Réglement intérieur collectif du personnel de la Zona

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(La « Zona » :
http://www.aredam.net/la-zona-ses-nouvelles-et-son-personnel-presentation-du-dossier.html)

Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier, ex-France, le 24 avril 2016.

Illustrations :

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Article 1

Toute opération d'opposition directe au système est arrêtée dans les plus brefs délais si elle représente un réel danger, comme par exemple le nombre des lecteurs, ou l'existence du moindre réseau non virtuel.


Article 2

Le système est à entendre comme ce qui est compris entre les quatres points cardinaux.


Article 3

L'opposition indirecte est à entendre comme ce qui conserve, développe, expose
et communique un état d'esprit autre que celui que le système impose.


Article 4

L'opposition indirecte est acceptée par le système comme garde-fou nécessaire pour que le système ne rompe
pas totalement d'avec le réel et ne s'effondre de ce fait. L'existence de l'opposition indirecte conditionne donc la survie du système. L'un des deux signes précurseurs à l'effondrement du système sera celui de sa décision d'éradiquer l'opposition indirecte. L'autre signe précurseur à l'effondrement du système sera celui de la disparition de l'opposition indirecte du propre fait de cette dernière. Cela signifiera que le système sera considéré par les plus lucides comme non-amendable, et que la manière radicale de précipiter sa chute sera de cesser de s'y opposer indirectement.


Article 5

Définition de la caractéristique
essentielle du système social humain actuel s'étendant entre les quatres points cardinaux de tout être humain.

Cette caractéristique est l'insensibilisation de l'être. De façon purement triviale, un bistrotier d'une localité proche de l'Aigle, dans l'Orne (ex-France), avait devant moi rétorqué à un pilier de comptoir fortement imbibé d'alcool qui cherchait à le pousser à bout, que pour devenir commerçant, on devait subir une opération chirurgicale consistant en
l'ablation du cœur et des nerfs. Plus pseudo-intellectuellement, un agent idéologique du régime, Serge Tisseron, (http://www.sergetisseron.com/ ), psychiatre et psychanalyste, pseudo-thérapeuthe et imposteur comme le sont les psychanalystes (Nota : la psychanalyse est abandonnée dans quasiment le monde entier sauf en France et en Argentine, deux lieux d'importantes communautés juives, et toutes les études cliniques et statistiques constatent qu'elle ne guérit pas alors que les cures peuvent durer des dizaines d'années, et ruinent les patients), a commis un dernier ouvrage « Le jour où mon robot m'aimera. Vers l'empathie artificielle », Albin Michel 2015, dont le titre suffit à prendre connaissance du contenu ainsi que sa quatrième de couverture, d'une illisibilité nébuleuse, pompeuse et alambiquée, d'une insondable inconsistance (cela ressemble à du Bernard Henri Lévy), et qu'il faut lire à l'envers, comme toute propagande fondée sur l'inversion, pour en découvrir le sens réel. Le jour où j'aimerai mon robot, le jour où j'aimerai être un robot. Un robot est dépourvu de sensibilité, comme toute machine, et faire croire qu'une machine est un être sensible, est une escroquerie digne de Freud, dont la doctrine consiste en l'inversion du rapport de victime et de bourreau entre enfants et parents abuseurs, dans le but du maintien de l'ordre établi, ce qui commence par la sauvegarde de l'autorité parentale sacrée qui fonde l'ordre (à l'image de la défense acharnée par sa hiérarchie de l'autorité de l'église catholique face aux accusations visant le clergé pédophage-pédocrate malgrès les évidences). Freud en fut récompensé, devint riche et célèbre, et mourut dans d'atroces souffrances dues à un cancer de la machoire, cancer symbolique de la juste punition pour son immonde parole mensongère consistant à criminaliser l'enfant abusé par son ou ses parents et autres tenants de l'autorité sociale (à lire, le livre de Régina Louf « Silence On tue des enfants ». Mais au-delà du Tisseron, il faut rappeller une évidence, que le terme robot vient du slave travail, ou esclave, et qu'il s'agit donc de faire aimer l'esclavage, et quoi de mieux pour aimer l'esclavage qui est pure et permanente souffrance que de devenir insensible, comme le sont les machines, les fameux drones, ou les ordinateurs dont ils sont farcis.
Par opposition au microscobique Tisseron, deux auteurs majeurs sont à citer en ce qui concerne l'épanouissement de la sensibilité, il s'agit de Graham Greene (romancier anglais du 20ème siècle, aimé
du bienfaisant auteur de « Confessions d'un assasin financier » John Perkins. Oser lire le cauchemar de « Tueur à gages », dont le personnage de Marcus, rappelle celui de George Soros, lequel rappelle celui d'Elie Wiesel), et d'Octave Mirbeau (écrivain et publiciste français du 19ème siècle), particulièrement pour ses « Contes cruels », en recueil complet aux Belles Lettres (Mirbeau est l'auteur de « Dialogue en enfer entre Dante et Montesquieu », dont on dit que l'Okrana s'est inspiré pour produire « Le protocole des sages de Sion »). Une œuvre cinématographique exprime remarquablement la sensibilité à l'esclavage, et l'insensibilité de l'esclavagiste. Il s'agit de Spartacus, de Stanley Kubrick (1960). Il faut aussi évoquer, par opposition à la sensibilité, les trois têtes de l'hydre méphitique, le judaïsme, le chritianisme et l'islam, devenu judéo-islam ou « Juslam » (Daesh et compagnie n'étant plus adeptes de l'Islam mais du Juslam), par effacement de la forme intermédiaire devenue superfétatoire. La voie extrême orientale est elle « éveil de la sensibilité », formule qui peut synthétiser ce qu'est la méditation yogique, le taoïsme et le bouddhisme (le bouddha signifiant classiquement l'éveillé, mais plus concrètement, l'éveil de la sensibilité, et encore de façon plus spécifique, de la sensibilité à la souffrance d'autrui, à son bonheur, à ses ressentis, à son point de vue, à sa logique, à son intérêt etc, soit à être autrui, et encore au-delà, à être autre globalement (animal, plante, insecte), jusqu'à l'autre absolu - le non-être, qui est le néant créateur et donc la vie contenue dans une dimension infiniment petite - en passant par les formes de vie essentielles que sont le mouvement, l'énergie. Mais surtout pas être une machine, insensible). Socialement, l'éveil de la sensibilité mène à un système politique strictement égalitaire, c'est à dire où la richesse et la pauvreté n'existent pas, ni les classes, où personne ne peut exploiter autrui et accumuler des biens, où n'existent pas de positions de pouvoir, de supériorité, de dominance. Cela mène aussi directement à l'égalité stricte avec toutes les autres formes que prend la vie, à l'écologie. En Occident, seul le courant anarchiste libertaire à la fin du 19ème siècle a porté cette idée. Octave Mirbeau se considérait comme anarchiste.
Les civilisations chinoise et indienne ont imaginé chacune un système de stabilisation d'une société inégalitaire, ce qui est un objectif impossible, comme de rendre missible l'huile et l'eau, car même la mayonnaise est instable et ses constituants huile et eau finissent par se séparer. Il s'agit du système indien des castes et du confucéisme chinois, dont le mot d'ordre commun est « reste de toi même à ta place et tout ira bien pour toi ». Le christianisme et l'islam propagaient ce même mot d'ordre, lequel n'est plus d'actualité, remplacé à présent par « si tu bouges tu meurs », du Juslam ; qui est le système de stabilisation sociale dans le Cjam (Conglomérat judéo-américain à vocation hégémonique mondiale). Napoléon 1
er dont on méconnaît le corpus de ses déclarations réalistes et cyniques, disait en substance que pour que cohabitent en paix une poignée de riches qui possèdent plus que nécessaire avec une masse de pauvres dépourvus de l'indispensable pour survivre, il faut une religion. La religion actuelle dans le Cjam est le Juslam, une dénomination à retenir. L'objectif du Juslam est la stabilité d'une société mondiale constituée d'une infime fraction de super riches, dominant les milliards restant de gens de rien, de néant.

La bâton est donc représenté, dans l'idéologie stabilisatrice du Cjam, le Juslam, par l'injonction « tu bouges tu meurs », la carotte étant représentée par la pensée désinsensibilisante propagée par les factotum du Juslam, tel
Tisseron, « ne ressents pas et tu seras bien ». La synthèse entre la carotte et le bâton idéologiques du Juslam, est donc « ne vit pas », car ne pas bouger ni ressentir, est la mort (l'idéal jésuite est « Obéir comme un cadavre). En Cjam, il y a donc deux sortes d'éléments, les vivants, les super riches (quelques centaines pour la planète), et les morts, les milliards restant de gens de rien. Les factotum des riches, les « loufiats », sont des morts spéciaux, à l'image des « zombis » du culte vaudou, utilisés principalement à la maintenance, ou comme domestiques, sbires, idéologues comme Tisseron.

Mais les plus atteints par la désinsensibilisation sont les super riches, car comment ne rien ressentir en dominant un univers de gens de rien plongés dans une souffrance extrême ? Les super-non-êtres sont paradoxalement les super-riches, qui ne sont en réalité que des super machines, des super robots, les vrais humains étant donc inféodés à des machines qui imitent la vie (voir la série des films Matrix).

Voici venu l'époque de l'aboutissement du principe social inégalitaire. Est-ce viable ?


Article 6

Prédiction

Les idéologies stabilisatrices des autres concurrents mondiaux au Cjam, tels la Fab (Faction de l'Aigle bicéphale (1), voir Russie), et l'Emaca (2) ; Empire Mao-Capitaliste) sont à découvrir. Il est inévitable qu'on assistera
à une symbiose des idéologies dominantes ; Juslam avec celles de la Fab et de l'Emaca, comme on a assisté à une symbiose de la pratique des faux islamistes et leurs faux-attentats, une création à laquelle ont participé en premier la France avec les faux maquis de résistants algériens du sinistre Roger Wybot (créateur de la DST et limogé par de Gaulle pour excès d'Algérie française), puis le régime algérien néo-français en 1992 avec sa clique de généraux ex-collabos harkis auto-racistes, auto-colonialistes et corrompus, puis la Russie avec l'élection de Vladimir-Ivan, le fameux néo-tsar qui pourchasse ses ennemis « jusque dans les chiottes », un opratchnico-okrano-kagébiste (4) (faire gaffe dans les sanisettes de ne pas tomber sur lui avec ses gros sukhois), puis le Cjam avec ses cohortes d'Al qaida, Daesh et compagnie.

(1) Nota : au Muséum d'histoire naturelle de Rouen rue Beauvoisine, un établissement poétique resté en son état d'origine du 19ème siècle, et donc à visiter d'urgence avant sa probable modernisation-édulcorisation-défiguration, on peut voir une série de bocaux, où baignent dans l'alcool ou le formol, non des cerises ou des prunes, mais des bébés ou des fœtus monstrueux, humains ou animaux, par exemple à deux têtes, comme celui d'un moineau bicéphale (3).

(2) Nota : il semblerait que l'idéologie stabilisatrice de l'Emaca soit représentée par une série de caractères qu'on peut traduire par le « Culte de Vertueuse Verrue Fiduciaire Rayonnante » et soit désignée par le sigle VVFR. Cette excroissance merveilleuse, symbole de l'infinie croissance du PIB et de la Marge
nette, est imprimée sur le néo-sapèque, dite « monnaie du peuple » appellée à remplacer le dollar (monnaie du peuple qui est toute dans les poches des membres du Sélect Club de Shanghai, réservé aux milliardaires).

(3) Nota : cela rappelle une plaisanterie populaire, sur le « crocolion », qui est un animal redouté pour son mauvais caractère, formé de la moitié avant d'un lion et de la moitié avant d'un crocodile. Pourquoi a-t-il mauvais caractère ? Parce qu'il ne peut déféquer, et qu'il est bien connu que les gens constipés ont mauvais caractère.

(4), selon certaines sources, l'idéologie stabilisatrice de la Fab, serait en effet issue de la longue histoire russe de la police politique, qui a débuté avec Ivan le Terrible, et ses opratchnics, vêtus de noir, circulant à cheval, avec accrochés à leurs selles, une tête de chien séchée et un balai, la tête de chien symbolisant la chasse aux opposants, et le balai leur effacement. Cette idéologie de la Fab serait une forme de culte dédié au secret, à la manipulation et à la violence, qu'on peut désigner par les trois initiales SMV. Il est remarquable que l'une des plus riches productions de la Russie (avec ses recherches sur les ondes, lire le livre d'actualité « Les ondes qui soignent et les ondes qui tuent » de Jean-Pierre Lentin, et ses immenses écrivains, dont Gogol ; « Les âmes mortes »), soit l'appareil du service secret, mondialement inégalé . Par exemple, l'Okrana du tsar, qui manipulait les mouvements révolutionnaires, alla jusqu'à provoquer l'assassinat des plus hauts responsables administratifs et politiques du régime. Les tenants du Cjam ont encore du chemin à faire. La Fab (Faction de l'Aigle Bicéphale), pourrait être dénommée l'Etat Secret, l'ES, l'Aigle à deux têtes, dont chacune regarde dans la direction opposée de l'autre, est comme le symbole de la double pensée d'Orwell, la double pensée étant l'apogée du mensonge, le mensonge dans le mensonge, à l'infini, comme une poupée russe dont on ne parviendrait jamais au centre, dont le centre est par essence inaccessible. Il est évident que Vladimir Poutine n'est que la pointe volontairement laissée visible d'une entité totalement
dissimulée. Dans l'Etat Secret, la réalité n'appartient plus au réel. Les notions d'être et de secret sont confondues. La réalité devient par essence non-connaissable.
Le même travail d'analyse reste à faire avec l'Emaca, et avec le quatrième concurrent mondial émergent, la Théocratie Néo-Zoroastro-Capitaliste (la TNZC, qualifiée de chiite), dont l'ancêtre antique - 500 avant notre ère) a crée le judaïsme, et est donc à l'origine de ses avatars, le christianisme et l'islam, et donc aussi à l'origine de l'actuel Juslam du Cjam.
Il n'est pas anodin que l'antique Perse soit géographiquement proche de la région de l'Indus, qui fut le berceau de la recherche yogique (premières
traces il y a 4000 ans, et de l'Ayurveda). Le yoga a essaimé devenant bouddhisme et taoïsme.

(5) Pour résumer, l'idéologie stabilisatrice du Cjam est le Juslam, celle de la Fab (ou ES) est le SMV, et celle de l'Emaca est la VVFR.


Article 7

Le lecteur doit commencer à remarquer que ce règlement ressemble de moins en moins à un règlement. En effet, comment le lecteur peut-il penser que le rédacteur de ce règlement se soit décidé, pour la première fois dans sa vie maintenant avancée, à respecter un réglement ? Et en plus tous ces numéros sont placés n'importe comment.


Article 8

Le lecteur est invité à suivre l'exemple du rédacteur du présent règlement.


Article 9

Grand jeu concours

Quelle sera l'idéologie commune aux trois grands concurrents mondiaux ?


Article 10

Remerciements

A la médiathèque municipale de la ville de Lillebonne, pour son approvisionnement constant en production de la Propagande (le livre de Tisseron par exemple), ainsi qu'à la médiathèque de Notre Dame de Gravenchon, pour de même. Il est à noter que l'un des
grands pourvoyeurs de terroristes djihadiste mondiaux, EXXON (propriétaire du Qatar et donc du club de foot Paris Saint Germain … à quand les maillots des joueurs avec imprimé « Daesh is good for you »), règne sur le secteur avec une immense raffinerie locale (cancers et étouffements des cas de cancers garantis, pour les riverains et les salariés, souvent les mêmes. Suivis gratuits assurés par l'équipe médicale d'EXXON. Mais la gamelle est bien pleine et la niche confortable. La retraite, elle, est économique, car souvent très courte).


PS :

Il faut en finir avec le respect formel de mise avec des gens comme les Serge Tisseron, les Annick Cojean (auteure d'une horreur minable de propagande sur Kadhafi), Riss de Charlie Hebdo, et tous les autres homoncules dont les noms ne me viennent pas à l'esprit, employés pour trafiquer les consciences au service de la propagande du régime, et qui doivent leur impunité, leurs revenus et leur renommée à leurs servilité et à leur bassesse. Il faut appeler un chat un chat et un salaud un salaud. Ces gens sont des ordures qu'il faut dénoncer comme telles. On ne leur doit aucun égard, ni aucune considération, ni aucune marque de politesse. Ce sont des nuisibles que l'on doit stopper dans leurs activités qui n'ont qu'un seul but, c'est de nous nuire, de nous dégrader, de nous humilier.