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Le choix entre l’égalité ou la peur éternelle.

Petit manifeste pour extirper la racine de l'esclavagisme du devenir humain.


Nous ne sommes pas en régime égalitaire, c’est une évidence pour tous. Nous ne sommes pas en régime démocratique, car seule l’égalité permet la démocratie. Nous sommes en régime dictatorial camouflé en démocratie.

La propagande de notre régime est tellement prégnante, la masse populaire est devenue tellement imprégnée de cette propagande qu’elle reprend comme si c’était sa propre pensée, que l’idée même d’égalité est devenue ridicule. On ne sait plus ce qu’est l’égalité, et même plus, que l’égalité pourrait exister.

Il faut donc redéfinir ce qu’est l’égalité.

L’égalité est un rapport entre individu où personne n’exerce une violence sur autrui, que cette violence soit physique, morale, psychologique, spirituelle, où masquée, comme dans le rapport marchand, rapport qui domine actuellement, le commerce n’étant qu’une manière indolore de poignarder autrui, de l’anéantir sans même qu’il en ait immédiatement conscience. Le commerçant sous toutes ses formes, depuis le boutiquier au financier, est un assassin déguisé en honnête notable. Cet assassin domine dans notre régime, la loi est faite par lui et pour lui, l’administration, la police et la justice sont à ses ordres. Chacun rencontre ces assassins à chaque instant, ils accaparent tous les lieux publics.

Il n’y a pas à imaginer dans le détail le fonctionnement d’une société égalitaire, car c’est inimaginable en notre état, tant nous sommes conditionnés à rejeter un rapport entre humains égalitaire et une organisation sociale égalitaire. Nous sommes incapables de mettre en forme cette idée pour le moment. Tout ce qu’on peut faire de concret et d’efficace, c’est d’analyser ce qui interdit l’idée d’égalité, et d’œuvrer à éliminer ce qui s’oppose à l’édification d’une société fondée sur l’égalité.

L’égalité est un état social qui aurait dû apparaître avec le développement des capacités mentales humaines. L’égalité naît de la complexification des fonctions cérébrales humaines, de l’évolution du cerveau humain. La fonction cervicale qui permet l’égalité peut être dénommée « sympathie », soit la capacité à ressentir ce que ressent autrui, à se mettre à la place d’autrui, à s’échapper de son centre unique et limité de sa propre personnalité, pour occuper d’autres points de vues. La capacité à la sympathie est le stade supérieur de l’évolution du cerveau animal, vers le cerveau proprement humain. On pourrait caractériser la différenciation entre l’animal et l’homme, par l’apparition de la capacité de sympathie. La capacité de sympathie mobilise toutes les fonctions complexes apparues avec l’évolution du cerveau humain. En effet, il s’agit à la fois de pouvoir se projeter en imagination, dans une autre dimension que celle où on se trouve enfermée depuis sa naissance, de se transposer de son identité à une autre étrangère, de se translater, de changer de repère, toutes ces notions étant des notions bien connues des mathématiciens. La fonction de sympathie est intimement liée au progrès du cerveau lui permettant d’aborder les fonctions mathématiques complexes et abstraites.

La fonction de sympathie est en effet intimement mêlée à celle de l’abstraction, mais aussi à celle de la capacité à ressentir, à éprouver les sentiments fondamentaux, comme la joie, la tristesse, la peur, la confiance, la beauté, la laideur, l’harmonie, la disharmonie ... soit à ce qu’on nomme la « sensibilité ».

Ce sont ces deux capacités, sympathie et sensibilité, que le dressage culturel d’une société humaine fondée sur l’inégalité, soit sur la violence et le crime, s’emploie à détruire chez les individus.

L’éducation, mieux dénommé dressage, dans une société inégalitaire, consiste à amputer l’individu de ses deux capacités psychiques qu’il possède naturellement en naissant, la capacité de sympathie, et celle de sensibilité.

Une société inégalitaire est une société constituée d’invalides psychiques, où cette invalidité est créée artificiellement, comme dans certaines sociétés africaines, où on ampute le clitoris des femmes, où dans certaines religions comme le judaïsme et l’islam, où on ampute le prépuce, ce qui a aussi pour effet d’amoindrir la sensibilité fondamentale au plaisir sexuel.

A l’origine, le dressage des individus à la société inégalitaire est le fait de l’appareil primitif de propagande sociale nommé religion. La religion met en oeuvre un procédé de castration mentale des individus afin de les rendre conformes à une société inégalitaire, fondée sur la violence et le crime, où l’individu qui domine doit être insensible et ne pas tenir compte de l’existence d’autrui, et où l’individu qui est dominé doit ne pas ressentir cette violence comme injuste, et ne pas ressentir que celui qui exerce cette violence doit être éliminé. L’individu dominant comme l’individu dominé, dans une société inégalitaire, sont de même invalides, amputés des capacités les plus évoluées, les plus complexes de l’homme. Ils sont ramenés au stade antérieur de l’évolution à celui de l’homme, au niveau des animaux.

Une société inégalitaire doit être dénommée sans hypocrisie société esclavagiste. Nous sommes dans cette société esclavagiste, qui est la même depuis l’antiquité.

La définition d’une société esclavagiste est donnée très clairement par l’écrivain italien Giorgio Bocca, auteur d’un livre essentiel sur le phénomène mafieux en Italie « L’Enfer. Enquête au pays de la mafia ». 1992. Chapitre sur la Camorra (mafia de la région de Naples). « Son droit primitif reste inchangé : la liberté n’est pas l’égalité avec autrui, c’est pouvoir être son propre maître, pouvoir commander et se dispenser d’obéir, être un homme de pouvoir. Il y a les maîtres et les esclaves. ».

Ce qui fait la curiosité de notre société occidentale actuelle, c’est que la population dominée, qui est majoritaire, n’a plus conscience de n’être qu’une population d’esclaves, de la viande à disposition des maîtres anthropophages. En même au-delà, cette population de choses, a adopté la mentalité des maîtres, et a fait sienne la règle de la violence et de la domination, au point d’avoir oublié l’existence de l’idée d’égalité.

Hors une société régie intégralement par l’inégalité, est une société où seul subsiste un sentiment, celui de la peur.

Dans une société inégalitaire, le seul échange possible est celui de la peur, d’une quantité de peur. Tous les individus n’échangent entre eux, dans une société inégalitaire, qu’une quantité de peur. Celui qui domine impose à celui qui est dominé une quantité de peur, et en retour se soulage lui-même de cette quantité de peur. Il obtient ainsi un sentiment de sécurité. C’est ce qui Giorgio Bocca nomme l’Enfer.

Cet Enfer a été transcrit pour la première fois dans l’histoire humaine, il y a environ trois milles ans, par ce qu’on nomme le judaïsme, qui est clairement ce que sont toutes les religions, l’institutionnalisation de l’inégalité, et d’un monde de peur, et la castration psychologique des individus de leurs fonctions cérébrales supérieures humaines, la sympathie et la sensibilité.

Voici quelques extraits de la Torah, le livre fondamental du judaïsme, du Talmud et des déclarations de responsables religieux juifs, parmi tant d’autres.

Nota : à chacun de faire sa propre recherche, car ces citations sont inépuisables et leur compilation est fastidieuse et répétitive. On se trouve à la source même de la formulation de tout racisme et de la domination dans l’histoire humaine. Il s’agit en fait de la première élaboration et transcription d’une « Constitution » d’un monde fondé sur l’esclavagisme. L’Allemagne nazie, qui appartient à la sphère judéo-chrétienne s’en est inspirée, de même que le communisme, qui n’est qu’une religion de substitution au judaïsme périclitant en Europe du 19ème siècle et à la libération des juifs européens des ghettos et de l’emprise des rabbins. Le sionisme est l’expression actuelle sans masque de l’esclavagisme antique. Cet esclavagisme renaît sans frein, à notre époque de raréfaction des ressources vitales mondiales, et d’extraordinaire prolifération en nombre, des humains, rendant la lutte pour la survie exacerbée, et l’acceptation de la doctrine esclavagiste indispensable pour les dominants. C’est ce que l’Occident mené par le clan sioniste est en train d’imposer au monde entier.

Nous entrons dans une ère de barbarie et de la régression sans limite, régression à un stade infra animal.

La Torah, qui est une partie de la Bible chrétienne, a été élaborée il y a environ 2500 ans. Elle était elle-même copiée des textes sacrés mésopotamiens et égyptiens, infiniment plus anciens.

Psaumes 2, 7 à 9 : « Je te donnerais les nations pour héritage ».

Psaumes 47, 17 et 18 : « Tes enfants prendront la place de tes pères ; tu les établiras comme princes sur toute la terre ».

Deutéronome 7 – 16 : « Tu dévoreras tous les peuples que Yahweh te livre, ton œil sera sans pitié pour eux. »

Deutéronome 11 – 23 : « Yahweh chassera toutes les nations devant vous, et vous vous soumettrez des nations plus grandes et plus puissantes que vous. »

Deutéronome 14 – 2 : « Car tu es un peuple saint à Yahweh, ton dieu ; et c’est toi que Yahweh choisit pour lui être un peuple particulier entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre. »

Deutéronome 19 – 1 : « Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé les nations dont Yahweh, ton dieu, te donne le pays ; lorsque tu les auras chassés et que tu habiteras dans leurs villes et dans leurs maisons. »

"Le Talmud" (Paris, Payot, 1986, p. 104), le Rabbin Cohen écrit : "Les habitants du monde peuvent être répartis entre Israël et les autres nations prises en bloc. Israël est le peuple élu: dogme capital."

1993, le grand rabbin Sitruk : « Je voudrais que des jeunes juifs n’épousent jamais que des jeunes filles juives ».

Ce n'est pas un hasard si Patrick Gaubert, le dirigeant de la LICRA, la principale organisation de guerre sioniste française déclarait que les juifs seraient un jour persécutés au nom de l'égalité, de même que le MRAP, l'autre organisation de guerre sioniste, mais déguisée, signalait dans son rapport 2009, page 9 "Internet, enjeu de la lutte contre le racisme." :

"1.1.2.2 Sionisme et racisme.

Le sionisme est un nationalisme. Il en a donc l'ambivalence. Il existe des tendances racistes dans certains mouvements sionistes. Mais le MRAP s'est toujours refusé à assimiler le sionisme à un racisme."

Michel DAKAR, Paris, le 8 février 2010.

 

Annexe :

Ci-dessous, scan d'un tract appelant à manifester à Paris, contre l'extermination du peuple palestinien par l'implantation sioniste au Proche-Orient. On découvre dans la liste des organisateurs, le MRAP, ce qui indique l'appartenance réelle de l'ensemble des organisateurs à la mouvance sioniste.

Le cas palestinien est enrichissant, car il met au jour la stratégie du courant esclavagiste occidental mené par le clan sioniste, qui consiste à faire accaparer par des organisations sionistes camouflées, l'opposition au sionisme (qui est la dernière mouture de l'esclavagisme). La formulation sans fard de l'esclavagisme est devenue honteuse en Occident, qui s'évertue à afficher la démocratie, les droits de l'homme et la liberté d'expression, de même évidemment que l'exposition aux yeux de tous de la répression de l'anti esclavagisme est devenue impossible. Alors, il reste à faire encadrer la mouvance anti esclavagiste par des supplétifs policiers déguisés en anti esclavagistes. On a ainsi grâce à ce tract, une liste (non exhaustive) d'organisations policières vouées à l'encadrement du courant anti esclavagiste.

Il est à relever pour les connaisseurs, que lors de cette manifestation, le "Collectif Cheikh Yassine", d'Abdelhakim Séfrioui, autre organe crypto sioniste, mais issu d'un courant différent (saoudo-israélo-marocain) s'est greffé sur ce défilé, avec l'assentiment de la police française.

On a là, une liste de "pauvre gens" dont la situation économique est entièrement dépendante de leur activité politique mensongère, que le régime entretient directement à coup de subventions, ou pour certains, plus discrètement indirectement, et il est bon de se poser la question de leur équilibre mental, car comment rester longtemps équilibré en pratiquant un écart aussi immense que celui de s'afficher comme défenseur d'une population en voie d'extermination, alors qu'on oeuvre en réalité à son extermination. Ces gens sont à classer dans la catégorie policière comprenant les indics, les balances, universellement méprisés. Ils sont à plaindre.

Il est pour finir à remarquer, que les mises en avant perpétuelles de la démocratie, des droits de l'homme, et de la liberté d'expression en Occident, ne forment qu'une stratégie policière visant à conserver dans la confusion les esprits, entravant ainsi efficacement la prise de conscience des victimes de leur état d'assujetissement et de leur totale absence de droit, et ainsi, interdisant l'éclosion de leur désir de révolte. On peut dire que les droits de l'homme en Occident servent à tuer l'embryon de la révolte dans l'oeuf. La Ligue des droits de l'homme (LDH), dont on remarque la participation à la manifestation pour Gaza, est en quelque sorte un organisme d'avortement, celui de l'esprit de révolte. La LDH n'est en réalité qu'un organe de police politique assurant la perpétuation de l'esclavagisme. On peut dire sans exagérer que l'Occident est entré dans une ère d'infinie perversité.

 

Voir aussi les documents suivants :

http://www.aredam.net/mrap-devoilement.html

http://www.aredam.net/capjo-afps-acdn-realites.html

Lire le rapport du MRAP 2009 :
http://www.aredam.net/rapport.MRAP2009.pdf

Voir Paysage d'hiver de Maurice Vlaminck