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L’Institution des otages


Voici la réalité sur ces organisations d’extrême gauche qui disent défendre les faibles, et celles antiracistes et de défense des droits de l’Homme :

Toutes ces organisations sont soit issues du communisme russe, ou ont soutenu l’ex régime communiste russe.

Les communistes russes se sont imposés en 1917 en éliminant tous les mouvements réellement démocrates et réellement libertaires, par des campagnes d’extermination de masse de leurs militants, et de tous les opposants, cela au nom du peuple, que les communistes russes ont massacré en masse, jusque vers le milieu des années 1920. Les communistes russes étaient minoritaires, et ils ont du employer l’assassinat et la torture, pour chasser du pouvoir les mouvements véritablement progressistes et populaires.

Les organisations en France qui sont issues du communisme russe sont le Parti Communiste, la CGT et le MRAP (organisation à la fois anti raciste et pro sioniste) qui dépendaient directement de Moscou, et les partis trotskistes : Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR) actuellement nommé Nouveau Parti Anti Capitaliste (NPA), et deux quasi sectes : Lutte Ouvrière (LO) et le Parti des Travailleurs (PT) actuellement nommé Parti Ouvrier Indépendant (POI).

Les principales organisations de défense des droits individuels qui ont soutenu le communisme russe sont la Ligue des droits de l’Homme (LDH), et Amnesty international (à l’origine un outil de propagande de Moscou).

Toutes ces organisations encadrent en France les plus faibles (étrangers, sans papiers, travailleurs précaires, chômeurs, femmes, mal-logés ou SDF …).

Elles sont toutes présentes dans le secteur politique crucial de la Palestine, où elles sont en charge de briser les nationalistes arabes qui rejettent Israël (leurs succursales sont basées principalement au CICP rue Voltaire – 11ème, et à la Librairie « Résistance » Villa Compoint – 17ème (Capjo-Europalestine).

Dès 1917 en Russie, les communistes créèrent l’Institution des otages dans la population civile, et leur massacre. En fait les communistes prirent toute la population russe en otage.

Les otages furent autant des femmes, des enfants de tous les âges, des vieillards, des malades, que des hommes valides dans la force de l’âge, quelques riches, surtout des pauvres, paysans et ouvriers dans leur immense majorité.

Il y eu environ 2 millions d’otages exécutés. Toute opposition fut éradiquée.

On dénombra environ 2000 chambres de torture installées en Russie, dans les locaux de la police politique. La torture était la règle, comme le viol des femmes, et le pillage des biens des assassinés.

La population était privée de tout droit.

L’Institution des otages est une régression absolue de l’Humanité vers l’état de non-droit, puisque le châtiment d’innocents est à l’opposé du principe pénal essentiel : « pas de peine sans délit ». Elle introduit la notion inique de faute et de châtiment collectifs.

La règle communiste était celle de l’arbitraire intégral, et la justice des communistes russes se passait de l’autre principe essentiel du droit pénal, celui de la preuve.

Voilà ce que ces organisations qui se disent les meilleures amies du genre humain cachent toujours. Voilà en réalité sur quoi elles sont fondées.

Maintenant que le communisme russe est tombé, elles travaillent pour l’actuel régime capitaliste, comme son service d’encadrement des faibles que ce régime exploite, sous le masque de les défendre.

Elles sont devenues l’un des meilleurs piliers policiers du régime capitaliste, car l’un des plus difficiles à démasquer et à dénoncer.

Ce texte est écrit pour restituer une mémoire historique véridique, non discriminatoire, impartiale, et pour être propagé sur Internet, et rendu public à proximité des locaux de ces organisations qui jouissent toujours de l’impunité.

Michel Dakar, le 29 janvier 2011.

Source : Sergueï Melgounov, « La Terreur rouge en Russie 1918 – 1924 »,
Editions des Syrtes. Ce livre a été publié pour la première fois en 1927. Sergueï Melgounov était un socialiste révolutionnaire modéré, diplômé en histoire des religions. Il participa au gouvernement soviétique, puis fut définitivement exilé.