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Dans le ventre du banquier. " Cause antisioniste ... toujours tu m'intéresses ", ou, pour le respect de aborigènes de tous les pays (aborigènes : étymologiquement " habitants des origines "), ou, la seule lutte réelle est celle pour l'égalité en biens, et non l'égalité en droit. On peut qualifier de crime bancaire le crime de Palestine, car la propriété de Palestine a été acquise par la banque européenne au début du 20ème siècle, cela pour y loger ses employés. Ce crime rappelle en France le massacre de la Commune de Paris (1871, dernier acte de vie réelle politique en France, rébellion de masse des aborigènes face aux banques), massacre qui fit environ 100 000 victimes (enfants, femmes, vieillards et hommes confondus), et les massacres qui lui succédèrent jusqu'à la fin du 19ème siècle en France (grévistes et mineurs - Anzin, Fourmies ...). Ces massacres furent tous des crimes bancaires et visèrent à anéantir une fois pour toute la vie autonome des aborigènes en France, ce qui fut effectif dès le début du 20ème siècle et s'est jusqu'à présent maintenu. Depuis, on ne connaît plus qu'une vie politique fictive, fiction de vie politique entretenue comme façade démocratique par la banque. La banque règne sur une population esclave. Certains animent cette façade de démocratie. Leur rôle est de faire croire aux esclaves que la vie démocratique existe. On nomme ces escrocs idéologiques les " politiciens ". On retrouve les politiciens, ces agents bancaires, dans tous les domaines où le mécontentement des aborigènes subsiste. Il s'agit pour les politiciens d'encadrer de façon policière masquée les mécontents, et de faire croire à une activité politique libre, spontanée. Le domaine de la Palestine fait partie du champ d'action des politiciens bancaires. Les politiciens bancaires qui oeuvrent dans le secteurs Palestine sont qualifiés d' " antisionistes ". Dans le cas de la Palestine, il faut que les aborigènes locaux (étymologiquement habitants des origines) se déportent d'eux-mêmes pour laisser leurs terres ancestrales au personnel de la banque. Mais plus précisément que trouve-t-on en face des fameux " sionistes ", ce qui n'est que l'appellation délicate pour désigner les vigiles et autres employés de la banque ? Là, l'histoire ne fait que se répéter.
D'une part, il y a les antisionistes de gauche et d'extrême gauche. Ils sont issus du marxisme. Marx a vu l'écrasement de la Commune de Paris, plutôt d'un bon oeil. En effet, il redoutait encore plus que le pouvoir bancaire avec lequel il était en concurrence, que les aborigènes récupèrent leur pouvoir sur leur propre vie, aborigènes qu'il comptait dominer, en remplaçant le pouvoir bancaire individualiste privé, par une sorte de caste dominante en nom collectif, le " parti communiste " (caste formée des bureaucrates, des idéologues et de la police politique du parti communiste). Les actuels antisionistes de gauche et d'extrême gauche sont les reliquats du marxisme, et ceux qui oeuvrent dans le secteur de la Palestine sont passés au service du pouvoir bancaire, qui a finit par éliminer totalement la concurrence marxiste. Ces reliquats n'ont pas d'autres objectifs que de maintenir leur place dans la classe politique, et pour ce faire, ils doivent maintenir leur emprise sur la population de la base, mécontente de l'affaire de Palestine. C'est cette emprise policière sur les mécontents qu'ils vendent à la banque, en contrepartie de leur place au sein de l'appareil d'encadrement bancaire, nommé " classe politique ". Le pouvoir bancaire est en effet parvenu à éliminer jusqu'aux racines, toute opposition en France des aborigènes, et cela dès le début du 20ème siècle. Les forces marxistes ne peuvent être considérées comme une opposition à la banque, car marxisme et banque sont d'une nature semblable, dont l'essence est de dominer et d'exploiter les aborigènes (les anciens des pays communistes avaient coutume de dire en manière de plaisanterie : le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par l'homme, et le communisme c'est l'inverse).
Le " néo Poujade " ne cherche qu'à se hisser et à se maintenir sur la première place du podium. Il n'existe que sous les objectifs des caméras. Au fond, comme tous ses semblables, c'est un personnage médiatique, ce qui signifie qu'il n'existe que comme image véhiculée par les médias, qu'il n'a pas d'existence propre. Il supplée à une forme particulière d'invalidité existentielle, invalidité spécifique au personnel politique, par la captation de l'attention d'autrui, attention dont la décroissance le met en péril, et le pousse sans répit à s'activer. Comme l'ancien Poujade, le néo Poujade cherche à fédérer le mécontentement des petits réactionnaires face aux puissants. Ce type de politicien était déjà en action à la fin du 19ème siècle, et exploitait le mécontentement des petits rentiers face aux grosses banques.
Ces politiciens bancaires particuliers, " ethniques ", tentent de survivre politiquement en vendant à la banque leur savoir faire dans le domaine de l'encadrement et de la mise au pas des musulmans, en France, et souvent de façon concomitante, dans leur pays d'origine. L'un, dont le surnom pourrait être l' "Exécrable", en raison de son caractère, qui agit à la limite de l'affairisme foireux et de la religion, cette dernière lui servant à passer sur ses petites entorses à l'honnêteté (le droit divin étant supérieur au droit civil du commerce), accumule compulsivement une série invraisemblable d'échecs. Ce genre de personnage se signale en premier par une détermination à maintenir la moitié de l'humanité, les femmes, dans une posture d'humiliation, en les emmaillotant de façon ridicule et incommode des pieds à la tête, à l'instar de l'ancienne Chine, qui bandait les pieds des petites filles, pour les rendre invalide à vie, et contenir les femmes dans une position de sujétion. Un recherche à ce sujet sur ce qui est d'évidence une forme de déviance sexuelle, de perversion, et qui est la norme dans certaines régions du monde, devrait être entreprise. Il est inquiétant que cette norme tente au nom de la " liberté " et de la tolérance, de s'imposer ailleurs que dans ces régions, et qu'elle soit acceptée par certains, cela par pur opportunisme.
B - 3. Et pour finir, une série de purs opportunistes, proprement inapte à respirer un air autre que celui des estrades, des tribunes, et qui sont capables de se traîner même mourant en direction d'un micro. Certains sont de véritables mythomanes, qui s'inventent des exploits extraordinaires, exploits qui laissent sans voix jusqu'à ce qu'un témoin direct vous fasse s'effondrer l'affabulation, comme un soufflet au fromage crevé.
" Ah ! Cause palestinienne ... toujours tu m'intéresses ! " Car en France, le décervelage est devenu si total, si parfait, le mensonge si prégnant, qu'on ne peut même plus aborder le seul sujet qui importe, le seul combat qui compte, ce combat de toujours, celui de l'égalité en biens, entre tout êtres vivants, ce qui inclut toutes les formes de la vie, ce qu'on nomme l'écologie. On doit passer par la Palestine, ce territoire bancaire, ce territoire qui expose crûment au jour la réalité brute de la banque, de la possession, de la finance, du commerce, de l'accaparement, de l'appropriation, de l'inégalité en biens, territoire bancaire de Palestine qui est une exacerbation, un paroxysme de l'idéal bancaire, pour parler de l'égalité en biens, pour faire comprendre ce qu'est l'inégalité et ce qu'est l'égalité en biens. L'égalité en biens, c'est à dire l'égalité réelle, et non pas l'égalité en droit qui est une égalité factice, un ersatz de l'égalité en biens, une tromperie bancaire (dans Le Parisien, l'un des phares obscurcissant l'esprit de la propagande du régime bancaire, on lit même des articles sur des SDF parisiens méritant qui se présentent aux élections municipales ...), est la seule condition pour un état viable, état viable pour la société humaine, et plus largement pour la vie sur la planète.
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