Situation mondiale globale : cela va bien au-delà que ce qui est dit.
Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier (76), publié le 21 août 2016.
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Illustration :
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Ce qui est dit est que nous vivons un effondrement du bloc occidental, lequel est dominé au niveau entités géographiques, par les USA et Israël, au niveau sociologique, par les potentats financiers anglo-saxons et juifs, et au niveau organisationnel, par un conglomérat de réseaux divers américains et ce qu'on peut dénommer l'Organisation juive mondiale, une entité originale, comparable à aucune autre organisation, hybride de toutes les formes possibles de réseaux cryptés d'influence et de prise du pouvoir, tels mafias, sectes, franc-maconneries, services secrets, confréries etc...

Ce qui est dit est que cet effondrement se réalise aux niveaux économique et militaire.

Mais cela va bien au-delà et il s'agit d'une chose d'une autre nature que celle de l'effondrement, et ce type d'évènement n'est encore jamais survenu dans l'histoire humaine.

Ce que le bloc occidental est en train de vivre, et qu'il ne peut en aucune manière arrêter, est une disparition de sa société.

La société est entrain de disparaître dans le bloc occidental, et jamais en aucun lieu et en aucun temps, un groupe humain, organisé de quelque manière que ce soit, famille, clan, tribu, chefferie, royaume, nation, empire et autres, a vu sa société disparaître. C'est un phénomène qu'on ne connaît pas, et qui reste à découvrir.

A ce stade, on ne peut que constater cette évolution, et il a même été difficile à l'auteur de ce texte d'identifier spécifiquement cette évolution, et de la dénommer.

Il est impossible d'imaginer ce que peut être un groupe humain dont la société disparaît.

Un groupe humain peut-il continuer à exister sans société, et quels vont être les manifestations de cette disparition ?

Quels vont être les rapports possibles entre le bloc occidental et l'ensemble constitué des autres blocs humains, qui eux ont conservé leur société ?

Que peut-être une planète humaine avec en son sein une partie qui vit sans société ?

L'auteur de ce texte n'a pas à s'aventurer au-delà de ce qui est constatable, et à tirer des conjectures.

Mais intuitivement, n'est-ce pas souhaitable que l'ensemble de l'humanité qui possède toujours son sens social se ligue pour éliminer cette enclave qui a détruit ce sens, car il est visible que toutes les actions de cette enclave ont pour objectif de détruire le sens social des groupes humains qui le possèdent encore ?

A cette fin, l'auteur de ce texte, par pur réalisme, déclare choisir le camp russo-chinois, en espérant que l'Inde le rejoigne, ainsi que l'Amérique du sud et l'Afrique.

Michel Dakar, le dimanche 21 août 2016, 9 heures 34, Villequier (76).