gens de pouvoir, les cas des intermédiaires, les agents Gustave Massiah, Maya Surduts, et du psychopathe autonome Xavier Dor.

Selon mon ancien copain Piston, le plongeur d'Eilat (auteur du fameux
« 200 discours politiques pré-rédigés pour parer à toutes les circonstances »), à la touchante ambiguïté, qui semblait supporter une écrasante articulation invisible, comme une gigantesque main suspendue en permanence au-dessus de sa tête, Massiah était impressionnant par l'étendue de ses relations, il était partout et connaissait tout le monde. Massiah est un Marek Halter pour le domaine de gauche, en plus discret qu'un Halter qui est renommé comme agent attitré du Mossad, ce qui est sans doute délibéré. Il est très probable que Surduts était de la même nature que Massiah et Halter.

Maya Surduts était le pendant d'extrême-gauche de Xavier Dor, le militant d'extrême-droite, dirigeant l'association SOS tout-petits, un psychopathe
sacrifiant l'existence des femmes à leurs fœtus imposé par le viol, la misère, la maladresse, l'incontinence, l'ignorance (et le bonheur de l'enfant à naître et du futur adulte, fabriquant une chaîne trans-générationnelle de malheur, mais le malheur est bien ce qui permet à ces Dor Surduts de propérer), dont l'activité consistait à terroriser les femmes de condition modeste et enceintes en allant manifester devant les centres médicaux d'avortement (quand aux femmes de la même classe sociale que Dor, elles se payaient le voyage en Suisse ou en Hollande et le confort d'une clinique privée). Les deux membres du duo artistique Dorduts tiraient de même leur pouvoir politique en agrippant les femmes par le vagin. Ce duo se réunissait périodiquement, avec leurs comparses respectifs, les constriqués du LCR-CNT, et les Enfants (prépubères et grisonnants) de Marie, pour des sauteries organisées par les rats de caves des RGPPP du Ministre de l'Intérieur, devant les maternités parisiennes, pour des séances de lancer de boulons, contrés par de solides et élégantes pancartes dépliables adhoc.

Xavier Dor et Maya Surduts illustrent chacun à leur manière, le fait que l'emprise sociale du pouvoir sur l'individu s'exerce
dès avant la naissance, sur le fœtus dans le ventre de sa mère, et encore avant, sur l'embryon, et lors de l'acte sexuel. Nos fabriquants de terroristes islamistes, DGSE, DGSI et co devraient s'en inspirer.



Note sur la folie :

Suraliénation et désaliénation, les deux voies antagonistes de l'humanité (voir l'expression du site assassins-stratégiques, les « surmorts », pour qualifier ceux qui suraliènent, tels les propagandistes de l'empire judéo-américain).
http://www.aredam.net/suralienation-et-desalienation-les-deux-voies-antagonistes-fondamentales-de-l-humanite.html

Une excellente vue sur la réalité du psychisme humain est donnée par la lecture du livre de Véronique Lesueur
« Cadillac l'asile des fous dangereux. Enquête sur un service psychiatrique de haute sécurité » Editions Hors collection1995.

Il est intéressant d'y relever que selon les professionnels
de la santé mentale, il est impossible de modifier l'assemblage psychique originel, issu des permiers temps de la vie, des premiers mois ou années.

On peut le faire, mais pour commencer, en se libérant de la fausse science qu'est la psychanalyse, et en utilisant, entre autres, la méthode de la méditation yogique.

La psychanalyse est un procédé de sur-aliénation, qui s'est constitué sur le dispositif d'aliénation déjà en place, qu'il a renforcé à une période d'avancée dans la recherche en psychologie. La psychanalyse est par essence réactionnaire.

Ce que la psychanalyse dénomme inconscient n'est pas du tout inconscient, mais ce qui est considéré comme intangible et immuable, ce qui constitue l'ensemble des structures formées très tôt dans l'existence, et qui constituent le déterminisme individuel.

Quant ce déterminisme maintient écarté l'individu de son épanouissement, cela est dénommé aliénation.

Il est très dangereux d'avancer dans la résolution de la modification de la structure originelle psychique individuelle, car le pendant de cette science de la libération psychique de ce qui est considéré comme un déterminisme psychique inaltérable, science qui pourrait apporter le bonheur et l'équilibre social et individuel, est qu'immédiatement, cette science sera mise au service de l'oppression, et de la domination absolue de la population par la caste qui l'exploite. Qui peut radicalement libérer l'individu des contraintes psychiques inculquées lors des premiers moments de sa vie, peut de même modifier la psychisme dans le sens d'y imposer de nouvelles contraintes, de façon à façonner des individus qui ne pourront jamais se révolter, et qui seront heureux dans un état de totale servitude.

Qui maîtrisera la capacité à désaliéner, maîtrisera de même la capacité à aliéner.

Il est heureux que pour le moment cela ne soit possible qu'en empruntant le chemin de la recherche yogique, recherche dont sont radicalement exclus les individus recherchant le pouvoir, et plus généralement tous ceux agissant par intérêt personnel.

L'état de méditation yogique est un état inssaisissable, indéfinissable, personnel à chaque individu, il ne se laisse encadrer par aucune doctrine, méthode, idéologie, religion.

Il en est de même avec l'état de rêve.

Les deux états, rêve et méditation yogique, appartiennent au même domaine, celui de la matérialisation de la structure dite intangible et dite immuable, qui détermine la personnalité de l'individu.

L'entrée dans l'un ou l'autre de ces deux états est pour l'individu comme vagabonder dans sa cité intérieure, comme une promenade au sein de soi, les éléments immatériels à l'état normal deviennent aussi solides que des bâtiments.

Voilà la signification de l'énoncé bouddhique :

« Le monde n'est que le jeu d'images surgissant dans notre esprit, issues de lui, et se réengloutissant en lui ».

Voilà aussi pourquoi aucune logique et raison ne président et ne peuvent s'imposer au désordre actuel, celui qui dure depuis que l'humanité est passée du clan animal, à l'ensemble de clans qui se nomme « chefferie », puis à la royauté et autres, qui ne sont que des avatars de la chefferie.

L'individu humain pris dans un ordre qui l'aliène, ne fait que projeter les éléments intangibles qui le déterminent intérieurement, sur l'extérieur, transformant sa vision de l'extérieur par ces éléments qu'il porte en lui, qui le rendent étranger au réel. Le combat entre les humains est un combat d'être coupés du réel, il s'agit de systèmes d'irréalité qui s'entrechoquent, qui s'interpénètrent, pour former un système global inextriquable d'irréalité, un mirage global.

C'est pourquoi, quelques soient les conséquences de ces croisements d'irréalité, il n'y a rien à faire pour améliorer le devenir, et on continuera à avancer à grands pas vers le réchauffement insupportable de la planète, vers son empoisonnement total, vers l'épuisement intégral de toutes les ressources vitales, vers l'extinction de la quasi totalité des formes de vie, vers un système social qui fera paraître les enfers des religions comme de sympathiques et tendres villégiatures.

L'unique manière de sortir de ce cauchemar est de créer une méthode accessible à tous pour se rendre maître des éléments intangibles et immuables qui peuplent les psychisme et qui les déterminent.

La méditation yogique n'est accessible qu'à un très petit nombre, mais c'est un premier pas que de s'en inspirer.

La méditation yogique fait en réalité partie de la science de la guérison indienne, nommée ayurvéda. La méditation yogique est l'ayurvéda psychique.

La thérapeutique de la méditation yogique, ou ayurvéda psychique, est fondé non pas sur l'analyse, comme dans la fausse thérapeutique psychanalytique charlatanesque, mais sur le fait de rendre mouvant, labile, souple, la rigidité déterministe, comme des construction en pierres qui deviendraient molles (comme le tableau de Dali, les montres molles), jusqu'à la dissolution de cette structure.

Le problème premier qui se pose est celui du sujet et de l'objet, car l'individu est à la fois, paradoxalement sujet et objet, et qu'il s'agit d'un voyage en soi, de soi.

La progression de l'effet thérapeutique est vérifiable, effectif, quand à l'état de veille, l'individu prend conscience que le monde réel est encombré de ses images issues de sa structure interieure déterministe, qu'on nomme usuellement imaginaire.

On peut déjà là se délivrer du vocabulaire fallacieux psychanalytique, et employant le terme imaginaire pour inconscient.

Le groupe est particulièrement nocif par sa fabrication d'un imaginaire collectif solide qui parvient à recouvrir toalement le réel, comme la couche de plusieurs centaines de mètres des plateaux calcaires, formée des squelettes des animaux microscopiques qui forment le plancton, ces squelettes infimes s'étant accumulés durant des millions d'années.

Il faut dissoudre cette couche pour parvenir au réel.

Le commencement de la désaliénation (de la guérison), est marqué par le fait que le sujet prend conscience que tout ce qu'il voit, que le monde qu'il connaît, habituel, normal, ce qu'il prend pour le réel, est une illusion, une construction issue de son imaginaire, et que pour autrui il en est de même.

Il a aussi le sentiment qu'il en est de même en ce qui concerne ses affects, ses sentiments, ses réactions, ses émotions, ses intérêts, et surtout, pour finir, son imaginaire, sur lequel repose tout l'ensemble de sa vision du réel.

La guérison consiste à regagner le réel et à quitter son monde imaginaire.

Mais faire bouger le bloc de déterminations imaginaires psychique est dangereux, car l'effet est de provoquer un comportement temporairement incontrôlé, comme par un séisme qui ébranle les fondations d'un immeuble et provoquerait son oscillation, parfois jusqu'à sa fissuration, sa dislocation et son effondrement.

Il n'est pas anodin que les service spéciaux de l'empire judéo-américain aient imaginé l'effondrement des tours du « centre du commerce mondial » (world trade center), comme prétexte à l'entrée en guerre mondiale de l'empire, dans l'objectif de soumettre définitivement toute l'humanité.

Ni de même, par ces services, l'abattoir industriel de masse, des chambres à gaz, et la série des attentats contre sa propre populations, tels le Bataclan, celui dit Charlie étant de plus dirigé contre l'un de ses propres services de manipulation.

Il s'agit là d'une pratique à l'opposé de la thérapeutique, qui cherche à guérir, c'est à dire à faire réintégrer le réel.

Il s'agit d'un renforcement de l'aliénation collective, dans le but de renforcer la structure déterministe collective, de façon à rendre totalement aliéné, et obéissant, la masse des individus constituant la population de l'empire judéo-américain.

Mais cette pratique de la sur-aliénation met en évidence ce que doit être le chemin à suivre pour la désaliénation.

Pour finir, en ce qui concerne la désaliénation, comme en ce qui concerne la suraléination, il faut procéder par étapes, alterner les périodes d'efforts, de travail, d'avancées, avec des arrêts, afin de laisser le temps à de nouvelles configurations de se mettre en place, et reprendre dès que ces nouvelles installations déterministes paraissent assez solides pour supporter les effets de nouveaux ébranlements dus à une reprise du travail de désaliénation.

En fait, on peut partager l'humanité en deux parties, celle qui tente de progresser vers la désaliénation, et celle qui tend à la renforcer.