Processus technique d'intériorisation de la soumission.

Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier ex-France, province coloniale de l'Empire Israélo-US en cours de désintégration, le 25 juin 2018.

http://www.aredam.net/processus-technique-d-interiorisation-de-la-soumission.html

Ce texte fait suite aux deux précédents :

Premier texte : http://www.aredam.net/experience-stanley-milgram-guantanamo-djihadisme.html

Second texte : http://www.aredam.net/vers-l-elucidation-du-phenomene-psychique-specifique-a-l-espece-humaine-l-interiorisation-de-la-soumission.html

Documentation :
Dossier origine réelle des « juifs » européens :
http://www.aredam.net/dossier-origine-reelle-des-juifs-europeens.html





Processus technique d'intériorisation de la soumission.


1 - On peut considérer le judaïsme comme l'aboutissement formalisé, visible et documenté, donc observable et analysable, du processus d'intériorisation de la soumission, qui a sans doute débuté bien avant la période dite moderne de l'humanité, modernité marquée par le phénomène d'incarcération, sa propre incarcération dans les villes, et l'incarcération de certaines espèces végétales et animales (sédentarisation, agriculture et élevage), et la destruction progressive de toutes les autres espèces non-incarcérées.

On peut placer en opposition au judaïsme la pensée taoïste et la pensée bouddhiste qui lui est similaire, lesquelles sont au contraire des voies vers l'émancipation de la soumission.

Le confusianisme est le courant de pensée chinois d'intériorisation de la soumission, ainsi que le bouddhisme religieux, le taoïsme religieux et l'hindouisme. Les bouddhismes religieux tibétains et japonais, ainsi que l'hindouisme
sont des formes asymptotiques d'intériorisation de la soumission. Toutefois, le judaïsme est l'unique forme d'intériorisation de la soumission comportant une détermination impérialiste universelle.

Le judaïsme s'est conservé tel quel. Il s'est aussi perpétué sous les formes du christianisme et de l'islam, qui sont des avatars du judaïsme et de la voie d'intériorisation de la soumission.

Pour analyser le processus d'intériorisation de la soumission, il suffit donc d'analyser le livre fondateur du judaïsme, la torah, qui est resté inchangé et qui est une sorte de manuel psychologique du processus d'intériorisation de la soumission.



2 - Analyse du parangon du processus d'intériorisation de la soumission, le manuel d'intériorisation de la soumission dénommé torah.


On peut prétendre ce paradoxe, que les juifs constituent la population la plus soumise de toutes les populations humaines, ce qui est paradoxal, puisque par la définition même de la population juive, elle se considère elle-même comme devant dominer toutes les autres populations humaines.

Ceci n'est paradoxal qu'en apparence, car pour bien soumettre autrui, il faut soi-même être bien soumis, un individu non-soumissable étant totalement indifférent à soumettre d'autres individus, et même plus, cela lui répugne, il va fuir les situations où d'autres sont en état de soumission par rapport à lui, comme il fuira les situations où il sera soumis par autrui.

Cela est dû à la formation psychique des juifs, laquelle se structure d'après un guide dénommé torah, qui fonde les juifs, la torah étant le manuel le plus ancien d'intériorisation de la soumission.

Il suffit donc d'étudier les juifs pour connaître le processus technique d'intériorisation de la soumission.

Ce qui définit le judaïsme est le monothéisme.

Qu'est-ce que le monothéisme ?

Le monothéisme est l'idée qu'il y a un seul être divin, surnaturel, au regard des autres religions de l'époque qui mettaient en scène une multitude de dieu, voire une infinité.

Or, que peut-il exister comme types fondamentaux de « dieux » ?

Il y a fondamentalement deux types de dieux : le type bénéfique, bienveillant, sécurisant, protecteur, et le type maléfique, destructeur, menaçant.

Donc, l'idée de dieu unique revient à fondre en un seul, les principes de protection et de destruction.

Le personnage du dieu unique assemble en son sein à la fois le côté protecteur, et celui destructeur.

L'intériorisation mentale de ce personnage par une population donnée, en l'occurence, celle des dits juifs, a pour conséquence qu'ils intègrent comme autorité une instance qui est à la fois dominatrice, destructrice, menaçante, et à la fois bienveillante, protectrice, créatrice.

Il est totalement impossible de se révolter face à une telle entité.

Toute velléité de révolte conduit à la culpabilisation, qui est la violence que le sujet dirige contre son agresseur, le dieu, retournée contre lui-même.

Voilà les deux principes techniques du manuel d'intériorisation de la soumission qu'est la torah :

Fusion des principes opposés de bien et de mal, et culpabilisation.

La conséquence d'un tel conditionnement sur une population donnée, est que cette population soumise à un tel régime de manipulation psychique, qu'on peut qualifier d'intrinsèquement pervers, est que l'autorité qui dirige cette population est garantie d'obtenir un état de servitude absolu, que cette autorité règne sur une masse d'esclaves ignorant même l'idée de révolte, et qui est façonnée mentalement pour que l'idée de révolte ne puisse naître en son sein.

La conséquence particulièrement observable d'un tel traitement mental, avec le cas des juifs, est qu'on est face à une population dominatrice constituée d'individus maintenus dans la plus implacable soumission, et que les non-juifs se trouvent commandés par des êtres imbus d'une autorité irrévocable tout en étant définitivement bloqués à un stade de développement psychique d'immaturité précoce, qu'il leur est impossible de masquer.

On peut en observer les effets avec la conduite de l'Etat d'Israël, incapable de respecter les règles adultes du monde humain normal, qui n'est ni idéal, ni foncièrement mauvais, qui est réel, simplement, et qui se trouve dans l'impossibilité de pouvoir évoluer du fait de sa domination par une population immature, incapable de faire face au réel, de compromis, et qui est strictement dressée à noyauter toute organisation humaine non-juive dans le but de la commander, et de fait, de la plier à sa propre vision immature et irréaliste du monde.



3 - Conséquences de la fusion des opposés propre au judaïsme et à ses avatars le christianisme et l'islam.

La fusion des opposés, le mal et le bien, la création et la destruction, se manifeste dans les slogans d'Orwell dans son roman 1984, « l'ignorance c'est la force », « l'amour c'est la haine », « la liberté c'est l'esclavage », la guerre c'est la paix », et dans celui ajouté par l'auteur, « la vie c'est l'agonie ».

C'est l'aboutissement extrême de l'intériorisation de la soumission, le dominé et le dominant se confondant, il n'existe même plus de notion de révolution, et par là même d'évolution. C'est la fin de l'histoire, la stagnation totale, la vie se figeant dans une stase glaciale atteignant le zéro absolu, l'absence parfaite de tout mouvement moléculaire, ce qui n'existe même pas dans le vide intergalactique.

La fusion des opposés symbolisé par le dieu unique du judaïsme revient à se projeter hors de la vie, hors de la mort, la vie devenant la mort et vice versa, soit hors de la réalité.

La fusion des opposés du judaïsme, stratégie parfaite de l'intériorisation de la soumission, revient donc à s'engager dans l'irréel, et c'est ce que nous pouvons constater cette fois dans le réel, avec la masse des individus s'évadant via les écrans dans un non-monde, et la naissance de ce qu'on nomme l'intelligence artificielle, qui est la non-intelligence, les réseaux sociaux, qui sont des non-réseaux de non-communication, la réalité augmentée, qui est la non-réalité etc … Le judaïsme renfermant une détermination universaliste, cette évasion dans la non-réalité doit donc s'étendre à la totalité de l'humanité, voire à la totalité de l'Univers, si l'espèce humaine parvient avant son autodestruction prévisible, sa dissolution dans l'irréel du néant, à s'affranchir de sa planète d'origine, pour essaimer et se répandre dans le cosmos, convertissant les formes de vie étrangères à sa fuite dans le néant. On peut même se demander si le judaïsme et sa fusion des opposés avec son dieu unique qui n'est que l'intériorisation de la soumission poussée à la perfection, n'est pas une voie apparue au hasard de l'évolution, dont le terme logique est l'anéantissement de l'Univers dans sa totalité, une sorte de faux pas fatal.


Texte en cours d'écriture au 29 juin 2018.