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« 
Dix ans déjà, de visites domiciliaires illégales de la part d'un de vos services. »
Texte ouvert adressé aux directions des polices politiques secrètes du régime accompagné d'un cadeau :
DPSD Malakoff (92)
DRM Paris 7ème
DGSE Paris 7ème
DGSI Levallois-Perret (92)
DRPPP Paris 4ème
Lire le texte : http://www.aredam.net/lettre-DPSD-DGSE-DRM-DRPPP-DGSI-langues-de-chat-vieille-france.html
Voir le cadeau : http://www.aredam.net/biscuits-vieille-france-langues-de-chat.html



Texte :

Michel Dakar
Route de Barre y va
76490 Villequier


Villequier, le 27 février 2015


Texte ouvert adressé aux directions des polices politiques secrètes du régime accompagné d'un cadeau :

DPSD Malakoff (92)
DRM Paris 7ème
DGSE Paris 7ème
DGSI Levallois-Perret (92)
DRPPP Paris 4ème



Dix ans déjà


En avril 2015, j'entamerai la dixième année de visites illégales à mes domiciles de la part d'un de vos services.

La première se situe en effet vers avril 2006
à Paris, la dernière ayant eu lieu à Villequier le 31 décembre 2014.

Vous êtes chez vous chez moi. Mais comme moi, je ne peux m'inviter chez vous, et que j'ai décidé de fêter ces années de présence familière, je vous adresse à vous cinq, un petit cadeau pour marquer cette promiscuité amicale, en substance, à chacun une boîte de biscuits « langues de chat », de marque « Vieille France ».

Je dois préciser que je n'ai pas recherché l'ironie en achetant la marque Vieille France, c'est la seule que mon épicier proposait. Il fallait bien le dire car il est de notoriété internationale que vous ne travaillez ni pour la France, ni pour l'Europe, mais pour les américano-juifs, auxquels vous obéissez au doigt et à l’œil, et que leur intérêt est d'affaiblir la France et l'Europe, allant maintenant jusqu'à les mener à leur ruine économique rapide.

Si j'aime offrir des biscuits langues de chat, c'est en référence au film de Fassbinder La Roulette chinoise, ce qui convient particulièrement bien dans ce cas.

Lecteur rigoureux de votre petit bulletin quotidien Le Parisien - Aujourd'hui en France, j'ai apprécié votre publicité en première page, hier, concernant les chrétiens d'Orient qu'il faut sauver du terrorisme, quand il est de notoriété internationale que c'est vos services qui organisent ce terrorisme en Orient et ailleurs, et qu'il s'agit de vider l'Orient de ses arabes chrétiens, dans le cadre de votre programme d'affrontement global chrétiens musulmans, pour le bénéfice des juifs. J'espère que vous ne tomberez pas malades et ne devrez être soignés et opérés dans un hôpital français, car dans ma famille arabe chrétienne d'Orient, certains y dirigent des services et y opèrent.

J'ai aussi beaucoup apprécié votre offre d'emploi pour la DPSD parue dimanche dernier. En effet, on y recherche des candidats « ouverts d'esprit, innovants ». Leur ferez vous lire le livre de Michel Lajoye « 20 ans : condamné à la prison à vie » pour les informer de ce que signifie pour la DPSD un esprit ouvert et innovant, soit l'effet d'un endoctrinement sectaire maison pour devenir apte à conditionner des fanatiques présentant de graves failles de la personnalité, pour leur faire commettre des attentats ? Une recette classique vieille France de la DPSD remise au goût oriental du jour peut-être ?... Avez-vous passé un contrat avec l’Église de la Scientologie pour former vos référents ? Une idée innovante à creuser ? Et bien dans l'air du temps...

Quant à recruter des candidats «qui, avant tout, sont conscients de l'importance de leur mission pour la sécurité nationale »... La sécurité nationale d'Israël ? des USA ? la sécurité des actionnaires privés des lobbys financiers et industriels supra-nationaux qui se moquent bien des peuples, des nations et des États ? Et puis, cette référence à l'intérêt national auquel personne de censé ne peut plus croire depuis longtemps... Quels gens pensez-vous attirer avec cette sorte de canular grossier ? Des niais, des naïfs, des irréalistes impénitents ou de pures fripouilles cyniques ou encore des ronds-de-cuir dans l'âme en manque d'une niche sûre et confortable ? Des adeptes de « Tu es Charlie » sans doute... Quel service de pointe avec un personnel d'élite, créateur, lucide, pragmatique, entreprenant et auto-motivé par une cause transcendante !

Pour conclure, je me permets de transcrire deux textes issus de la sagesse indienne que je l'espère, vous lirez en savourant ces sibyllines langues de chat Vieille France (prononcer à l'ancienne en roulant les r : Frrrance). Le premier décrit votre état, le second ce en quoi consiste l'aventure qui est la mienne, qui a débuté il y a environ trois dizaines d'années, aventure qu'on peut comparer à celle d'un plongeur des grandes profondeurs, pratiquant sa discipline non en mer mais dans des lacs de pus, d'urine et d'excréments fermentés, de viandes décomposées et pourries, de vomis, de déchets industriels toxiques, acides et radioactifs, pour y découvrir des fleurs rares, des parchemins porteurs de sagesse et des fresques merveilleuses. Ces deux textes sont tirés du livre d'Alexandra David-Néel L'Inde où j'ai vécu.



Premier texte :

« J'étais à Bénarès et je réfléchissais à une théorie passablement sinistre attribuée au célèbre philosophe Madhwa (né en 1199), qui offre des points de ressemblance avec la doctrine de la prédestination proclamée par saint Paul, saint Augustin et d'autres. La ressemblance consiste en ce que les deux théories déclarent qu'il existe des âmes qui sont irrévocablement et sans remède possible emprisonnées dans la sphère infernale. La différence apparaît dans ce que, chez saint Paul, Dieu a créé ces âmes pour la damnation tout comme, dit l'apôtre, « le potier fabrique à son gré des pots pour différents usages », tandis que, selon Madhwa, ces âmes ou plus exactement ces jîvas (terme sanscrit pour l'ego) existent par eux-mêmes, tels qu'ils sont, avec leur substance propre et les qualités inhérentes à celle-ci, et n'ont point été fabriqués par un Dieu.
Le reste de la théorie suit. L'être foncièrement mauvais se place naturellement dans un milieu en harmonie avec sa nature, c'est-à-dire dans un milieu où le mal domine. L'influence de ce milieu contribue à accentuer le caractère mauvais de l'individu qui s'y est placé.
Étant devenu pire qu'il n'était, ce dernier va se trouver enclin à se diriger vers un habitat où la puissance du mal sera encore plus forte, et l'effet de cette puissance mauvaise sera ressenti par l'individu qui s'y sera soumis et dont les qualités mauvaises seront de nouveau renforcée
s... et ainsi de suite.
Mais nul ne commande ce voyage effroyable, il s'effectue mécaniquement peut-on dire, le jîva (l'ego) se place lui-même dans le milieu qui correspond
à la composition de son être. Il en est de cela comme du fait de l'huile qui surnage sur l'eau : l'huile se tient au-dessus, l'eau en dessous, personne n'y est pour rien, les natures différentes de l'huile et de l'eau en sont seules la cause. »



Second texte :

« Un côté bien peu connu de la personnalité de Rabindra Nath Tagore, c'est qu'il s'adonnait à la peinture et au dessin. J'ai eu l'occasion de voir une exposition de plus de deux cents de ses œuvres; elles étaient terrifiantes... je ne trouve pas de mot qui puisse mieux exprimer l'impression qu'elles causaient. Quelles visions troubles, émergeant du subconscient de l'artiste, avaient inspiré les images de cauchemar alignées le long des murs du hall d'exposition; quel aspect prenaient donc pour Rabindra Nath Tagore les objets familiers de notre monde ? Tout en vivant dans celui-ci il avait dû en côtoyer un autre, un monde diabolique, dans lequel l'homme n'est qu'une ombre falote que guette l'animosité des choses qu'il croit inanimées.
Je me souviens d'un fauteuil, du dossier et des bras duquel émergeaient des têtes vivantes, ricanantes, narguant avec férocité celui qui s'y assiérait sans soupçonner leur présence. Des branches d'arbres ressemblaient à des tentacules. Une vulgaire jarre laissait entrevoir sous sa forme habituelle et passive, une bête méchante aux aguets. Et les physionomies des humains représentés !... Quelles profondeurs mentales, où s'exerçaient des tortures raffinées, ne décelaient-elles pas !...
L’œuvre entière qui s'étalait là, offerte à l'examen d'invités privilégiés, dans une salle basse de Government House, était celle d'un voyant, d'un voyant qui avait contemplé un enfer beaucoup plus horrible que celui dépeint par Dante.


Bonne continuation.



M. DAKAR


Lettre parue sur le site aredam.net à l'adresse suivante :
http://www.aredam.net/lettre-DPSD-DGSE-DRM-DRPPP-DGSI-langues-de-chat-vieille-france.html

Scan boîte de biscuits langues de chat de la marque Vieille France :
http://www.aredam.net/biscuits-vieille-france-langues-de-chat.html