Lettre à monsieur l'Ambassadeur de Russie en France, relative au révisionnisme, de la part de Michel Dakar, chercheur autonome en politique globale.

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http://www.aredam.net/illustration-2-lettre-ambassade-russie-revisionnisme.html


De :
Michel Dakar
Route de Barre-y-va
76490 Villequier

Villequier, le 27 juillet 2015


A : Monsieur l'Ambassadeur de Russie
Ambassade de Russie
40, boulevard Lannes
75016 Paris


Monsieur l'Ambassadeur,


J'ai l'honneur de soumettre à votre
Excellence représentant en France l’État de Russie, ma suggestion de rendre publics, dont sur le réseau mondial de l'Internet, les archives, témoignages, documents de diverses sortes et objets détenus par votre État, relatifs aux camps de concentration nazis, l'URSS dont l’État de Russie a pris la suite, en ayant libéré les établissements les plus importants.


En effet, le moment peut paraître venu de réaliser cette opération, la Russie étant accusée par les États-Unis de révisionnisme, de même que par l'un des appendices de l'Organisation juive mondiale, le Mémorial de la Shoah à Paris (« Pourquoi les Soviétiques ont-ils minimisé la spécificité des Juifs parmi les victimes des exactions nazies ? », phrase extraite d'un article du site Internet du Mémorial sur l'exposition actuellement en cours « Les Soviétiques face à la Shoah » »).


Je suis moi-même intimement concerné par les rapports entre puissances, pour de multiples raisons, dont les plus primitives sont que je suis né en Syrie, que mon père, Henri Dakar, a poursuivi sa carrière à Moscou, comme enseignant et chercheur en chimie à l'université Lomonosov, que j'ai dû quitter la Syrie très jeune suite à l'invasion occidentalo-juive de Suez en 1956, que j'ai vécu en Russie une demi année en 1960, que je me suis tourné par un don naturel vers la politique intérieure à la France, puis à celle du Proche-Orient et ensuite au-delà, et que j'ai été moi-même poursuivi et condamné plusieurs fois pour révisionnisme par l'appareil judiciaire français.


Ce que l'on entend en Occident à présent et depuis peu de temps, par « révisionnisme » est l'attitude générale de s'opposer à l'ordre moral et politique occidental, cet ordre moral et politique étant axé sur ce que l'Organisation juive mondiale dénomme « Shoah ». Le fait par les USA d'avoir qualifié tout récemment la Russie et d'autres États de révisionnistes, renvoie à la racine de l'ordre moral et politique occidental, qui est la « Shoah », et au crime suprême envers cet ordre, qui est de ne pas admettre la réalité de la « Shoah », et par extension, de ne pas admettre l'aspect majeur de l'ordre moral et politique occidental, qui est son hégémonique universalité, c'est à dire de ne pas se soumettre à cet ordre, de conserver sa souveraineté, de rester libre, autonome, indépendant. Qui ne se plie pas à l'ordre occidental mondial ne se plie pas à la réalité de la Shoah, et réciproquement. Et comme tout crime suprême implique le châtiment suprême, cela signifie que les États désignés comme révisionnistes doivent recevoir le châtiment suprême, qui est le retour au néant.


Cette déclaration des États-Unis et de l'Organisation juive mondiale vi
a l'un de ses appendices le Mémorial de la Shoah à Paris, est en réalité un avis d'anéantissement futur, sans équivoque.


Livrer au public mondial l'intégralité de ce que l’État de Russie possède comme information sur les camps nazis permettrait par un moyen purement intellectuel et sans l'emploi de la force militaire, de sortir d'un engrenage implacable menant à la destruction réciproque des antagonistes, car il semble maintenant certain que l'une de ces entités antagonistes, celle à caractère hybride constituée de l'Occident et de l'Organisation juive mondiale, s'est muée en une mécanique qui se meut de façon autonome et que personne ne commande plus. On peut concevoir cette livraison mondiale d'informations comme un remède systémique, face à un groupe humain devenu entièrement dominé par des automatismes, devenu un automate lui-même. Il s'agit d'une forme de remède cybernétique.


Pour donner une idée de ce projet, je vous communique en annexe de cette lettre, des éléments de ce que j'ai moi-même récemment trouvé, en tant qu'exemple de ce qui pourrait éviter d'engager un processus de confrontation violente définitive, simplement en examinant ce que l'appareil de propagande occidental lui-même a produit au sujet des camps nazis. Il s'agit d'extraits de deux documentaires réalisés par cet appareil, publiés par les Éditions Montparnasse, sous la forme de :


- Trois copies d'écran du documentaire intitulé « Nuremberg le Procès » réalisé en 1946 par l'OMGUS, qui était un organisme militaire des États-Unis en charge d'encadrer la population allemande en 1945. Ce documentaire relate le procès de Nuremberg. Ce qui est remarquable dans ce documentaire, est le fait que le gaz cyanure d'hydrogène, employé dans les chambres à gaz nazies, n'est pas évoqué. A sa place, on évoque le procédé de production du gaz mortel par le moteur d'un véhicule automobile.


- Deux copies d'écran du documentaire réalisé par l'armée américaine, en 1945, sur les camps nazis, intitulé « Nazi concentration camps ». On y découvre exactement la même série de séquences sur les chambres à gaz que dans le précédent documentaire (pavillon en bois avec des vêtements entassés sur la balustrade extérieure, main gantée manoeuvrant une manette, inscription « brausebad » (bain-douche) sur une porte, pommeaux de douche encastrés dans un plafond etc … Ce qui diffère du précédent documentaire est l'absence de la séquence avec les tuyaux d'échappement de la voiture productrice du gaz mortel, remplacée par une vue d'une boîte de gaz Zyklon.


Une première question vient à l'esprit : Pourquoi l'évocation de l'usage central du gaz Zyklon dans la mise à mort des juifs n'apparaît pas dans le documentaire « Nuremberg le Procès », substituée par celle du gaz produit par un moteur de voiture, cette séquence étant montrée de plus deux fois ?


Une seconde question vient à l'esprit : Est-ce en raison de la présence dans le documentaire « Nuremberg le Procès », des autorités soviétiques, alors que dans le documentaire « Nazi camp concentration », ces mêmes autorités sont absentes ?


Une troisième question vient à l'esprit : Cette vue d'une boîte de gaz Zyklon apparemment négligemment jetée par terre et oubliée, pièce à conviction centrale d'un crime de masse unique dans l'histoire dont les coupables sont renommés mondialement pour leurs sens de l'organisation et du travail bien fait, est-elle plausible, de plus cet emballage devant encore contenir des résidus de gaz mortel à très faible concentration, le cyanure d'hydrogène, qui reste liquide à 26° et qui est visqueux, attachant aux parois ?


Une quatrième question vient à l'esprit : Pourquoi le documentaire « Nuremberg le Procès » n'est plus proposé à la vente au public par la maison d'édition ?


Au regard de l'importance de l'enjeu, je me permets de réitérer à votre Excellence, que la livraison au public mondial de tous les éléments que l’État de Russie détient au sujet de l'Allemagne nazie, est un facteur essentiel de paix et de sauvegarde de l'humanité, cela avant que le réseau Internet mondial pour le moment commun, ne soit séparé en deux parties qui ne communiqueront pas.


Je vous prie de recevoir, votre Excellence, l'expression de mes respectueuses salutations.



M. DAKAR



Pièces jointes :
- Trois copies d'écran du documentaire de l'OMGUS « Nuremberg le Procès »,
pages 4;5;6.
- Deux copies d'écran du documentaire des États-Unis « Nazi concentration camps »,
pages 7;8.

LRAR n° 1A 117 328 3461 0

Nota Bene : cette lettre est rendue publique à l'adresse Internet suivante :
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