Demandez le Journal qui n'existe pas, que personne n'écrit et que personne ne lit. Numéro 3, 1
er février 2017.
De Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier ex-France, colonie temporaire de l'Empire américano-sioniste agonisant.
http://www.aredam.net/le-journal-qui-n-existe-pas-numero-3.html
Illustrations
 :
La prise de Khiva par les russes :
http://www.aredam.net/prise-de-khiva-par-les-russes.html
La carte du Grand jeu :
http://www.aredam.net/carte-du-grand-jeu.html
L'impasse de la fuite de la réalité :
http://www.aredam.net/impasse-de-la-fuite-en-avant-arrivee-au-mur-du-fond.html



La revue des temps préhistoriques. L'ère de l'épanouissement du capitalisme totalitaire, ou l'ère sans lumière. Le but unique de la vie est le profit. Les non-rentables doivent être éliminés. Apparition de l'individu « extra-social ».

Sommaire et synthèse des articles du numéro :
Classification du plus ou moins important.

Article 1 - Le problème que pose la psychologie est en réalité le problème de ce que sont en réalité les psychologues. Suite du précédent article sur John Bowlby et Yvane Wiart, voir article du numéro 2, janvier 2017. Ou pour que rien ne change il faut que tout change (Le Guépard, Guiseppe Tomasi Di Lampedusa, 1958). Vers un yoga mental d'activation des zones cérébrales dormantes et d'échappée des circuits en boucle cérébraux usités, ou vers un traitement énergétique cérébral inspiré de la conception antique chinoise médicale du conservatisme. Vers la mise en place d'un mouvement anti-institutionnel de psychologie alternative.

Article 2 - La commencement de la dislocation du bloc tectonique de l'Occident ? Son premier signe visible : l'élection du président US en janvier 2017, ex-animateur de spectacles en direct, Donald Trump (réincarnation de tyran cruel de Khiva du temps du Grand jeu). Assise-t-on à l'équivalent mais avec succès, du renversement d'Hitler et du nazisme par certains de ses généraux à la fin de la seconde guerre mondiale ? (source
http://www.voltairenet.org/article195013.html Les États-uniens vont-ils reconquérir leur liberté ? Trump : le 11-Septembre, ça suffit ! par Thierry Meyssan. 24 janvier 2017. Certainement pas. Il ne peut s'agir que d'un simple changement d'équipe décidé par ceux qui accaparent le pouvoir réel occulte au USA, l'ancienne équipe (Clinton-Obama-Bush) s'étant révélée totalement inapte, obsolète, de plus en plus en décalage avec l'évolution générale et la réalité, et incapable de se réformer, et de la nécessité de se replier pour refaire ses forces avant de repartir à la conquête de la planète. Les sociétés occidentales ne sont plus que des sortes de SA (Société Anonyme), ou d'ensembles de SA dont les nations et Etats sont des sortes de GIE (Groupement d'Intérêt Economique), à l'instar du GIE de la carte bancaire créée par les banques. Ces GIE servent à encadrer le personnel, soit les fameux « citoyens », surnommés les votars en France au 19ème siècle, ou les benêts-oui-oui, actuellement les « Je suis Charlie », et à assurer la gestion des rares postes encore généraux (APS : armée (chargée de former aussi les terroristes), police apparente et secrète (annexe de l'armée), service social (gestion des rebuts), l'APS pouvant être privatisé en un GIE unique, cela viendra). C'est le programme libertarien dont l'homme sandwitch le tyran de Khiva Trump porte le message. La phase suivante sera celle de la généralisation planétaire de ce type de pouvoir. On en voit déjà les prémices avec le rapprochement Exxon, Rosneft, Qatar, et la fusion Bayer et Monsanto. On verra des GIE créées de façon conjointe par des entités russes, chinoises, US, européennes, indiennes. Pour encadrer la plèbe, on conservera la recette du nationalisme et du terrorisme international, un duo imparable (les « terroristes djihadistes » fournissant les mercenaires les meilleurs marché de la planète, et surtout, les seuls auto-sacrifiables et jetables (type drone à usage unique). Il est très probable qu'une véritable industrie pérenne du djihadisme va se développer pour ces qualités uniques de rentabilité, « made in islam »), accompagné des habituelles diversions, comme le mondial de foot, le porno et le sexe, la pseudo-vie devant le mirage des écrans et des illusions de convivialité, et la gamme sans cesse étendue des drogues dont en premier et toujours l'irremplaçable alcool. On peut s'attendre grâce au tyran de Khiva Trump, à des spectacles en direct de tortures de djihadistes, comme les romains le faisaient avec les chrétiens.

Article 3 - Le calcul qui peut conduire devant la 17ème du TGI du Consistoire de Paris : « 24 Jours - La vérité sur l'affaire Ilan Halimi », grotesque film-navet d'Alexandre Arcady, 2014 (« assassiné par ce que juif » donc riche et que les juifs sont réputés pour leur solidarité réservée à leurs seuls coreligionnaires). Qui sont-ils ? Ou plutôt que sont-ils ? A quoi a-t-on affaire ? (une secte-ethnie d'environ 15 millions d'adeptes, sur une population mondiale d'environ 7,2 milliards d'individus, mais qui pèse très lourd (3 sur les 8 plus riches de la planète; les 8 possédant ensemble autant que la moitié la plus pauvre (3,6 milliards) de l'ensemble des humains : Bill Gates, Amancio Ortega, Warren Buffett, Carlos Slim, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg, Larry Ellison et Michael Bloomberg, selon l’ONG britannique Oxfam. Source :
http://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/0211696169476-huit-milliardaires-detiennent-autant-de-richesses-que-la-moitie-la-plus-pauvre-du-monde-2057425.php ). Quel est l'objectif caché de ce film ? Réponse par le calcul : une population qui représente 0,2% de l'ensemble des humains est représentée à 3/8 (37,5% - environ 200 fois plus) parmi ceux qui possèdent autant que 3,6 milliards d'individus (certes les plus pauvres) (Lire la note en fin d'article). Qu'en penser ? Et de plus, ces trois là sont aussi états-uniens. La statistique s'arrête sur les 8 premiers plus riches, il serait intéressant de l'élargir sur la globalité des 15 millions. D'autre part, on ne peut exclure que parmi les 8 premiers, il y ait d'autres juifs que les 3 évidents, où que les 5 apparemment non-juifs soient liés de façon intime à des juifs. La question unique qui se pose est quelle sera la place d'entités sectairo-ethniques comme celle des juifs au sein de l'ordre global des SA et des GIE ? La secte de l'église de Scientologie s'est elle parfaitement adaptée à l'univers glacial et aride des SA qu'elle fournit en méthodes et personnels d'endoctrinement. On doit aussi relever le fait que pas un commentaire n'est apparu publiquement sur le fait que 3 riches sur les 8 dominant la planète sont juifs. Le vrai pouvoir est en premier celui capable de rendre aveugle, de fermer les bouches, de rendre sourd et de pétrifier les mains qui écrivent.

Note :

Selon le classement Forbes 2017 des 10 premiers plus riches humains de l'espèce, les 9 et 10èmes sont les frères Charles et David Koch, tous deux juifs, et selon le site
http://www.subvertednation.net/jew-lists/jewish-billionaires/ Warren Buffet serait aussi juif. Cela ferait donc non pas 37,5% mais 60%, et non pas 200 fois plus, mais 300 fois plus.




Développement des 3 articles.
Revue des temps préhistoriques, 1
er février 2017, numéro 3.
Nota : seul le premier article est développé, la présentation des deux autres suffit.


Article 1

La psychologie devrait occuper la place centrale centrale dans la recherche des connaissances et de la compréhension du monde et des mécanismes qui le fondent.

En effet, il est de plus en plus urgent d'avancer dans la résolution du questionnement de comment en est-on arrivé là, dans ce cauchemar de plus en plus compact au point que sa densité tend vers celle infinie d'un trou noir cosmique, de plus en plus étendu au point que ses limites tendent vers l'infini, et de plus en plus douloureux que la conscience peine à le décrire et à l'exprimer par des mots.

Or, la cause de ce cauchemar réside dans l'esprit humain, car c'est l'Homme qui crée ce cauchemar, l'entretient, l'amplifie et le complexifie. Il n'y a pas de causes à ce cauchemar hors de l'esprit humain.

On serait bien content que la psychologie et donc que les psychologues, ceux qui oeuvrent en psychologie, se penchent sur le problème de fond que pose l'espèce humaine.

Or, on voit bien que le psychologue est avant tout une personne très respectueuse de l'ordre, et même plus, un agent de maintien de cet ordre qui structure ce cauchemar. Le psychologue est avant tout une entité politique. Son but, et le but de la psychologie, est de conditionner l'esprit humain à l'ordre existant, et d'adapter ce conditionnement aux évolutions sociales, de façon à ce que ce conditionnement reste opérant dans de nouveaux contextes, et que le même ordre puisse perdurer.

Auparavant, le rôle du psychologue était tenu par le prêtre, et l'entretien privé et intime avec le psychologue (dénommé aussi psychanalyste et psychiatre) était dénommé confession.

La police dite secrète, ou police politique, une autre sorte d'organisation religieuse ou psychologique oeuvrant dans le domaine plus spécifique de la guerre sociale interne (la lutte des classes marxiste), pratiquait et pratique toujours la confession, dénommée interrogatoire (de durée variable, de 2 jours non-stop à plusieurs mois, nuits et jours).

La police politique la plus élaborée était celle de l'ex-RDA communiste, avec son département de psychologie opérationnelle, et son secteur spécialisé, créatif et raffiné de « destruction de la personnalité ».

La police politique la plus brutale était celle de l'ex-URSS, avec son réseau d'hôpitaux psychiatriques, sa fameuse définition de la « schizophrénie asymptomatique », affection typique des insoumis au régime, ses lits éternels (10, 20 ans voire plus), son tsar des bourreaux renommé, le docteur Landau, son fameux institut Serbsky, et ses psychiatres en uniforme du KGB. Le fondateur de la psychiatrie politique soviétique était un juif, chef du KGB, Andropov.

La plus récente des polices politiques est celle américano-israélienne et sa production de djihadistes, à Guantanamo et dans son réseau mondial de prisons secrètes, appliquant la torture quasi éternelle jusqu'à l'apparition du syndrome de Stockholm, transformant les suppliciés en fanatiques obéissants.

On peut voir la psychanalyse comme un mode d'enfermement volontaire et ambulatoire à destination des membres aisés de la classe moyenne, et Freud comme un théoricien d'une méthode de police politique de contention des éléments posant un problème à l'ordre familial (la famille étant la cellule de base de l'ordre social). La rhétorique essentielle de Freud, classique en guerre de propagande et en politique est celle de l'inversion des rôles de bourreaux et de victimes, le parent devenant la victime, et l'enfant devenant l'agresseur (résumé du fond du complexe d'Oedipe qui est le socle de l'idéologie freudienne).

A propos de Freud, qui était petit fils de Rabbin, il faut oser l'incorrection hautement pénalement condamnable de constater la prédominance des juifs en psychanalyse, en psychologie, et dans les procédures de tortures interminables américano-israélienne, la religion, la culture juive étant vraisemblablement l'une des plus totalitaires, carcérales, répressives, cruelles et implacables au monde, et en premier et surtout envers les juifs eux-mêmes. Le constat de cette prédominance des juifs dans ce domaine relève du crime par la pensée d'Orwell, ou constitue l'un des rares symptômes de la schizophrénie asymptomatique d'Andropov.

On trouve dorénavant des psychologues partout.

A ce sujet, il est bon de visiter internet le site de L'Institut de psychologie de l'Université Paris-Descartes, situé à Boulogne-Billancourt, où œuvre parmi d'autres, Yvane Wiart. On trouve en exergue sur le site,
http://www.psychologie.parisdescartes.fr/ , outre l'affirmation de la défense du freudisme (idéologie qui a besoin d'être défendue, car quasiment mondialement abandonnée sauf en France et en Argentine, pays où se trouve une importante communauté juive), l'annonce d'un sujet de recherche portant sur les menaces pesant sur la société, s'agissant sans doute de la menace de la campagne actuelle d'attentats terroristes, ces attentats étant organisés par nos pouvoirs publics eux-mêmes, comme on peut lire entre autres ouvrages, le livre de la psychologue Sylvie Tenenbaum « Apprendre à vivre avec les attentats » - Comprendre et surmonter le stress post-traumatique, Albin Michel 2016, livre qui donne quelques bonnes adresses pour aider les victimes, mais hélas, sans doute par un malheureux oubli, non-pas celles des commanditaires ou collaborateurs ou complices des attentats, comme la DGSE et la DGSI, et de leurs donneurs d'ordres, tels les ambassades US, israélienne, d'Arabie Saoudite et du Qatar à Paris (on ne cite pas celle de Turquie qui joue un rôle central, car Erdogan a rejoint - pour le moment - le camp d'en face). Psychologue partout, vérité nulle part. On peut considérer une administration comme celle de l'Institut de psychologie comme faisant partie de l'ensemble constitué par les divers organes de la police secrète en France, et comme partie prenante dans l'organisation des attentats, et les psychologues comme des membres de cette police secrète employés à la gestion des attentats. Quant à espérer trouver à l'Institut de psychologie, un pôle de recherche portant sur l'analyse de la psychologie des concepteurs et organisateurs des attentats … Et je ne parle pas des malheureux lampistes dont on voit la photographie partout et dont le cerveau a été lavé par des collègues de bureau ces fameux spécialistes en psychologie. Et pourquoi pas un pôle de recherche sur la psychologie des psychologues collaborateurs à l'organisation des attentats ? Comme Sylvie Tenenbaum par exemple ? Et la psychologie des psychologues qui font semblant de ne rien voir et de ne rien comprendre ? Octave Mirbeau qualifiait ce type humain d'existence larvaire ...

Le cas John Bowlby.

John Bowlby a osé affaiblir le noyau de base de la structure sociale qu'est la famille, en osant formuler et documenter en résumé ce qu'il a constaté dans sa propre famille, que l'amour parental est conditionné, c'est à dire qu'il est donné à condition que l'enfant respecte l'ordre, soit soumis. Cet ordre social étant par essence inégalitaire, pyramidal, avec à son sommet une poignée d'individus qui exploite la masse, le courant de soumission doit diffuser dans toutes les strates de la société, du plus haut au plus bas, la soumission étant ce qui est attendu de l'enfant en contrepartie de l'amour, de la protection, qui lui est donné par les parents. Bien sûr, Bowlby n'a pas été jusque là. Il s'est même arrêté bien avant, et n'a jamais été aussi loin que le courant politique contestataire libertaire qui a éclos à la même époque, l'antipsychiatrie.

Bowlby n'a fait qu'exposer que les dysfonctionnements psychologiques sociaux sont dus aux conséquences d'une relation familiale non-fondée sur l'amour, car l'amour ne peut être conditionné, en effet, l'amour donné sous condition n'est pas de l'amour mais la simulation de l'amour, c'est un mensonge. Non-amour et mensonge sont donc les deux piliers qui permettent de conditionner un enfant à la soumission et l'adapter à un ordre social hiérarchique, inégalitaire.

Bowlby en documentant ces dysfonctionnements n'a fait en réalité que chercher à rendre ce processus de conditionnement plus efficient, en lui ôtant ses conséquences erratiques, imprévisibles, mal-controlées, non-souhaitables pour l'ordre social.

Bolwby a mis ainsi en évidence, sans l'avoir voulu, que le but réel de la psychologie n'est pas de guérir d'un mal-être, mais de gommer toute manifestation de mal-être pouvant déstabiliser un ordre social inégalitaire, entraîner le désordre.

Bowlby a mis aussi en évidence, toujours sans l'avoir voulu, que la psychologie est strictement politique, et qu'il n'y a pas de thérapie individuelle possible, mais que toute thérapie est par essence collective, et politique, que c'est l'ordre social inégalitaire qui engendre le mal-être individuel.

En conséquence, on peut aller jusqu'à considérer que la maladie mentale est indispensable à l'ordre social inégalitaire, car grâce aux psychologues la maladie mentale enferme l'individu dans une problématique individuelle et non-pas politique, et détourne les forces de révolte de l'individu d'un but collectif qui serait seul salvateur, vers son monde intime, privé, à l'écart de la globalité politique, et sans aucune influence sur le devenir social.

Bowlby était un conservateur, comme Freud, comme l'Institut de psychologie, des conservateurs de l'ordre inégalitaire en l'état.

La seconde remarque pénalement incorrecte redevable d'une zakat torahienne devant la 17ème chambre du Consistoire spécial du boulevard du Palais à Paris, est qu'il ne faut pas s'étonner de rencontrer beaucoup de juifs dans le domaine psychologique, car eux-mêmes sont conditionnés spécifiquement à considérer l'ordre inégalitaire comme naturel, puisque l'inégalité est la fondation unique de la culture juive, de l'état de juif (le peuple élu par « dieu » entre tous les autres … « Tes fils seront les princes de la terre »). Pour qui est conditionné dès le biberon à se considérer comme supérieur à autrui, il est naturel aussi de défendre l'inégalité, et de réprimer ce qui tend à mettre en péril l'inégalité. Si il n'y a plus l'inégalité, il n'y a plus de juifs et de judaïsme.

Il est intéressant de constater que personne n'a encore fait la liste, l'analyse et identifié les liens unissant les cultures, religions, peuples, et personnages revendiquant d'être « maître du monde ». Ce qui me vient rapidement à l'esprit chronologiquement concerne en premier le zoroastrisme (-700) issu du mazdéisme perse (-1000), qui a enfanté le judaïsme vers (-600), puis les mongols (1200), puis le puritanisme incarné par les USA (vers 1600), puritanisme associé au sionisme (vers 1900), purito-sionisme (courant 20ème siècle) qui est actuellement encore vivant et moribon. Il est à noter que le sionisme est à la fois issu du judaïsme soit du zoroastrisme perse, et de la culture de l'ancien royaume kazhar (environ 600 à 900) dont sont issus les juifs européens, cet ancien royaume étant d'ethnie turco-mongole. Pour finir, on doit constater que le puritanisme n'est qu'une copie européenne et protestante du judaïsme, les premiers puritains émigrés sur le territoire des amérindiens refusant même de disposer des croix dans leurs temples.

L'idéologie mongole était simple et peut être résumée en la revendication à la suprématie universelle de tribus en guerres perpétuelles les unes avec les autres. Il ne s'agit même pas d'une système de justification, mais de la conséquence logique du constat de l'état d'excellence guerrière réelle auquel était parvenu le peuple mongol, état égalé par aucun autre peuple à l'époque de la grande invasion de Gengis Khan. Mais le zoroastrisme est infiniment plus riche et a sans doute assemblé en une doctrine unique un ensemble d'éléments idéologiques dont chacun a fait l'objet d'une longue élaboration originale et complexe, et les a unis en une totalité cohérente et fonctionnelle, qui visiblement n'a pas encore pu être dépassée comme culture de conditionnement à la guerre intra-humaine pour conquérir la suprématie sur toute l'espèce. Il n'existe comme équivalent, mais sans son extension à toute l'espèce humaine, que le védantisme et ses castes, qui ne concerne que les adeptes de l'hindouisme.

Le zoroastrisme qui a été sans doute la maladie psychique humaine la plus fatale, est toujours vivant et actif via la population dénommée juive, qui n'est pas plus que son vecteur, et les puritains US, et ce n'est pas fortuit que les deux se trouvent présentement associés.

Toutefois, une nouvelle logique de conditionnement psychique à la guerre sociale et à la recherche de la suprématie absolue émerge et est en train de supplanter le néo-zoroastrisme qu'est le puritano-sionisme. Il s'agit du capitalisme totalitaire, dans sa forme épurée à l'extrême, mystique, représenté par Donald Trump l'animateur de spectacles en direct destinés à édifier la masse, où l'être humain n'existe que par le profit qu'il peut dégager, c'est à dire par sa capacité à arracher à autrui sa force vitale, force vitale dont l'étalon est l'unité monétaire abstraite, le monde humain du capitaliste n'étant qu'une mélée où chacun n'échange que des coups de dents, et où la seule association possible consiste à s'unir temporairement pour dévorer les isolés ou les associations moins puissantes.

Voilà le monde nouveau qui est en train de supplanter celui de l'ancien zoroastrisme devenu obsolète, monde nouveau qui a déjà été expérimenté dans les laboratoires des multinationales, et qui est en passe de devenir le modèle universel culturel.

Dans ce monde, l'idée même d'égalité réelle, égalité réelle qui est l'unique forme viable d'organisation humaine sociale, c'est à dire que chacun jouisse strictement de la même partie de biens et de pouvoirs qu'un autre, et que toute décision qui engage la collectivité soit prise en des assemblées sans chefs ni délégués, sans centralisation, ce qui est le modèle anarchiste, va totalement disparaître. Les bébés vont être dressés dès la naissance à mordre leurs mères, les mères dressées à dévorer leurs bébés, chaque baiser sera une morsure, chaque poignée de main sera une tentative réciproque pour arracher des doigts à l'autre. Vous pensez que je plaisante. Attendez pour rire de voir.

Au fond, on peut affirmer que le capitalisme absolu qui vient n'est qu'un zoroastrisme désincarné, sans son fond ethnique, ni de classe, a-historique, a-culturel. C'est la quintessence des idéologies de domination intégrale. Il a fallu environ trois millénaires pour parvenir à cette synthèse squelettique de la doctrine de la dévoration universelle.

Un monde humain de cette sorte ne sera supportable que par des machines insensibles, c'est pourquoi l'être humain est en train de se transformer en robot, et est en passe d'être remplacé massivement par des robots.


Quelle voie pour la psychologie ?

Tout d'abord, la psychologie doit être retirée de l'emprise de ces sous-flics politiques que sont les psychologues, c'est à dire que la réelle recherche en psychologie doit s'affranchir de tous les organes institutionnels encadrant la psychologie, comme il existe déjà en médecine une médecine alternative, qui s'écarte de plus en plus de la médecine officielle, et qui traite de la globalité de l'être humain, l'inscrivant dans la totalité, l'univers. Principalement, il s'agit des voies dites « énergétiques », chinoise, mais aussi occidentale, telle la chromatothérapie, la médecine par les ondes, surtout développée par les russes, et les médecines dites quantiques.

La psychologie alternative, ou holiste, ne peut qu'être subversive, comme le taoisme chinois à l'origine l'était, avant de devenir une religion parmi les autres, soutenant le pouvoir.

Plus globalement, toutes les sciences, et particulièrement, celles dites de l'Homme, doivent s'affranchir du pouvoir.

Quant à la psychologie alternative, éloignée à des années lumières de la psychologie d'un Bowlby, d'une Wiart, de l'Institut de psychologie de Boulogne-Billancourt, on peut en attendre ce qui manquait aux mouvement politiques libérateurs, tels ceux anarchiste et communiste, la prise en compte et le traitement de la réintégration de la mentalité révolutionnaire dans les circuits de pensée anciens, comme cela a été le cas pour le mouvement communiste et anarchiste, dont les expérimentations dans le réel ont toutes échouées, minées de l'intérieur à cause des mentalités des participants, incapables de se libérer de leurs anciens déterminismes, de recherche de pouvoir et d'appropriation.

On ne peut pas espérer parvenir à un système social épanouissant pour chacun, c'est à dire sans pouvoir et sans l'inégalité, et en harmonie avec l'ensemble de ce qui existe, sans comprendre la mécanique mentale qui rend si difficile l'évolution des habitudes de penser et d'agir.

C'est l'unique tâche de la psychologie alternative, et elle est cruciale, car seule capable d'aider à changer l'ordre social actuel, absurde, grotesque et fatal pour notre espèce, pour un ordre social enfin viable et heureux.


Une première réponse vitale à l'épanouissement du capitalisme totalitaire : l'individu extra-social.

Le capitalisme totalitaire dépasse en perfection et en absolutisme toutes les logiques de domination que l'histoire humaine a vu apparaître. On peut dire que c'est l'aboutissement de la guerre intraspéciste humaine, le fond de l'impasse, le mur final auquel est parvenu l'espèce. Il n'y a pas d'après le capitalisme totalitaire, comme il ne peut y avoir plus fort que l'alcool à 100 degrés.

Face à cette ultime nécrose de la vie, la vie a fait naître un type nouveau d'individu, l'individu extra-social.

Ce dernier n'est ni un intégré, ni asocial. Il a la capacité d'exister au sein de la société capitaliste totalitaire, tout en conservant son intégrité.

C'est à cet individu que doit s'adresser la recherche en psychologie alternative, dont le but est de faciliter la libération de l'individu des chaînes des déterminations de recherche de pouvoir et d'appropriation. C'est ce type d'individu qui a la capacité de libérer la société du capitalisme totalitaire.


Bibliographie :

Soleil capitaliste, d'Isabelle Pivert, 2006, Editions du Sextant. Entretients au cœur des multinationales.

Le Grand jeu. Officiers et espions en Asie centrale. Peter Hopkirk, 1990. Editions Nevicata 2013.

Illustrations :
La prise de Khiva par les russes :
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La carte du Grand jeu :
http://www.aredam.net/carte-du-grand-jeu.html
L'impasse de la fuite de la réalité :
http://www.aredam.net/impasse-de-la-fuite-en-avant-arrivee-au-mur-du-fond.html