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Article 7 (site Internet mondialisation.ca). Uranium appauvri : bombes sales des pays riches.

Article 8 (Site Internet : centpapiers.com). L’uranium appauvri : la calamité d’un biocide silencieux.

Article 9 (Site Internet : armees.com). Les armes à l’uranium appauvri.

Article 10 (Site Internet : toutsaufsarkozy.com). Les sorciers de l’apocalypse: Gaza, le massacre ne s’est pas fait tout seul !

Article 11 (Site Internet : lepost.fr). EMPOISONNEMENT MASSIF DES PALESTINIENS A L'URANIUM APPAUVRI.

Article 12. Gaza: le génocide à l’Uranium Appauvri a commencé avec les bombes "GBU-39" fournies par les États-Unis. (site Internet Mondialisation.ca).

 

 

 

Article 7 (site Internet mondialisation.ca)

Uranium appauvri : bombes sales des pays riches

par Paolo Scampa

Mondialisation.ca, Le 19 novembre 2006

Association Internationale pour la protection contre les Rayons ionisants

Uranium appauvri, tumeur à vil prix.
Parmi les nombreux polluants mortifères fabriqués par des scientifiques sur la planète TERRE, on trouve l’uranium métallique issu de la dénaturation des roches uranifères naturelles. L’uranium est en effet un élément qui se trouve sous forme de minerai partout dans la couche terrestre mais en aucun cas sous forme de métal. Il y a en moyenne moins de 1 Kg d’uranium par tonne de terre et de roche et les mines les plus riches contiennent de 1,5 kg à 5 kg de minerai uranifère par tonne.
Ce minerai uranifère est formé de 3 isotopes intimement mélangés et rassemblés en infimes échantillons que l’on retrouve épars en nature dans les proportions stables suivantes : U234 : 0,0054%, U235 : 0,7110%, U238 : 99,2830%. De ces trois isotopes seul l’U235 est à la fois fissile et capable d’entretenir une réaction en chaîne. (La fission d’un seul atome d’U235, à savoir sa division en au moins deux atomes « plus petits », par l’intermédiaire des 2 neutrons libérés stimule la fission de 2 autres atomes de U235 qui à leur tour entraînent la fission de 4 autres atomes et ainsi de suite.) Ce sont ces deux caractéristiques prisées de l’U235 qui sont exploitées dans le carburant des centrales nucléaires et dans les explosifs des bombes atomiques.
Le minerai naturel, trop dilué et insuffisamment radioactif, est toutefois impropre à entretenir cette réaction en chaîne. Pour ce faire il faudra l’« enrichir » en le portant à la densité radioactive voulue. Un premier « enrichissement » partiel produit le « Yellow cake » par concentration artificielle des atomes radioactifs dispersés dans le minerai. Grain uranifère après grain uranifère on désolidarise par agression chimique l’uranium des terres et des roches avec lesquels la nature l’avait entremêlé. Un second et plus délicat « enrichissement » ultérieur, par centrifugation ou diffusion gazeuse, viendra ensuite élever la teneur en U235 avant d’en faire un métal uranium artificiel. Ce second enrichissement portera l’uranium 235 à au moins 1,5% de la masse d’uranium pour en faire du carburant ou à au moins 90% pour en faire un explosif. L’enrichissement final consiste donc à augmenter la teneur en uranium 235 d’une masse en y prélevant une partie de l’uranium 238.
La partie prélevée et inutilisable comme carburant ou explosif est dénommé « uranium appauvri » en ce sens qu’il contiendra maintenant une moindre proportion d’atomes d’uranium 235 (il en restera toujours une portion) qu’il n’en avait au départ. L’uranium « appauvri » est également récupéré par retraitement des déchets du carburant atomique. Là l’U238 sera partiellement appauvri non seulement de l’U235 non consommé, mais aussi des divers sous-produits d’activation, dont le plutonium et l’uranium 236, et des produits de fissions créés durant le cycle de production d’énergie.
L’Uranium « appauvri » est un métal artificiel, lourd, toxique et radioactif qui contient une moindre proportion d’uranium 235 qu’il n’y en a dans les minerais uranifères mais une plus grande quantité d’uranium par gramme que n’en ont les minerais !
Ce terme si commun d’uranium « appauvri » est l’un des plus trompeur qui soit. Il laisse entendre qu’il n’est pas dangereux. Malgré les folles dépenses occasionnées par son délicat stockage civil et militaire, malgré les sévères réglementations qui le concerne, malgré l’interdiction qui frappe les citoyens d’en disposer chez eux à leur gré, malgré les preuves scientifiques irréfutables, malgré les grands cimetières des jeunes soldats tombés bien après la bataille et les gigantesques contingents malades à plus de moitié[1], malgré la fulgurante croissance des maladies dans les pays martyrisés à l’uranium et autour du globe, malgré les innombrables monstres génétiques mis au monde en ces terres maudites[2], on ose encore le clamer sans danger. Afin de nous en convaincre, on le compare aux minerais uranifères pour le déclarer moins agressif qu’eux ; mêlant là une vérité de proportion, la moindre teneur en U235 de l’UA, à un confondant mensonge de densité, en rapportant l’UA, en fait non pas aux minerais, mais à un autre uranium industriel « non appauvri » que l’on décrète « naturel ». C’est là une pure et simple escroquerie. Tout d’abord que l’uranium métallique soit « appauvri » ou non change peu à sa dangerosité. C’est un émetteur Alpha et il le reste entier et mortel en cas de contamination interne même si débarrassé d’uranium 235. Avec quelques Becquerel « 235 » de moins il lui reste encore artificiellement condensés quelques Becquerel « 238 » de trop. L’uranium « appauvri » c’est encore le cancer radiologique induit. Ensuite que si l’UA contient certes une moindre proportion d’uranium 235 que celle que l’on trouve en nature, sa densité en uranium 238 par gramme y est par contre résolument supérieure. La nature ne concentre pas les atomes d’uranium, l’industrie nucléaire si. Dans un gramme d’uranium, appauvri ou pas, il y a en effet 98% d’uranium alors que dans un gramme de minerai il n’y en au mieux que 0,5%. (On pourra également remarquer que l’uranium 235 représente, au plus, 0,00356% de 1 tonne de minerai mais, au moins, 0,0142% de 1 tonne d’uranium « appauvri ». Il y a donc 4 fois plus d’uranium 235 dans de l’uranium « appauvri » que dans une masse équivalente de minerai.) En nature on ne trouve jamais un gramme d’uranium pur, qui plus est métallique, d’un seul tenant. Du simple fait qu’il s’agit d’un concentré préfabriqué, l’uranium artificiel est plus radioactif que l’élément naturel d’où on l’a tiré. Même si appauvri à 100%, 1 gramme d’uranium est toujours plus radioactif qu’un gramme de minerai uranifère. Qu’on leur passe donc un détecteur dessus ! Il crépite plus avec l’UA ! Etrange, n’est-il pas, pour un élément moins agressif que nature ?
C’est pourtant bien cet uranium 238 « appauvri en uranium 235 mais plus radioactif que nature » que les industries nucléaires ont vendu aux militaires et introduit dans divers projectiles en guise de perforateur pyrophore de blindage. Nonobstant les conventions internationales qui en interdisent l’usage, depuis la chute du mur de Berlin déjà plus de 8000 tonnes d’uranium « appauvri » ont « flambé » dans les différents théâtres d’opération et les différents champs de tir. Or l’uranium 238 est un poisson toxique et radiologique reconnu[3] qui a une demie-vie radioactive de 4,5 milliards d’années et une demie-vie biologique de 5 ans sous forme métallique (qui est une forme insoluble) alors qu’elle n’est que de 3 jours sous forme minérale (qui est une forme soluble). C’est un isotope qui expulse à chaque tir un rayon électromagnétique Gamma de 48 KeV à la vitesse de 300.000 km/s et une lourde particule Alpha de 4,268 MeV à la vitesse de 20.000 km/s comportant 2 protons et 2 neutrons accolés. Métal lourd et pyrophore, la densité de 18,95 Kg par litre fait de l’uranium un perforateur de blindage sans rival et un incomparable pollueur radiologique de biosphère et de poumons. Plus de 70% du métal uranium des projectiles se pulvérise en un nombre colossal de particules en brûlant lors de la perforation de la cible qu’il fond littéralement tant la température est élevée (3000°). Chaque gramme d’uranium qui brûle produit en effet au moins une centaine de milliards de poussières ultra-fines (de 0,1 nanomètre à 100 micron pour une taille moyenne de 0,5 micron[4]). 60% de ces poussières mesurent moins de 2 microns et, comme les gaz, peuvent ainsi traverser toutes les barrières protectrices pour pénétrer directement dans les poumons avant de passer dans le sang qui les transportera ici et là dans les tissus.
Les effets biologiques internes de l’uranium.
Tirées au contact des tissus les particules Alpha peuvent chacune les pénétrer sur 1/20 de millimètre (50 microns) en traversant environ cinq cellules biologiques. Ces particules alpha émises par divers radio-éléments dont l’uranium, si inoffensives lorsque émises de l’extérieur du corps se font létales lorsque tirées depuis l’intérieur de l’organisme. (Un peu comme l’arsenic qui est inoffensif dans sa fiole mais mortel dans l’estomac.) Toute l’énergie ionisante sera encaissée par une masse de tissus réduite à l’extrême. C’est l’effet de proximité interne démontré et calculé dès 1978 par Maurice Eugène André[5] et plus tard même photographié[6] au laboratoire nucléaire de Los Alamos. C’est cet effet de proximité interne que les industries nucléaires occultent tant elles savent combien criminels sont à terme les inodores effluents radioactifs qu’elles relâchent et que nous tous respirons. Ces particules Alpha sont des projectiles « radio-biologiques » sub-atomiques qui attaquent des cibles vivantes de taille atomique. Elles perturbent le fonctionnement des « atomes de vie » en minant les bases physiques et chimiques de la vie de la cellule[7]. Elles ionisent les molécules.
Les poussières radioactives sont dès lors d’autant plus dangereuses qu’elles se font petites. Minuscules elles pénètrent l’organisme sans d’obstacle ; s’immobilisent pour des années à proximité des cellules, les envahissent même, les mettant à portée de leur court mais puissant rayon d’action ionisant. Installées dans les tissus ces insolubles métaux réduits en poussières micrométriques voire nanométriques bombardent alors à répétition les cellules, les ionisent de manière chronique sans leur permettre de se restaurer. Cette action nocive des Alpha est d’autant plus sournoise qu’elle opère au niveau histologique de manière invisible et insensible. Nos sens, autant que les dosimètres, sont en effet incapables de détecter l’intromission de si petites particules radioactives au sein des tissus, ils sont incapables de capter la douleur que ressentent pourtant les quelques cellules ionisées. Ils leur faudra des années, une fois le mal étendu et la douleur perceptible, pour qu’ils lancent leur tardive alarme. Les poussières radioactives « alpha » sont pour cela de véritables armes atomiques microscopiques qui contaminent clandestinement chaque organisme qui les respire ou les ingère.
La dispersion d’indécelables aérosols radioactifs par milliers de tonnes durant les dernières guerres met pour cela en péril l’humanité et la vie. Chaque mètre cube d’air est empoisonné. Les nanoparticules volent de plus au loin et beaucoup resteront à jamais en suspension dans les airs. La biosphère se transforme en une lente et éternelle chambre à gaz radiologique[8] dans une indifférence générale soutenue par l’imperceptibilité du danger et le mutisme complice de la science. Les particules volent, les tumeurs croissent[9], la loi du silence règne. Inspirer, expirer. Business must go on jusqu’au bout de la solution terminale.
Paolo Scampa Vice-président de l’AIPRI.
Association Internationale pour la protection contre les Rayons ionisants, 15 octobre 2006.
BIBLIOGRAPHIE et SITOGRAPHIE.
André M.A. (1978), Plutonium, poumons et effets de proximité, M.E. André, in ETUDES & EXPANSION, n° 276, Liège. Sur toile in http://users.skynet.be/mauriceandre/ sous le titre URANIUM et PLUTONIUM c’est pas du chocolat.
Busby C., Morgan S. (2006), "Did the use of Uranium weapons in Gulf War 2 result in contamination of Europe ? Evidence from the measurements of the Atomic Weapons Establishment (AWE), Aldermaston, Berkshire, UK". http://www.llrc.org/aldermastrept.pdf
Clefs CEA (2000), Les rayonnements, l‘Adn et la cellule. http://www.cea.fr/fr/Publications/clefs2.asp ?id=43
Del Tredici (1997), “Hot” or radioactive particle in lung tissue”, in Burdens of Proof by Tim Connor, Energy Research Foundation, 1997. http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Particle-Lung-Tissue1997.htm
Glasstone S., Dolan J. (1957), The effects of nuclear weapons, United States department of defense & Energy research and development administration, Washington DC. http://www.princeton.edu/ globsec/publications/effects/effects12.pdf
Hassan J. (2003), Photos of Babies Deformed at Birth as a Result of Depleted Uranium (DU). http://www.mindfully.org/Nucs/2003/DU-Baby2003.htm
Lapple C.E. (1961), Caracteristics of particles and particle dispersoids, Stanford Research Institute Journal, Vol 5, p.95, Third Quarter, 1961 In Lide D.R. (2006), CRC Handbook of Chemistry and physics, Taylor & Francis, CRC Press, USA. http://www.mindfully.org/Nucs/Particle-Dispersoids-TableSep61.htm
Moret L. (2005), Depleted uranium : Dirty bombs, dirty missiles, dirty bullets. A death sentence here and abroad, San Francisco Bay, USA, http://72.14.221.104/custom ?q=cache :BjgmaYunS7IJ :www.sfbayview.com/081804/Depleteduranium081804.shtml+580400&hl=en&ct=clnk&cd=1&ie=UTF-8
Moret L. (2006), Un holocauste nucléaire mondial nous menace, Interview de Leuren Moret, spécialiste des sciences de la Terre par W. Leon Smith et Nathan Diebenow, journalistes au « Lone Star Iconoclast », Texas ; in Express N°3, 24 août 2006. http://www.horizons-et-debats.ch/
Rokke D. (2003), Le Major Doug Rokke (Pilote de l’US AIR FORCE) expose les dangers très graves de l’uranium appauvri dans les armes. http://users.skynet.be/mauriceandre/
Weast, R.C. (1972), Handbook of chemistry and physics, CRC Press, USA, 53 Rd Edition 1972-1973

 

Article 8

Site Internet : centpapiers.com
L’uranium appauvri : la calamité d’un biocide silencieux
7 janvier 2008

Le sujet de l`uranium appauvri démontre clairement que les médias de masse nous gardent de la vérité au lieu de nous la rapporter. C`est un cas bien documenté par plusieurs sources hautement crédibles, et visible par les conséquences déjà bien présentes. Il s`agit en fait d`un biocide, d`une menace bien plus réelle et dérangeante que le réchauffement du climat qui vous tient si occupé et préoccupé, gracieuseté de nos fantastiques médias de masse et de nos politiciens.
Avec tous les mensonges concernant la version officielle à propos des événements du 11 septembre 2001, l’uranium appauvri constitue un des sujet les plus censuré dans les médias. Les conséquences hallucinantes et dévastatrices de l’uranium appauvri menace littéralement la vie sur terre.
Elle est l`arme de destruction massive par excellence : elle continue de tuer des populations entières pendant des milliards d`années. En fait, l`uranium appauvri a une demie-vie de 4.5 milliards d`années, de quoi déranger les prochaines générations ainsi que toutes formes de vie pour un bon moment : juste pour donner une idée, ceci est l`âge actuel de la Terre et du système solaire…
Vous n’en n’avez peut-être pas entendu parler parce qu’il est dans l’agenda de l’armée et des médias de masse de ne pas soulever ce sujet. Pourquoi ? Parce que les conséquences de son utilisation dans les théatres de guerre sont horribles et il est question de crimes de guerre et contre l’humanité.
Vous trouverez ici des informations détaillées par rapport à ce qu’est l’uranium appauvri. Uranium appauvri : bombes sales des pays riches
L’uranium appauvri est en fait un déchet nucléaire provenant en grande partie des centrales nucléaires. Ne vous laissez pas berner par son nom, c’est loin d’être inoffensif. L’armée américaine, entre autre, adore se servir de ce métal extrêmement dense, car il pénètre les armures et les chars d’assaut comme un couteau chaud dans du beurre. On s’en sert aussi pour faire ce qu’on appelle des « bunker busters » : ce sont des missiles qui pénètrent une dalle de bunker souterrain de 1 mètre de béton sous 3 mètres de terre. Vous imaginez la joie des tacticiens militaires.
Le problème, c’est qu’en explosant - à une très haute température - les éléments radioatifs sont pulvérisés en fines poussières dans l’air et contaminent aussi le sol environnant. Quiconque respirera ses fines poussières radioatives sera contaminé. On a testé des afghans et des irakiens avec plus de 7000 fois la dose maximale d’exposition à la radioactivité acceptable.
Dire que les pays occidentaux comme les États-Unis, l`Angleterre, le Canada, l`Australie et d`autres se permettent de faire la morale aux autres et prétendent amener la liberté et la démocratie… d`être ni plus ni moins les sauveurs de ce monde ! Déjà, les afghans, yougoslaves et irakiens en meurent par milliers. Triple cancers, maladies dégénératives, bébés nés avec des déformations génétiques horribles. Même chose pour tous les soldats qui occupent présentement ces pays. Ils meurent aussi de maladies dégénératives, de cancers, et leurs enfants sont ravagés par des difformités, leurs gênes sont endommagés à tout jamais.
Suite à l’attaque “Shock and Awe” des américains sur l’Iraq en mars 2003, les niveaux de radioactivité dans l’air ont atteint des sommets historiques en Angleterre quelques jours seulement après le commencement des bombardements. Les poussières radioactives ont été transporté du Moyen-Orient par les courants d’air vers le reste du monde entier en quelques jours.
Les données étaient gardées secrètes par la compagnie qui gère les centres de depistage en Angleterre : Halliburton (Dont Dick Cheney fut CEO et profitant toujours à ce jour, de part ses actions dans la compagnie) !
Le début notoire de l’utilisation de cette arme destruction massive s’effectua en Iraq en 1991, en Yougoslavie en 1999, en Afghanistan et en Iraq de nouveau de mars 2003 jusqu’à aujourd’hui.
Selon les dernières études, c’est l’équivalent, en terme de radioactivité, de 400 000 bombes atomiques laché sur Nagasaki qui s’est retrouvé dans l’air ces 15 dernières années, causé par les essais nucléaires, l’uranium appauvri et autres activités nucléaires.
Ils sont en train de contaminer la planète entière avec des matières radioactives, qui, ne vous vous faites pas d’illusions chers lecteurs, se transportent à l’échelle globale. Lorsque que les fines poussières radioactives sont libérées dans l’air, elles sont transportées par les vents.
Nous sommes tous directement concernés par cette folie, ainsi que toute la vie sur Terre telle que nous la connaissons.
Maintenant, les taux de soldats rendu invalides durant des conflits impliquant les États-Unis durant le dernier siècle tournaient autour de 5%, approchant les 10% durant le guerre du Vietnam. Mais dû à l’uranium appauvri sur les champs de bataille, c’est 56% des 580 400 soldats américains qui ont servit durant la première guerre du Golfe Persique en 1991 qui sont sur la liste des invalides médicaux permanents en date de l’an 2000 !!!! Ils sont affligés de maladies incurables et dégénératives, reliées entre autre à la radioactivité de ces armes.
L’effet insidieux est qu’elles continuent de tuer longtemps après, silencieusement. 11 000 soldats américains sont morts depuis la fin du premier conflit en Iraq, alors que seulement environ 300 ont été tués en combat.
Maintenant, quelques 518 739 vétérans sont des invalides médicaux, soit presque la totalités des soldats ayant participé à la “Tempête (radioactive) du Désert” de 1991.
Ces gens ont même contaminé leurs conjointes qui étaient resté au pays, qui ont par la suite donné naissance a des enfants avec des déformations génétiques ?
Les taux de cancer ont explosé en Iraq, en Afghanistan et en Yougoslavie.
La radioactivité nucléaire ne se nettoie pas, ça reste là pendant 4.5 milliards d’années. Le processus devient de plus en plus toxique au fur et à mesure que le temps avance.
Cessons de tomber pour les faux débats. Il y a des choses extrêmement importantes à régler si on veut vraiment avoir un “futur”…
Et dire que pas un mot ne transpire dans les médias à ce sujet.
Sommes-nous tous complètement lavés du cerveau et totalement conditionnés à ne plus réagir devant des catastrophes sans nom ? À dissocier tout événement majeur des émotions qu’elles devraient susciter ? N’est-il pas temps d’emprisonner les responsables aux plus hauts échelons, les vrais terroristes, au sein du gouvernement, ceux qui les supportent financièrement et les corporations qui tirent du profit de la destruction de la vie sur Terre ?
Soyons les héros de notre monde et de notre époque, ou soyons condamnés à vivre les conséquences de ce qui se passe réellement sur cette planète, et la réalité est veille de cogner à la porte de nos chères petites illusions, nos comfortables vies organisées.
Nous sommes en panne de valeurs humaines orientées dans le sens de la vie. On souffre d`indifférence et de mollesse d`esprit. Pourtant, ça nous concerne tous. Les poussières radioactives sont transportées par les vents à travers le monde. Quelques semaines seulement après le début de la guerre d`aggression et d`occupation illégale de l`Iraq, les détecteurs en Angleterre enregistraient déjà des hausses significatives de radioactivité dans l`air, en provenance du Moyen-Orient… Pensez-y.
Il n’y a aucune justification qui peut expliquer le biocide commis sur la planète Terre avec des armes de destruction massive comme l’uranium appauvri, aucune justification pour rendre acceptable quelque guerre que ce soit.
Ça suffit.

 

 

Article 9

Site Internet : armees.com

Les armes à l’uranium appauvri
publié le vendredi 2 avril 2004

Par LEUREN MORET
L’usage des armes à l’uranium appauvri par les Etats-Unis, annihilera doucement toutes les espèces sur terre y compris l’espèce humaine, et pourtant ce pays continue à le faire en pleine connaissance de leur potentiel destructeur.

Depuis 1991, les Etats-Unis ont mené quatre guerres utilisant des armes à l’uranium appauvri, (...) (Note : l’OTAN affirme : « L’uranium appauvri n’est pas illégal. C’est une arme de guerre légale. Fin de l’histoire. Nous l’avons utilisée, c’est légal ». De fait, il n’existe à l’heure actuelle aucune convention internationale interdisant de manière expresse l’usage d’uranium appauvri, ni même aucun consensus en ce sens, comme le montre aisément la pratique des Etats.). L’usage continu de ces armes radioactives, qui ont déjà contaminé de vastes régions avec un faible niveau de radiation et qui contamineront d’autres parties du monde, est vraiment une affaire mondiale et un sujet international. L’intention plus profonde en est révélée en comparant les régions maintenant contaminées à l’uranium appauvri ¬ de l’Egypte, du Moyen Orient, d’Asie Centrale et de la moitié nord est de l’Inde ¬ avec les impératifs géostratégiques US décrits dans le livre de Zbigniew Brzezinski en 1997 « Le Grand Echiquier ».
Région du Sud* :« *Cette vaste région secouée de haines versatiles et entourée de puissants voisins en compétition peut probablement être un champ de bataille majeur, autant pour des guerres entre états-nations que plus probablement, pour la prolongation de la violence ethnique et religieuse. Que l’Inde se restreigne ou qu’elle saisisse l’opportunité d’imposer sa volonté au Pakistan affectera grandement les possibilités régionales de conflits probables. Les tensions internes entre la Turquie et l’Iran vont probablement non seulement s’aggraver mais réduire considérablement le rôle stabilisateur que ces états sont capables de jouer dans cette région volcanique. De tels développements rendront plus difficile l’intégration de la nouvelle Asie Centrale dans la communauté internationale affectant négativement dans le même temps la sécurité sous domination US du Golfe Persique. Dans tous les cas, les US et la communauté internationale peuvent peut-être se retrouver là face à un challenge qui minimisera la récente crise de l’Ancienne Yougoslavie. » Brzezinski.
Le fait est que les US et leurs partenaires militaires ont mis en place quatre guerres nucléaires utilisant de sales bombes et de sales armes dans les pays qu’ils ont besoin de contrôler. Sous forme d’aérosols l’uranium appauvri contaminera en permanence de vastes régions et détruira doucement le futur génétique des populations vivant dans ces régions où se trouvent des ressources que les US doivent contrôler pour établir et maintenir leur primauté.
Décrit comme le Cheval de Troie de la guerre nucléaire, l’uranium appauvri est l’arme qui continue à détruire. La demie-vie de l’uranium-238 est de 4.5 milliards d’années, l’age de la Terre. Et, comme l’uranium-238 dégénère en sous-produits radioactifs, en quatre étapes avant de se transformer en graphite, il continue d’émettre plus de radiations à chaque étape. Il n’y a pas moyen de l’arrêter, et il n’y a pas moyen de le nettoyer. *Il s’accorde avec la propre définition du Gouvernement US des Armes de Destruction Massive.

Après la formation de microscopiques et nanoscopiques particules insolubles d’oxyde d’uranium sur le champ de bataille, celles-ci restent suspendues dans l’air et voyagent autour de la Terre comme composantes radioactives de la poussière cosmique, contaminant l’environnement, tuant sans discrimination, mutilant et causant des maladies à tout ce qui vit là où la pluie, la neige et l’humidité les prélèvent de l’atmosphère. La contamination radioactive mondiale issue des essais atmosphériques équivalait à 40.000 bombes d’Hiroshima, et elle continue à contaminer l’atmosphère et la basse altitude aujourd’hui. La quantité de pollution de basse-radioactivité à l’uranium appauvri depuis 1991 est de nombreuses fois supérieure (déposée à l’intérieur du corps) aux retombées émises lors des tests atmosphériques.
Un rapport indépendant établi en 2003 par le Comité Européen sur le Risque des Radiations (ECRR) pour le Parlement Européen, déclare sur la base d’études de Tchernobyl que le risque lié à la basse-radioactivité est de 100 à 1.000 fois supérieur aux estimations du Comité International pour la Protection contre les Radiations basées sur des études erronées conduites par les US. Se référant aux effets extrêmement meurtriers des radiations sur les systèmes biologiques, Dr Rosalie Bertell, l’une des 46 experts internationaux en radiations du rapport de l’ECRR, le décrit ainsi :
« Le concept d’annihilation de l’espèce signifie une fin relativement prompte et délibérément induite de l’histoire, de la culture, de la science, de la reproduction biologique et de la mémoire. C’est l’ultime rejet humain du cadeau de la vie, un acte qui nécessite un nouveau mot pour le décrire : omnicide. »
________________________________________
Le « Manhattan Project 1943 » modèle pour l’uranium appauvri
Dans une note déclassée au Général Leslie R. Groves, datée du 30 Octobre 1943, trois des plus importants physiciens du Projet Manhattan, Dr James B. Conant, A.H .Compton et H.C. Urey, firent leurs recommandations, en tant que membres du Sous-Comité de l’Exécutif S-1, sur l’ « Usage de Matériaux Radioactifs comme Arme Militaire. » :
« Utilisé comme gaz de guerre, le matériau serait pulvérisé en particules de taille microscopique pour former de la poussière et de la fumée et mis à feu au sol par des lance-projectiles, des véhicules de terrain, ou des bombes aériennes. Sous cette forme, il serait inhalé par le personnel. La quantité nécessaire pour causer la mort de la personne qui inhale le matériau est extrêmement petite... Il n’y a pas de méthodes de traitement connues à de telles blessures... cela traversera un filtre de masque à gaz standard en quantités assez grandes pour être extrêmement dommageables. »

Comme Contaminant de Terrain :
« Pour être utilisé de cette manière, le matériau radioactif devrait être répandu sur le sol soit par voie aérienne ou à partir du sol, si en territoire contrôlé par l’ennemi. Afin d’interdire le terrain à l’un ou l’autre côté, excepté aux dépends d’exposer du personnel aux radiations malfaisantes...Des endroits ainsi contaminés par le matériau radioactif seraient dangereux jusqu’à ce que la lente décomposition naturelle du matériau s’effectue...pour le terrain courant il n’y a pas de méthodes de décontamination connues. Le développement de vêtements de protection efficaces pour le personnel ne semble pas possible. ...Des réservoirs ou des puits seraient contaminés ou la nourriture empoisonnée avec un effet similaire à celui résultant de l’inhalation de la poussière ou de la fumée. »
Exposition interne :
« ...Les particules inférieures à 1 micron se déposeraient plus probablement dans les alvéoles où soit elles resteraient indéfiniment, soit elles seraient absorbées par le système lymphatique ou le sang...pourraient pénétrer le système gastro-intestinal à partir de l’eau polluée, ou de la nourriture, ou de l’air. ...pourraient être prélevées des poumons ou du système G-I par le sang et ainsi, distribuées à travers le corps. »
Les deux produits de fission et le déchet uranium appauvri issus du Projet Bombe Atomique devaient être utilisés dans le cadre de ce plan. La nature pyrophorique de l’uranium appauvri, qui le fait commencer à brûler à la très basse température de la friction dans le canon de l’arme, en fit dès lors et jusqu’à maintenant une arme à gaz radioactif idéale. Il était aussi plus disponible parce que la quantité d’uranium appauvri produite était beaucoup plus grande que la quantité de produits de fission produite en 1943.
La Grande-Bretagne pensait à l’utilisation de gaz empoisonné sur l’Irak bien avant 1991 :
« Je suis fortement favorable à l’utilisation de gaz empoisonné contre les tribus non-civilisées. L’effet moral devrait être bon...et il répandrait une vive terreur... » (Winston Churchill commentant l’usage de gaz empoisonné contre les Irakiens après la Première Guerre Mondiale).

SYSTEMES D’ARMES GUIDEES
Les armes à l’uranium appauvri ont été fournies en premier par les US à Israël pour un usage sous supervision US dans la guerre du Sinaï contre les Arabes en 1973. A partir de là les US ont testé, manufacturé et vendu des systèmes d’armes à uranium appauvri à 29 pays. Un tabou international empêcha leur utilisation jusqu’en 1991, quand les US brisèrent le tabou et les utilisèrent pour la première fois sur les champs de bataille d’Irak et du Koweït.
Les militaires US admettent utiliser des projectiles à uranium appauvri dans des tanks et des avions, mais la présence d’ogives dans des missiles et des bombes est classifiée ou désignée comme un « dense » ou « mystérieux métal ». Dai Williams, un chercheur de la Conférence Mondiale sur les Armes à l’Uranium Appauvri de 2003 a rapporté l’existence de 11 brevets pour systèmes d’armes guidées utilisant le terme « uranium appauvri » ou « métal dense », dont la densité ne peut-être que celles de l’uranium appauvri ou du tungstène pour s’adapter aux dimensions de l’ogive.
Des bombardements intensifs, des bombardements sélectifs, et l’usage fréquent de missiles et de balles à l’uranium appauvri sur les habitations de régions densément peuplées ont eu lieu en Irak, en Yougoslavie et en Afghanistan. La découverte en 1999 que des cratères de bombes en Yougoslavie étaient radioactifs, et qu’un missile non-explosé contenait une ogive d’uranium appauvri, implique que la quantité totale d’uranium appauvri utilisé depuis 1991 a été grandement sous-estimée. Ce qui est encore plus inquiétant, est que 100% de l’uranium appauvri des bombes et missiles est vaporisé dès l’impact et immédiatement libéré dans l’atmosphère. Cette quantité peut aller jusqu’à 1,5 tonnes pour les grosses bombes. Pour les balles et les obus, la quantité vaporisée est de 40-70%, laissant des morceaux et des obus non-explosés dans l’environnement, qui seront de nouvelles sources de poussière radioactive et de contamination des eaux souterraines par le métal dissout de l’uranium appauvri, longtemps après la fin des batailles, comme rapporté par le Programme de l’ONU pour l’Environnement sur la Yougoslavie dans un rapport de 2003.
Considérant que les US ont admis avoir utilisé 34 tonnes d’uranium appauvri sous forme de balles et d’obus en Yougoslavie, et le fait que 35.000 missions de bombardements de l’OTAN y ont eu lieu en 1999, la quantité potentielle d’uranium contaminant la Yougoslavie et sa dérive transfrontalière dans les pays environnants est colossale.
A cause de maladies mystérieuses et de naissances défectueuses après la guerre rapportées parmi des Vétérans du Golfe ainsi que des civils dans le sud de l’Irak, et de maladies relatives aux radiations chez des Casques Bleus de l’ONU servant en Yougoslavie, des inquiétudes grandissantes au sujet des effets des radiations et des dommages causés à l’environnement ont soulevé l’outrage international quant à l’utilisation d’armes radioactives par les US après 1991. A la réunion 2003 des membres du Traité de Non-prolifération Nucléaire discutant le désir US de maintenir leur stock d’armes nucléaires, le Major Tadatoshi AKIBA d’Hiroshima a déclaré :
« Il incombe au reste du monde...de se lever maintenant et de dire à tous nos chefs militaires que nous refusons d’être menacés ou protégés par des armes nucléaires. Nous refusons de vivre dans un monde de peur continuellement recyclée et de haine. »
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ILLEGALES DEVANT LE DROIT INTERNATIONAL
Quatre raisons pour lesquelles l’utilisation des armes à uranium appauvri viole la Convention de l’ONU des Droits Humains :
TEST DE LEGALITE DES ARMES DEVANT LE DROIT INTERNATIONAL
TEST DE TEMPORALITE Les armes ne doivent pas continuer à agir une fois la bataille terminée.
TEST ENVIRONNEMENTAL ¬ Les armes ne doivent pas être indûment malfaisantes pour l’environnement.
TEST TERRITORIAL Les armes ne doivent pas agir hors du champ de bataille.
TEST D’HUMANITE¬ Les armes ne doivent pas tuer ou blesser inhumainement.
L’avocate et humanitaire de International Human Rights, Karen Parker, a déterminé que l’armement à uranium appauvri échoue aux quatre tests des armes légales devant le droit international, et qu’il est aussi illégal sous la définition d’une arme « poison ». (Note : Il n’y a aucun traité spécifique interdisant l’usage de projectiles à uranium appauvri. Des inquiétudes et un débat scientifique se développent actuellement au sujet des conséquences de l’utilisation de tels projectiles et il est possible que, dans le futur, il y ait, dans les cercles juridiques internationaux, un consensus estimant que l’utilisation de tels projectiles est contraire aux principes généraux du droit applicables à l’utilisation des armes dans les conflits armés. Aucun consensus de ce genre n’existe à présent). Grâce aux efforts continus de Karen Parker, une sous-commission de la Commission des Droits Humains de l’ONU a déterminé en 1996 que *l’uranium appauvri est une arme de destruction massive *qui ne devrait pas être utilisée :**
RESOLUTION 1996/ 16 SUR L’ARRET DE L’UTILISATION DE L’URANIUM APPAUVRI ¬ UA
L’utilisation militaire de l’UA viole la législation internationale humanitaire actuelle, incluant le principe qu’il n’y a pas de droit illimité au choix des moyens et méthodes de guerre (Art. 22 Convention VI de La Haye (HCIV) ; Art. 35 du Protocole Additionnel de Genève (GP1) ; l’interdiction de causer d’inutiles souffrances et des blessures superflues (Art. 23 §le HCIV ; Art. 35 §2 GP1), la guerre aveugle (Art. 51 §4c et 5b GP1) aussi bien que l’utilisation de poison ou d’armes empoisonnées.
Le déploiement et l’utilisation de l’UA violent les principes de protection des droits internationaux humains et environnementaux. Ils contredisent le droit à la vie établi par la résolution 1996/16 du sous-comité à l’ONU des Droits Humains.
QUATRE GUERRES NUCLEAIRES
Bien que restreinte aux champs de bataille d’Irak et du Koweït, la Guerre du Golfe de 1991 a été l’une des plus toxiques et dévastatrices pour l’environnement de l’histoire du monde. Incendies de puits de pétrole, bombardement de pétroliers et de puits qui répandirent des millions de litres de pétrole dans le Golfe d’Arabie et le désert, et la dévastation des réservoirs et des équipements lourds ont détruit l’écosystème du désert. Les effets à long terme et de grande envergure, et la dispersion d’au moins 340 tonnes d’armes à uranium appauvri, ont eu un effet environnemental mondial. De la fumée des feux de pétrole a été trouvée plus tard sous forme de dépôts en Amérique du Sud, dans l’Himalaya et à Hawaï. Les grands vents de sable annuels qui partent d’Afrique du Nord, du Moyen-Orient, et d’Asie Centrale répandront rapidement la contamination radioactive autour du monde, et le fil des saisons sur les vieilles munitions à uranium appauvri des champs de bataille et autres régions produira de nouvelles sources de contamination radioactive dans les années futures. Sous le vent de la dévastation radioactive de l’Irak, Israël souffre aussi une grande augmentation de cancers du sein, de leucémies et de diabète infantile.
LE RAYONNEMENT NE RESPECTE AUCUNE FRONTIERE, AUCUNE CLASSE SOCIO-ECONOMIQUE, AUCUNE RELIGION.
.../...Près de 700.000 vétérans de la Guerre du Golfe rentrèrent aux US d’une guerre qui ne dura que quelques semaines. Aujourd’hui plus de 240.000 d’entre eux sont en incapacité médicale permanente, et plus de 11.000 sont morts. Une étude du Gouvernement US sur les bébés nés après la guerre de 251 vétérans, rapporte que 67% des bébés présentent de graves maladies ou de graves anomalies congénitales. Ils sont nés sans yeux, sans oreilles, avaient des organes manquants, les doigts palmés, des disfonctionnements de la thyroïde et autres. L’uranium appauvri contenu dans le sperme des soldats a contaminé leurs femmes. De sévères anomalies congénitales ont été rapportées chez des bébés nés de civils contaminés en Irak, Yougoslavie, et Afghanistan et l’incidence et la gravité des anomalies s’accroissent avec le temps. Les femmes de Yougoslavie, d’Afghanistan et d’Irak ont maintenant peur d’avoir des bébés, et quand elles accouchent, au lieu de demander si c’est une fille ou un garçon, elles demandent « est-ce qu’il est normal ? »

.../...
Dr Keith Baverstock, un conseiller expert en rayonnement qui était en charge à l’OMS, participa à un rapport ( http://www.mindfully.org/Nucs/DU-Radiological-Toxicity-WHO5nov01.htm ) en novembre 2001, avertissant que les effets à long terme de l’uranium appauvri mettraient en danger les populations civiles d’Iraq, et que la sécheresse du climat augmenterait l’exposition aux minuscules particules environnantes qui seraient inhalées pendant des années à venir. L’OMS lui refusa la permission de publier son étude, cédant à la pression de l’Agence Internationale à l’Energie Atomique. Dr Baverstock livra le rapport compromettant aux médias ( http://www.mindfully.org/Nucs/2004/DU-WHO-Suppressed22feb04.htm/ ) en février 2004. Pekka Haavisto, président de l’Unité d’Evaluation des Conflits d’après-guerre du Programme pour l’Environnement de l’ONU à Genève, partage l’anxiété de Baverstock à propos de l’uranium appauvri, mais ses experts n’ont pas été autorisés à se rendre en Irak pour évaluer la pollution.
« PEUR DE L’URANIUM APPAUVRI. » - clamée par G.W.Bush sur le site officiel de la Maison Blanche :
« Pendant la guerre du Golfe, les forces de la coalition ont utilisé des munitions perforantes faites en uranium appauvri, lequel est idéal dans ce cas pour sa grande densité. Ces dernières années, le régime Irakien a commis de substantiels efforts pour promouvoir la fausse plainte que les tirs à uranium appauvri des forces de la coalition ont causé des cancers et des anomalies congénitales en Irak. L’Irak a distribué d’horribles photos d’enfants avec des malformations de naissance et les a reliés à l’uranium appauvri. La campagne a deux ateliers de propagande majeurs. »
« Uranium est un nom qui a d’effrayantes associations dans l’esprit de la moyenne des gens, ce qui fait le mensonge relativement facile à vendre ; et l’Iraq pourrait tirer avantage d’un réseau international établi d’activistes anti-nucléaires qui ont déjà lancé leur propre campagne contre l’uranium appauvri. »
« Mais des scientifiques qui travaillent pour l’Organisation Mondiale pour la Santé, le Programme Environnemental de l’ONU, et l’Union Européenne n’ont trouvé aucun effet sur la santé lié à l’exposition à l’uranium appauvri. »
La guerre US en Afghanistan montra clairement que ce n’était pas une guerre DANS le tiers-monde, mais une guerre CONTRE le tiers-monde. En Afghanistan où 800 à 1.000 tonnes d’uranium appauvri ont été estimées avoir été utilisées en 2001, même les Afghans sans instruction comprennent l’impact que ces armes ont eu sur leurs enfants et sur les futures générations.
« Après que les Américains aient détruit notre village et tué beaucoup d’entre nous, nous avons aussi perdu nos maisons et n’avons rien à manger. Cependant nous aurions enduré ces misères et les aurions même acceptées, si les Américains ne nous avaient pas tous condamnés à mort. Quand j’ai vu mon petit-fils déformé, j’ai réalisé que mes espoirs pour le futur avaient disparu pour de bon, différemment du désespoir du barbarisme Russe, même si à cette époque j’ai perdu mon fils aîné Shafiqullah. Cette fois, cependant, je sais que nous faisons partie du génocide invisible que les US nous ont apporté, une mort silencieuse de laquelle je sais que nous ne nous évaderons pas. »
(Jooma Khan de la province de Lagham, mars 2003)
En 1990, l’Autorité à l’Energie Atomique du Royaume Uni (UKAEA) écrivit un rapport avertissant de la catastrophe potentielle pour la santé et l’environnement de l’utilisation des armes à uranium appauvri. Les effets sur la santé étaient connus depuis longtemps. Le rapport envoyé au Gouvernement du Royaume Uni avertissait « dans leur estimation, si 50 tonnes de poussière résiduelle d’UA restent « dans la région » il pourrait y avoir un demi million de cancers en plus à la fin du siècle [2000]. » Les estimations d’armes à uranium appauvri utilisées en 1991, vont maintenant de 325 tonnes admises par le Pentagone, à 900 tonnes selon d’autres corps scientifiques. Cela porterait l’estimation du nombre de cancers à 9.000.000, selon la quantité utilisée pendant la guerre du Golfe de 1991. Dans la guerre du Golfe de 2003, des estimations de 2.200 tonnes ont été données ¬ causant à peu près 22.000.000 de nouveaux cas de cancer. Dans son ensemble, le nombre total de patients atteints de cancer estimé en utilisant les données de l’UKAEA serait de 25.250.000. En juillet 1998, la CIA estimait la population de l’Iraq aux environs de 24.683.313.
Ironiquement, la résolution 661 de l’ONU appelant à des sanctions contre l’Irak, a été signée le jour anniversaire d’Hiroshima, le 6 août 1990.
LES PARALLELES
« La guerre ne peut réellement causer aucun boum économique, au moins pas directement, puisque une augmentation de richesse ne peut jamais résulter d’une destruction de biens. »
Ludwig von Mises
Les parallèles entre l’Iraq, la Yougoslavie et l’Afghanistan sont étonnamment similaires. Les armes utilisées, les traités injustes offerts par les US, et le bombardement et la destruction de l’environnement et de toutes les infrastructures. Dans chaque ville d’Irak et de Yougoslavie, la télévision et des stations de radios ont été bombardées.
Les centres d’éducation étaient visés, et les magasins où était vendu le matériel éducatif étaient détruits presque le même jour. Pendant la durée des sanctions de l’ONU, l’Iraq n’avait même pas droit à des stylos pour les écoliers. Des antiquités culturelles et des trésors historiques ont été visés et détruits dans les trois pays, un genre de nettoyage culturel et historique, un traumatisme psychologique national collectif.

La contamination radioactive permanente et la dévastation environnementale de ces trois pays est sans précédent, s’ensuivant une énorme augmentation de cancers et de malformations congénitales suite aux attaques. Celles-ci s’amplifieront au cours du temps d’effets inconnus dus à l’exposition chronique, à l’augmentation du niveau interne de rayonnement de la poussière d’UA et des effets génétiques permanents transmis aux générations futures. En clair, il s’agit d’un plan de génocide depuis le début.
Qu’est-il arrivé aux Droits Humains, aux Droits de l’Enfant, à la société civile et à communauté humaine ?
C’est aux citoyens du monde d’arrêter les guerres à l’uranium appauvri, et les futures guerres nucléaires, responsables de dévastations irréversibles. Il ne reste que quelques générations épargnées avant l’effondrement de notre environnement, et après il sera trop tard. Nous ne pouvons pas être en meilleure santé que ne l’est notre environnement ¬ nous respirons le même air, buvons la même eau, mangeons la nourriture du même sol.
« Notre patrimoine génétique collectif, évoluant depuis des millions d’années, a été sérieusement endommagé ces cinquante dernières années. Le temps restant pour renverser cette culture de « moutons de Panurge » nous est compté. Dans le futur, que direz-vous à vos petits-enfants de ce que vous avez fait du meilleur de votre vie pour contrer ce processus de mort ? » (Rosalie Bertell, 1982)
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LES RAISONS PROFONDES : G*O*D* [Gold, Oil, Drugs] [ Or, Pétrole, Drogues]
« Nous devons devenir les propriétaires, ou à tout prix les contrôleurs à la source, d’au moins une proportion du pétrole dont nous avons besoin. »
(Commission Britannique Royale, s’accordant à la politique de Winston Churchill envers l’Irak 1913 ).
« Il est clair que notre nation soit dépendante d’une grande quantité de pétrole étranger. De plus en plus de nos importations proviennent d’outre-mer. »
(US Président G.W. Bush, Beaverton, Oregon, 25 septembre 2000).
« S’ils branchent les radars nous allons faire exploser leurs maudits SAMs (missiles à décollage vertical). Ils savent que nous possédons leur pays. Nous possédons leur espace aérien... Nous dictons leur manière de vivre et de parler. Et c’est ce qu’il y a de grand dans l’Amérique d’aujourd’hui. C’est une bonne chose, spécialement quand il y a beaucoup de pétrole là-bas dont on a besoin. »
(US General William Looney en 1999, se référant à l’Irak).
Par LEUREN MORET

 

 

Article 10

Site Internet : toutsaufsarkozy.com

Michel Gourmel

Les sorciers de l’apocalypse:
Gaza, le massacre ne s’est pas fait tout seul !


Certains scientifiques, avec la connivence des médias, l’aide et l’argent de l’armée, ainsi que la complicité des puissants préparent en permanence les massacres auxquels nous assistons ensuite … impuissants … !

Le rôle de la presse sur l'armement et sur la guerre peut-être, en fonction des besoins :

* le plus souvent de censurer ce qui se passe, 2 exemples :

a- Sous le mauvais prétexte qu’Israël a interdit la zone aux journalistes, « circulez y a rien à voir ». beaucoup de journalistes qui dans ce cas sont bien obéissant et n’y voient pas de quoi fouetter un chat, alors que dans d’autres circonstances ils s’indignent à longueur de colonnes.

b- Maintenir les gens dans l’ignorance des nano-technologies utilisées pour la guerre

* soit obnubiler, scotcher les lecteurs sur un détail sans importance : les bombes au phosphore blanc,

* soit utiliser un mensonge associé à une semi-vérité pour faire croire à une chose alors que c’en est une toute autre qu’il faudrait connaître pour pouvoir comprendre : les bombes à uranium appauvri (encore que souvent la censure reigne sur ce sujet).

* Ils sont prêts à recommencer : les US.A. ont envoyé à Israël ces derniers jours, un chargement d'armes d'une ampleur exceptionnelle.


* On objectera que peu de témoignages des grands médias dominants vont dans le sens de ce qui est écrit ici. Il ne faut pas oublier que si Israël a interdit Gaza aux journalistes, ce n'est pas un hasard, mais bien parce qu'ils avaient l'intention de commettre des crimes atroces. Ne pas en parler, c'est donc se soumettre aux criminels et s'en faire les complices, comme les grands médias.
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1) Maintenir les gens dans l’ignorance des nanotechnologies utilisées pour la guerre

(info de Miss Moon)

1-A) Grâce à la collaboration de chercheurs américains, français, grenoblois, toulousains, Israël emploie les dernières percées des nanotechnologies (…)

- vidéosurveillance "intelligente" de la Bande de Gaza : caméras couplées à la biométrie pour la reconnaissance faciale, fournies par la société américaine Visionics ;

- drones : avions sans pilote utilisés depuis longtemps par Israël pour la surveillance ; depuis mars 2006,

EADS et l'IAI (Israeli Aircraft Industries) coopèrent pour la production de drones, dans le cadre de l'opération "Système intérimaire de drones mâles" (SDIM)2 ;

- "frelon bionique" : minuscule robot capable de pister, détecter et tuer une cible dans des zones difficiles
d'accès, grâce à ses composants nanotechnologiques – développé depuis 2006 ;

- nano-armes et poussières de surveillance (…)

1-B) Les 19 et 20 janvier 2009, la Chambre de Commerce France-Israël Toulouse Midi-Pyrénées a organisé un séminaire à Toulouse avec le techno-gratin local. Intitulé "NBI to life" ("Nano-Bio-Info-technologies à la vie"), "ce séminaire avait pour objet de renforcer les relations académiques, industrielles et économiques" entre la région Midi-Pyrénées et Israël. Étaient notamment invités les représentants des labos toulousains, du Pôle de compétitivité Cancer Bio Santé (le cancer, c'est excellent pour la compétitivité), dont bien sûr Alain Costes, VRP local des nanos, et, côté israélien, des dirigeants et chercheurs du Technion – l'Israel Institute of Technology – et des représentants de l'Israel National Nanotechnology Initiative.

Bref, une rencontre internationale parmi les dizaines organisées par le techno-gratin chaque année pour l'édification du nanomonde.

http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=188
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2) Obnubiler, scotcher les lecteurs sur un détail sans importance : les bombes au phosphore blanc, Autrefois on parlait des bombes au phosphore. Pour désorienter le lecteur on parle de bombes au phosphore blanc.

Quand il est solide, le phosphore existe dans 3 états possibles dits amphotères : Le phosphore blanc, le phosphore rouge ou le phosphore noir (peu connu).

Ses propriétés sont un peu différentes suivant la couleur, il est toujours très inflammable, un peu plus (blanc) ou un peu moins (rouge) suivant les objectifs à atteindre, les dégâts que l'on veut provoquer : incendie, brûlure, asphyxie, rideau de fumée, etc.. Que les bombes utilisées soient au phosphore blanc ou rouge, c’est un problème de militaires, l'essentiel est ailleurs :

Le protocole III de la Convention sur certaines armes classiques (CCWC), signée le 10 octobre 1980 à Genève et est entrée en vigueur le 2 décembre 1983, interdit les armes incendiaires contre des civils, et même contre des bases militaires situées « à l’intérieur d’une concentration de civils ».

Responsables de l'ONU, d'organisations de défense des droits de l'homme et Amnesty International ont déclaré que le tir, par l'armée israélienne dans son offensive majeure contre le Hamas dans la Bande de Gaza, des obus de phosphore blanc dans des secteurs à forte densité de population constituait un crime de guerre.

Israël n'a pas reconnu publiquement avoir utilisé ces armes.
(Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/international/proche_moyenorient/20090121.FAP9852/ouverture_dune_enquete_israelienne_sur_lutilisation_de_.html)

Et maintenant Israël cherche à noyer le poisson : Ouverture d'une enquête israélienne sur l'utilisation de phosphore blanc dans l'opération "Plomb durci" à Gaza ! ! ! Il serait étonnant qu’ils trouvent quelque chose après avoir interdit l’accès à tous. Les militaires israéliens sont des spécialistes mondiaux du mensonge !

* Sur les bombes au phosphore lancées contre Gaza

http://metalogie.blog.lemonde.fr/2009/01/09/sur-les-bombes-au-phosphore-lancees-contre-gaza/

(N.B. : ne pas confondre le phosphore avec les phosphates ou ses autres dérivés).
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3) soit utiliser un mensonge associé à une semi-vérité pour faire croire à une chose alors que c’en est une toute autre qu’il faudrait connaître pour pouvoir comprendre : les bombes à uranium appauvri.

Quand on parle de bombes à uranium appauvri, la réponse fuse, "bah puisque c'est appauvri, c'est pas bien méchant". Et le tour est joué ! ! ! Il n'en est rien :

3-A) Pourquoi une bombe à uranium appauvri ?

l'Uranium est un métal de densité d=19,05, beaucoup plus lourd que le plomb d=11,34 ou le mercure d=13,5 ! ! !

De plus, l'uranium est pyrophorique et il est donc employé comme arme antichar, car ayant un fort pouvoir pénétrant et incendiaire. À très haute vitesse, il perfore aisément même les blindages ou une construction en s'enflammant lors de l'impact, provoquant un incendie qui fait exploser le véhicule visé ou l'édifice semant la mort et la dévastation. Un gros nuage d'oxyde d'uranium se dégage et est entraîné par le vent.

L'uranium se compose essentiellement d'Uranium 235 (0,7 %) et d'uranium 238 (99,3 %) ; on appelle çà 2 isotopes.

Ce qui est recherché dans l'industrie nucléaire, c'est le 235 car il est fissible, c'est à dire que le noyau peut se fendre et exploser facilement mais pas tout seul ce qui permet de le maîtriser.

Comme l'uranium 235 est très faible pourcentage dans la nature, il faut des quantités de centrifugeuses (penser à l'Iran) pour essayer de concentrer la teneur en uranium 235 et éliminer le maximum d'uranium 238.

L'uranium appauvri, le vrai, c'est donc de l'uranium 238, pratiquement pur à 100 %, un sous-produit de l'enrichissement de l'uranium.

Contrairement à une idée reçue, l'uranium surtout le 238, est très peu radio-actif, beaucoup moins que la plupart des corps.

Donc si on utilise de l'uranium appauvri vrai, du 238, on a des dégâts chimiques énormes, mais pas de dégâts radio-actifs ou nucléaires.

3-B) Le problème, c'est que depuis la 1ère guerre du golfe, on sait que c'est tout autre chose :

* des soldats y compris des U.S.A. et de leurs alliés, sont morts "parce qu'ils étaient chétifs et de mauvaise constitution ou par un des syndromes mystérieux de la guerre du Golfe" !

* des femmes surtout irakiennes mais parfois aussi militaires ou épouses de militaires ont été enceinte de monstres (beaucoup n'ont pu naître, d'autres sont nés...)!

Source ; Le devoir de mémoire :
http://74.125.77.132/search?q=cache:qGCiqZgTnC4J:notrememoire.blogspot.com/2006/08/propos-de-la-premire-guerre-du-golfe.html+guerre+Golfe+monstres&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr&lr=lang_fr

En fait, on trouve dans les os de soldats alliés ou des populations locales bombardées, d'autres éléments chimiques présents à l'état de traces tel que le plutonium et le césium 137 qui sont extraordinairement plus radioactifs et toxiques que le simple uranium.

C'est la signature, non pas de l'uranium 238, mais de produits issus de centrales nucléaires. Le césium 137 est un des nombreux produits de la fission (de la cassure) d'un noyau de plutonium ou d'uranium dans une centrale nucléaire.

Cette signature est confirmée par la présence de radio-activité anormalement élevée.

Pour complément d'information, taper sur votre moteur de recherche "syndrome de la guerre du Golfe".

3- C) Conclusion du chapitre : les bombes à uranium appauvri ne sont pas faites avec ... de l'uranium appauvri ... ! ! !

Mais avec des déchets de centrales nucléaires jetées dans l'environnement dans les pires conditions ...

L'utilisation de ces armes contamine irrémédiablement l'environnement ce sont en réalité les déchets de centrales nucléaires qui sont lancés sur l'ennemi et, à Gaza, sur la population.

Ces déchets ont bien sûr volé sur les cultures vivrières d’Israël qui nous les envoie dans nos assiettes.

Ainsi, des munitions à base d'"uranium appauvri" (obus de 20 à 30 mm des avions ou hélicoptères chasseurs de chars) ont été utilisées lors des guerres du Golfe (guerre du Koweït et guerre en Irak), du Kosovo et donc aussi contre Gaza.

Source : http://acdn.france.free.fr/spip/article.php3?id_article=468<=fr

§ Remarque : Même le nom de l’opération israélienne « plomb durci » a été maquillé en France, et pour une bonne raison !

En effet, des gens qui parlent hébreux disent que le nom de l’opération en Israël est « plomb jeté ».

En anglais le nom est : « Operation Cast Lead » que l’on pourrait traduire par opération « plomb jeté » également, alors que si le nom était « plomb durci », la traduction serait plutôt « operation hardened lead ».

Lorsque l’on sait ce qui s’est passé avec les bombes dites mensongèrement « à uranium appauvri », on comprend beaucoup mieux de quoi il s’agit dans l’opération « plomb jeté » : Lancer des objets extrêmement lourds, des déchets de centrales nucléaires … sur Gaza.
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§ Conclusion générale : Ils sont prêts à recommencer : les US.A. ont envoyé à Israël ces derniers jours, un chargement d'armes d'une ampleur exceptionnelle

http://www.alterinfo.net/Envoi-d-armes-des-Etats-Unis-d-une-ampleur-exceptionnelle-en-Israel-Les-Etats-Unis-et-Israel-projettent-ils-d-etendre-la_a28450.html


Article 11


Site Internet : lepost.fr

EMPOISONNEMENT MASSIF DES PALESTINIENS A L'URANIUM APPAUVRI

Par ThurizaZ
le 03/01/2009


Les bombes à l'Uranium Appauvri pleuvent sur Gaza grâce aux GBU 39 fournies par les USA ... avec à terme des résultats catastrophiques tels ceux ci-dessous:






Massacre des Palestiniens de Gaza et empoisonnement des survivants à l'Uranium Appauvri. La presse israélienne s'est réjouie des exploits technologiques de son armée de l'air qui utilise des Smart Bombs GBU 39 à l'Uranium Appauvri pour bombarder leurs cibles dans la Bande de Gaza, un territoire de 360Km2 d'une densité de population de 3823h au Km2.

Ces GBU 39, dites Smart Bombs( Bombes Intelligentes) sont de petites bombes, bon marché, développées par l'industrie militaire américaine pour frapper des cibles enterrées du type bunkers. Le congrés américain a donné son accord en Septembre pour une première fourniture de 1000 de ces bombes à l'armée israélienne, et la première livraison a eu lieu début Décembre. Ces GBU 39 ont été utilisées samedi contre des cibles souterraines et dimanche pour détruire des tunnels sur la frontière égyptienne. Ces GBU 39 sont réputées être trés précises, pèsent 113 Kg, avec une charge explosive de 22,7Kg et ont les mêmes capacités de pénétration que les bombes de 900 Kg. Leur petite taille, permet d'augmenter le nombre de bombes transportées par les avions de combat F15 ou F16 et par conséquent le nombre de cibles visées ce qui explique la violence des attaques de samedi principalement sur la ville de Gaza surpeuplée. Le dard de ces bombes est à l'Uranium Appauvri, UA 238, multipliant sa force de pénétration, elles peuvent être utilisées par mauvais temps et ont une portée de 110Km.

l'UA est un redoutable poison chimique et radiologique qui brûle aisément à l’impact et se réduit à 90% en particules radioactives extrêmement petites (particules nanométriques de quelques milliardièmes de mètre) qui échappent à tout type de masque à gaz. Ces combustions répétées d’uranium voyagent avec les mouvements d'air contaminant l’atmosphère et pénétrant dans les organismes via la respiration. Donc presque tout l’uranium dont se servent les aviateurs se retrouve en quasi totalité sous forme « de gaz métallique radioactif invisible dans la biosphère » que les populations respirent.

Ce n’est pas difficile d’imaginer les conséquences catastrophiques que de tels bombardements avec des bombes GBU 39 à l’UA auront sur la population de Gaza : cancers, malformations congénitales, maladies du système immunitaire... et ce d'autant plus que la population souffre de malnutrition chronique et de manque de soins à cause du blocus israélien. Les conséquences de l'utilisation de bombes à l'UA en Afghanistan et en Irak sont trés bien documentées, notamment par des photos insoutenables de nouveaux nés malformés. En larguant des bombes GBU 39 à l'UA sur des zones densément peuplées de Gaza, Israël procède à un «nettoyage ethnique» lent de la population palestinienne qui sera automatiquement contaminée, et à une destruction de l'environnement. Le gouvernement sioniste de Tel Aviv n’a pas de chambres à gaz, pas de gaz Zyklon, il a des Bombes «Intelligentes» pour exterminer le peuple palestinien, un véritable crime contre l'humanité. Les armements à l'UA sont illégaux voir explication en pièce jointe.

Par ThurizaZ



Article 12

Gaza: le génocide à l’Uranium Appauvri a commencé avec les bombes "GBU-39" fournies par les États-Unis

par ACDN

Mondialisation.ca, Le 7 janvier 2009


Parallèlement à l’offensive terrestre à Gaza, le génocide à l’Uranium Appauvri a commencé avec les bombes "GBU-39" fournies par les Etats-Unis

L’armée israélienne (Tsahal) a lancé hier soir son offensive terrestre contre Gaza - contre le Hamas et son "jihad", selon le gouvernement israélien. La presse, les médias internationaux se focalisent sur l’événement, qui suscite l’indignation ou l’inquiétude de l’opinion mondiale. Celles-ci seront encore plus grandes lorsque se révélera le drame qui a commencé le 27 décembre dernier avec les premiers bombardements israéliens sur Gaza et qui se poursuit de façon invisible, avec l’emploi par l’aviation israélienne de bombes "GBU-39" - une "arme intelligente" issue du "génie militaire" américain, mais aussi une arme génocidaire.

Les caractéristiques de l’engin

Contrairement à une bombe "gravitationnelle" qui tombe par son propre poids, ce qui exige une estimation précise de l’altitude, la distance et la position de l’avion par rapport à la cible, la "bombe intelligente GBU-39" est un missile autopropulsé capable d’atteindre par ses propres moyens et avec une incroyable précision une cible située jusqu’à 60 miles nautiques (110 km) en avant et 40 miles (75 km) à droite ou à gauche de l’avion au moment du largage. Apte à voler par tous les temps, le missile peut même décrire un cercle et frapper une cible fixe située derrière l’avion. Il est guidé vers sa cible par un système embarqué de positionnement par GPS et de calcul de trajectoire. Ce système est préprogrammé mais peut être reprogrammé à tout moment et à distance, à partir des installations au sol.

Répondant à un appel d’offres lancé deux ans plus tôt, la firme Boeing a été retenue en août 2003, après une sévère compétition avec Rayteon, pour développer cette "bombe de faible diamètre" (SDB-Small Diameter Bomb).

La SDB-1 ou GBU-39 a reçu sa certification en septembre 2005, sa production en série a débuté en avril 2006, et les premiers exemplaires ont été livrés à l’US Air Force début septembre 2006, en avance sur le calendrier et à un coût moins élevé que prévu (avec un amortissement des recherches sur une commande finale espérée de 24 000 unités). A cette occasion, le Maj. Gen. Jeffrey Riemer, responsable de la coordination du programme entre les différents laboratoires et fournisseurs civils et militaires, déclarait :
"Nous sommes enthousiasmés (excited) par le déploiement de cette arme, la SDB-1, qui vient s’ajouter aux diverses options léthales du F-15E (Strike Eagle) dans la guerre contre le terrorisme."
D’après lui, sa marge d’erreur à l’arrivée ne dépassait pas 1,20 m.

La SDB-1 ou GBU-39/B est un tube long de 1,80 m environ et de 19 cm de diamètre. Une fois lancé, il déploie des ailerons arrière et latéraux qui stabilisent sa trajectoire. Il pèse 130 kg, dont 93 kg pour la tête explosive.

Le F-15E peut en emporter 4 sous son fuselage, avec un attelage BRU-61 d’un poids total en charge de 664 kg, au lieu d’un seul missile ordinairement beaucoup plus lourd. Le lancement de chaque missile est pneumatique et non par mise à feu d’une cartouche explosive, ce qui supprime l’entretien courant, facilite la manutention, et accélère le rechargement de l’avion au retour d’une mission. Celui-ci peut donc effectuer des frappes multiples et des rotations accélérées.

La précision, la fiabilité et la charge explosive limitée de la GBU-39, donc aussi sa moindre "léthalité" (ou capacité meurtrière), réduisent fortement les risques de "dommages collatéraux". Ce qui permet des emplois interdits jusque-là : contre des combattants ennemis situés à proximité immédiate de "troupes amies"... ou au milieu d’une population civile amie, neutre ou ennemie, que l’on est censé épargner d’après les "lois de la guerre" et le droit international. L’idéal, en somme, pour la guerre "anti-guérilla" ou "anti-terroriste"...

Dès le 5 octobre 2006, un mois après leur livraison aux Etats-Unis, deux avions F-15E "Strike Eagles" appartenant à la 494e Escadrille de Combat déployée en Asie du Sud-Est, en utilisaient des exemplaires pour la première fois contre des cibles réelles, en soutien aux troupes terrestres agissant en Irak.

Le général North célébrait l’événement dans les termes suivants :
"Grâce à sa taille réduite, nos avions peuvent en emporter sur le champ de bataille un nombre accru, apportant ainsi aux combattants au sol davantage de possibilités de défendre leurs positions, en détruisant avec précision des cibles qui pourraient menacer les vies de soldats américains, de la coalition ou irakiens."

"La SDB est exceptionnellement qualifiée pour des cibles urbaines exigeant une grande précision et des dommages collatéraux réduits, et pour des missions de soutien aérien rapproché auxquelles nos équipages se trouvent confrontés dans le cadre des opérations "Iraqi Freedom" et "Enduring Freedom". Nous sommes maintenant en mesure d’intervenir en des endroits où les dommages collatéraux pourraient être un souci."

La SDB-1 présente une autre caractéristique que la fiche technique de Boeing et la presse israélienne se gardent de préciser. En effet, sur les 93 kg attribués par Boeing à la tête (warhead), 23 sont dus à l’explosif proprement dit, de haute performance. Le reste, soit une cinquantaine de kilos, n’est autre que de l’Uranium Appauvri.

Celui-ci présente un avantage supplémentaire : sa haute capacité de pénétration. Il permet à la GBU-39 de percer au moins 90 cm de béton armé (ou plusieurs mètres de terre) avant d’exploser.
Une version capable de frapper des cibles mobiles (SDB2) a été commandée à Boeing, associé cette fois à Lockheed. Il était prévu que son développement en cours aboutisse fin 2009. Certaines de ses caractéristiques annoncées correspondent à celles données par le Jerusalem Post du 28 décembre 2008. Cependant, rien n’autorise à penser que l’armée de l’air israélienne dispose déjà de tels engins - à moins que l’offensive contre Gaza ne leur serve de banc d’essai.

Outre son prix "réduit" (de l’ordre de 100 000 dollars pièce - tout est relatif...), l’ensemble de ses caractéristiques faisaient de la GBU-39, version SDB1, l’arme idéale pour l’offensive israélienne contre Gaza. Sa précision permettait d’atteindre des cibles fixes prédéfinies, tout en réduisant les "dommages collatéraux" dans la population civile (de surcroît avertie par tracts ou par téléphone mobile d’évacuer au plus vite les cibles, c’est-à-dire les maisons ou les sites liés au Hamas, à la fabrication, au stockage ou au lancement de roquettes Qassam contre le sud d’Israël). Ce qui limite aussi les risques, politique et diplomatique, d’être accusé de perpétrer des massacres et des crimes de guerre.

Par ailleurs, la capacité de pénétration de la GBU-39 permettait de détruire aussi bien les sites enterrés de lancement de roquettes que les 40 boyaux souterrains sous la frontière entre l’Egypte et Gaza, qui rendent poreux le blocus israélien et qui ont été frappés dès le premier jour de l’offensive aérienne.

En septembre 2008, le Congrès américain a autorisé la vente de 1000 exemplaires à Israël, qui lui ont été livrés dans les premiers jours de décembre. La trève de 6 mois acceptée par le Hamas en juin expirait le 19 décembre. Le 27 décembre, l’offensive israélienne commençait.

Le problème, c’est que la GBU-39, si elle limite les risques de crimes de guerre, entraîne avec certitude le crime contre l’humanité.

Le génocide de Gaza a commencé

Gaza est une étroite bande de terre hébergeant sur 360 Km2 près d’un million et demi d’habitants, avec une densité de 3823 habitants au Km2.

Le dard des bombes GBU-39 est à l’Uranium Appauvri, disions-nous. Mais appauvri en U235 et enrichi en U238, dont la demi-vie radioactive est de 4,5 milliards d’années.

L’UA est un redoutable poison chimique et radiologique qui brûle aisément à l’impact et se transforme en particules radioactives extrêmement petites (particules nanométriques de l’ordre du millionième de millimètre) qui échappent à toute barrière et tout type de masque à gaz. Les produits de ces combustions répétées d’uranium voyagent avec les mouvements d’air, contaminent l’atmosphère et pénètrent dans les organismes via la respiration, l’ingestion ou les moindres blessures. Ainsi, la majeure partie de l’uranium se retrouve sous forme d’oxyde d’uranium radioactif invisible dans l’atmosphère que les populations respirent, tandis qu’une autre partie contamine les sols, les sous-sols et les nappes phréatiques.

Les conséquences de l’utilisation de bombes à l’UA en Afghanistan et en Irak sont parfaitement connues, démontrées et dénoncées par de nombreux scientifiques - sinon tous, excepté ceux dont le salaire émarge aux budgets des armées américaine, française, israélienne... et autres. Elles ont été rendues dramatiquement visibles par les photos insoutenables de nouveaux nés malformés.

On imagine sans peine les conséquences catastrophiques que de tels bombardements auront sur la population de Gaza : cancers, malformations congénitales, maladies du système immunitaire... et ce d’autant plus qu’elle souffre de malnutrition chronique et de manque de soins, en raison notamment du blocus israélien.

Lorsqu’il a décidé de larguer des bombes GBU-39 à l’UA sur des zones densément peuplées de Gaza, le gouvernement israélien ne pouvait pas ne pas en connaître les effets.

(...)

Un véritable crime contre l’humanité s’exécute donc sous nos yeux.

S’agissant de l’Irak, ACDN écrivait au président de la République française, le 6 avril 2003 :

"La France doit user de tous les moyens dont elle dispose pour faire cesser le CRIME CONTRE L’HUMANITE qui se déroule sous nos yeux : l’utilisation de munitions à "Uranium Appauvri" par les troupes de la coalition anglo-australo-américaine, utilisation avérée au moins à Bassora et hautement probable sur d’autres champs de bataille irakiens. Les divers composants de l’uranium appauvri ont déjà provoqué depuis la (première) "guerre du Golfe" une catastrophe humanitaire systématiquement sous-estimée ou niée par les dirigeants des puissances concernées (France comprise, puisque les militaires français victimes du "syndrome du Golfe" se voient dénier tout droit, de même d’ailleurs que les victimes des essais nucléaires français). Les milliards de particules radioactives ainsi émises vont transformer l’Irak en une terre inhabitable pour l’éternité, et retomber sur tout l’hémisphère Nord où elles accroîtront, avec la radioactivité ambiante, les "statistiques" anonymes des cancers. A quoi sert-il de lancer une "campagne nationale contre le cancer" si l’on n’intervient pas à temps pour prévenir l’expansion de l’une de ses principales causes ?"

Cette fois, il s’agit de Gaza, de la Palestine et d’Israël.
Cette fois, le président de la République ne s’appelle plus Jacques Chirac, mais Nicolas Sarkozy, et il sera dans la région dès demain pour tenter d’y ramener le calme, à défaut d’une paix véritable.
Cette fois encore, nous lui disons :
"La France doit faire cesser ce crime contre l’humanité."

Mais pour se faire entendre, elle devra s’engager elle-même à ne plus produire, vendre, transférer ni utiliser dans sa propre armée aucune arme à l’Uranium Appauvri. Au lieu de voter, comme elle l’a fait dernièrement en la seule compagnie des Etats-Unis et d’Israël, contre toute résolution de l’ONU cherchant à établir une commission d’enquête sur les effets de l’UA, la France doit enfin travailler à l’interdiction universelle des armes à l’Uranium Appauvri.

(...)

Action des Citoyens pour le Désarmement Nucléaire (ACDN), le 4 janvier 2009.

Signer la pétition pour l’abandon et l’interdiction universelle des armes à UA.