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Nouvelle rubrique sur Aredam.net au 1er février 2011 :

Les condamnés pour crime de conscience

 

1 - Le premier emprisonné en France, pour crime de conscience :

Vincent Reynouard
Centre pénitencier de Valenciennes
N° d'écrou 33044
75, rue Lomprez
BP 80455
59322 Valenciennes Cedex
:

Crimes de conscience de M. Reynouard :

Remet en question les versions historiques officielles de la Shoah (qui est la raison de son emprisonnement) et du massacre d'Oradour-sur-Glane, qui selon la version officielle est le fait des nazis, et selon les recherches de M. Reynouard, accidentellement provoqué par des résistants communistes.

Nota :

a) Ceux qui pourchassent M. Reynouard, sont principalement des tenants du communisme et les sionistes, eux-mêmes impliqués comme soutiens actifs des massacres de masse qu'a subis la population soviétique, et dans le génocide en cours des Palestiniens.

b) En France, les organisations à gauche qui se distinguent dans la persécution de ceux qui remettent en question la vérité historique officielle sur le nazisme sont la CNT de la rue des Vignoles à Paris 20ème, organisation qui n'est qu'une coquille vide libertaire, noyautés à la tête par des agents juifs israéliens et les Renseignements Généraux français, et toutes les organisations dérivées du Parti Communiste Français, qui ne sont plus que des appendices policiers politiques du régime français actuel.

c) Le nazisme a servi et sert encore à camoufler la réalité du communisme et du sionisme.

d) Il est à relever qu'aucune organisation française de "défense des droits", telles la Ligue des droits de l'Homme, ou Amnesty international France, ou encore la dernière née de la CIA : "Reporters sans frontières", ne sont intervenues, ce qui en dit long sur la réalité d'organes policiers cachés de ce type d'organisation.

e) Il n'y a pas à séparer les "bons" condamnés pour crime de conscience, des "mauvais", selon qu'ils sont classés à l'extrême droite, tel M. Reynouard, car il n'y a qu'une liberté de conscience, elle n'est pas discriminative, et elle ne s'accorde pas en fonction de ses choix idéologiques.

Le fait d'exclure de son soutien politique quelqu'un condamné pour crime de conscience en raison de son classement à l'extrême droite, révèle son appartenance au réseau sioniste ou communiste, c'est à dire révèle son appartenance à l'organe général de police politique du régime actuel.