4 communications sur les fondamentaux humains par Michel Dakar le 9 avril 2020.

http://www.aredam.net/4-communications-sur-les-fondamentaux-humains-par-michel-dakar-le-8-avril-2020.html


Sommaire :

1 - La signification du programme MK-ULTRA.
Documentation : http://www.aredam.net/signification-MK-ULTRA.pdf
Illustration : René Laloux, Gandahar, 1987 : https://www.youtube.com/watch?v=jbyVCye7Z_4

2 - Deux cas de maladies mondiales créées par les Occidentaux, le SIDA, Lyme.

3 - Un bijoux typique occidental de désinformation.
« Algérie 1988-2000 Autopsie d’une tragédie ».
https://www.youtube.com/watch?v=ZYyBZ7gW02M

4 - Poursuite de la mise au jour de la réalité occidentale hors de son décor factice global du type village Potemkine d’État vertueux de droit.
Documentation : http://www.aredam.net/mise-au-jour-police-speciale-politique-administrative-france-defense-etat-de-non-droit.pdf

Illustrations :
Les animaux non-malades de la peste profitent de la paix due au « confinement » des animaux malades de la peste (sieste au soleil comme chaque matin, le 8 avril 2020).












1 - La signification du programme MK-ULTRA.

Documentation, deux livres :
Alexandre Lebreton « MK Abus rituels et contrôle mental , Outils de domination de la « Religion sans nom », Éditions Omnia Veritas, 2016.
Mohamed Ould Slahi « Les Carnets de Guantanamo », présentés par Larry Siems, Éditions Michel Lafon, 2015.

http://www.aredam.net/signification-MK-ULTRA.pdf

Le programme US MK-ULTRA comme celui de Guantanamo qui n’en n’est qu’un des prolongements, vise à modeler la personne humaine dans le but de la
priver de tout libre arbitre, d’en faire un esclave absolu et définitif.

Le livre de Lebreton est lui-même entaché de ce conditionnement qui vient du fond des âges, du moins de l’époque de la séparation animaux-humains, qui doit remonter à ce qu’on nomme l’humain moderne, neandertal -cro-magon, soit environ entre 150 000 à 30 000 années avant le présent.

Ce que décrivent les livres précités sont en quelques sortes l’arbre qui cache la forêt, soit des cas spécifiques extrême d’un état général morbide.

Dans le cas de Lebreton il s’agit des personnalités multiples provoquées par des tortures physiques et psychologiques parentales ou par l’élite, opérées dans le but d’obtenir un asservissement total des victimes (la réalité du phénomène dit des « personnalité multiples » reste encore à prouver).

Dans le cas d’Ould Slahi il s’agit d’un programme copié à l’identique sur celui de la police politique soviétique de Staline qui a abouti aux procès de Moscou où des communistes intègres s’accusaient d’avoir trahi l’Union soviétique qu’ils avaient servi le plus fidèlement possible, et qu’ils continuaient de servir avec l’abnégation la plus totale en reconnaissant des crimes qu’ils n’avaient pas commis les envoyant à la mort où dans des camps de travaux forcés.

L’état général de l’espèce humaine est celui de l’esclavage depuis son apparition en tant qu’espèce supérieurement intelligente.

Apparitions
dans l’évolution de la vie sur la planète Terre de l’esclavage et et de l’intelligence supérieure sont étroitement intriquées, et demeurent inconnues chez les autres formes de vie de la planète.

Les formes de modelage psychiques décrites dans les deux ouvrages suscités ne sont que de maladroites tentatives pour obtenir ce que la nature a mis environ une centaine de milliers d’années à produire.

A la différence de l’humain, les animaux ne connaissant pas l’esclavage. Ils n’ont pas intériorisé un statut d’objet appartenant à un autre, ni même au sein de leur société les statuts de dominant et de dominé. Il suffit de vivre au contact d’une société animale quotidiennement pour le constater. Il y a une hiérarchie, mais elle est à chaque instant contestée, le chef ne jouit d’aucun respect et il ne doit sa prééminence qu’au fait qu’il lutte à chaque instant pour la conserver. Il n’y a pas de transmission hiérarchique par l’hérédité. Par exemple, mon bélier qui est le dominant doit ses quatre dents de devant cassées par les coups de cornes qu’il a reçu de ses pseudo inférieurs, et même les plus paisibles parfois se permettent de le charger, et cela sans aucune retenue. Régulièrement, pratiquement chaque fin de journée il doit faire une démonstration de force qui n’impressionne personne puisque cela provoque certes des fuites, mais fuir n’est pas se soumettre, seulement se mettre en sûreté (tout le monde se perche hors de son atteinte). Rien à voir avec les comportements humains, dont l’intériorisation de l’esclavage la plus aboutie est ce qu’on nomme la démocratie, avec les esclaves allant jusqu’à désigner leurs maîtres, du moins c’est ce qu’on leur fait croire, car le vote n’est qu’un procédé de renforcement périodique de l’intériorisation ancestrale à l’esclavage.

Mais tout cela crée la souffrance, car il ne peut y avoir perte du libre arbitre sans souffrance.

C’est cette souffrance qui n’a pas encore disparue, mais qui pourrait un jour disparaître qui est la cause de l’instabilité sociale. C’est ce qui a été traité dans le livre d’Aldous Huxley Le Meilleur des mondes, une société où chacun est heureux à sa place, depuis les plus bas dans l’échelle sociale aux plus hauts.

Il y a deux moyens d’obtenir cette stabilisation sociale.

Le premier est d’opposer à la souffrance naturelle due à la perte de sa liberté et donc faisant naître le désir de se libérer, une souffrance encore plus forte, comme les romains qui crucifiaient les esclaves, la mort survenant après parfois des jours de ce supplice.

La seconde est pour le moment utopique, décrite par Huxley, consistant en une maîtrise absolue de la physiologie, de la génétique, de la chimie, de la psychologie, de la sociologie, et autres, pour obtenir la fabrication d’individus parfaitement adaptés à n’importe quel statut social (société du type fourmilière).

Ces deux sont insatisfaisants.

Dans le premier cas c’est l’état de guerre sociale constant, et cela est économiquement coûteux et socialement étouffant. Chaque individu finit par être surveillé par un autre, comme dans le cas de l’ex-RDA avec la Stasi.

Dans le cas second, la perte de créativité individuelle devient si énorme qu’elle obère tout développement de la société et mène à une régression. C’est ce qui commence à apparaître en occident actuellement, les blocs rivaux ne devant la préservation de leur créativité qu’en raison de la peur provoquée par la menace existentielle réelle due à l’impérialisme occidental planétaire.

Avant de passer au cœur du sujet, il y a encore à traiter le cas des malheureux animaux domestiqués, ceux que l’humain utilise comme des objets (chevaux, bœufs, chiens).

Ce sont des animaux dénaturés, dont les humains ont retiré leur sens inné vital, en les prélevant de leur milieu social naturel, pour leur inculquer un état mental adéquat avec leur statut d’objet, d’esclave. Heureusement il y a peu d’espèces animales qui se prêtent à cette métamorphose. Elle est possible par un jeu de circonstances qui font que l’humain peut se transposer dans l’univers mental atavique de cette sorte d’animal, en y prenant la place de la mère nourricière ou encore du chef de bande comme chez le chien. Cela va souvent avec la castration qui fait rester psychiquement immature l’animal adulte, sauf pour le chien dont l’agressivité doit être préservée.

Heureuses les espèces qui ne supportent pas la captivité et qui se laissent mourir une fois privées de la liberté (un quart environ des chimpanzés se laisse mourir en captivité). Ce n’est pas hélas le cas de l’espèce humaine. C’est son défaut majeur.



1 - 2 Comment défaire ce que l’évolution a mis plus d’une centaine de millier d’années à construire, et qu’est-ce qu’il est question de défaire ?

Illustration : René Laloux, Gandahar, 1987 : https://www.youtube.com/watch?v=jbyVCye7Z_4

La question peut être posée d’une façon telle que la question porte en elle la réponse :

Comment faire pour sortir d’une prison quand on est la prison ?

Car c’est bien de cela qu’il s’agit.

C’est aussi la raison pour laquelle il est jusqu’alors impossible de changer, deguérir réellement des maladies mentales, que les expérience anarchistes ont toutes échouées.



1 - 3 Comment ne est-on arrivé là ?

Il s’agit de ce qu’on nomme processus itératif.

Il y a environ une centaine de milliers d’années, l’intelligence humaine s’est développée à un point tel qu’elle a permis de modeler sciemment la structure sociale humaine, cette structure sociale transformée par l’intelligence a à son tour provoqué une transformation du cerveau humain et de l’intelligence, qui à son tour a entraîné une transformation de la structure sociale humaine et ainsi de suite.

Une fois enclenché, un processus itératif ne s’arrête pas de lui-même, seule une circonstance extrinsèque peut le faire.

Dans le cas de l’espèce humaine, la structure sociale hiérarchisée animale d’où l’espèce humaine est issue, mais où les animaux restent psychiquement libres, insoumis, a été intégrée et modélisé au sein du psychisme humain supérieur à celui de l’animal, capable de transformer cette modélisation dans le but d’en améliorer l’efficience, soit de stabiliser la hiérarchie, la dominance, qui est fugace dans les sociétés animale. En retour, la société humaine s’est trouvé modifiée, par une stabilisation de l’ordre hiérarchique devenant pérenne, lequel en retour a entraîné une modification de la structure psychique humaine qui a évolué en renforçant encore l’ordre hiérarchique et ainsi de suite, jusqu’à sa pétrification absolue dans le rapport immuable maître et esclave, l’esclave étant de façon évidente une chose, soit un non-être, une absence de vie, mais le maître étant son identique, car seule une machine, un objet, un non-être peut considérer un autre être comme un objet, une machine. Maître et esclave sont d’une nature unique, des choses, des objets, des machines, des non-êtres.

On peut imager l’état de non-être par la prison.

L’unique problème qui se pose est comment sortir d’une prison, quand la prison et le prisonnier sont confondus.

Un prisonnier ne peut sortir de la prison si il est lui-même la prison.

De plus, le traitement, la libération doit se jouer sur deux plan, celui social, politique, par une transformation concrète de l’ordre social faisant disparaître les figures de maître et d’esclave, et sur le plan psychique intérieur où se trouve intériorisé cette structure maître et esclave.

Je n’ai pas de réponse, je me contente de poser le problème, le plus clairement possible, je ne suis pas le messie, il n’en existe pas, ni d’homme providentiel.




2 - Deux cas de maladies mondiales créées par les Occidentaux, le SIDA, Lyme.

2 - 1 Le SIDA

Les Origines du Sida - Reportage Complet - Entier 2013 - YouTube
AUTEUR: Peter Chappell, Catherine Peix

https://www.youtube.com/watch?v=tWEFkaMPMso

http://www.docusdunet.net/?WbJRhQ

2 - 2 Lyme

- Michael Christopher Carroll, auteur du livre « Lab 257 : The disturbing story of the government’s secret germ laboratory ». William Morrow Paperbacks editor 2004.
Interview de l’auteur :
https://www.youtube.com/watch?v=3wDyHJWLqyk

- Kris Newby, auteur du livre « Bitten : The secret history of lyme disease and biological weapon ». Harper Wave editor 2019.
Article de Counterpunch sur Kris Newby :
https://www.counterpunch.org/2019/05/17/where-lyme-disease-came-from-and-why-it-eludes-treatment/
Traduction : http://www.aredam.net/kris-newby-lyme-counterpunch.html
Interview de l’auteur :
https://www.youtube.com/watch?v=ud1iwcw3Pj4

- Exemple de matériel de désinformation produit par le gouvernement US :
PLUM ISLAND CONSPIRACY - THE TRUTH IS OUT THERE 25 juil. 2013
Igbo Abasiama
Hello friends of YouTube, this is Dr. Igbo Abasiama, Chief Professor and Researcher of Cryptozoology at Kinshasa University, Democratic Republic of the Congo. This is the first episode of my new series entitled Cryptids - The Truth is out There. This episode shall focus on Plum Island, a mysterious United States federal research facility allegedly dedicated to the study of animal diseases, but the truth is far more disturbing...
https://www.youtube.com/watch?v=pdoWwzY2p7I



3 - Un bijoux typique occidental de désinformation.

Un chef d’oeuvre rare de production de la désinformation qui est sans doute étudié dans les centres de formation pour désinformateurs (écoles de journalisme).
De Séverine Labat (française, scientifique, EHESS et CNRS) et Malik Aït-Aouda (agent des services secrets algériens) :
produit par l’officine « Phares et Balises », France 5 et FR3 en 2003.
« Algérie 1988-2000 Autopsie d’une tragédie ».
https://www.youtube.com/watch?v=ZYyBZ7gW02M
Résumé :
Comment une clique de prédateurs mafieuse au pouvoir depuis plus de 40 ans et ayant épuisé les ressources d’un pays riche en pétrole et en production agricole, et ayant épuisé sa propre population, fabrique de toutes pièces une menace (le fanatisme religieux) pour se maintenir au pouvoir en terrorisant et massacrant sa propre population (100 000 morts en 10 ans, par les fameux GIA – Groupes islamistes armés, que la population algérienne traduisit par : Groupes islamistes de l’armée), cela avec la collaboration de quasiment l’ensemble des services secrets mondiaux. On pourrait presque imaginer que l’Algérie a été le laboratoire d’expérimentation pour la guerre sans fin contre le terrorisme islamiste des sionistes US, créé de toutes pièces.
La quasi totalité des personnages qui apparaissent dans ce documentaire sont des acteurs récitant leurs rôles, du inféodés régime algérien. En France, nos marionnettes politiciennes ont encore des progrès à faire. Ne pas manquer l’interview du responsable des droits de l’homme.



4 - Poursuite de la mise au jour de la réalité occidentale hors de son décor factice global du type village Potemkine d’État vertueux de droit.
Documentation : http://www.aredam.net/mise-au-jour-police-speciale-politique-administrative-france-defense-etat-de-non-droit.pdf

Nota 1 : ce point n°4 a à voir avec le merveilleux film de René Laloux Gandahar et ses hommes métal, et sa planète se recouvrant entièrement de métal.
René Laloux, Gandahar, 1987 : https://www.youtube.com/watch?v=jbyVCye7Z_4

Nota 2 : une réponse sera apportée à la missive des hommes métals avant la fin du délai de 15 jours.