Remarque suite à l'article du site Strategika51 du 7 février 2020, portant sur la continuation de ce site après la date prévue de sa disparition au 14 février 2020, de la part de Michel Dakar, chercheur autonome en politique globale, écrit le 10 février 2020 à Villequier, France (entre Rouen et le Havre, sur le fleuve Seine).

http://www.aredam.net/remarque-suite-a-article-site-strategika51-du-7-fevrier-2020-continuation-de-ce-site-apres-date-prevue-de-sa-disparition-au-14-fevrier.html

Lien avec l'article en question :

https://strategika51.org/2020/02/07/le-portail-strategika-51-continuera-apres-le-14-fevrier-2020-date-prevue-de-sa-disparition/

Extrait de l'article :
« L’avenir nous le dira, du moins pour celles et ceux qui seront toujours là d’ici deux décennies. Pour le moment, l’humanité s’enfonce dans la boue des passions les plus viles, se contentant du plus superficiel des reflets et développant un narcissisme couplé à un égo aussi démesuré que ridicule. »

L'intégralité de l'article est reproduit au bas de cette page.







Prince Rahotep avec sa femme la princesse Nofret 4è Dynastie, Medûm (environ 4600 ans avant le présent). Livre « Musée égyptien Le Caire », Lehnert et Landrock Succ. K. Lambelet, Le Caire, Kumberly + Frey, Berne, 1975, 4è édition 1984.








L'extrait suivant de cet article : « L’avenir nous le dira, du moins pour celles et ceux qui seront toujours là d’ici deux décennies. Pour le moment, l’humanité s’enfonce dans la boue des passions les plus viles, se contentant du plus superficiel des reflets et développant un narcissisme couplé à un égo aussi démesuré que ridicule. » pose problème.

Il pose un tel problème qu'il est difficile de se situer au niveau pour l'évoquer.

Mais il faut bien le faire.

Les deux illustrations ci-dessus montrent que pour certains, on peut se sentir bien, voire extrêmement bien dans la boue des passions, le superficiel, le narcissime et un égo démesuré et ridicule, et que cela ne date pas d'hier, mais d'avant avant hier et même plus loin sans aucun doute. Ces deux là tiennent le coup comme cela depuis plus de quatre millénaires. Et la plupart les admirent et les prennent en modèle de la civilisation réussie et exemplaire.

Ils ne voulaient rien savoir de considération comme « 
L’avenir nous le dira, du moins pour celles et ceux qui seront toujours là d’ici deux décennies », pour eux, la vie sur terre était éternelle à condition de préserver le corps et de le nourrir.

Il y a du travail à accomplir, il y a une montagne gigantesque à déconstruire.

Il n'y a pas d'autre choix que de le faire, car il y a au moins une certitude que j'aimerais faire partager, c'est que la fin du monde n'existe pas, qu'il y a toujours un cercle plus profond à l'enfer, que le pire ne connaît pas de limites, que chaque pas accompli dans un cauchemar l'étend devant soi, et que notre espèce possède une sorte de qualité, c'est l'adaptation, et qu'un univers devenant totalement monstrueux verra l'apparition d'humains totalement monstrueux qui s'y sentiront parfaitement heureux, et pour qui la monstruosité sera la norme.



Contenu de l'article du site Strategika51, du 7 février 2020
https://strategika51.org/2020/02/07/le-portail-strategika-51-continuera-apres-le-14-fevrier-2020-date-prevue-de-sa-disparition/

Le portail Strategika 51 continuera après le 14 février 2020, date prévue de sa disparition

On: 07/02/2020

In: Analysis

With: 9 Comments




Le portail Strategika 51 subit des perturbations mais devrait survivre sous une forme ou une autre à l’échéance du 14 février 2020. C’est à cette date en effet, à 0000Z que prend fin le contrat qui nous lie à la plate-forme hébergeant le contenu que vous lisez présentement.

Inutile de revenir sur les modèles de survie, de monétisation ou d’amortissement des coûts de maintenance de blogs ou de sites au contenu assez controversé et classé « sensible » comme le notre. C’est une problématique assez large et très bien connue. Quand on choisit une thématique comme la notre, il faut oublier toute forme de sponsoring ou de partenariat. C’est le prix à payer dans un monde où le mensonge permanent est devenu le ciment unissant les structures de ce que nous percevons tous plus ou moins comme une forme de réalité.

C’est également le chemin à suivre. Quand il s’agit de quête de vérité, on se retrouve toujours seul et isolé au milieu des colporteurs et des fausses réclames du marché ou l’on vous vend des produits avariés ou trafiqués. A chacun sa voie. Tout s’écoule.

Le monde s’écroule. La ligne rouge est atteinte. Il y aura de nouvelles épidémies et même des pandémies virales inconnues jusqu’ici. Le risque de guerre nucléaire n’a jamais été aussi grand. Le vol est devenu universel. La loi un justificatif pour les puissants afin d’écraser le plus faible. Les États s’effondrent sous nos yeux. Il n’y a plus d’économie réelle. La science régresse. Les humains sont de plus en plus hébétés, hagards, hypnotisés, manipulés de la naissance jusqu’à la mort. Les religions sont devenus des fonds d’investissement et l’éthique n’est plus qu’un sophisme tordu. La nature souffre. Elle se révolte. L’activité sismique est de plus en plus inquiétante et secoue la planète de bout en bout. Le champ magnétique terrestre est en pleine perturbation, l’activité solaire devient de plus en plus bizarre et incompréhensible. Est-ce la fin d’un cycle avec ses cataclysmes, sa peste, ses guerres et ses famines ? Est-ce le début d’un nouveau cycle de destruction ? L’avenir nous le dira, du moins pour celles et ceux qui seront toujours là d’ici deux décennies. Pour le moment, l’humanité s’enfonce dans la boue des passions les plus viles, se contentant du plus superficiel des reflets et développant un narcissisme couplé à un égo aussi démesuré que ridicule.

Nous sommes ivres morts et pourtant nous n’avons rien bu. C’est l’état de l’humanité de 2020.