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L'imposture intégrale et les imposteurs intégraux commencent à être démasqués.

Ceux qui se prévalent d'être les authentiques sémites (population dont l'origine est au Proche-Orient) et qui grâce à leur prédominance bancaire et gouvernementale en Occident, persécutent autrui au nom de la lutte "sacrée" contre l'antisémitisme, ne sont en réalité que des berbères (population d'Afrique du Nord), et des Khazars (population de Russie du sud), ce que tous ceux qui s'intéressent à la question savent depuis quasiment un siècle et qui est documenté même à l'excès, mais comme ce n'était pas l'un de ces faux sémites qui le disait, cela n'avait pas lieu d'être pas pris en compte. Ce précédent commentaire est de Michel DAKAR, qui lui est réellement d'origine sémite, exactement de la côte ouest de la Syrie, région de Lattaquié, région où est encore actuellement parlée l'une des langues sémites antiques parmi les plus renommées : l'araméen, langue qui était l'une des principales langues employées comme moyen de communication internationale à l'époque (comme l'anglais actuellement) pour la diplomatie et le commerce, araméen qui était du temps du personnage de fiction nommé "Le Christ", lui-même copié sur un autre personnage de fiction plus ancien, le Mithra perse du mazdéisme (la première religion au monde fondée sur les principes antagonistes du bien et du mal), la langue de la population de la région dite Judée-Palestine, alors que l'hébreu était devenue depuis environ deux siècles, une langue morte, utilisée que par la seule caste sacerdotale (les rabbins), pour dire la liturgie (comme le latin à partir du troisième siècle).

A bientôt pour l'effondrement des autres de leurs énormes mensonges ... (à chacun de faire la liste de ces mensonges) ...

Ci-après, un article tiré du site tenu par des faux sémites et vrais sionistes camouflés "europalestine.org" (CAPJO : pour une paix juste sans la justice, au Proche-Orient) au sujet du livre de Shlomo Sand, qui raconte cela (avec un très très long retard) :

Titre du livre : "Comment le peuple juif fut inventé"

Publié le 17-10-2008

Ci-dessous un article très interessant de Jonathan Cook qui fait état du grand succès que rencontre le livre démythificateur de l’historien israélien, Shlomo Sand, qui remet en cause le concept d’un peuple juif qui serait issu d’un même groupe ethnique, expulsé de la terre sainte, et acculé à se disperser dans le monde entier


Comme nous l’indiquions sur ce site, dans un premier compte-rendu ( http://www.europalestine.com/spip.php?article3264&var_mode=calcul ), Shlomo Sand, historien à l’université de Tel Aviv, tord le cou aux invraisemblances contenues dans la bible. Documents archéologiques et historiques à l’appui, il montre que le judaïsme s’est répandu dans le monde, comme les autres religions monothéistes, par le biais de conversions, y compris massives à certaines époques et dans certains lieux, le prosélytisme ayant été pratiqué par les juifs, comme il le fut par les chrétiens et les musulmans, n’en déplaise à ceux qui "jurent leurs grands dieux" que cette pratique est totalement contraire au judaïsme.

Ci-dessous le texte de Jonathan Cook, publié dans "The National" et sur le site http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2258 :


"Le professeur d’histoire Shlomo Sand est le premier surpris par le succès remporté par son dernier ouvrage, présent durant 19 semaines sur la liste des best-sellers en Israël, en dépit du fait que ses thèses remettent en cause le plus grand tabou israélien.

M. Sand affirme que l’idée d’une nation juive - pour laquelle la nécessité de disposer d’un havre de paix a été utilisé depuis l’origine pour justifier la création de l’État d’Israël - est un mythe inventé il y a de cela un peu plus d’un siècle.

Spécialiste de l’histoire Européenne à l’université de Tel Aviv, le Dr Sand s’appuie sur des recherches archéologiques et historiques pour soutenir cette thèse ainsi que plusieurs autres tout aussi controversées.

En outre, il affirme que les Juifs n’ont jamais été exilés de la Terre Sainte, que la plupart des Juifs d’aujourd’hui n’ont pas de lien historique à la terre nommée Israël et que la seule solution politique au conflit avec les Palestiniens est d’abolir l’État juif.

Le succès de « Quand et comment le peuple juif a été inventé ? » pourrait se répéter dans le monde entier. Une édition française publiée le mois dernier a déjà donné lieu à trois tirages supplémentaires, tant les ventes ont été rapides.

Les traductions sont en cours dans une douzaine de langues, y compris en arabe et en anglais. M. Sand s’attend à une réaction musclée du lobby pro Israélien lorsque le livre sera publié aux États-Unis l’an prochain. En revanche, le public Israélien, peu favorable à sa thèse, s’est montré au moins curieux à son sujet. Tom Segev, l’un des grands journalistes du pays, a qualifié son livre de « fascinant et stimulant ».

Étonnamment, constate M. Sand, la plupart de ses collègues universitaires en Israël ont hésité à s’attaquer à ses arguments. Israël Bartal est une exception. Ce professeur d’histoire juive à l’Université hébraïque de Jérusalem a publié un article dans le quotidien israélien Haaretz, dans lequel il ne fait pourtant que peu d’efforts pour réfuter le Dr Sand. Paradoxalement, il consacre une grande partie de son article à la défense de sa profession, suggérant que les historiens israéliens ne sont pas aussi ignorants au sujet de l’invention de l’histoire juive que ne l’affirme le Dr Sand.

L’idée de ce livre lui est venue il y a de nombreuses années, se souvient le Dr Sand, mais il a attendu jusqu’à récemment pour commencer à y travailler. « Je ne peux pas prétendre faire preuve d’un courage particulier en publiant ce livre aujourd’hui », constate-t-il. « J’ai attendu d’obtenir un poste de professeur. Il y a un prix à payer dans les universités israéliennes pour avoir exprimé des opinions de ce genre. »

Le principal argument du Dr Sand est que, il y a de cela un peu plus d’un siècle, les Juifs eux-mêmes ne se pensaient en tant que juifs que parce qu’ils partageaient une religion commune. Au tournant du 20e siècle, note-t-il, les Juifs sionistes ont contesté cette idée et ont commencé à construire une histoire nationale en inventant l’idée que les Juifs existent en tant que peuple distinct de leur religion.

De même, l’idée sioniste moderne selon laquelle les Juifs doivent retourner d’exil vers la Terre promise a été totalement étrangère au judaïsme, précise-t-il.

« Le sionisme a transformé la représentation de Jérusalem. Avant, les lieux saints étaient considérés comme des lieux que l’on espérait, mais où il ne s’agissait pas de vivre. Depuis 2000 ans les Juifs étaient restés loin de Jérusalem, non pas parce qu’ils ne pouvaient pas y retourner, mais parce que leur religion leur interdisait de revenir jusqu’à ce que le Messie soit venu. »

La plus grande surprise au cours de ses recherches s’est produite lorsqu’il a commencé à étudier les preuves archéologiques de l’époque biblique.

« Je n’ai pas été élevé comme un sioniste, mais comme tous les autres Israéliens, je tenais pour acquis que les Juifs étaient un peuple qui vivait en Judée et en qui en avait été exilé par les Romains en 70 après Jésus-Christ.

« Mais lorsque j’ai commencé à chercher des éléments de preuve, j’ai découvert que les royaumes de David et Salomon étaient des légendes, » indique M. Sand. « Concernant l’exil, les choses sont semblables. En fait, vous ne pouvez pas expliquer la judéité sans l’exil. Mais lorsque j’ai commencé à rechercher des livres d’histoire décrivant les événements de cet exil, je n’ai pu en trouver aucun. Pas un seul. »

« C’est parce que les Romains n’ont pas exilé le peuple juif. En fait, les Juifs en Palestine étaient en leur écrasante majorité des paysans et tous les éléments de preuve indiquent qu’ils sont restés sur leurs terres. »

Il croit au contraire plus plausible une autre théorie : l’exil était un mythe promu par les premiers chrétiens pour recruter les Juifs à leur nouvelle foi. « Les chrétiens voulaient que les descendants de Juifs croient que leurs ancêtres avaient été exilés par une punition de Dieu ».

Mais s’il n’y a pas eu d’exil, comment se fait-il qu’un si grand nombre de Juifs ait été dispersés dans le monde entier avant que l’État moderne d’Israël commence à encourager leur « retour » ?

Le Dr Sand indique que durant les siècles qui ont précédé et suivi le début de l’ère chrétienne, le judaïsme était une religion prosélyte, tentant à tout prix de convertir. « Ceci est mentionné dans la littérature romaine de l’époque. »

Les Juifs se sont rendus dans d’autres régions, cherchant à convertir, en particulier au Yémen et parmi les tribus berbères de l’Afrique du Nord. Des siècles plus tard, le peuple du royaume Khazar, dans ce qui est aujourd’hui la Russie du Sud, s’est converti en masse au judaïsme, donnant naissance aux Juifs Ashkénazes d’Europe centrale et orientale.

Le Dr Sand insiste sur l’étrange état de déni dans lequel vivent la plupart des Israéliens. La découverte récente de la capitale du royaume Khazar, proche de la mer Caspienne a donné lieu à une importante couverture médiatique. YNet, le site Web de Yedioth Ahronoth, le plus populaire des journaux israélien, a publié un article intitulé : « Des archéologues russes retrouvent une capitale juive oubliée. » Et pourtant, aucun de ces articles, ajoute-t-il, n’a examiné l’importance de cette découverte en regard des conceptions habituelles de l’histoire juive.

L’autre question soulevée par le travail du Dr Sand, comme il le note lui-même est celle-ci : si la plupart des Juifs n’ont jamais quitté la Terre Sainte, que sont-ils devenus ?

« Ce n’est pas enseigné dans les écoles israéliennes, mais la plupart des premiers dirigeants sionistes, dont David Ben Gourion, qui le premier occupa le poste de Premier ministre, estimaient que les Palestiniens sont les descendants des premiers juifs de la région. Ils pensaient que les Juifs s’étaient par la suite converti à l’islam. »

Le Dr Sand attribue la réticence de ses collègues à discuter ses thèses à la reconnaissance implicite par de nombreux historiens que l’ensemble de l’édifice de « l’histoire juive » enseigné dans les universités israéliennes est construit comme un château de cartes.

Le problème avec l’enseignement de l’histoire en Israël, déclare le Dr Sand, remonte à une décision prise dans les années 1930 pour séparer l’histoire en deux disciplines : l’histoire générale et l’histoire juive. L’histoire juive a été considérée comme nécessitant un domaine d’étude distinct car l’expérience juive était considérée comme unique.

« Il n’y a pas de département de politique ou de sociologie juive dans les universités. Seule l’histoire est enseignée de cette façon, et cela a permis à des spécialistes de l’histoire juive de vivre dans un monde très conservateur et insulaire où ils se tiennent à l’écart de l’évolution moderne dans la recherche historique.

« J’ai été critiqué en Israël pour avoir écrit sur l’histoire juive alors ma spécialité est l’histoire de l’Europe. Mais un livre comme celui-ci requerrait un historien qui soit familier avec les concepts standard de la recherche historique utilisés par les universités dans le reste du monde. »

* "Comment le peuple juif fut inventé", par Shlomo Sand. Editions Fayard. Prix 23 euros. En vente à la Librairie Résistances ! (http://www.librairie.resistances.com/)

CAPJPO-EuroPalestine