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Titre de cette page :
http://www.aredam.net/liste-election-europeenne-dieudonne-2009.html

 

La liste dite "Dieudonné" pour les élections européennes, est en réalité une liste anti colonialiste, qui s'oppose à la pérénnité de la dernière colonie occidentale de peuplement implantée dans le monde, laquelle est située au Proche-Orient, en Palestine, et qui est baptisée par le pouvoir occidental "Israël". Le parti colonialiste en Occident, parti qui domine la classe politique occidentale, est dénommé le parti sioniste. Les anti colonialistes sont dénommés "antisémites", et être anti colonialiste est en voie d'interdiction, comme professer une opinion anti colonialiste est de même en voie d'interdiction. L'anti colonialisme est une opinion politique qui est exclue du champ de la liberté d'expression, l'anti colonialisme n'étant pas considéré en Occident comme une opinion, mais comme un délit, et bientôt même comme un crime.

A l'instar de l'ex Algérie colonisée, dite "Algérie française", qui exista de 1830 à 1962, le Proche-Orient colonisé a vu son existence débuter en 1920, date de l'intallation des britanniques en Palestine et des premières implantations coloniales juives par la force, et finira, comme on peut raisonnablement l'estimer, avant la fin du 21ème siècle. A l'instar de l'ex colonie française d'Algérie, la colonie occidentale de Palestine verra ses colons quitter en masse le Proche-Orient, où il n'en restera plus que quelques poignées après le processus de décolonisation et d'indépendance du Proche-Orient achevé, processus qui est inévitable et inexorable, qui va dans le sens de l'histoire et de l'évolution humaine.

Le sionisme est l'une des dernières régressions politiques humaines, l'une des dernières résistances au progrès politique de l'humanité. On peut comparer les sionistes, et leurs troupes extrémistes, tels la Ligue de défense juive, aux éléments terroristes de l'OAS.

L'un des autres axes de résistance à l'anti colonialisme, représenté par Dieudonné, est constitué en France par l'extrême gauche dite pro palestinienne, qui tente de canaliser le mécontentement des français d'origine arabo-musulmanne. La réelle fonction de l'extrême gauche française dite pro palestinienne est d'interdire la vision d'Israël pour ce qu'il est, soit une simple colonie de peuplement, intrinsèquement, constitutivement illégitime, et qui ne trouvera comme issue que le démantèlement total et le rapatriement en Occident de la quasi intégralité de ses colons, comme lors de la fin de l'existence de l'Algérie française.

En documentation sur la répression et l'encadrement de l'anti colonialisme, actuellement dénommé "antisémitisme", voici collecté une série de documents tirés d'Internet, relatifs une petite péripétie de la gueguerre pour la façade à laquelle se livrent, en service commandé, les nervis d'extrême droite du parti sioniste et l'encadrement d'extrême gauche des arabo-musulmans. Cette affaire est celle de l'agression par les nervis de la Ligue de défense juive, d'une manifestation organisée par l'extrême gauche (CAPJO, Génération Palestine), au CICP (Centre international de culture populaire), rue Voltaire à Paris 11ème, lieu où se trouvent les sièges de plusieurs organisations crypto sionistes dites pro palestiniennes, telles Réflexes, l'AFPS, l'Union des juifs pour la paix. On notera l'intervention d'un élément crypto sioniste (Collectif Cheikh Yassine d'Abdelhakim Séfrioui) tentant désespéremment de faire sa place sur le marché de l'encadrement crypto sioniste des arabo-musulmans, élément marqué à droite, qualifié de "nauséabond" par Réflexes, élément ayant travaillé dans un proche passé pour Sarkozy-Raoult-Dahmane), et ayant collaboré l'avocat du Bétar Goldnadel.

 

1 - Texte tiré du site de l'organisation d'extrême gauche dite pro palestinienne crypto sioniste Réflexe, au sujet de l'agression par la Ligue de défense juive.

2 - Texte tiré du site Internet www.alterinfo.net, de la nébuleuse de la secte politique Lyndon LaRouche, travaillant pour les organes spéciaux occidentaux, relatant les faits de l'éléments droitiste crypto sioniste, se présentant comme défenseurs acharné des palestiniens.

3 - Texte tiré du site de la CAPJO (europalestine.org), organisation d'extrême gauche cryto sioniste à façade pro palestinienne, reproduisant un article du Monde, relatant les faits de l'élément droitiste d'apparence pro palestinienne.

4 - Texte tiré du site Internet de Génération Palestine, organisation d'extrême gauche crypto sioniste pro palestinienne.

5 - Scan d'un article du Parisien traitant de la liste Dieudonné pour les élections européennes de 2009.

On peut noter que le NPA - "Nouveau parti anticapitaliste", ex parti trotskiste "Ligue communiste révolutionnaire", parti crypto sioniste, a entrepris maintenant de participer directement à l'encadrement des arabo-musulmans pro palestiniens, en déléguant son homme de paille, Besancenot, à Gaza, où selon la version officielle, il aurait été empêché d'accéder par la police israélienne.

 

Voir aussi le fichier général sur le sujet de l'encadrement cryto sioniste :
Fichier sommaire des documents et des études publiés sur l'activité du sionisme général :
http://www.aredam.net/dgso-documentation-generale-sionisme-operationnel.html
Nouvelles de l' Introduit - DGSO - Documentation Générale sur le Sionisme Opérationnel

 

 

1 - Texte tiré du site de l'organisation d'extrême gauche dite pro palestinienne crypto sioniste Réflexe, au sujet de l'agression par la Ligue de défense juive.

 

Un an plus tard !!
Publié le 29 avril 2009
par REFLExes

http://reflexes.samizdat.net/spip.php?rubrique47 ( liste d'articles sur la mouvance d'extrême droite )

http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article437 ( article portant en partie sur Séfrioui )

Un an après l’agression violente de plusieurs personnes à la sortie d’une conférence sur Georges Habache et la Palestine au Centre International de Culture Populaire (CICP) à Paris, des membres la LDJ récidivent, et agressent à nouveau en marge d’une soirée organisée par les militants de l’association Génération Palestine.


Une première bagarre éclate entre une personne venant à la soirée et 5 jeunes issus de la communauté juive. Si pour la personne agressée c’est la vue de son keffieh qui est à l’origine de sa prise à partie par les jeunes, ceux-ci prétendront avoir répondu à des provocations. Bien entendu les versions divergent, bien que la 1re paraisse plus crédible au vu du nombre d’intervenants de chaque côté. Par la suite, et malgré une présence policière massive, c’est sous leurs yeux qu’une 2ème agression a lieu, cette fois ci impliquant une quinzaine de jeunes sionistes qui tomberont, matraques à la main sur 3-4 personnes sortant du métro et se rendant à la soirée. Bilan de ces rencontres : 2 blessés côté public, au moins 3 interpellés côté jeunes fachos sionistes.

Alors qu’en général les agressions en marge de soirées sur la Palestine ne suscitent que peu d’échos dans la presse, celle ci cela prend une ampleur peu habituelle. Une dépêche AFP, publiée le 25 et reprise par la Parisien et Metro, parle de « rixes sur fonds de tension communautaire » ???? Etonnant, car si il est vrai qu’il y a bien d’un côté 3 jeunes juifs et 3 jeunes arabes de l’autre, peut-on honnêtement (même pour un journaliste) évoquer des « tensions communautaires » quand on parle de bagarre entres membres du Betar et/ou de la LDJ et sympathisants de la cause palestinienne ?

En effet parmi les jeunes impliqués et interpellés, la dépêche AFP parle d’un jeune proche du Betar, ce qui est peu étonnant. Mais c’est surtout la présence d’une vieille connaissance, Jason T., qui démontre bien la dimension politique et non communautaire (et encore moins antisémite) de cette affaire. S’étant déjà fait remarquer pour sa virulence et ses provocations, Jason, jeune militant de 20 ans à peine, passé comme tant d’autres à cette période du Betar à la LDJ, est apparu lors des manifs pour Ilan en janvier 2006 [1], où il alternait selon les circonstances entre le port de la kippa et celui du bonnet « Migdal » (produit des plus chics dans le milieu ultra-sioniste !), notamment lorsqu’il faisait le fanfaron sous les drapeaux jaunes de la LDJ. [2]


C’est tout naturellement qu’on le retrouvera devant le Bataclan en janvier 2008, assurant le service d’ordre avec ses amis de la LDJ (et sous le regard paternel des professionnels du SPCJ, service de sécurité du CRIF), pour le gala annuel de soutien aux Magav [3] de l’association Migdal, association que l’on peut sans peine qualifier de raciste. Il sera en tête du petit groupe qui tentera de passer les cordons policiers pour venir en découdre avec les contre-manifestants réunis devant la salle. Deux mois plus tard il est contrôlé en marge d’un rassemblement de solidarité avec Gaza (organisé par la CAPJPO) place de l’Opéra. Là encore, entraînant avec lui quelques jeunes, il tentait par ses propos virulents de provoquer les manifestants. Il sera, lui et ses petits amis, repoussé par les gendarmes mobiles présents. Par ailleurs il pourra les remercier, puisque 2-3 autres nervis de la LDJ qui eux arriveront à s’en approcher le regretteront très vite.


Mercredi soir finalement, il sera reconnu comme étant l’un des agresseurs, et sera interpellé avec deux de ses amis, de même que l’on verra s’enfuir en scooter dans les minutes qui suivent un autre élément de la LDJ, Mickael B. Aux dernières nouvelles, Jason serait aussi impliqué dans l’attaque il y a 15 jours contre un théâtre du VIIe arrondissement où devait avoir lieu une soirée intitulée « Nos talents pour Gaza » organisée afin de collecter des fonds pour acheter du matériel médical et pour les enfants de Gaza. Il aurait été reconnu par des témoins. Pour le coup, le rôle de victime parait délicat à tenir, et il semblerait que ce soit une fois interpellés, et devant la gravité des faits qui leur sont reprochés, que les jeunes gens aient mis au point leur ligne de défense. A savoir qu’ils auraient été victimes d’agressions antisémites alors qu’ils collaient des affiches à la mémoire d’Ilan. Cela déclenchera la convocation et le placement en garde à vue de 2 victimes ayant le statut de témoins. Finalement au bout de 48 heures tout ce petit monde sera mis en examen pour violences volontaires à caractère raciste et placé sous contrôle judiciaire, mettant ainsi au même niveau les agresseurs et les victimes.

L’évocation du procès des assassins d’Ilan par les militants de la LDJ durant leur garde à vue n’est guère surprenante, tant il est vrai que depuis 3 ans, en marge des commémorations pour Ilan, des membres de la LDJ profitent de ce crime sordide pour agresser à tout va. Tout le monde se souviendra des agressions racistes en 2006 autour de la grosse manifestation parisienne en mémoire d’Ilan [4] . En 2007, un rassemblement en mémoire d’Ilan a lieu devant la boutique où il travaillait. Si pour beaucoup, venus en famille, c’est un moment de recueillement, l’agression violente de 2 jeunes arabes qui passaient par là entache cette commémoration, à tel point que même l’UEJF s’en émeut et se paye une pleine page dans Actualité Juive la semaine suivante pour dénoncer cette agression. En 2008, nouveau rassemblement : cette fois ci, échaudés par ce qu’ils ont pu voir l’année précédente, le rassemblement se dissout rapidement, et laisse la place aux jeunes extrémistes qui se cherchent une cible [5]. Elle sera toute trouvée, et ce sera une fois de plus une attaque en règle contre le CICP par une bande d’une vingtaine d’individus (parmi lesquels on reconnaît encore et toujours Jason et quelques uns de ses amis, notamment celui qui Place de l’Opéra se réfugiera derrière les gendarmes mobiles). Remontant la rue en hurlant des slogans pro-israéliens et anti-arabes, il leur manquera juste un petit doigt de courage pour franchir les 20 derniers mètres qui les séparent de l’entrée, et surtout des quelques personnes qui en géraient l’accueil.

Alors, concernant mercredi dernier, hasard d’une agression raciste ou opération ciblée contre des « ennemis » (selon la grille de lecture de la LDJ) ? La question peut se poser. Certainement un mélange des deux. Si c’est bien une rencontre hasardeuse qui a déclenché la 1re agression commise par 5 jeunes extrémistes juifs de droite attablés à la terrasse d’un traiteur, on ne peut ignorer l’évolution de ce quartier du XIéme arrondissement qui a énormément changé ces dernières années. Si la communauté juive a toujours été très présente dans le quartier, et sans que cela ne pose aucun problème, on note depuis 2-3 ans l’apparition d’affiches à la gloire du Rabbin Meïr Kahana (JDL américaine) ou autres autocollants du Betar dans certains commerces et dans la rue. Cela s’accompagne de l’arrivée plus ou moins importante de la fraction la plus radicale de la jeunesse liée à la LDJ ou au Betar et à l’air de traduire une part d’acceptation des exactions et une dérive droitière d’une partie de la communauté.

Si depuis longtemps le CICP est la cible des extrémistes de droite juifs (agressions physiques et verbales, dégradations, tags racistes…), le voisinage direct avec ses éléments les plus violents pose réellement un problème. En effet, comment accepter que des personnes venant assister à une conférence, une soirée de solidarité voire même un concert n’ayant aucun rapport avec la question palestinienne, se fassent prendre à partie à la sortie du métro, où agresser comme ce fut le cas mercredi dernier. Il serait bon que les associations communautaires si promptes à dénoncer le danger de l’importation du conflit israélo-palestinien en France, fassent passer le message aussi dans leurs rangs, et notamment auprès de ces jeunes nervis [6].

De même qu’il serait souhaitable dans un souci d’apaisement général, que ces interpellations (devant témoins une fois de plus) ne restent pas encore sans suite. Force est de constater que par exemple, celle de l’année dernière au CICP où il y eu pourtant un blessé grave, et où un voisin avait pu relever la plaque d’immatriculation d’un des agresseurs, n’a eu aucune suite, alors que ce dernier a bien été retrouvé et placé en garde à vue. Ca laisse rêveur ... ou plutôt permet à certains de laisser entendre qu’il pourrait y avoir des catégories protégées ou des immunités pour quelques uns selon qu’ils fassent partie d’une communauté ou d’une autre. Si ces événements restent sans suite (comme on peut le supposer), ce sera du pain béni pour ceux qui veulent surfer sur les haines et les colères accumulées depuis le mois de janvier. On pense bien entendu à l’équipe Dieudonné ou encore au Collectif Cheikh Yassine d’Abdelhakim Sefrioui. Sefrioui qui n’a pas manqué de réagir, se targuant même d’être venu prêter main forte aux organisateurs, ce qui, renseignements pris, s’avérerait être une pure invention. Si ils ont bien été aperçus rodant dans le quartier, c’était plus, comme à leur habitude, dans l’espoir de profiter de cette situation afin d’essayer de faire passer leurs discours nauséabonds auprès de certains qui, en manque de formation et de pratique politiques, pourraient être aveuglés par les prêches de cet ancien Iman. Le résultat escompté ne sera pas là, puisque non seulement ils comprendront vite qu’ils n’étaient pas les bienvenus à l’intérieur de la soirée, mais en plus ils repartiront aussi isolés qu’ils sont venus.

De toute cette agitation, quelques interrogations subsistent.

Quel intérêt pour la presse et le pouvoir d’agiter le spectre du communautarisme de cette histoire ? Si ce n’est faire la part belle aux extrémistes des 2 camps.

Et pourquoi ce silence dans cette affaire de la part des sites tels que ceux de la LDJ ou du BNVCA (Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme) du très droitier Sammy Ghozlan, premiers généralement à dénoncer tout acte antisémite ?

Affaire à suivre donc.

Publié le 28 avril 2009

[1] Le meurtre sordide d’Ilan Halimi avait provoqué une légitime émotion au sein de la communauté juive, et une manifestation énorme avait eu lieu à Paris, manif en marge de laquelle on avait vu des jeunes extrémistes juifs s’attaquer à des passants noirs ou arabes

[2] Pour l’anecdote, on distingue a l’extrême droite (quel hasard ! ) sur la photo son ami et compère de la LDJ : Maxime B.. Ce brave Maxime, si besoin était, nous confirmera l’implication de la LDJ dans cette affaire en envoyant un mail d’insultes à l’AFPS et dans lequel il parle des membres de la LDJ impliqués. Le tout bien entendu avec son adresse mail, et magnifiquement signé d’un « Maxime, un Français de pur souche ». Sacré Max, si peu d’intelligence dans un si grand corps, quel gachis !!

[3] garde-frontières israéliens, régulièrement dénoncés par les organisations des droits de l’homme pour leur violence et brimades en tout genre envers la population palestinienne

[4] la presse à l’époque avait noté l’apparition d’un nouveau sigle chez les jeunes agités : le F.E.J. « Fier d’Etre Juif » . Pas si nouveau que cela puisque qu’il s’agit d’un clin d’œil aux anciens, dont Pierre Lurçat fondateur de la LDJ en France, qui dans les années fin 60 début 70 avaient créé un F.E.J mais « Front des Etudiants Juifs » celui-ci.

[5] c’est d’ailleurs à la même période que l’on verra re-apparaître le Betar, décidé à ne pas laisser le terrain de la radicalité à la seule LDJ , difficilement contrôlable par les institutions communautaires

[6] même si il y a peu d’espoir de ce côté la, les relations CRIF-LDJ étant des plus tendues depuis que ces derniers ont perturbé la soirée organisée par le CRIF en l’honneur du président Simon Peres en mars dernier. Celui-ci s’était fait traiter de traître alors qu’il commençait son intervention à la tribune. Il avait alors fallu l’intervention de Meyer Habib, vice-président du CRIF (et accessoirement conseiller de B. Netanyahu), qui fit évacuer les jeunes virulents. Cette fougueuse jeunesse lui a certainement rappelé la sienne puisqu’il était membre de l’OJC, Organisation Juive de Combat, et fût condamné pour avoir participé en mai 1988 à l’attaque du rassemblement de l’Oeuvre Française pour la Fête de Jeanne d’Arc. Attaque très violente, elle avait surpris par son culot : en effet les membres de l’OJC s’étaient habillés en militants nationalistes, portant drapeaux et brassards pour fondre sur les manifestants une fois arrivés au plus près. Il est vrai qu’à l’époque leur cible était l’extrême droite antisémite, et non comme aujourd’hui l’extrême gauche solidaire du peuple palestinien.

 

2 - Texte tiré du site Internet www.alterinfo.net, de la nébuleuse de la secte politique Lyndon LaRouche, travaillant pour les organes spéciaux occidentaux, relatant les faits de l'élément droitiste crypto sioniste Dit "Collectif Cheikh Yassine", dirigé par Abdelhakim Séfrioui, se présentant comme défenseur acharné des palestiniens.

 

Les deux victimes d’une agression par des membres d’une milice sioniste le mercredi 21 avril sont poursuivies pour violence en réunion.

Leur crime évident : n’être que des goyims.

Nous y voilà ! Cinq jours après l’agression qui a eu lieu mercredi 21 avril boulevard Voltaire à Paris, la boucle est bouclée ; les rôles sont redistribués selon la hiérarchie habituelle : les victimes sont mises en examen et la face des maîtres est ainsi sauve !!!

Les deux victimes tabassées par toute la meute des nervis d’une des milices sionistes opérant dans Paris (pour la deuxième fois en moins de quinze jours) à coups de casques et de barres de fer et cela devant les policiers ont en effet été mises en examen samedi-après midi sous le chef d’accusation suivant : « violence en réunion. » En effet, le lendemain de leur agression, on leur a demandé de repasser au commissariat où ils avaient déposé plainte la veille suite au tabassage en règle dont ils ont été les victimes et pour lequel ils ont passé des examens à l’hôpital. C’est là, qu’on leur a demandé de se présenter au commissariat du 9ème arrondissement de Paris. Convaincus de leur statut de victimes, ces personnes se sont présentées dans le dit commissariat et c’est alors qu’ils vont comprendre l’hallucinant retournement de situation dont ils sont les protagonistes. Ils ne sont plus des victimes qui doivent obtenir réparation mais bel et bien des agresseurs qui méritent d’être mis en garde à vue sur le champ et qui seront présentés en comparution immédiate au parquet le samedi 24 avril vers 11 heures. Dans l’après-midi, ils ressortiront du tribunal mis en examen pour violence en réunion.

Non ! Nous ne sommes pas en train de visionner un western spaghetti où un shérif ripou sème la terreur, ni en train de lire des nouvelles dans un des journaux officiels de notre grande démocratie qui épinglent consciencieusement une république bananière dans laquelle la loi appliquée est celle décrétée par le dictateur! Non ! Nous sommes à Paris en 2009 ; le Paris des amis de Mr Sarkozy qui a ouvert une sorte de nouvelle ère pour notre démocratie. Dans ce Paris-là, la population est scindée en deux castes les goyims et les maîtres ! Nos prédécesseurs qui ont combattu pour que le droit soit appliqué de manière égale à tous les citoyens français doivent à n’en point douter se retourner dans leurs tombes aujourd’hui en constatant que la justice applicable en France dépend de la caste à laquelle on appartient. Les victimes de mercredi appartiennent évidemment à la mauvaise !

La réalité est que nous ne sommes même pas étonnés ni abasourdis ; il ne s’agit en effet qu’une nième fois de plus que, dès lors que des membres de la LDJ ou du Betar, sont mis en cause dans une affaire d’agression, la boussole de la justice perd le nord puisque les victimes deviennent les agresseurs et son condamnés en tant que tels ! Seulement, cette fois, nous nous disons que c’est peut-être la fois de trop.

Le jour de l’agression, nous qui sommes restés devant l’immeuble où se tenait la soirée de soutien pour la Palestine afin d’éviter toutes nouvelle attaques des sionistes, avons été reçus aux environs de minuit, à notre demande, par le commissaire divisionnaire chargé de la sécurité nocturne du tout Paris ; il était accompagné de Madame la commandante chargée du 11ème arrondissement ainsi que d’un lieutenant qui était présent au moment de l’agression et qui a procédé à l’arrestation des voyous sionistes. Ce dernier a confié lors de cette entrevue, que s’il n’était pas intervenu au prix de sa sécurité, selon ses mots « une des victimes y serait certainement resté. » Je me souviens lui avoir dit : « je suis ravi de voir qu’il y a encore dans notre pays des policiers qui osent faire leur travail dans le respect de leur serment et avec pour seule motivation laïque celle du respect du droit. » Je me souviens lui avoir dit aussi que selon moi il était évident qu’il allait avoir des ennuis tant je sais que dans notre belle démocratie, personne n’est au dessus des maîtres, pas même la loi… Parce que, même s’ils sont pris en flagrant délit d’agression en groupe avec usage d’armes (barres de fer et casques) et sur ce point le témoignage du lieutenant, ce mercredi 21 avril, était sans équivoque, ceux qui sont sensés défendre la liberté et l’intégrité de tout les citoyens trouvent le moyen de retourner la situation pour rendre coupable les victimes… et cela parce qu’au-dessus de tous les crimes il y a d’abord celui de n’être qu’un simple goyim.

Face à ce retournement, nous posons aujourd’hui officiellement une question que nous n’avons pas évoquée samedi dernier eu égard au fait que les personnes n’étaient pas encore sortis du tribunal à l’heure où nous avons écrit notre communiqué. Que faisait Mr Samy Gozlan sur le boulevard Voltaire après l’agression ? En effet, plusieurs témoins nous ont rapporté ce soir-là, avoir reconnu sur le lieu de l’agression cette figure très connue dans Paris du soutien à Israël. Il s’agit en effet d’un ex-commissaire de police, responsable communautaire au CRIF et aussi le chef du très officiel SPCJ « Service de protection de la communauté juive » qui coopère avec la police de notre pays afin d’assurer la protection de la communauté juive. Que s’est-il passé pour que de victimes les personnes agressées deviennent des inculpées ? La question ne cesse de se poser pour tous ceux qui étaient présents jeudi soir boulevard Voltaire et cette question est légitime dans un Etat de droit ! En d’autres termes, est-ce parce que, des nervis sionistes ont été arrêtés ce soir-là pour avoir agressés des gens, qu’il fallait à tout prix sauver la face en inculpant elles-aussi les personnes tabassées? C’est la question que nous posons !

Et je lance un appel solennel à tous les citoyens de notre pays pour dire que le salut de la France ne peut passer que par une des deux voies suivantes : soit le rétablissement des valeurs de notre République et l’application du Droit tout le Droit rien que le Droit, soit l’obligation de nous convertir tous pour ne plus être considérés comme de simples goyims, des sortes de sous-hommes sur lesquels les maîtres ont tous les droits comme le précise le Talmud et pour lesquels la justice républicaine n’a plus cours.

Nous ne pouvons plus accepter une telle dérive, il est temps que toutes les forces vives de notre pays s’attellent à cette tache essentielle pour sauver ce qui représente un des ciments constitutif d’une démocratie comme la France: l’égalité de tous les Français devant la loi.

Collectif Cheikh Yassine

A lire aussi: LDJ : Ligue de Défense Juive : deux agressions en moins de quinze jours à Paris


DEPECHE AFP

PARIS, 25 avr 2009 (AFP) - Rixes à Paris sur fond de tensions communautaires: six jeunes mis en examen

Six jeunes gens, trois juifs et trois maghrébins, ont été mis en examen pour des violences volontaires à caractère raciste à la suite d'agressions perpétrées mercredi entre membres des deux communautés, a-t-on appris samedi de source proche du dossier.

Les six jeunes sont poursuivis pour "violences volontaires aggravées à raison de l'appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, de la victime à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée".

Ils ont tous été laissés en liberté sous contrôle judiciaire.

Selon une source judiciaire, une première agression se serait déroulée mercredi boulevard Voltaire (Paris XIe), non-loin du magasin de téléphonie où travaillait Ilan Halimi, le jeune juif enlevé et torturé à mort en 2006 par le "gang des barbares".

Dans la perspective du procès de ses ravisseurs, qui s'ouvre mercredi à Paris, de jeunes juifs collaient des affiches à la mémoire d'Ilan Halimi lorsqu'ils auraient été pris à partie par trois jeunes maghrébins, dont l'un était muni d'un nunchaku, selon cette même source.

L'agresseur armé a pu être interpellé par la police et placé en garde à vue mais les deux autres suspects ont disparu.

Décidés à se venger, les jeunes juifs, accompagnés d'amis, auraient retrouvé leurs agresseurs présumés alors que ces derniers se rendaient quelques instants plus tard dans le même quartier à une soirée pro-palestinienne organisée par l'association "Génération Palestine". Ils les ont alors roués de coups en utilisant notamment une matraque, selon une source judiciaire.

Trois d'entre eux, dont une jeune proche de l'organisation sioniste Betar, ont été interpellés le soir même par la police.

Les enquêteurs ont également placé en garde à vue le lendemain les deux jeunes maghrébins qui avaient entre-temps reçu des soins à l'hôpital où on leur a prescrit une incapacité totale de travail (ITT) de 4 et 2 jours.

Contacté par l'AFP, leur avocate, Me Dominique Cochain, a affirmé que ses clients n'avaient participé à aucune agression et qu'ils avaient été roués de coups sans raison par un groupe de jeunes juifs alors qu'ils se rendaient à la soirée de soutien à la Palestine

Lundi 27 Avril 2009

 

 

3 - Texte tiré du site de la CAPJO (europalestine.org), organisation d'extrême gauche cryto sioniste à façade pro palestinienne, reproduisant un article du Monde, relatant les faits de l'élément droitiste d'apparence pro palestinienne.

Les mésaventures de Dalil Boubakeur, l’adorateur d’Israël

Publié le 20-04-2009

Les propos récents du recteur de la Mosquée de Paris, faisant l’éloge d’Israël, pays qui "contrairement à ses voisins" aurait réussi à faire fleurir le désert, et qui ne saurait être tenu responsable des massacres de Gaza, lui a valu quelques réactions bien méritées. Le Monde rapporte une scène assez cocasse, vendredi dernier, devant la Mosquée de Paris.


"L’opération orchestrée par le Collectif Cheikh Yassine (du nom du chef du Hamas, tué en 2004 par l’armée israélienne à Gaza) aurait pu passer inaperçue. Elle a pris, vendredi 17 avril, un tour spectaculaire.

Le responsable de cette association antisioniste radicale, Abdelhakim Sefrioui, avait promis une manifestation à l’issue de la grande prière, pour dénoncer, devant la Mosquée de Paris, les propos jugés "inacceptables" du recteur Dalil Boubakeur sur Israël et le conflit israélo-palestinien, et son dialogue constant avec la communauté juive ; cette proximité lui est aujourd’hui reprochée, alors que la communauté musulmane en France demeure marquée par l’offensive israélienne à Gaza en janvier (Le Monde du 14 avril).

Arrivé sur place avec une petite trentaine de (très) jeunes militants, cheveux ras et keffiehs autour du cou, M. Sefrioui a eu droit à une tribune politique inespérée. Bloqués à l’extérieur de l’édifice par les services de sécurité de la mosquée, qui en avaient fermé les portes quarante minutes avant le début du prêche, de peur de "débordements", plusieurs centaines de fidèles ont dû improviser leur grande prière du vendredi sur la chaussée, sous la surveillance d’un impressionnant dispositif de sécurité. Du jamais-vu.

Visiblement rompu à l’exercice médiatico-politique, le responsable du collectif s’est alors imposé comme l’imam providentiel, entonnant en guise de prêche religieux une attaque en règle contre Dalil Boubakeur. "Il s’est mis du côté des criminels de guerre ; c’est cela que nous sommes venus condamner", a-t-il lancé devant une foule impassible. Il y a ajouté une charge antisioniste d’une violence inédite sous le minaret de cette mosquée historique, symbole d’un "islam de France modéré". Une fois sa diatribe achevée, il a conduit, comme si de rien n’était, la prière des centaines d’hommes massés dans la rue.

"ON NE LE VOIT QU’À LA TÉLÉ"

L’immense majorité des fidèles ne savait pas pourquoi l’accès à la mosquée leur avait été refusé. Amin, un étudiant parisien était "juste venu prier", mais il a trouvé que M. Sefrioui "avait bien parlé." "Boubakeur est censé nous représenter ; mais, depuis quelque temps, on ne sait plus de quel côté il est", reconnaît aussi un vieux fidèle, apparemment déstabilisé. "Moi, je n’appartiens à aucun mouvement, jure Yazid, venu manifester, mais là, je me suis dit : "enfin quelqu’un qui ose contester Boubakeur". Il a été placé là par Sarkozy et l’Algérie ; dans la communauté, il fait l’unanimité contre lui." Un autre fidèle confie : "J’aurais aimé qu’il vienne s’expliquer, mais Boubakeur, on ne le voit qu’à la télé."

Le recteur de la Grande Mosquée de Paris devrait être reçu par la ministre de l’intérieur, Michèle Alliot-Marie, déterminée, selon son entourage, "à soutenir M. Boubakeur contre les attaques de l’islam radical

Stéphanie Le Bars

Article paru dans l’édition du Monde du 19.04.09

CAPJPO-EuroPalestine


4 - Texte tiré du site Internet de Génération Palestine, organisation d'extrême gauche crypto sioniste pro palestinienne.

 

Une agression raciste menée par une bande politique d'extrême droite contre une soirée culturelle de soutien à la Palestine.
Soumis par Paris le dim, 26/04/2009 - 23:26 Génération Palestine Newsletter Juridique
Mercredi 22 avril, Génération Palestine organisait une soirée culturelle palestinienne rassemblant 150 personnes. En lien avec le centre accueillant l'évènement, le CICP, nous avions prévenu les services de police dès lundi des menaces planant sur les invités.
Pourtant, des personnes se rendant à la soirée ont été attaquées par des bandes qui les ont injuriées et frappées. Le soir même, les services de police qui ont fini par arriver sur place établissent un rapport sans ambiguïté : il s'agit clairement d'une agression raciste anti-arabe. Violences aggravées, coups et blessures : des plaintes sont alors déposées.

Trois des agresseurs sont arrêtés, ainsi qu'un jeune militant pro-palestinien. Le lendemain, jeudi 23 avril, deux des victimes, après avoir passé la nuit à l’hôpital et s’être vues prescrire une incapacité totale de travail de 2 et 4 jours, sont placées en garde à vue. La Justice se saisit du dossier et veut manifestement en faire une affaire d'affrontement communautaire. Les trois victimes, comme leurs trois agresseurs ont été finalement été relâchés, mais l'affaire reste ouverte, et les victimes de l'agression se retrouvent accusées au même titre que leurs agresseurs...
Une fois de plus, les membres de la Ligue de Défense Juive s'en sont pris à des sympathisants de la cause palestinienne. Il s'agit d'une agression à caractère politique et non comme le précise la dépêche de l'AFP du 25/04 « d'une rixe sur fond de tensions communautaires ». En effet, deux des agresseurs ont été reconnus par des témoins de l'attaque du 12 avril au théatre Adyar, qui avait fait deux blessés graves parmi les participants à la soirée caritative « Nos talents pour Gaza » dont le but était de collecter des fonds pour le Secours Populaire et acheter du matériel médical pour les enfants de Gaza.

Les membres de la LDJ sont responsables de trop nombreuses attaques contre les personnes et les lieux participant à des initiatives de soutien au peuple palestinien.

Génération Palestine réaffirme qu'elle était la seule association à organiser la soirée, son accueil et son animation. Notre association, qui va porter plainte, se réserve par ailleurs l'exclusivité du rapport des faits et se dissocie des autres communications pouvant circuler sur Internet.

Engagés pour le respect du droit international et contre toute forme de racisme, nous nous donnerons tous les moyens pour que la vérité soit établie et que notre mobilisation permette de mettre fin à l'impunité dont jouissent ces bandes d'extrême-droite.

 

 

5 - Scan d'un article du Parisien traitant de la liste Dieudonné pour les élections européennes de 2009.