La guerre définitive et le taoïsme politique.
Communiqué de Michel Dakar, le 8 mars 2020, chercheur en politique globale, Villequier France.
http://www.aredam.net/la-guerre-definitive-et-le-taoisme-politique.html

Documentation :
« 
Donner l’envie de lire » :
De Pierre Péan, Le monde selon K., 2009, Éditions Librairie Arthème Fayard.
Contenu du livre de Péan :
Bernard Kouchner, un imposteur humanitaire en réalité un criminel total contre l’humanité, un agent d’influence des néoconservateurs américains et du sionisme en France, au service des milliardaires judéo-occidentaux dans leur quête pour instaurer une dictature mondiale éternelle et de réduire l’humanité à l’esclavage perpétuel.
Extrait scanné et mis sous forme d’un pdf, du livre de Pierre Péan :
http://www.aredam.net/bilderberg-bernard-kouchner-un-agent-d-influence-des-neoconservateurs-americains-et-du-sionisme-en-france.pdf

Vrai matériel d’éveil politique :
http://www.assietteaubeurre.org/index.html






Dessin de l’auteur



La guerre définitive et le taoïsme politique.

La guerre sans fin instaurée par le fils Bush et inaugurée par les faux attentats du 11 septembre 2001 organisés aux USA par les néoconservateurs sionistes israélo-américains, est une tromperie dans son appellation, car sa réelle dénomination est « guerre définitive ».

La cause de cette volonté de masquer sa réelle dénomination est qu’elle est trop proche, voire de confond avec l’appellation des nazis du « Reich de 1000 ans », c’est à dire la domination définitive des nazis sur la planète.

Le régime actuel occidental, siono-néoconservateur est donc le frère jumeau du régime nazi.

Nous sommes donc en France sous un régime similaire au nazisme, il faut en prendre conscience.

Le seul courant de pensée capable de s’opposer et de faire échouer ce courant idéologique de domination, dont le nazisme, puis le « siono-néoconservatisme » ne sont que des exemples de résurgence qui seront suivis par d’autres, est le taoïsme politique.


Mais qu’est-ce que le taoïsme politique ?

Le taoïsme est l’un des deux courants essentiels de pensée asiatiques, avec le bouddhisme.

Ce qui se dégage de ce courant de pensée qui au fond est unique, est l’idée d’harmonie entre l’individu et la totalité au sein de laquelle l’individu s’insère.

L’individu est regardé comme une manifestation de la totalité parmi l’infinité des possibles manifestations de la totalité.

Le travail de la pensée asiatique est sur le rapport entre individu et totalité, il n’est rien d’autre.

Il ne peut y avoir d’antagonisme entre individu et totalité, car individu et totalité sont (est) un objet unique, de même qu’il ne peut y avoir antagonisme entre individus, car ils (c(est), un même objet.

De la totalité apparaissent les individus.

Cette totalité est dénommée le vide par le courant de pensée, le courant de concept taoïste, le vide créateur, ou la femelle silencieuse, passive, la vallée, le creux. Dans la peinture chinoise, ainsi, ce sont les espaces non-remplis qui importent.

Dans le courant de pensée bouddhiste, qui est le même mais avec un autre point de vue, l’accent est mis sur l’illusion du moi, « le moi n’existe pas » (lire Magiciens et mystiques du Tibet, d’Alexandra David-Neel, qui est une sorte de synthèse non-dépassée de la problématique existentielle bouddhiste°.

Il ne peut y avoir d’ennemis, de domination, d’exploitation, de conquête, d’accaparement et de possession dans la pensée asiatique.

C’est une pensée qui rejoint au plus profond la pensée anarchiste européenne qui est apparue au 19ème siècle, alors que la pensée asiatique existentielle fondamentale est apparue environ 2500 ans avant le présent.

La pensée existentielle fondamentale asiatique est absolument politique, comme l’est de façon affirmée la pensée anarchiste.

A ce type de pensée fondamentale existentielle globalisante, s’oppose la pensée moyen-orientale, qui est fondée sur la rupture entre l’individu et la totalité, et au-delà même, l’antagonisme, la guerre, entre l’individu et la totalité.

Ce type d’attitude s’est formalisé dans le judaïsme, le christianisme et l’islam.

C’est une voie sans issue, qu’il faudra abandonner.

Sa matérialisation actuelle est la guerre définitive des siono-néoconservateurs occidentaux.

Le courant de pensée existentielle fondamentale totalisant n’est plus depuis longtemps l’apanage des asiatiques, les chinois actuels n’ont visiblement plus rien en commun avec les chinois antiques, et ils seraient même susceptibles de devenir les successeurs des nazis ou des siono-néoconservateurs.