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Titre de cette page :

http://www.aredam.net/lettre-aout-2013-genevieve-garrigos-amnesty-france-guerre-otan.html

 

Lettre à la présidente d'Amnesty International France, Geneviève Garrigos, concernant son activité réelle dans le domaine de la protection des personnes victimes de violences étatiques, particulièrement au regard de la guerre syrienne.

Documents annexés à cette page Internet :

1 - Copie de la page pdf du site d’Amnesty France « Porte-paroles francophones Amnesty International France Biographies ».

2 - Copie de la page du site <focusonsyria.org> dont le contenu est reproduit en annexe de cette lettre.

3 - Scans de la page de la brochure d’Amnesty « La Chronique » sur <focusonsyria.org> et de sa couverture sur la Gay Pride, mouvement occidental planifié par les services de l’OTAN opérant dans sa tactique de guerre psychologique.

Voir aussi la page Internet du site <aredam.net> consacrée - entre autres - aux services spéciaux des groupes industriels de la pharmacie, chimie et du pétrole :
http://www.aredam.net/lettre-DRPPP-DCRI-DGSE-DPSD-DRM.html

Lien avec le site de Novagali Pharma :
http://www.novagali.com/fr/notre-societe/equipe-de-direction/

Liste et adresse des organisations auxquelles a été adressée cette lettre par voie postale

 

Lettre à la présidente d'Amnesty International France, Geneviève Garrigos

 

Michel Dakar
Route de Barre-y-va
76490 Villequier

Villequier, le 12 août 2013


Amnesty International France
Madame Geneviève Garrigos,
Présidente d’Amnesty International France
72 – 76, Boulevard de la Villette
75940 Paris Cedex 19

Objet : demande d’informations concernant votre activité réelle dans le domaine de la protection des personnes victimes de violences étatiques.


Madame,


J’ai relevé dans le numéro de juin 2013 de la brochure mensuelle « La Chronique » publiée par votre organisation, avec en couverture le mouvement international « Gay Pride », un article intitulé « Paroles de syriens » qui fait référence au site Internet « focusonsyria.org », site qui diffuse un message qui s’affirme comme humanitaire et indépendant, en langues anglaise, française et italienne.

La consultation rapide de ce site suffit hélas à infirmer totalement et sans laisser le moindre doute, la crédibilité de la ligne morale de ce site.

En effet, la publication sur ce site d’un présumé témoignage d’une personne syrienne dont la conclusion est mieux vaut la domination d’Israël à celle d’Assad suffit à classer ce site dans la catégorie très fournie des officines de propagande de l’OTAN : « même les Israéliens, pourtant considérés par les Syriens comme leur pires ennemis, seraient plus humains avec eux que ne l’est le président Bachar al Assad ».

Je me suis étonné que votre organisation, qui est riche en hommes et en moyens, autrement qu’un simple citoyen isolé comme moi, n’ait pas dévoilé la réalité cachée de ce site, alors que je l’ai effectué en simplement quelques minutes et sans un effort particulier de concentration.

En effet, qui peut oser proposer pour la Syrie la domination de l’OTAN dont Israël est un élément de facto, alors qu’on ne peut plus ignorer la vraie nature de cette domination, avec la Palestine entièrement détruite, l’Irak entièrement détruit, la Libye entièrement détruite, l’Afghanistan entièrement détruit, sinon des employés militaires au service de guerre psychologique de l’OTAN ?
Le fait que vous relayez le site « focusonsyria.org » suffit à dévoiler la réelle nature de votre organisation Amnesty International, et votre statut réel d’employé du service de guerre psychologique de l’OTAN, ce qui est caché bien sûr, comme pour « focusonsyria.org », derrière une apparence « indépendante et humanitaire ».

La guerre que poursuit l’OTAN depuis les attentats du 11 septembre 2001, qui ont été créés par ses instances dirigeantes comme prétexte de guerre, est par essence impopulaire, puisqu’il s’agit d’une guerre de conquête.

Aussi, comme il ne faut pas répéter l’échec de la guerre du Vietnam, qui a été en grande partie provoqué par un très fort, international et occidental mouvement populaire d’opposition à cette guerre, le parti a été pris de dénier la réalité même de cette guerre de conquête, et de n’engager que des troupes de métier, des forces mercenaires et des supplétifs comme les frères musulmans et la pseudo organisation terroriste présentée sous le sigle Al Qaida.

Il a aussi été décidé d’activer le conglomérat occidental d’organisations humanitaires, de défense des droits de l’homme dont celle que vous présidez, et autres multiformes de promotion de la démocratie, de défense des minorités sexuelles, de la liberté de la presse … qui ne sont que des coquilles vides, des apparences, masquant leur réalité d’officines du service de guerre psychologique de l’OTAN, et leurs cadres, dont vous-même, qui ne sont que des sortes d’officiers de ce service de guerre psychologique.

Cette lettre est écrite sans ressentiment, sans agressivité et sans haine.

Je souhaite que vous trouviez le courage d’y répondre et de répondre aux questions qui suivent.

A quel service concrètement avez-vous à faire ? Ce service est-il français, américain, israélien, anglais ou autre ?

Comment se passe la transmission des directives concernant l’orientation générale de l’activité de votre organisation Amnesty International France ? (lieux, périodicité des rencontres, protocole et autres)

Jusqu’à quels niveaux inférieurs à Amnesty France les cadres sont-ils des agents militaires ?

Avez-vous concrètement un grade militaire ?

Vous a-t-on fait signer un engagement, comme le faisait la Stasi, l’ex-police politique de l’ex-RDA communiste avec ses correspondants ?

Percevez-vous un traitement ? Si oui, sous quelle forme ? Vous fait-on signer un reçu ? Est-il viré sur un compte anonyme hors de France ?

Bénéficiez-vous d’avantages en nature, comme par exemple en ce qui concerne votre carrière professionnelle (vous êtes directrice des ressources humaines et de la communication à la société Novagali Pharma), ou des prêts bancaires à taux réduits ou nuls, ou encore remboursables à une échéance lointaine ou non fixée ?

Votre employeur est-il directement concerné par votre activité occulte, et bénéficiez-vous de facilités pour l’exercer (emploi du temps aménagé, frais de déplacement, hébergement en hôtel etc … ?

Est-il anodin que le numéro deux d’Amnesty International France, Francis Perrin, soit lié aux intérêts de l’industrie pétrolière, à l’instar de votre cas, qui est lié à l’industrie pharmaceutique, elle-même une dépendance de la pétrochimie ?

Selon vous, est-ce que le lobby pétrolier (pharmacie, chimie et pétroliers) pourrait exercer une activité occulte au sein de l’appareil secret de guerre de l’OTAN, dans son entreprise de reconquête coloniale mondiale ?

Est-ce que selon vous, une partie de cette activité occulte pourrait concerner des organisations telles que la vôtre, par l’intermédiaire d’une partie de ses cadres salariés, comme c’est votre cas, ou sans doute avec un statut de type consultant, comme cela pourrait être le cas de Francis Perrin ?

Vous a-t-on assuré d’une protection, au cas où le camp ennemi de l’OTAN (la Russie, la Chine, la Corée du Nord, l’Inde, l’Iran, l’Irak, en partie - pour le moment - l’Amérique du Sud, en partie - pour le moment - l’Afrique, la Syrie, le Liban, ce qui représente tout de même les neuf dixièmes de l’humanité) prendrait l’initiative de commencer à frapper les têtes des officines de guerre psychologique en charge de légitimer les destructions de peuples entiers et de rendre des régions entières définitivement inhabitables, comme en Irak et en Afghanistan, en Libye, en Yougoslavie, à Gaza, avec l’usage massif, intensif, volontaire et conscient de ses effets de contamination mortelle et sur des milliers d’années de l’uranium radioactif, dit « appauvri » ?

Quel est plus fondamentalement le lien entre le service de guerre psychologique de l’OTAN et la société Novagali Pharma, société de production de médicaments ?

Cette société pharmaceutique est-elle partie prenante avec le service de guerre psychologique de l’OTAN ?

Cette lettre, qu’au premier abord vous allez rejeter, n’a pour seul but que de tenter d’engager une extraction de l’ornière où vous êtes engagée, où nous sommes tous engagés.

Il est quand même plus facile pour moi de faire une telle action, qu’une personne qui est sans aucun doute tenue comme vous-même, et qui, si elle dévie de la ligne de conduite qui lui est imposée, sera impitoyablement réprimée.

Je suis donc conscient que votre réponse sera difficile à réaliser.

Je vous prie de croire que cette lettre n’a pour autre objectif que l’aide, à vous-même, et à tous ceux qui sont comme vous, pris dans un engrenage qu’on peut qualifier sans exagérer de terrible.

Je communique une copie de cette lettre à la direction de Novagali Pharma, ainsi qu’aux directions des principales agences de police politique françaises (DRPPP, DCRI, DRM, DPSD, DGSE), entre autres.

La publication de cette lettre sur mon site Internet <aredam.net>, ainsi que sa diffusion sur papier à la presse et autres, n’a pour but que de poser cette problématique publiquement, afin que tous participent à la résoudre. Il ne s’agit pas de malveillance, ce problème étant collectif, il ne peut être résolu que collectivement.


Dans l’attente de vous lire, je vous prie de recevoir, madame, l’expression de mes respectueuses salutations.

M. DAKAR

LRAR n° 1A 034 175 1080 3

Annexe :

Copie de la page du site <focusonsyria.org> affirmant que l’occupation israélienne vaut mieux que le gouvernement d’Assad (« même les Israéliens, pourtant considérés par les Syriens comme leur pires ennemis, seraient plus humains avec eux que ne l’est le président Bachar al Assad » ).

Mounira: une professeur d’art au beau milieu de la guerre

De F.D. le 31/05/2013

Mounira a presque trente ans. Avant la crise, elle habitait dans le nord de la Syrie et elle était professeur d’art dans un établissement. Elle enseignait le dessin, la sculpture et le travail de l’argile à des groupes de jeunes élèves âgés de 13 à 18 ans. Chaque année ils organisaient une exposition de leurs travaux dans différentes villes du pays. Mounira gérait aussi des activités artistiques pour les personnes handicapées. Enfin, pendant son temps libre elle se dédiait à la peinture et à la photographie.

Début 2012, dans sa ville il y a eu de violents affrontements entre les rebelles et l’armée régulière. Les forces de sécurité gouvernementale ont perquisitionné toutes les maisons de son quartier à la recherche de personnes suspectes. Mounira raconte la fouille avec une pointe d’ironie:

“Ils sont venus, ils ont fouillé entre les matelas, les couvertures, ils ont tout regardé… ils ont même fouillé parmi le matériel que j’utilise pour mes travaux. Par exemple, je récupère des éprouvettes vides, je les remplis de lentille, de blé concassé, j’y ajoute de la toile, j’en fais des choses… c’est des travaux artistiques. Ils les ont vues et ils nous ont dit : « Vous avez un hôpital clandestin!? [pour les opposants] » …ma mère leur a expliqué pourquoi je les collectais et à quoi elles me servaient. Heureusement ils n’ont rien dit…”

Ensuite Mounira est partie à Damas. Son mari participait aux manifestations contre le gouvernement et les forces de sécurité ont commencé à le rechercher. Pour cette raison au cours l’été 2012 ils ont décidé de fuir en Jordanie. Ils ont traversé la frontière clandestinement, la nuit, à pied. Les autorités jordaniennes les ont installés dans le camp de transit “Roi Abdullah”, dans la ville de Ramtha, à côté de la frontière. La situation était très mauvaise. Chaque jour 500 nouvelles personnes arrivaient dans le camp; il y avait une grande tente pour les hommes et une autre pour les femmes, où tous dormaient ensemble. Pour aller aux toilettes il fallait faire la queue pendant une demi heure. Heureusement au bout d’une semaine ils ont eu la permission de quitter le camp et ils se sont installés à Irbid, une grande ville dans le nord de la Jordanie.

Mais là-bas les choses ne vont pas très bien non plus. Ils ont du vendre les bijoux en or de leur mariage pour payer leurs dépenses. En tant que syrienne, Mounira n’a été embauchée par aucune école locale. Son mari a trouvé un travail de serveur, mais il gagne seulement 250 euros par mois. Ils ont loué un petit logement indépendant, avec une seule pièce, une kitchenette et des toilettes minuscules. L’humidité remonte du sol et pénètre les os; les parois sont décrépies et moisies. Malgré cela, ils n’ont pas les moyens d’acheter un lit et ils dorment sur un matelas au sol.

L’exil dans un pays étranger et les dures conditions de vie ont eu un impact sur la production artistique de Mounira :

“J’ai emmené avec moi cette toile pour la peindre, mais honnêtement je suis bloquée… psychologiquement je ne me sens pas sereine. Je suis venue avec cette toile il y a quatre mois, et je voudrais travailler dessus, mais je n’arrive pas à la compléter…”
En revanche, Mounira se dédie aux caricatures politiques. Dans un dessin, le président syrien Bachar al Assad et le leader iranien Khameini trinquent avec le sang de la population syrienne. Dans une autre caricature, un Israélien regarde à la télévision les images des bombardements en Syrie, et avec les yeux pleins de larmes il dit: “Si nous vous avions envahis, ça n’aurait pas été mieux de Bachar?”*

Malgré tout, Mounira est convaincue que les artistes en général – elle y compris – ont un rôle positif à jouer dans la crise actuelle. Avec une collègue, elle a proposé à une école d’organiser une série de cours gratuits pour les enfants: travaux manuels, dessin, etc. En outre elle espère qu’en Syrie, après la fin de la guerre, des centres seront crées avec des activités artistiques et récréatives :

“Les enfants, à cause de l’exil et des bombardements, sont devenus psychologiquement plus fragiles. Même nous, les adultes, ne pouvons pas supporter ces événements; imagine les enfants ! J’espère qu’on organisera des activités pour leur donner l’opportunité de raconter, à travers le dessin, ce qui leur est arrivé. De façon qu’ils se vident de tout ce qu’ils gardent à l’intérieur…”

*L’ironie de la caricature est basée sur l’idée que même les Israéliens, pourtant considérés par les Syriens comme leur pires ennemis, seraient plus humains avec eux que ne l’est le président Bachar al Assad.


Note du rédacteur du site <aredam.net>
Il est quasi certain que ce personnage « Mounira» est entièrement fictif et créé par le service de guerre psychologique de l’OTAN

Cette lettre est publiée sur le site aredam.net à l’adresse suivante :
http://www.aredam.net/lettre-aout-2013-genevieve-garrigos-amnesty-france-guerre-otan.html


Documents annexés à cette page Internet :

1 - Copie de la page pdf du site d’Amnesty France « Porte-paroles francophones Amnesty International France Biographies ».

2 - Copie de la page du site <focusonsyria.org> dont le contenu est reproduit en annexe de cette lettre.

3 - Scans de la page de la brochure d’Amnesty « La Chronique » sur <focusonsyria.org> et de sa couverture sur la Gay Pride, mouvement occidental planifié par les services de l’OTAN opérant dans sa tactique de guerre psychologique.