Le faux, le droit, la Constitution, la faculté de discernement, la confusion.
Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier, ex-France, province de l'Empire israélo-US en voie de désintégration, le 11
juillet 2018
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Affaire traitée
globalement dans le dossier suivant :
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La petite affaire décrite dans le document en format « PDF » accessible par le lien ci-après : http://www.aredam.net/lettre-au-president-de-la-cour-d-appel-de-douai-article-40-du-code-de-procedure-penale.pdf
, qui est une affaire de falsification de la réalité, ou de la vérité, permet de traiter l'un des problèmes de fond qui mène l'espèce humaine à l'abîme où elle est peu à peu entraînée malgré elle, car la falsification du réel est devenue très tôt dans l'histoire moderne, le pilier sur lequel la majorité des sociétés humaines se sont construites, et force est de constater que les sociétés essentiellement bâties sur le vrai ont toutes été détruites par celles fondées uniquement sur le faux, et qu'il ne reste plus que de façon très marginale, quelques sociétés dites primitives encore fondées sur le vrai, et sans doute pour très peu de temps. On peut dire des sociétés modernes, dont la société occidentale est l'exemple type, que dans ces sociétés, le droit égale le faux, que les ouvrages de droit sont des ouvrages de faux, que les codes des lois sont des codes de faux etc … que les juristes et les gens de loi sont les spécialistes du faux.

Le faux est devenu l'air qu'on respire, la lumière qui éclaire, le bruit de fond qui ne cesse pas même quand aucun mouvement n'a lieu en quelque endroit du monde humain.

Le faux est la destruction du droit, le droit étant ce qui permet au fort et au faible de coexister, c'est à dire à la société d'exister, toute société sans droit n'étant pas une société. Le droit est intimement lié au vrai et au faux, le vrai étant ce qui permet à la société de perdurer, le faux étant ce qui conduit la société à sa disparition.

L'un des premiers codes
de droit a été celui d'Hammurabi, roi de Babylone vers 1760 avant J.C., révélant une société fondée sur l'inégalité, mais où le roi désire que « le fort n'opprime pas le faible ». On connaît deux autres codes antérieurs, ceux d’Ur-Namur fondateur de la troisième dynastie d'Ur (vers 2000 avant J.C.), et de Lipit-Ishtar, roi d'Isin (vers 1900 avant J.C.).

Le droit est donc ce qui dit ce qui est vrai et ce qui est faux.

Le droit apparaît avec la capacité de discernement, car il faut pouvoir discerner pour dire ce qui est vrai et ce qui est faux, ce qui est socialement sain et ce qui est socialement morbide. Il faut pouvoir séparer.

Une constitution est un méta-droit, un droit qui établit les règles internes à l'ensemble des droits, ces règles permettant de discerner ce qui est le droit et ce qui n'est pas le droit.

Ainsi, le faux est aussi une destruction des constitutions.

Le droit occidental est fondé sur la culture dite judéo-chrétienne, qui est elle-même fondée sur le faux.

Ce pilier qui soutient toute la société occidentale est la torah juive ou l'ancien testament chrétien.

Le faux dans cette culture est clairement énoncé comme étant « Le » fondement social, par le passage de la torah-bible, son livre fondateur, évoquant la sortie du paradis, la cause en étant l'atteinte fondamentale faite à l'ordre divin par le premier couple humain, cette atteinte consistant à avoir mangé du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, soit à avoir acquis la capacité de discernement, cette capacité de discerner ce qui est positif de ce qui est négatif permettant seule d'instaurer une société viable, soit le droit et un ensemble de droits articulés entre eux, soit une constitution.

Il est déjà là intéressant de relever que ce qui est nommé « paradis » dans le livre qui fonde la culture judéo-chrétienne, est un état de confusion, considéré comme sain, c'est à dire un état mental d'incapacité à séparer le bien du mal, le bien et le mal étant confondus, la victime et le criminel ne faisant qu'un. C'était Napoléon 1
er, grand connaisseur du fonctionnement social humain, et ne mâchant pas ses mots, qui avait déclaré que pour qu'il y ait des riches qui ont pléthore de tout côtoyant des pauvres à qui il manque l'indispensable, il faut qu'il y ait une religion.

La manifestation de l'état créé de confusion, à son stade de développement maximum mène à ce qu'on peut constater globalement, par exemple dans le cas du génocide lent et gradué du peuple palestinien opéré par les juifs sionistes, à l'inversion accusatoire, les coupables devenant les victimes et vice versa. Le procédé de l'inversion accusatoire est universellement utilisé, le cas le plus banal est celui du violeur accusant sa victime de l'avoir provoqué, ou du travailleur immigré accusé par ses exploiteurs de voler le travail des indigènes et de vivre au frais du pays qui l'exploite.

Il existe un autre élément qu'il est important de noter, c'est que ce qui apporte la lumière, le discernement, devient considéré comme étant néfaste. Le serpent, symbole du diable, Lucifer, en latin, celui qui apporte la lumière, devient ainsi le malin, qu'il faut combattre, et le « dieu » qui interdit de comprendre le monde, de discerner ce qui est bien et ce qui est mal, est ce qu'on doit respecter et à qui on doit obéir, Jéhovah, Yahvé et autres. Le « diable », dans la pensée judéo-chrétienne et islamique, est celui qui ment alors qu'il dit la vérité. Le porteur de vérité devient le porteur de mensonge, et la vérité devient le mensonge. Après l'inversion accusatoire, vient l'inversion des valeurs fondamentales. Ce phénomène d'inversion des valeurs est décrit dans le roman de politique fiction de George Orwell 1984 (l'amour c'est la haine, l'ignorance c'est la force, la guerre c'est la paix, l'esclavage c'est la liberté). Le roman d'Orwell est aussi d'essence judéo-chrétienne. D'ailleurs, l'aboutissement du roman d'Orwell est que le dissident héros
de ce roman, après le traitement qu'il a subi de l'appareil inquisitoire policier du régime, en vient à aimer ses bourreaux. Il est guéri, il considère son état sain antérieur de rebelle comme maladif, et il en est libéré.

L'idéal du courant de pensée judéo-chrétien et islamique, propagé par la torah-bible et le coran, est donc d'en venir à aimer ses exploiteurs, ses tortionnaires et ses exécuteurs.

Il n'est même plus besoin des appareils religieux juif, chrétien et musulman, cette pensée est devenue laïque, extra-religieuse. Elle imprègne l'ensemble des sociétés occidentales et musulmanes, et se répand dans le monde englobant l'ensemble de l'humanité.

On peut voir dans le marxisme le dernier avatar de ce courant de pensée.

Il s'en suit que celui qui dénonce cet état de fait devient un hérétique, ou un malade mental, selon qu'on se situe à l'époque de l'inquisition catholique, ou des chasses aux sorcières protestantes, ou en régimes dictatoriaux communistes, qui sont d'essence catholique, des copies de L’État du Vatican. Le phénomène des « dissidents » de l'époque soviétique s'inscrit dans la même démarche, dissident signifiant celui qui pense autrement en russe. Il existait à l'époque d'Andropov des asiles psychiatriques pour les enfermer. La nomenclature pseudo scientifique des psychiatres du KGB désignait comme atteints
de « schizophrénie asymptomatique » ceux qui dérangeaient le pouvoir.

La torah-bible est le premier énoncé de la pratique de manipulation mentale dite de l'inversion accusatoire, la victime devenant le coupable et vice-versa, le bénéfique devenant le maléfique, le bien devenant le mal. Il s'agit aussi de la première manifestation de la création de l'état de confusion.

La torah-bible est le premier manuel pratique de police politique. Les manuels de psychologie opérationnelle de l'ex-Stasi, la police politique de l'ex-RDA, avec ses chapitres sur la destruction de la personnalité, ne sont que la suite de la torah-bible.

L'islam est une version tertiaire de la torah-bible. La torah, la bible et le coran forment un corpus unique.

C'est sur un ordre de ce type que peut se fonder une société inégalitaire d'exploitation d'autrui et de sa spoliation, allant jusqu'à la destruction totale de tout inférieur par le supérieur.

C'est cet état que nous commençons seulement à aborder pleinement. Il a fallu qu'il prospère peu à peu durant 2500 ans, la date probable de la rédaction de la première torah devant être aux environs de 500 ans avant J. C. postérieure au séjour à Babylone d'une partie de l'élite palestinienne imprégnée de culture perse, les futurs juifs.

On peut dire au niveau global, que les chinois avec l'Art de la guerre de Sun Tzu (500 ans avant J.C.) ont créé le premier manuel de méta-stratégie de la guerre entre puissances étrangères, et qu'avec la torah-bible (aussi environ 500 ans avant J.C.), les moyen-orientaux ont créé le premier manuel de méta-stratégie de guerre interne à un peuple, de guerre entre classes, ce manuel visant à faire intégrer aussi bien chez les dominants que chez les dominés, le faux comme étant le vrai, permettant ainsi de faire apparaître comme juste un ordre inégalitaire, d'exploitation et de spoliation d'autrui, un ordre du malheur qu'on finit par reconnaître comme naturel, divin, moral, le droit du plus fort qui est l'absence de droit, l'anti-droit devenant le droit.

Il faut relever que l'art de la guerre et la torah-bible, sont tous deux fondés sur le faux, la tromperie, le mensonge. Il faut aussi relever que la devise du Mossad, le service secret israélien est « nous vaincrons par la tromperie ».

Chassés du paradis, le premier couple humain est condamné pour la faute d'être devenu clairvoyant à l'esclavage (« tu gagneras ton pain à la sueur de ton front »).

De plus, il n'est pas anodin que cela soit la femme qui ait entraîné l'homme à commettre la faute suprême, celle de parvenir à la lucidité, à la lumière. Cela permet de criminaliser la femme qui est selon sa place normale dans la société, victime de l'homme. Il s'agit d'une manifestation de l'inversion des rôles. Il s'agit aussi d'une manifestation de la guerre intra-sociale, non-seulement entre dominants et dominés, mais entre sexes, la torah-bible prenant même en compte la manipulation politique à ce niveau.

Par comparaison, le mythe akkadien d'Atrahasis, antérieur au judaïsme, propagé à une époque où les juifs n'existaient pas encore, évoque une époque encore saine, ou le vrai et le faux sont séparés et identifiables comme tels, non-confondus. Il s'agit du mythe de la création de l'homme. Le voici :

Mythe d'Atrahasis : le création de l'homme. Akkadien XVIIè siècle av. J.C. (Mésopotamie).


Lorsque les dieux étaient (encore) hommes, ils assumaient le travail et supportaient le labeur.
- grand était le labeur des dieux, lourd leur travail, et longue, leur détresse.
aussi se révoltèrent-ils,
les ayant réunis le sage
Ea [ouvrit] la bouche
et dit aux dieux, {ses frères] :
« De quoi pouvons-nous les [accuser] :
leur travail est lourd [et longue, leur détresse] ;
chaque jour, [ils creusent] la ter[re],
lourde est [leur] lamentation […].
(Mais) il y a [peut-être un remède à leurs maux] :
[la Génitrice] est là :
qu'elle crée un être humain, l'Homme,
afin qu'il porte le joug [et en libère les dieux]... »
Ea ouvrit la bouche et dit aux grands dieux :
« Le premier, le septième et le quinzième jour du mois,
je préparerai, comme purification, un bain.
Que l'on égorge un dieu
et que les autres dieux, s'y plongeant, soient purifiés !
Avec la chair et le sang de ce dieu,
que Nintou mélange de l'argile
afin que dieu même et l'homme
se trouvent mélangés ensemble dans l'argile :
qu'(issu) de cette chair de dieu soit un « esprit »,
comme vivant, qu'il révèle l'homme par ce signe,
pour qu'on n'oublie pas, que soit un « esprit »...

ainsi fut fait...

alors, Nintou ouvrit la bouche
et dit aux grands dieux :
« Vous m'aviez ordonné une tâche : je l'ai achevée.
vous avez égorgé un dieu, avec son intelligence.
J'ai supprimé votre travail pénible,
et votre dur labeur, c'est à l'homme que je l'ai imposé.
vous avez transféré la plainte à l'humanité :
(pour vous,) j'ai délié le joug, j'ai établi la liberté. »

Traduction R. Labat.

Page 261, « Naissance de l'écriture - cunéiformes et hiéroglyphes ». Galeries nationales du Grand-palais 7 mai-9août 1982. Ministère de la Culture. Éditions de la Réunion des musées nationaux. 1982.


Voici un autre texte révélateur de l'état de vérité existant antérieurement à la création du judaïsme :

Dialogue entre un maître et son esclave : conte moral.
Fin IIè millénaire av. le présent. (Mésopotamie). « Naissance de l'écriture - cunéiformes et hiéroglyphes ». Galeries nationales du Grand-palais 7 mai-9août 1982. Ministère de la Culture. Éditions de la Réunion des musées nationaux. 1982.
Page 262.

[« Esclave, viens ici à mes ordres !] - Oui, mon maître, oui !
[- File, va me quérir et ] m'attelle un char, que j'aille au Palais !
[Vas-y mon maître, vas-y !] Il y aura [profit] pour toi :
[le roi, en te voyant,] te comblera d'honneurs !
[- Eh bien, non, esclave,] je n'irai pas au Palais !
[N'y va pas,] mon maître, n'y va pas !
[La roi, en te voyant.] t'enverrait [où tu ne voudrais aller].

« Esclave, viens ici à mes ordres ! - Oui, mon maître, oui !
- Je veux aimer une femme ! - Aime, mon maître, aime !
L'homme qui aime une femme oublie inquiétude et soucis !
- Eh bien, non, esclave, je n'aimerai pas une femme !
- N'aime pas, mon maître, n'aime pas !
La femme est un puits, oui, un puits, une citerne, une fosse;
la femme est un poignard acéré qui de l'homme tranche la gorge. »

« Esclave, viens à mes ordres ! - Oui, mon maître, oui !
- Je veux faire du bien à mon pays ! - Fais ainsi, mon maître, fais ainsi !
L'homme qui fait du bien à son pays
ses bienfaits sont placés au « cercle » (des grands dieux !)
- Eh bien, non esclave, je ne ferai pas de bien à mon pays !
- N'en fais pas, mon maître, n'en fais pas !
Monte sur les collines de ruines d'antan, et les parcours,
considères-y les crânes mêlés des pauvres et des nobles :
lequel a fait le mal ? Lequel a fait le bien ? » …

- Esclave... qu'est ce qui est bon ? …
- Qui donc est assez grand pour atteindre le ciel ?
Qui est assez large pour embrasser toute la terre ?
- Eh bien, non esclave ! Je vais te tuer et te faire partir avant moi !
- Oui, mais, mon maître ne me survivra pas trois jours ! »

Traduction R. Labat.



Réflexions annexes :


L'escroc.

Le personnage de l'escroc n'a pas été assez étudié, alors qu'il est révélateur de la société humaine, et particulièrement celle judéo-occidentale. L'escroc est celui qui a compris que l'ordre social humain est fondé sur le faux, qu'il détourne à son seul profit, entrant en concurrence à lui seul avec le système global. Il tente d'être plus trompeur que le système global ne l'est. Parfois, il y arrive. Évidemment, il se sert en premier du droit et plus généralement des règles sociales, droit et règles mises en place pour tromper, dont il détourne le profit normalement destiné à la hiérarchie sociale, vers sa petite personne. C'est un parasite du système fondé entièrement sur le parasitisme. L'escroc est le parasite du grand parasite. Au fond, c'est un personnage sympathique, si il se limite à exploiter les puissants et les riches, hélas, la plupart des escrocs affaiblissent les faibles et les plus démunis, renforçant encore leur assujettissement. C'est la raison pour laquelle l'escroquerie n'est que très peu punie, car l'escroc est l'un des éléments du maintien de l'ordre, enfonçant plus encore les faibles dans l'impuissance.


La difficulté essentielle rencontrée dans la recherche fondamentale sur le phénomène du faux.

La
difficulté spécifique à cette recherche est qu'il n'y a pas un mensonge en particulier à étudier qui serait à l'origine de l'univers mental du faux, mais que c'est la structure même de l'organisation logique et plus généralement cognitive qui est devenue le faux.

Ainsi, le chercheur doit lutter contre le faux qui imprègne l'ordre social, c'est à dire qu'il est obligatoirement en opposition avec l'ordre social, mais qu'il doit aussi et surtout lutter contre lui-même, car son propre mental, sa propre structure psychique, son propre appareil cognitif, est lui-même faux et fabrique et propage le faux.


Difficulté mineure à ce type de recherche.

Comment faire pour rendre audible un discours sur le faux et le mensonge à autrui dans un univers mental global entièrement structuré sur le faux et le mensonge ? Ou autrement et plus simplement dit, comment éveiller à la conscience du faux ?


Aspects spécifiques du dérivé premier du judaïsme, le christianisme (devrait suivre à cet article un autre sur l'islam, comme dérivé second du judaïsme, peut-être, car l'auteur qui est d'origine catholique oriental et qui a traversé de nombreuses organisations catholiques, connaît beaucoup moins bien l'islam).

Les messages du fameux personnage mythique « Jésus Christ » (une sorte de juif dissident, sorte de Ron Hubbard antique (celui qui a fondé la l’Église de Scientologie au 20ème siècle), sont révélateurs de la quasi perfection de ce qu'on nomme le nouveau testament, ou vie de Jésus relatée par ses disciples, ouvrage quasi indépassable comme manuel de désinformation et de manipulation politique de masse, non pris en compte en tant que tel, et évidemment à sa juste mesure. Le nouveau testament devrait être en bonne place dans les bibliothèques des institutions de formation des polices politiques, aux côtés de la torah, du coran, de Sun Tzu, de Volkoff, Le Carré et autres.

« Aimez-vous les uns les autres », incluant ceux qui vous exploitent, vous spolient, vous violent, détruisent votre vie et celles de vos proches, votre environnement, etc … cette formule a à voir avec l'autre qui conseille de tendre l'autre joue à celui qui vous frappe. Indépassable et pour le moment indépassé. Il n'est pas étonnant que l'Empire romain déclinant ait adopté le christianisme comme religion d’État pour continuer à assurer le maintien de son ordre, et à maintenir sa plèbe dans l'impuissance.

Autre message fondamental ; en substance : le riche ne peut accéder au paradis (alors que le pauvre lui le peut). Évidemment, pour quoi le riche devrait avoir besoin d'espérer pour supporter sa vie frustrante dans un lendemain inaccessible merveilleux, de plus qu'il ne connaîtra qu'après être mort (la fameuse vie après la mort, autre slogan indépassable, typiquement Orwellien), alors que la richesse est dans ce monde humain le paradis réel, qui de plus ne peut exister
que s'il y a environ 1000 pauvres pour un riche (c'est le ratio approximatif universel et de tous les temps).

A côté du nouveau testament, les manipulations de masse
soviétiques du temps de la guerre froide, étaient des exercices du niveau de l'école maternelle, avec ses mouvements pour la paix et le désarmement atomique, implantés en Occident, comme les œuvres de Greenpeace en France pour affaiblir l'industrie nucléaire française au profit de celle US … dont on ne parle pas assez d'ailleurs.


Sur l'avatar tertiaire du judaïsme, l'islam.

Il faudrait qu'il y ait un musulman qui se charge de faire une analyse de l'islam comme instrument d'aliénation et de maintien de la masse dans l’assujettissement. Mais alors qu'il y eut de nombreux juifs (dont Israël Shahak) et chrétiens (le premier étant l'incontournable curé Meslier) qui firent ce travail sur leurs religions respectives, il y a à ma connaissance bien peu de musulmans qui l'ont fait pour l'islam. Il y en a sans aucun doute à titre individuel et en privé, restés inconnus, ou qui ont été très mal diffusés, tel Mondher Sfar, que j'ai personnellement connu. Toutefois, l'islam est en apparence la plus performante des métamorphoses du judaïsme originel, car c'est la seule doctrine d'aliénation de masse qui ait réussi à produire en nombre des suicidaires provenant des milieux les plus humbles, capables d'abandonner leur pays natals pour donner leurs vies dans l'intérêt des multimillionnaires US, israéliens, français, anglais et autres d'Occident et d'Arabie Saoudite, de Turquie, des Émirats, du Qatar … milliardaires
qui ont un mépris proprement cosmique pour ces malheureux qui leurs lèguent leurs existences pour moins que rien.


La « double-pensée » du roman de politique fiction de George Orwell, 1984.

Pour faire cohabiter en un même esprit le vrai et le faux, un même objet étant présenté comme vrai tout en sachant que c'est un faux, c'est à dire à la fois vrai et faux, soit une chose et son contraire, il faut pratiquer un exercice de destruction
de la logique dénommé double-pensée, dont la figure topologique est l'anneau dit de Moebius. Sur l'anneau de Moebius, la piste est unique et va vers l'infini alors que c'est un circuit fermé sur lequel on ne fait que marcher sur ses propres pas. La ligne droite est en fait un cercle, et l'échappée vers l'avenir n'est qu'un enfermement, une répétition infinie du même geste. C'est tout le problème du faux qui est posé par l'anneau de Moebius, car toute société fondée sur le faux est une société fermée qui n'évolue pas, qui stagne et qui est vouée à la disparition. L'anneau de Moebius est le symbole de la religion, et particulièrement de celle qui en est exemplaire, le judaïsme.


La culpabilisation juive et chrétienne, et l' « arrêt du crime » du roman de politique fonction de George Orwell 1984.

La culpabilisation judéo-chrétienne est un implant psychique réalisé par le moyen de l'imprégnation culturelle et affective auprès des population juive et chrétienne, un blocage de toute pensée ou décision entraînant une infraction au commandement suprême non-écrit dans les 10 commandements, le commandement suprême sans lequel les autres commandements sont inefficients, qui renvoie au « péché originel », ce commandement étant « Tu ne comprendra pas ».

Ne pas comprendre, ne pas voir, ne pas entendre, étant symbolisés par les trois singes asiatiques, la main devant la bouche interdisant le verbe, le verbe étant l'intelligence, la compréhension.

L'arrêt du crime ou culpabilisation bloque tout processus intellectuel.

Il s'agit de la pierre angulaire, la clé de voûte qui tient l'ensemble de l'édifice de maintien de l'ordre, de tous les temps et en tous les lieux géographiques.

Qui découvrira comment extraire cette clé de voûte aura le moyen de transformer l'humanité et lui permettra d'évoluer à nouveau et de sortir de l'ornière fatale où elle s'est engagée.

Ce sera l'objet
unique de la suite de cette recherche.