L'histoire de l'espèce humaine, une évolution continue vers un état d'enfermement mental absolu bientôt finalisé.
Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier France, province coloniale de l'entité israélo-US. Texte commencé
le 17 avril 2018, mis à jour le 31 mai 2018.

http://www.aredam.net/l-histoire-de-l-espece-humaine-une-progression-continue-vers-un-etat-d-enfermement-mental-absolu-bientot-finalise.html

Illustration :
http://www.aredam.net/papillon-de-nuit-barre-y-va-villequier-avril-2018.html



1 - Qu'est-ce que l'enfermement mental ?

Définir ce qu'est l'enfermement mental est la chose la plus difficile qui soit.

La raison en est que nous faisons tous - y compris les
exceptions qui cherchent à définir l'enfermement mental - partie de l'univers mental carcéral qui résulte de l'état d'enfermement mental. Ceux qui travaillent à définir l'enfermement mental sont eux-mêmes des barreaux et des murs de la prison mentale où ils existent, comme ceux qui n'ont aucune conscience de l'existence de cette prison.

Parmi les enfermés, c'est à dire les humains, ceux qui cherchent sur l'enfermement mental, ne peuvent qu'imaginer ce qu'est l'existence hors les murs de l'enfermement mental qui est le seul univers qu'ils connaissent, et donc ne peuvent utiliser que cette imagination d'un univers libre, pour la
comparer à l'image de l'univers clos qu'il connaissent et ainsi définir par comparaison cet univers clos de l'enfermement mental.

Au fond, si on prend comme image l'état d'enfermement mental comme une machine qui remplirait tout un univers, la
partie de cette machine qui est le chercheur sur l'état d'enfermement mental, qui n'est donc que l'un des rouages de l'enfermement mental global, doit se libérer de cette machine pour pouvoir témoigner de ce qu'est l'existence hors de cette machine, pour pouvoir par comparaison définir la nature de cette machine qu'est l'état d'enfermement mental.

C'est donc un travail à la fois sur soi, et un travail sur le global, qui doivent être menés de front, de plus en liaison constante et renvoi l'un sur l'autre.

Pour clôre ce premier paragraphe, il faut donner quelques cas particuliers et déjà nommés d'état d'enfermement mental.

Ce qu'on nomme actuellement l'univers virtuel, informatique et électronique, est un état d'enfermement mental obtenu par les machines nommées ordinateurs. Il tend à devenir global, vers l'absolu, et à englober la totalité de l'humanité.

Les travaux de chercheurs tels Vladimir Volkoff et Sun Tsu, les « princes » de la manipulation politique de masse, mènent à la classification de toute police politique au sens large, comme machinerie d'enfermement mental, actuellement parfaitement hybridée avec l'univers virtuel, cette hybridation ne pouvant que déboucher sur un état parfait d'enfermement mental dont il sera impossible de s'extraire. Un texte comme ce présent texte, lorsque cette hybridation aura atteint son épanouissement et produit tous ses effets, sera impossible à écrire, car il sera impossible de s'échapper d'une telle machinerie. Ce sera alors la fin de l'espèce humaine, car une espèce ne peut exister dans un état de rupture parfaite d'avec la réalité, l'univers réel.

Plus classiquement, l'ensemble des religions, idéologies et autres systèmes de pensées sont des états d'enfermement mentaux, particulièrement les dites religions du livre, judaïsme, christianisme et islam, le judaïsme étant un proto état parfait d'enfermement mental, précurseur de l'état parfait qui est en train de se mettre en place, et ce n'est pas un hasard si la plupart des concepteurs et des organisateurs de la mécanique hybride univers virtuel informatique et manipulations mentales de masse, sont des juifs. Cet état d'enfermement est consubstanciel des juifs, et s'est de tout temps manifesté par la vie en clôture des ghettos réduits dans les villes, et les ghettos actuels englobant des vastes étendues, que sont Israël et la Patagonie en cours de réalisation.

Il faut citer pour l'exception, l'exemple de l'idéologie dénommée anthroposophie, une perfection mais dont l'effet comme dans la chanson de Boris Vian la bombe atomique, n'a qu'un rayon d'action réduit, ce qui fait qu'elle est tolérée et même non classée comme secte. Il faut lire le blog de Monsieur Grégoire Perra, un ancien adepte durant une trentaine d'années, pour découvrir l'originalité de cette création de mécanique d'enfermement mental qu'est l'anthroposophie, dont pourraient s'inspirer les petits monstres qui conçoivent les actuels printemps arabes, révolutions oranges, facebook, twitter et autres : https://gregoireperra.wordpress.com/ (aller à 3 mai 2012, article « Eléments explicatifs de l'enfermement mental provoqué par l'anthroposophie » https://gregoireperra.wordpress.com/2012/05/03/elements-explicatifs-de-lenfermement-mental-provoque-par-lanthroposophie/ ).

A contrario, il faut citer les rares tentatives pour sortir de cet état d'enfermement mental, dont le bouddhisme et le taoïsme originels, avant qu'ils ne tournent en idéologie, c'est à dire en mécanique d'enfermement mental, comme le courant anarchiste occidental, avant que de même il ne devienne un simple outil
de la police politique occidentale (ZAD – Zones à défendre françaises et européennes, Rojava – Zone nord de la Syrie et de l'Irak).

Le problème peut se poser de chercher à connaître si l'humanité a connu un état de non-enfermement mental dans le passé, ou si cela a toujours été, et si les autres espèces animales connaissent un état d'enfermement mental.

On pourrait considérer comme les signes d'enfermement mental les premières sépultures (connues) il y a 100 000 ans, les premières grottes ornées il y a environ 50 000 ans, les traces de chasses en
groupes d'animaux avec massacres en masse de troupeaux conduits et poussés du haut de falaises il y a environ 30 000 ans, les premiers vêtements mortuaires somptuaires il y a 30 000 ans, les premières enceintes fortifiées il y a environ 8000 ans au Proche-Orient, les premiers charniers révélateurs de massacres de masse il y a environ 5 000 ans dans l'actuelle Allemagne. On relate chez les chimpanzés des cas d'exterminations organisées de groupes étrangers de chimpanzés, ou de meurtres prémédités de chimpanzés étrangers isolés tombés dans une embuscade.

On pourrait penser qu'une branche de l'arbre de la vie terrestre a évolué vers l'enfermement mental. On pourrait intituler les espèces de cette branches, les enfermées. La ligné humaine et celle de certains grands singes en font partie.



2 - Diverses sortes de tentatives de rupture de l'enfermement mental, et à contrario, diverses sortes de renforcements effectifs de l'enfermement mental.

Il existe fondamentalement deux catégories d'individus humains. Toute autre manière de diviser l'humanité est inadéquate, qu'elle utilise le sexe, la « race », l'appartenance à l'idéologie religieuse, l'âge et autres.

Ces catégories sont fondées sur la capacité à accepter ou à rejeter l'enfermement mental.

La première catégorie qui comprend la quasi totalité des individus est celle de ceux qui tolèrent voire recherchent l'enfermement mental.

La seconde catégorie est celle infiniment plus restreinte de ceux qui à des degrès divers au contraire cherchent à échapper à l'enfermement mental.

Echapper à l'enfermement mental est simple à définir, il s'agit d'échapper à soi-même, et cela signifie bien au-delà que d'échapper à l'enfermement de sa famille, de sa classe sociale, de son éducation, de sa religion, enfin de tous les conditionnements qu'il est convenu de reconnaître comme tels.

Echapper à soi-même, signifie échapper à son existentialité, à son état même d'individu appartenant à une espèce définie, c'est échapper à toute limitation, et pour ceux qui ressentent l'attirance pour la liberté absolue, c'est exister comme le définissent les taoïstes, le non-formé, le non-défini.

A contrario, il existe des pratiques existentielles dont l'objet est le renforcement de l'enfermement mental. La pratique la plus extrême est le judaïsme, dont les avatars que sont le christianisme et l'islam ne sont que des pratiques édulcorées.



3 - L'échelle d'enfermement mental des formes de vie.

Cette échelle est l'inverse de celle qui classifie les formes de vie depuis les plus simples aux plus complexes, l'humain étant dans cette classification au sommet de l'échelle.

L'échelle de l'enfermement mental est inverse.

Plus la forme de vie est dite simple moins son enfermement mental est important, et plus cette forme de vie est complexe, plus son enfermement mental est élevé, voire total dans certains cas de l'humanité.



4 - Pratiques de désincarcération d'un état d'enfermement mental.

Toutes les pratiques dérivées des courants de pensée bouddhistes et taoïstes ont pour objet la désincarcération de l'enfermement mental.

Il en est de même des pratiques animistes, druidiques, de celles de la sorcellerie.

Toutes tentent de revenir à un état dit végétatif qui est considéré dans les systèmes sociaux comme le nôtre fondé sur l'enfermemment mental comme péjoratif.

Beaucoup de pratiques cherchent à imiter ou s'inspirent des plantes et des animaux, comme le yoga.

Beaucoup de pratiques mettent en œuvre l'établissement d'un liaison effective, l'ouverture d'un accès, avec un animal ou une plante, voire directement avec l'énergie universelle, et au-delà l'informé, et l'individu, dans l'instant où il se met dans un état particulier de réceptivité, d'ouverture, de détachement de soi, qu'on nomme méditation.



5 - Qu'est-ce-que la méditation ?

La méditation dont il est question ici est totalement étrangère à ce qu'on nomme méditation en Occident, c'est à dire dans les aires de populations subissant l'enfermement mental judéo-chrétienno-islamique.

C'est un état difficile à décrire à ceux qui ignorent cet état.

En fait c'est un état que découvrent naturellement, seuls, sans le besoin d'un « maître », d'un guide spirituel, ceux qui appartiennent à la seconde catégorie des humains, c'est à dire ceux qui sont fait pour exister hors l'enfermement mental.

Pourtant il est bon de tenter de faire sentir à ceux de la première catégorie ce qu'est cet état, simplement parce qu'ils vont être de plus en plus nombreux à rechercher à s'affranchir de l'enfermement mental, en raison des conditions d'existences devenant de plus en plus infernales et générales, dont l'enfermement mental est la seule cause, et qui ne peuvent changer tant que l'état d'enfermement mental sera l'état normal social.

Pour commencer, et aussi pour dès le départ poser la difficulté de la chose, il faut annoncer qu'il n'y a pas un mode de méditation, mais autant de modes qu'il y a d'invidus la pratiquant, et aussi qu'il n'y a pas de pratiques de la méditation, car elle est cet état de méditation peut être présent à tout moment, et que le moment où la personne est en posture de méditation n'est qu'un cas particulier, et sans doute pas le plus significatif.

Le vocabulaire occidental qui se rapproche le plus de la réalité de la méditation est ressourcement, restauration, recollation.



6 - Les intercesseurs.

De tous temps, et en tous lieux, ceux qui portent la liberté en eux ont naturellement eut l'idée de se trouver des intercesseurs entre eux et l'informé, ou la totalité, l'univers (impossible de définir plus avant cet état, et surtout pas par ce qu'on nomme « dieu »).

Les prêtres (rabbins, curés, imans et autre brahmames), qui se posent comme intermédiaires entre l'universel et le simple individu, sont un dévoiement, une dégénérescence de l'idée d'intercesseurs des porteurs de liberté.

Les intercesseurs sont de toutes les sortes.

Ils peuvent être des animaux, des plantes, des « choses », comme les pierres, la lumière, le vent et autres, à l'infini. Et surtout pas un autre humain, et encore moins un prêtre. Il n'existe pas de guide spirituel et de maître et des disciples, de représentants de la transcendance et autres. Toutes ces figures sociales ne sont que des facettes de ce qu'on nomme escrocs, profiteurs, imposteurs, manipulateurs.

Méditer est par exemple, lors de cet état réduit à l'instant qu'il est convenu de nommer méditation, se trouver devant une plante, une pierre, un animal, enfin tout mode d'être supérieur en liberté à l'humain, établir une relation entre cette pierre, plante ou animal et le méditant. Le méditant, classiquement, est assis en lotus, ou assis sur ses genoux, et s'ouvre à la pierre, la plante, l'animal, qui est en face de lui. Il est difficile sinon impossible d'évoquer plus précisemment cet état, mais il faut bien quand même en parler.



7 - L'origine de l'enfermement mental.

L'origine de l'enfermement mental apparaît clairement énoncé dans le livre sacré des juifs, la torah, à son tout début, traitant de la création, et de la propriété de tout ce qui pousse et qui vit comme dévolu à l'humain.

L'origine de l'enfermement mental est la propriété.

La propriété naît avec l'apparition de l'espèce humaine.

Cette enfermement est à l'état de germination chez les autres espèces, mais cette germination s'épanouie seulement chez l'espèce humaine.

Pourquoi ? Sans doute est-ce par faute de moyens de pouvoir tenir la propriété que chez les autres espèces, la propriété est-elle restée à l'état de germe.



8 - Conséquences politico-sociales de l'épanouissement de la propriété chez l'espèce humaine.

a) Les exercices de méditations sont en réalité des exercices de dépropriation, d'échappée de l'état d'appropriation.

b) Les humains qui possèdent le plus sont les plus mentalement enfermés. Ils deviennent dans l'absolu tellement enfermés qu'ils n'appartiennent plus à l'univers, qu'ils deviennent donc des non-êtres. C'est le cas des élites, constituées des touts puissants, soit financièrement soit politiquement. Ce peut être le cas d'individus ou de groupes humains, à l'exemple des juifs. A des degrés moindres, c'est le cas de populations appartenant aux pays dits développés, généralement occidentaux, et secondaiement asiatiques, comme les japonais. Il n'y a qu'à prendre la liste des G 7, G 8, G 20, pour avoir une échelle de l'enfermement de groupes, et de la non-existence des populations, avec au sommet de l'échelle, les juifs.

c) Une population enfermée mentalement, ou un individu enfermé mentalement, tend à enfermer mentalement son entourage ou son environnement social, géographique, et tend pour finir, pour les populations et les élites au sommet de l'échelle de l'enfermement, à enfermer mentalement la totalité de l'espèce humaine, la planète entière, et si les voyages galactiques et intergalactiques étaient au poiunt, l'univers entier, et les autres formes de vie qui s'y sont développées.

d) L'enfermement mental est donc la maladie fatale suprême de la vie.

e) La vie rencontre donc sur son cheminement un obstacle unique et fatal, qui est celui de l'enfermement mental.

f) Soit la vie surmonte cet obstacle, soit la vie disparaît, pour réapparaître ensuite dans un univers libéré d'une évolution de la vie qui n'a pu s'affranchir de l'enfermement mental.

g) Voilà pour résumer l'étape où nous nous trouvons, avec la guerre de Syrie, qui n'est autre que le point de rencontre entre les forces qui ne peuvent plus s'échapper de l'enfermement mental, et qyui tendent à détruire toute vie dont la leur, et les forces qui ne sont pas encore totalement sous l'emprise de l'enfermement mental.

h) Pour être plus explicite, les forces définitivement enfermées mentalement sont l'Occident et les Juifs, les forces non-encore totalement enfermées mentalement, sont les russes, les chinois, iraniens et autres.

i) La victoire de l'Occident et des Juifs signera l'arrêt de mort de l'espèce humaine. La victoire du bloc opposé laissera ouvert le parcours de l'évolution de la vie.



9 -
Evolution de l'enfermement mental dans le temps et du mensonge.

Liaison entre l'enfermement mental et le mensonge.

Plus les temps sont anciens, plus l'enfermement mental est faible.
Plus les temps sont récents, plus l'enfermement mental est fort.

Plus l'enfermement mental est léger, plus le mensonge est léger.
Plus l'enfermement mental est fort, plus le mensonge est fort.

Le mensonge évolue de façon concomitante avec l'enfermement.

Le mensonge et l'enfermement mental atteignent dans les temps actuels modernes leurs apogée.


Documentation :

Voici cinq
documents datant de 2000 ans avant le présent, provenant de Mésopotamie et d'Egypte, exposant la perte de réalité qu'on a subit en 2000 ans, la perte de capacité à créer, et l'éloignement de la vérité, qui atteint un paroxysme actuellement, et qui a commencé avec l'élaboration de la torah, puis de la bible, puis du coran.

Ces documents sont tirés de l'ouvrage « Naissance de l'écriture - cunéiformes et hiéroglyphes ». Galeries nationales du Grand-palais 7 mai-9août 1982. Ministère de la Culture. Editions de la Réunion des musées nationaux. 1982


a) Mythe d'Atrahasis : le création de l'homme. Akkadien XVIIè siècle av. J.C. (Mésopotamie).
Page 261.

Lorsque les dieux étaient (encore) hommes, ils assumaient le travail et supportaient le labeur.
- grand était le labeur des dieux, lourd leur travail, et longue, leur détresse.
aussi se révoltèrent-ils,
les ayant réunis le sage
Ea [ouvrit] la bouche
et dit aux dieux, {ses frères] :
« De quoi pouvons-nous les [accuser] :
leur travail est lourd [et longue, leur détresse] ;
chaque jour, [ils creusent] la ter[re],
lourde est [leur] lamentation […].
(Mais) il y a [peut-être un remède à leurs maux] :
[la Génitrice] est là :
qu'elle crée un être humain, l'Homme,
afin qu'il porte le joug [et en libère les dieux]... »
Ea ouvrit la bouche et dit aux grands dieux :
« Le premier, le septième et le quinzième jour du mois,
je préparerai, comme purification, un bain.
Que l'on égorge un dieu
et que les autres dieux, s'y plongeant, soient purifiés !
Avec la chair et le sang de ce dieu,
que Nintou mélange de l'argile
afin que dieu même et l'homme
se trouvent mélangés ensemble dans l'argile :
qu'(issu) de cette chair de dieu soit un « esprit »,
comme vivant, qu'il révèle l'homme par ce signe,
pour qu'on n'oublie pas, que soit un « esprit »...

ainsi fut fait...

alors, Nintou ouvrit la bouche
et dit aux grands dieux :
« Voous m'aviez ordonné une tâche : je l'ai achevée.
vous avez égorgé un dieu, avec son intelligence.
J'ai supprimé votre travail pénible,
et votre dur labeur, c'est à l'homme que je l'ai imposé.
vous avez transféré la plainte à l'humanité :
(pour vous,) j'ai délié le joug, j'ai établi la liberté. »
traduction R. Labat.

Donc il y a environ 2000 ans, on exprimait que l'homme avant son invention de la domination de l'homme sur l'homme, de l'exploitation de l'homme par l'homme, de l'esclavage, était homme, et que la notion de dieu est apparue avec l'invention de la domination, de l'exploitation et de l'esclavage, et que donc, la notion de dieu est une invention de l'homme, que c'est l'homme qui a inventé dieu, et que ce qu'on nomme dieu est le dominateur, l'exploiteur et l'esclavagiste.

Or, la domination, l'exloitation et l'esclavage ne sont que des aspect d'un phénomène unique et plus profond, la propriété. L'homme devient une chose qu'un autre homme peut posséder, ce propriétaire est non-plus dénommé homme mais dieu, et l'homme qui est sa propriété reste dénommé homme, dénomination qui devient équivalente à esclave.

Un propriétaire est un dieu, un homme est esclave.

Il s'agit de paroles de vérité, et le mensonge n'était pas encore instauré comme vérité. Sans doute parce qu'on n'est qu'au début de cette évolution dans l'ordre social humain.


Il n'en n'est plus de même avec la torah ou l'ancien testament de la bible chrétienne. La parole vraie a disparue.

Génèse 1-2

Dieu dit : « Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, pour dominer sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur les animaiux domestiques, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre ».

Et Dieu dit « Je vous donne (à l'homme) toutes les plantes portant semence partout sur la terre et tous les arbres qui ont des fruits d'arbres portant semence ; ce sera votre nourriture.

Suite à un subterfuge nébuleux idéologique, « Dieu », ou l'homme propriétaire légitimise l'a mise en esclavage de l'homme. Ce subterfuge idéologique prend la forme d'un non-respect d'un règlement apparement absurde : ne pas manger d'un fruit précis d'un arbre existant dans la propriété de dieu ou homme propriétaire, de plus fruit et arbre dénommés « connaissance », c'est à dire compréhension de la manipulation mentale de l'homme propriétaire, ou autrement dit, être coupable d'intelligence, d'être capable de démonter la manipulation mentale de l'homme proprétaire, cette manipulation mentale enfermant l'esclave dans l'obéissance et la non-révolte, lui faisant fuir sa libération et accepter la domination de l'homme propriétaire, ou autrement dit, être capable de discerner ce qui est vrai de ce qui est faux.

Du fait de cet attentat au code civil et pénal de l'homme propriétaire, dénommé dieu, l'homme devient propriété du premier et sa chose qui travaille pour lui : « A la sueur de ton front tu mangeras du pain jusqu'à ce que tu retourneras à la poussière » (Genèse 3-4).

L'arbre de la connaissance du bien et du mal, de la torah et de la bible, et la capacité à reconnaître le mensonge.

Le crime suprême (ou péché originel), est donc être capable de reconnaître comme mensonge un mensonge.

Le judaïsme est donc un embrigadement mental au mensonge, ainsi que le christianisme postérieur, et l'islam qui en est un avatar tardif.

L'ensemble, propriété et mensonge génère l'enfermement mental.

Le premier manuel d'enfermement mental se nomme torah, le second est la bible, et le troisième est le coran.


b) Dialogue entre un maître et son esclave : conte moral.
Fin IIè millénaire av. le présent. (Mésopotamie).
Page 262.

[« Esclave, viens ici à mes ordres !] - Oui, mon maître, oui !
[- File, va me quérir et ] m'attelle un char, que j'aille au Palais !
[Vas-y mon maître, vas-y !] Il y aura [profit] pour toi :
[le roi, en te voyant,] te comblera d'honneurs !
[- Eh bien, non, esclave,] je n'irai pas au Palais !
[N'y va pas,] mon maître, n'y va pas !
[La roi, en te voyant.] t'enverrait [où tu ne voudrais aller].

« Esclave, viens ici à mes ordres ! - Oui, mon maître, oui !
- Je veux aimer une femme ! - Aime, mon maître, aime !
L'homme qui aime une femme oublie inquiétude et soucis !
- Eh bien, non, esclave, je n'aimerai pas une femme !
- N'aime pas, mon maître, n'aime pas !
La femme est un puits, oui, un puits, une citerne, une fosse;
la femme est un poignard acéré qui de l'homme tranche la gorge. »

« Esclave, viens à mes ordres ! - Oui, mon maître, oui !
- Je veux faire du bien à mon pays ! - Fais ainsi, mon maître, fais ainsi !
L'homme qui fait du bien à son pays
ses bienfaits sont placés au « cercle » (des grands dieux !)
- Eh bien, non esclave, je ne ferai pas de bien à mon pays !
- N'en fais pas, mon maître, n'en fais pas !
Monte sur les collines de ruines d'antan, et les parcours,
considères-y les crânes mêlés des pauvres et des nobles :
lequel a fait le mal ? Lequel a fait le bien ? » …

- Esclave... qu'est ce qui est bon ? …
- Qui donc est assez grand pour atteindre le ciel ?
Qui est assez large pour embrasser toute la terre ?
- Eh bien, non esclave ! Je vais te tuer et te faire partir avant moi !
- Oui, mais, mon maître ne me survivra pas trois jours ! »
Traduction R. Labat.


c) Dialogue d'un désespéré avec son âme (XIIè dynastie). (Egypte).
Page 318.

«  La mort est aujourd'hui devant moi
comme la guérison devant un malade
comme la première sortie après une maladie.

La mort est aujourd'hui devant moi
comme le parfum de la myrrhe,
comme lorsqu'on est sous la voile, par grand vent.

La mort est aujourd'hui devant moi
comme le parfum du lotus
comme lorsqu'on se tient sur la rive de
l'ivresse.

La mort est aujourd'hui devant moi
comme un chemin connu
comme lorsqu'un homme revient de guerre
vers sa maison.

La mort est aujourd'hui devant moi
comme un ciel qui se dévoile
comme lorsqu'un homme découvre ce qu'il ignorait. »
Traduction F. Daumas.


d) Inscription votive : cylindre B de Gudéa.
Tello : époque de la renaissance sumérienne : Gudéa, prince de Lagash, (vers 2150 avant le présent).
(Mésopotamie).
Page 227.

Extrait de l'article :

« … les rites sont exécutés et les décrets accomplis ». Grâce au prince, l'abondance régnera dans le pays, toute inégalité sera supprimée entre maître et esclave, puissant et faible, on respectera la veuve et les orphelins et la justice sera sauvegardée. »


e) Extrait de l'article de Bernard Arnaud, page 196, « Ecriture et civilisation mésopotamienne. L'histoire événementielle. »,
Paragraphe 2 :

« Le concept d'histoire est inconnu des mésopotamiens mais ils avaient une idée arrêtée sur l'évolution de leur société dans le temps. Elle est foncièrement pessimiste. L'homme a reçu la civilisation toute achevée des dieux mais depuis la révélation, le monde s'éloigne de cette perfection qu'aucun effort ne saurait maintenir, encore moins retrouver. Archivisites et bibliothécaires, collectionneurs d'antiques à l'occasion, les Mésopotamiens connaissaient trop bien leur passé tumultueux et étaient des témoins attentifs de leur présent pour ne pas juger que tout décidément allait de mal en pis. L'Histoire est alors enseignement d'une morale sociale dont l'archaïsme fondait la valeur : la connaissance des crises passées sert, sinon à en éviter le retour, du moins à le retarder ou à en atténuer les effets. Après chaque catastrophes, les Mésopotamiens, énergiques et désabusés, se remettaient à la tâche. »



10 - Les effets sensibles sur l'individu, de la libération de l'enfermement mental.

L'individu qui commence à se libérer de l'enfermement mental, ressent un sentiment d'étrangeté vis à vis de sa famille, et au-delà, de tout groupe, collectivité, ensemble, auquels il est rattaché.

Or, tous les ensembles de rattachement possèdent un élements psychique commun, c'est le sentiment d'orgueil d'appartenance, de supériorité, qui est poussé à l'extrême chez les juifs.

Le fait le plus notable qui apparaît chez l'individu qui s'extirpe de la prison mentale est de se sentir libéré de ce sentiment de supériorité. C'est comme sil il réalisait que jusqu'alors, il n'avait pu respirer librement. Il commence à réellement pouvoir respirer. C'est un chose étrange et paradoxale que de savoir que ceux qui se considèrent comme des êtres supérieurs, ce qui est le cas caricatural des juifs, sont en réalité les plus brimés, opprimés, réduits, des êtres.

Ne plus se croire au-dessus des autres, revient à être réintégré dans la réalité, et il n'y a pas de plus beau sentiment, de plus gratifiante sensation.

Ce sentiment de supériorité est né avec la propriété, et accompagne celui qui est propriétaire, avec un accroissement de son intensité qui va de pair avec l'accroissement de sa propriété, ou de son pouvoir, propriété et pouvoir étant inséparables.

L'une des manifestations évidentes de l'atteinte d'un individu par ce sentiment de supériorité, ou d'enfermement mental, est la recherche de ses origines, qui se manifeste trivialement par la recherche généalogique, ou chez les juifs, par la remémoration historique, laquelle est dans leur cas, imaginaire, mais qui est aussi imaginaire dans la plupart des autres cas. Dans le cas des juifs, cette recherche des origines est poussée à son paroxysme par l'invention d'une origine supra naturelle, dite divine, un « dieu », soit un être né de l'imagination humaine, irréel, ayant choisi les juifs comme ses représentants sur terre. Dans le cas des juifs, l'enfermememtn ùmental est donc maximum, voire même irréversible. Rien ne semble pouvoir libérer les juifs de leur état d'enfermement mental, sinon un événement extérieur à leur groupe, comme un cataclysme.

Les œuvres de Freud et Kafka ne portent pas sur le monde humain en général, mais sur le monde propre exclusivement aux juifs, sur leur monde intérieur d'enfermés mentaux. Il est grave que cela soit devenu une généralité, alors que le psychisme évoqué par Freud ou les fantasmes kafkaiens ne concernent que les juifs.

Toutefois, la psychanalyse ainsi que les livres de Kafka, exposent bien au jour ce qu'est l'enfermement mental, des juifs, des psychanalystes et des juifs européens, et au-delà, un enfermement mental tellement parfait qu'il en est exemplaire pour les non-juifs.



11 - La conséquence psysique et psychique de l'enfermement mental.

L'état d'enfermement mental mène à un psychisme mécanique, c'est à dire que l'individu mentalement enfermé devient une machine.

L'exemple type est celui des juifs, qui est illustré par eux-mêmes dans ces vues tirées de l'organe français de manipulation dénommé Le Parisien :

http://www.aredam.net/schema-enfermement-mental.pdf

L'entité Israël est représentée comme un ordinateur, lequel n'est autre qu'une machine.

L'entendue sans cesse en augmentation de l'emprise des machines sur le monde humain, robots, drones, i nformatique, internet, est simplement le signe de la totale transformation en machine de l'espèce humaine, signe à son tour de l'enfermement mental devenant total de l'espèce humaine. Les juifs ne sont qu'à l'avant-garde de ce phénomène, qui chez eux commence à ne plus pouvoir rester masqué.



12 - Rapport avec les anarchistes, les taoïstes et les bouddhistes.

Les taoïstes et les bouddhistes n'ont pu faire le lien entre l'enfermement ùmental contre lequel ils ont lutté et la propriété, le pouvoir et la hiérarchie sociale autrement dénommée classes, car s'ils l'avaient fait ils auraient été immédiatement détruits par le pouvoir de l'époque, de même que les anarchistes n'ont pas fait le lien entre leur doctrine dévoilant que la propriété, le pouvoir et la hiérarchie sont à l'origine des maux de l'espèce humaine et l'enfermement mental, par défaut d'avancée de ce milieu dans la psychologie.



13 - Ancienneté de la psychée humaine de type mécanique, dû à l'état d'enfermement mental.

Le type de psychée humaine mécanique, ce qu'on nomme robot, drone, ordinateur ou intelligence artificielle, soient des machines, ou psychée machine, est apparu avec la propriété, le pouvoir et la hiérarchie. C'est ce qu'on décrit habituellement comme l'intrumentalisation d'autrui, ou transformer autrui en marionnette, lui tirer les ficelles, manipuler etc …

L'aboutissement de cette évolution, comme on peut dès à présent l'observer chez les juifs, est l'auto-intrumentalisation, l'individu manipuateur devennant son propre manipulé, il devient lui-même sa marionnette, une machine qui commande la machine qu'il est devenu. Bizarrement, plus le manipulateurs et puissant, plus il est manipulé. Volkoff n'a pas réalisé ce paradoxe, plus le marionnetiste tire de ficelles, plus il est ligoté lui-même par des ficelles.

Quant à la croyance que ceux qui sont les manipulateurs soient libres eux, c'est sans doute la plus belle illusion de l'état d'enfermement mental, laquelle n'est possible que chez un mental totalement enfermé. Plus l'individu manipule, c'est à dire plus il possède, plus il est élevé dans la hiérarchie, plus il a de pouvoir, moins il a de liberté, plus il doit se conformer à son état de potentat, de possédant, de hiérarque. Le moindre écart lui est fatal. Alors que plus on est bas dans la hiérarchie, plus la marge de manœuvre est importante. Ceux qui ont traversé différents milieux sociaux, du bas en haut de l'échelle sociale, le savent bien. Les milieux huppés, supérieurs, dominants, sont les plus étouffants, les moins libres qui soient. Par contre, dans les hauteurs, la niche est douillette, l'écuelle est bien remplie. Il y a quand même des compensations.



14 - Exposé simplifié du devenir de l'humanité.

L'espèce humaine est en passe de devenir une machine commandant, fabriquant, programmant des machines, qui sont elle-même.

La multiplication des robots, drones et ordinateurs n'est que l'effet visible de cette tendance.



15 - Conséquence sur l'évolution de l'espèce humaine.

La conséquence est simple et unique : l'arrêt de l'évolution de l'espèce humaine, soit sa stagnation dans le meilleurs des cas, voire très vraisemblablement sa disparition, car une espèce qui n'évolue plus disparaît par défaut de capacité à s'adapter à la réalité qui elle est sans cesse en évolution. C'est le fond de la doctrine de Darwin, le changement constant pour répondre aux changements constants de la réalité. Dans la nature globale, ce changement constant est opéré par la variation constante des individus d'une même espèce. Il n'y a pas deux individus semblables. Dans le cas de l'espèce humaine, au contraire, son évolution dans l'impasse du machinisme, mène à l'uniformisation, il n'y a plus qu'un même type d'individu.

Une machine ne crée pas, n'invente pas, n'évolue pas.

La vie n'est pas une machine, les animaux ne sont pas des machines, même les plus simples et primitifs.

L'enfermement mental est une impasse de l'évolution, la machinisme est une impasse de l'évolution, comme la propriété, le pouvoir et la hiérarchie, l'ensemble de ces concepts étant un seul unique.


16 - Evolution du concept de méditation.

Ce qu'on nomme en Occident méditation, est l'apprentissage du détachement, le détachement pouvant être dénommé libération, la libération parfaite étant la mort, qui est le retour à la plénitude, à la non-séparation.

La méditation est un exercice psychique de détachement.

On y accède à des états successifs de plus en plus proche de la mort, tout en étant en vie.

Ce qui apparaît lorsque le voyageur de la méditation parvient dans un état assez avancé, est que la mort méditative est un état de jouissance, de bonheur, indescriptible, que seuls ceux qui se sont aventurés loin dans cette voie, peuvent connaître, et qu'il est inutile de tenter de décrire aux autres. Cet état de bonheur est si intense qu'il en est quasi insupportable.

C'est pourquoi l'autorité sociale interdit le suicide, car si l'information se répandait que la mort est la paix, c'est à dire le bonheur, par rapport à ce qu'on ressent dans la société telle qu'elle est, hiérarchisée, claquemurée dans des enceintes d'interdits, gouvernée par des brutes inintelligentes et sans sensibilité, les esclaves n'auraient qu'une idée, s'évader de la société en se suicidant, et les brutes se trouveraient privées de leurs serviteurs. C'est pourquoi les religions interdisent le suicide, travaillant dans l'intérêt des brutes esclavagistes dominantes.



En cours d'élaboration au :
31 mai 2018