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"Nous vaincrons par la tromperie" (devise du Mossad israélien), et "Plus le singe monte haut dans l'arbre, plus on voit son cul", proverbe africain appliqué aux sionistes. Le Canard enchaîné a finit de se dévoiler comme étant un simple organe de l'appareil de la propagande du régime qui domine l'Occident, et qui tente d'étendre son hégémonie sur le reste de la planète, régime qu'on peut sans trop d'erreurs, dénommer le capitalo-sionisme. Il était de plus en plus étonnant de la part d'un organe de presse réputé pour son indépendance, de ne jamais voir apparaître dans ses huit feuillets hebdomadaires, ni le terme sionisme, ni d'interrogations sur les vrais auteurs des attentats du 11 septembre 2001, ni maintenant, sur le hold up préparé de longue date (nommé "crise financière" ...), de plusieurs milliers de milliards d'euros, qu'ont subit les banques européennes et le peuple américain, pour constituer un trésor de guerre aux trois principales banques nord-américaines (Citigroup, Morgan-Chase, Goldman-Sach), trésor de guerre qui va servir à ces trois pour assurer leur hégémonie sur le monde financier de la planète entière, comme on pouvait encore s'étonner que le Canard fasse le silence sur Sarkozy et ses liens plutôt étroits et même de totale dépendance envers la CIA, et que ce pauvre pays nommé France, ne devienne à vitesse grand V une simple colonie américano-israélienne. Maintenant, au moins les choses s'éclaircissent. Robert Ménard, le factotum de la CIA, que cette dernière avait placé à la tête de l'organe de manipulation nommé "Reporters sans frontières", trop usé par les projections de crachats et les moqueries diverses, a été déplacé vers une lointaine planque au Qatar, au sein d'un nouvel organe de manipulation a destination du monde arabe (à l'instar de la chaîne qatari Al Djazira), en compagnie d'ailleurs de Villepin. Il est bon de rappeler que le Qatar, sur sa surface minuscule, accueille aussi le centre de commandement nord-américain pour le Proche-Orient. Celui qui lui succède à la direction de l'officine "Reporters sans frontières", se nomme Jean-François Julliard, un journaliste au Canard enchaîné depuis une vingtaine d'années. Julliard dirigeait de façon concomittante plusieurs services cruciaux de Reporters sans frontières, dont l'immondice que les parisiens avaient l'avantage de pouvoir lire, le journal mural "Qui Vive" (plus infect, tu meurs !). Voir après l'image, trois articles, l'un sur le départ de l'horrible Ménard, les deux autres, sur son successeur, le péteux Julliard.
Monde 27 sept. 9h02 Pour décider du moment de son départ, le secrétaire général voulait attendre que l’assise financière de RSF «soit saine», qu’elle dispose de locaux et d’une «bonne équipe», ce qui est le cas aujourd’hui selon lui. «Je voulais choisir le moment où cela marche le mieux, et aujourd’hui, après cette campagne sur la Chine, RSF n’a jamais eu autant de notoriété dans le monde», a-t-il ajouté. Il estime qu’il «ne faut pas s’accrocher mais au contraire savoir transmettre à une équipe de gens qui sont plus jeunes, différents et qui apportent autre chose que ce que j’apportais». «Réfléchir». Son successeur est Jean-François Julliard, 35 ans. Egalement collaborateur au Canard enchaîné, Julliard travaille à RSF depuis 1998 et vient d’être élu pour cinq ans au poste de secrétaire général par le conseil international de l’organisation. Jean-François Julliard «connaît parfaitement les rouages, les méthodes et la philosophie» de l’organisation, a affirmé Ménard dans un communiqué. «Il lui apportera son enthousiasme, celui d’une génération de militants rompus à la mondialisation et à Internet.» Ménard, âgé de 55 ans, dit vouloir trouver «une autre façon de continuer le combat pour les droits de l’homme et la liberté de la presse». Il restera encore militant de RSF, dont il a également été nommé président d’honneur, vendredi. Ce militant intransigeant de la liberté d’expression, à qui ses détracteurs reprochent un activisme médiatique excessif, a «quelques idées» sur ce qu’il veut faire, mais veut aussi «se poser et réfléchir». Début octobre, sortira son livre, Des libertés et autres chinoiseries, qui raconte les coulisses et les négociations secrètes menées autour des Jeux olympiques de Pékin. «Boutade». Robert Ménard a créé RSF à Montpellier il y a vingt-trois ans, avec trois amis, Emilien Jubineau, Rémi Loury et Jacques Molénat. «Je n’aurais jamais imaginé que cela devienne cela. On l’avait créée sur une boutade : "Allez, il y a Médecins sans frontières, créons sur le même modèle Reporters sans frontières"», raconte-t-il. RSF a reçu, en 2005, le prix Sakharov, décerné par le Parlement européen, qui récompense des personnalités ou des organisations luttant contre le fanatisme et l’oppression. L’organisation compte aujourd’hui 25 permanents à Paris et une quinzaine dans le monde. Elle s’appuie également sur un réseau de près de 130 collaborateurs à l’étranger. D'après AFP
Article de wikipedia Jean-François Julliard, né en 1973, est un journaliste français, secrétaire général de l'association Reporters sans frontières. Jean-François Julliard entre à Reporters sans frontières en 1998. Il est responsable du bureau Afrique avant d'être nommé responsable de la recherche. Le 26 septembre 2008, il est promu secrétaire général de l'ONG, succédant ainsi à Robert Ménard, démissionnaire. En février 2001, il est interpellé à Tunis et expulsé de Tunisie après avoir distribué des exemplaires du mensuel interdit Kaws el Karama, publié par Jalal Zoghlami. En octobre 2001, il est projeté au sol par des policiers en civil après avoir été aspergé de gaz lacrymogène devant le siège du Parti socialiste à Paris, alors qu'une délégation de Reporters sans frontières manifestait contre la visite du président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, l'accusant d'être responsable de l’assassinat du journaliste Norbert Zongo. Le lundi 24 mars 2008, durant la cérémonie d'allumage de la flamme olympique à Athènes, et en compagnie de Robert Ménard et Vincent Brossel, il perturbe le discours du président du comité d'organisation olympique chinois Liu Qi, en arborant une banderole représentant les anneaux olympiques remplacés par des menottes, logo de RSF visant à dénoncer les manquements aux droits de l'homme en Chine. Il est par ailleurs rédacteur en chef de
l'hebdomadaire Qui-Vive ! édité par Reporters sans frontières.
Article par sur le site du Lycée Voltaire (voltaire.com.fr) Visite de l’hebdomadaire "Le Canard
enchaîné" Interview de Jean-François Julliard dans les locaux du Canard enchaîné. Visite au Canard enchaîné Sous une porte cochère, rue Saint-Honoré à Paris, ce mercredi 26 mars 2008, devant les locaux du Canard enchaîné, nous sommes accueillis par Jean-François Julliard, journaliste depuis 23 ans au Canard Enchainé, chargé des thèmes concernant l’éducation, l’environnement, les activités locales et l’Afrique. Nous montons un bel escalier du 18e pour accéder aux locaux répartis sur plusieurs étages. Les murs des appartements dans lesquels nous entrons sont couverts de caricatures de l’époque, avec le fameux canard, et les bureaux de dossiers et paperasses divers. Un trou dans un mur a été laissé, celui symbolisant la découverte de micros cachés dans les locaux du journal (1973), au-dessus duquel une plaque "commémorative" a été fixée. Nous entrons ensuite dans une salle de conférence pour nous y installer et commencer l’interview : Comment rentre-t-on au Canard enchaîné
? Faut-il avoir un profil particulier ? Les journalistes sont-ils influencés par
les journaux dont ils sont originaires ? Quelles sont selon vous les qualités d’un
bon journaliste ? Quel est le parcours recommandé pour quelqu’un
qui souhaiterait devenir journaliste ? Le métier reste néanmoins difficile d’accès car les places restent en nombre limité. Il existe 25 000 à 30 000 cartes de presse. 100 places sont libérées par an pour des départs en retraite. Y a -t-il des avantages à être au
Canard plutôt que dans d’autres journaux ? Existe-t-il une différence entre être
journaliste de radio, de presse écrite ou audiovisuelle ? Quelles sont les contraintes du journaliste ? Pourquoi n’avez-vous pas de site internet
? Avez-vous une tendance politique particulière,
même si vous ne vous revendiquez ni de gauche ni de droite ? Epousez-vous
plutôt une tradition anarchiste ? Où trouvez-vous ces informations ? la source institutionnelle (annonce lors d’une conférence de presse), que nous utilisons peu, les autres journalistes, qui ne peuvent pas divulguer ces informations dans leur propre journal : c’est une source propre au Canard. et surtout le carnet d’adresses (induisant des relations personnalisées), le public, le lectorat qui nous donnent des informations. Nous recevions jusqu’à deux sacs postaux par jour à un moment donné. Auparavant, le Canard enchaîné constituait le seul journal à être en attente de ce que les gens avaient à dire. Avec Internet, la donne a changé. Vérifiez-vous vos sources ? On a beaucoup parlé des relations de connivence
entre les médias et le monde politique. Quel regard portez-vous
à ce sujet ? Comment choisissez-vous vos sujets ? Existe-t-il une forme de censure ? Avez-vous des correspondants à l’étranger
? Comment s’organise une rédaction
? Et hiérarchiquement ? Comment vivez-vous sans le financement de la publicité
? Est-ce que Le Canard enchaîné constitue
une exception française, qu’on ne retrouve pas ailleurs ? En Allemagne, il y a das Titanic, qui a un tout petit tirage par rapport à nous, de 20 à 30 000 exemplaires. En Russie, il y a Krokodile, qui n’a rien à voir avec notre ligne éditoriale car il est raciste et antisémite. Aux Etats-Unis, il existe quelques petits journaux locaux satiriques. En Afrique, il y a Le Canard déchaîné, au tirage très faible. N’y a-t-il pas un risque instrumentalisation
par les informateurs de "la Mare aux canards" ? Que répondriez-vous si vos lecteurs vous
reprochaient de ne parler que du monde politique et de finalement rédiger
très peu d’articles sociaux, de dénoncer très
peu de problèmes sociaux ? Est-il toujours facile de rendre les articles
humoristiques ? Pour écrire un article, il faut savoir raconter, il faut mettre en accroche une information importante puis seulement après entrer dans les détails, ce qui est cocasse. La bonne technique, c’est de raconter à quelqu’un. On commence par lui donner l’information importante, et ensuite il nous demande comment cela s’est passé, etc... depuis le début. S. Leturcq |