Fondement antinomique existentiel entre le bouddho-taoisme et le judéo-christiano-islamisme.

Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier, ex-France, province coloniale de l'Empire israélo-US en voie de désagrégation, le 22 septembre 2018.

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Le bouddho-taoisme peut se définir très succinctement en relevant deux passages du livre Histoire de la Chine de Danielle Elisseeff (2007, Le Grand livre du Mois, autorisation des Éditions du Rocher), chapitre sur l'empereur Liang Wudi (règne de 502 à 549) :

« Sa conversion profonde au bouddhisme remonte vers 515. Elle se traduisit d'emblée par une perception aiguë de l'unité du vivant, ... »

« Dix ans plus tard, enfin, en 547, l'empereur fit retraite pour la troisième fois. Il ne supportait plus ni le monde, ni ses cruautés, ni l'idée terrible de la vie qui se nourrit de la vie. Il mangeait de moins en moins, pratiquant un régime végétarien strict. ... »

L'esprit du bouddho-taoisme est l'éveil total de ses sens. C'est ce que le texte d'Elisseeff désigne par la perception aiguë du vivant. C'est une démarche d'ouverture. Dans ce texte, le vivant est restrictif, car tout ce qui existe
est vivant, et il n'y a pas comme dans la pensée occidentale, d'un côté la matière inerte, morte, et la vie biologique, une pierre est la vie, un morceau de métal est la vie, la lumière est la vie, l'air est la vie etc …

Cette perception totale, ce qui signifie l'épanouissement total de l'être, et de même l'intelligence totale, mène à la conscience que la vie se nourrit de la vie, et cela pose problème à un être dont la perception de la vie, dont l'intelligence de la vie
est totalement épanouie.

La forme de vie humaine doit se confronter à ce problème, et c'est l'un des plus difficiles
qu'il a à résoudre.

C'est un peu comme si dans l'échelle de l'éveil de la conscience, arrivé à un certain barreau, ce problème devait se poser à toute forme de vie accédant à ce niveau :

« Comment être en détruisant d'autres êtres ».

Le bouddho-taoisme pose ce problème.

Il ne donne pas de solution.

Mais on pressent que la solution se trouve en progressant encore plus haut sur l'échelle de l'éveil de la conscience, en augmentant encore plus sa perception de la réalité, et que la solution se trouve dans la perception aiguë de l'unité du vivant.

Il n'y a pas à dire plus, c'est un chemin à ouvrir, des barreaux à créer sur l'échelle de l'éveil de l'intelligence et de la perception, on ne peut avancer en imagination au-delà du chemin déjà réalisé pour répondre à cette problématique, et il n'y a aucuns
imposteurs et mystificateurs idéologiques, tels les prophètes, messies, devins, voyants, aucune paroles révélées, aucun dieu ou entité fantasmatique transcendante et pseudo-peuples élus par ces mirages pour y répondre à la place de ce qui vit, de ce qui est. La vie est la vie, auto-crée, et elle est seule en cause dans le chemin qu'elle accomplit, seule responsable de ses décisions, seule auteur d'elle-même, personne ne la commande, personne ne la dirige, ne la guide, personne n'est devant elle dans son avenir, elle façonne elle-même son devenir à chaque instant.

Le bouddho-taoisme est d'esprit similaire au darwinisme occidental, et une synthèse devrait être réalisée entre le bouddho-taoisme et le darwinisme.

Le judaïsme et se clones dévirilisés, amoindris, dont les crocs et les griffes ont été limés, que sont le christianisme et l'islam, est très facile à définir, toujours en partant des deux extraits du livre de Danielle Elisseeff.

Le principe du judaïsme est non-pas l'éveil des sens, l'épanouissement de la perception, la plénitude de l'être et de l'intelligence, mais l'atrophie de ces derniers.

Le judaïsme est un corpus d'endoctrinement à la suprématie interne à l'espèce humaine, la torah est un manuel de conditionnement à la conquête matérielle et politique au sein de l'espèce humaine, les juifs sont le fruit de ce qui n'est autre qu'un dressage à la domination absolue.

Or, qui dit domination, dit hiérarchie, dit division en classes, en supérieurs et en inférieurs, dit donc rupture de l'unité, dit en conséquence fermeture de la perception, car pour dominer autrui il faut ne pas voir l'unité de la vie et qu'il est a minima son semblable et mieux, soi-même, qu'autrui et soi-même sont une seule chose, que la notion d'étranger et d'autre est une illusion.

Le judaïsme se fonde sur l'atrophie des sens, l'atrophie de la conscience, l'amputation du ressenti, des sentiments, la répression et la censure de l'intelligence, l'intelligence, (ce qui relit en latin), est remplacée par l'expédience (d'expédient : arrangement), l'expédience étant une forme très chétive, volontairement limitée, réduite, étriquée, étouffée
de l'intelligence.

Par contre, pour dominer au sein d'une espèce, ce qui implique de détruire toute forme authentique d'intelligence, l'expédience est une démarche bien plus efficace que l'intelligence et l'épanouissement de la perception, car elle est infiniment plus facile et économique à mettre en œuvre. Face à l'expédience l'intelligence est fatalement perdante à court terme, et l'expédience s'emploie à imposer comme rythme d'évolution, le court terme, voire le très court terme, voire l'instantanéité, qui impose surtout le « ne pas réfléchir », le réflexe pur, la non-pensée pavlovienne, l'action-réaction qui devient le but en soi.

Par exemple, par rapport à un juif, l'auteur de ce texte n'éprouve évidemment pas de haine ou d'agressivité, et ne va évidemment pas chercher le moyen de le détruire, car il ne voit en un juif qu'une des formes, certes regrettable et qu'il faut à tout prix dépasser si on veut que la vie sur la planète perdure, et lui donner la place d'une pièce exposée dans l'une
des vitrines du Muséum de l'Histoire de la vie terrestre, à ses divers stades évolutifs, section espèce humaine.

Par contre, le juif en lisant ce texte ressentira de la haine et désirera la vengeance et pourra à l'occasion chercher à nuire à l'auteur de ce texte. Il est expédient et non intelligent.

Qui gagnera dans ce cas, car de plus, à l'auteur du texte, l'idée de gagner n'a aucun sens ?

C'est le même problème qui s'est posé à l'empereur Liang Wudi, c'est ce problème que l'espèce humaine arrivée à ce stade, doit encore résoudre, être sans tuer et sans faire souffrir. Le juif lui ne se pose pas ce problème, le judaïsme l'a amputé quasiment dès le berceau de la conscience même qu'il puisse y avoir un problème à ce niveau.

Pourtant il faut bien faire quelque chose, car l'emprise totale des juifs est devenue effective sur la partie dite Occident de la planète, la partie la plus surarmée et la plus économiquement puissante, et cela présente un risque mortel pour l'ensemble de l'espèce, et de toute façon, une rupture totale du progrès possible de l'espèce humaine et au-delà, de la vie sur la planète.

Poser en termes clairs ce problème et sans louvoyer comme le voudrait l'appareil occidental de censure entre les mains des juifs, soit d'amputation de la conscience, est déjà un pas.

Le lien qui suit mène à des textes qui tentent d'un autre façon que celle de l'auteur de ce texte, de faire d'autres pas.

Je rappelle qu'il ne s'agit pas de vaincre, car il ne peut y avoir de concept de victoire, sauf si on se satisfait de l'illusion.

Je m'excuse auprès des juifs qui ne correspondent pas à la généralisation faite dans ce texte au sujet des juifs, mais rien ne les empêche de faire comme les libertaires français du 19ème siècle, qui obtenaient d'être débaptisés en exigeant un certificat de débap
tisation du prêtre et d'être rayé de son registre des baptêmes. Que les juifs en question aillent exiger de même des rabbins. On a toujours le choix de rompre de ses origines imposées, sociales, religieuses, nationales et autres aliénations qui vous rendent étrangers à soi-même. L'auteur de ce texte, lui, se définit uniquement comme un forme de vie.


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