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Pourquoi les lois antiracistes sont aconstitutionnelles.


Ce texte m’a été demandé par mon ami Daniel Milan, militant antitotalitaire, libertaire et musulman.


Daniel Milan est très sensible à la notion d’égalité de tous devant la loi.


Cette notion est en effet fondamentale, et est l’un des piliers de la Constitution.


Il peut sembler étrange, à première vue, que les lois antiracistes soient aconstitutionnelles, au titre qu’elles enfreignent la notion d’égalité de tous devant la loi.


Pourtant, à bien y réfléchir, il semble que cela soit le cas, et que ces lois aient pour objet de discriminer la masse et de favoriser une élite, qui elle, est au-dessus de la loi.


Pour comprendre ce phénomène, il faut se tourner vers les associations antiracistes.


Ces associations, principalement en France le MRAP (Mouvement contre le racisme et l’amitié entre les peuples, d’obédience communiste, mais chapeautée par des juifs sionistes dès le départ), et la LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme, le racisme ayant été tardivement rajouté, à l’origine il s’agissait de la LICA, succursale de l’organisation américaine Anti Diffamation Ligue – ADL, sioniste), discriminent en effet le racisme général, de l’antisémitisme, qui serait un racisme particulier, un racisme d’une essence supérieure dans le mal. Ce que d’ailleurs ces organisations se gardent bien d’expliciter.


Hors, il y a bien une sacrée différence entre le racisme qui touche les noirs, les arabes, et autres non-blancs, et l’antisémitisme, qui est non pas un racisme, mais un rejet de l’hégémonie des juifs.


En effet, le racisme anti noirs ou anti arabe, n’est qu’une justification de l’exploitation des noirs et des arabes, une légitimation de la violence faite à des populations placées en état d’infériorité.


Il suffit d’ouvrir les yeux pour voir que ce n’est pas le cas des juifs, qui se trouvent en position exactement inverse.


Il est donc absolument absurde de placer sur le même plan le racisme et l’antisémitisme.


Cela revient à se servir des populations placées en état d’infériorité, exploitées, qui subissent la violence, pour garantir l’impunité d’une population qui domine les autres, et qui donc exerce, elle, la violence sur les autres populations.


Ainsi, les lois antiracistes permettent de légitimer la violence d’une population sur les autres populations, et en dernier ressort, donc, de légitimer le racisme, soit l’inégalité devant la loi, soit de légitimer l’atteinte à la Constitution.


Mais au-delà, cela mène à donner une définition rapide du judaïsme, car qu’est ce que chercher à comprendre l’antisémitisme, si non ne cherche pas à comprendre le judaïsme et à le définir ?


Le judaïsme peut être définit en une seule phrase, comme un programme mondial visant à substituer à toutes les élites nationales, des juifs.


Ce programme apparaît explicitement dans la torah, et particulièrement dans sa partie nommée deutéronome.


Les lois antiracistes servent donc à interdire de s’opposer à ce programme, au titre de contenir le racisme.


Les lois antiracistes servent donc, en utilisant les populations qui sont inférieures de fait devant la loi, à favoriser l’élévation d’une population au-dessus de la loi.


Ces lois antiracistes sont donc bien aconstitutionnelles, dans le sens où elles sont étrangères à la constitution. Elles sont d’une autre logique que celle qui fonde la constitution, d’une autre manière de penser l’humanité.


Mais pour élargir le sujet, il faut regarder au-delà du judaïsme seul, car le judaïsme ne peut exister seul, indépendamment de l’humanité générale.


Tous le systèmes humains sont fondés sur la hiérarchie, l’inégalité.


Il n’y a pas besoin des juifs pour propager l’inégalité, elle existe sans eux, sans le judaïsme.


Le judaïsme ne pourrait exister dans un monde égalitaire.


Le judaïsme est né de l’état général du monde humain, fondé sur l’inégalité.


Les créateurs du judaïsme n’ont fait que tirer jusqu’à la conclusion ultime, la prise de conscience que la société humaine avait définitivement déviée vers une forme inégalitaire.


Cette conclusion était que dans un monde irrémédiablement inégalitaire, la seule voie de succès est de s’organiser en un groupe dont les membres ayant pour principe inculqué de partout progresser, placent certains de leur membre aux postes les plus élevés partout où cela est possible. Le judaïsme est une solidarité d’arrivistes.


Mais l’arrivisme, comme l’inégalité ou la solidarité égoïste de groupe ne sont pas propres aux seuls juifs.


Alors que peut-on reprocher de spécifique aux juifs ?


Simplement que tous les efforts qui sont fait pour tendre vers l’égalité sont mis à mal par eux, car le judaïsme et les juifs ne peuvent que subsister au sein de l’inégalité, et que quand tous les postes clé des systèmes sociaux sont accaparés par eux, tout se bloque pour que le système général se fige dans l’inégalité.


C’est bien le patron à vie de la LICRA, le sioniste Patrick Gaubert, qui avait osé déclarer publiquement que les juifs seraient à présent persécutés au nom de l’égalité …


Quant au problème de l’égalité, il est pour certain vital, car il ne peut y avoir de société humaine viable, sans égalité.


L’interdiction faite d’accéder ou de se rapprocher d’un état d’égalité réelle (principalement économique), et non pas seulement en droit, ce qui n’est qu’une première étape, interdit la survie à terme de l’humanité.


Et pour finir, il devient clair en Occident, que l’antisémitisme devient peu à peu, par glissement, assimilé à une atteinte aux élites en général, soit une atteinte aux dominants, qu’ils soient juifs ou non. Un antisémite devient peu à peu celui qui s’oppose à un ordre inégalitaire. Par le fait du « politically correct » occidental (synonyme de pensée unique), l’antisémitisme devient le péché mortel implicite, non-dit, celui de vouloir un ordre non fondé sur l’argent, un ordre de non-domination, car dans notre système occidental, c’est par l’argent qu’on domine.


Il est à remarquer que sous le bolchevisme, l’antisémitisme a été assimilé, dès le départ, à une atteinte au communisme, les juifs étant prépondérants dans les sphères dirigeantes, jusqu’à l’épuration opérée par Staline. Avant Staline, les antisémites étaient passibles de la peine de mort.


Pour ceux qui penseraient pouvoir poursuivre en justice ce texte pour antisémitisme, qu’ils sachent qu’à l’audience, la lecture sera donnée du deutéronome, et d’autres morceaux choisis de la torah, ce programme de domination mondiale établi il y a environ deux milliers d’années.


Michel Dakar, le 20 avril 2012

 

Annexe :

Extraits de la torah, bible - deuteronome, psaumes, et citations de sionistes : à la source de la mentalité génocidaire et raciste)

http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html

 

Du judaïsme au sionisme, par des extraits de la Torah (Deuteronome et Psaumes), et des citations d'auteurs, d'idéologues et de chefs d'Etat sionistes, où, de la perpétuation à travers les siècles d'une idéologie de la haine, du racisme, de la xénophobie, du génocide, de l'accaparement, et de la domination.

1 - Extraits du Deuteronome et des Psaumes.
2 - Citations de sionistes célèbres.

 

1 - Extraits du Deuteronome et des Psaumes :

 

Deuteronome 6 – 10 à 6 – 11,

« Lorsque Yahweh, ton dieu, t'aura fait entrer dans le pays qu'il a juré à tes pères, à Abraham, à Isaac et à Jacob, de te donner : grandes villes que tu n'as pas bâties, maisons pleines de toutes sortes de biens que tu n'as pas remplies, citernes que tu n'as pas creusées ; vignes et oliviers que tu n'as pas plantés ; lorsque tu mangeras et te rassasieras, garde-toi d'oublier Yahweh, qui t'a tiré du pays d'Egypte. »

Deuteronome 7 – 1 à 7 – 4,

« Lorsque Yahweh, ton dieu, t'aura fait entrer dans le pays, où tu vas pour en prendre possession, et qu'il aura chassé devant toi beaucoup de nations, les Hittites, les Guirgachites, les Amorrhéens, les Chananéens, les Périzzites, les Hiwwites et les Jébuzéens, sept nations plus nombreuses et plus puissantes que toi, et que Yahweh, ton dieu, te les aura livrées et que tu les auras battues, tu les anathémiseras, tu ne concluras pas d'alliance avec elles et tu ne leurs feras point grâce. Tu ne contracteras pas de relations matrimoniales avec elles, tu ne donneras pas tes filles à leurs fils, et tu ne prendras pas leurs filles pour tes fils. »

Deuteronome 7 – 6,

« Car toi, tu es un peuple saint, consacré à Yahweh, ton Dieu. C'est toi que Yahweh, ton Dieu, a choisi pour devenir son peuple particulier, d'entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre. Ce n'est pas parce que vous êtes plus nombreux qu'aucun des autres peuples que Yahweh s'est attaché à vous et vous a choisis, car vous êtes le plus petit de tous les peuples. Mais c'est parce que Yahweh vous aime et parce qu'il garde le serment qu'il a fait à vos pères, que Yahweh vous a fait sortir à main puissante et vous a rédimés de la maison de servitude, de la main de pharaon, roi d'Egypte. Tu sauras donc que c'est Yahweh, ton Dieu, qui est le Dieu, le Dieu fidèle qui garde l'alliance et la bienveillance jusqu'à mille générations, pour ceux qui l'aiment et qui garde ses commandements ; mais il rend la pareille directement à qui le hait ouvertement, en les détruisant ; il ne tarde pas envers qui le hait de lui rendre la pareille en personne. Tu observeras donc les commandements, les lois et les ordonnances que je te commande aujourd'hui, en les mettant en pratique.

15 – 1 à 15 - 3,

« A la fin de chaque septième année, tu feras rémission. Voici comment se pratiquera la rémission : que quiconque détient une créance remette ce qu'il a prêté à son prochain ; il ne pressera pas son prochain ni son frère, quand on aura publié la rémission de Yahweh. Tu pourras presser l'étranger ; mais pour ce qui t'appartient chez ton frère, tu le remettras. »

Deuteronome 15 – 6,

« Car Yahweh, ton Dieu, te béniras, comme il te l'a dit, tu prêteras à beaucoup de nations, et toi tu n'emprunteras pas ; tu domineras sur beaucoup de nations, mais sur toi on ne dominera pas. »

Deuteronome 17 – 15,

« Tu pourras te constituer un roi, celui que Yahweh, ton dieu, aura choisi, c'est entre tes frères que tu te constitueras un roi, tu ne pourras pas te soumettre à un étranger, parce qu'il n'est pas ton frère. »

Deutéronome 10/15,

" Israël est le peuple élu entre toutes les nations ".

Deutéronome 14/2,

" Le Seigneur t'a choisi pour être son peuple à Lui parmi tous les peuples de la terre ".

Deutéronome 1/13,

" Lorsque Yahweh ton Dieu aura exterminé les nations dont Yahweh ton Dieu te donnes le pays.

Deutéronome 7/3,

" Tu ne contracteras pas de relations matrimoniales avec elles (les populations non-juives), tu ne donneras pas tes filles à leurs fils, et tu ne prendras pas leurs filles pour tes fils.

Deutéronome 7 – 16,

« Tu dévoreras tous les peuples que Yahweh, ton dieu, te livre ; ton œil sera sans pitié pour eux. »

Deutéronome 7 – 20,

« Yahweh, ton dieu, enverra même sur eux des guêpes jusqu'à ce que périssent ceux qui auront pu rester et se cacher devant toi. »

Deuteronome 11 – 23,

« Yahweh chassera toutes ces nations devant vous, et vous vous soumettrez des nations plus grandes et plus puissantes que vous ».

Deuteronome 12 – 29,

« Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé les nations, dans lesquelles tu te rends pour les chasser devant toi, que tu les auras chassés et que tu habiteras leurs pays. »

Deutéronome 7 - 24,

« Yahweh, ton dieu, chassera peu à peu ces nations devant toi ; tu ne pourras pas les exterminer rapidement, afin que les bêtes sauvages ne se multiplient pas contre toi. Yahweh, ton dieu, te les livreras, et il les bouleversera d'un grand bouleversement, jusqu'à ce qu'elles soient anéanties. Il te livrera leurs rois, et tu feras disparaître leurs noms de dessous les cieux ; personne ne tiendra devant toi, jusqu'à ce que tu les aies anéantis. »

Psaume 45/17,

" De tes fils tu feras des princes sur toute la terre ".

Psaume 18/44,

" Yahweh a mis Israël à la tête de toutes les nations ".

Deutéronome, 12/79,

" Le Seigneur ton Dieu exterminera les peuples chez qui tu te rendras pour les déposséder de leur territoire ".

Deutéronome 28/9 à 28/13 :

" Yahweh te maintiendra, pour lui en peuple saint, ainsi qu'il te l'a juré, si tu observes les commandements de Yahweh, ton Dieu, et si tu marches dans ses voies; et tous les peuples de la terre verront que le nom de Yahweh est nommé sur toi, ils te craindront. Yahweh te fera surabonder de biens, dans le fruit de tes entrailles, dans le fruits de tes bêtes et le fruit de ton sol, dans le pays que Yahweh a juré à tes pères de te donner. Yahweh t'ouvrira son magnifique trésor, le ciel, pour envoyer à ton pays la pluie en son temps, et pour bénir tout le travail de tes mains. Tu prêteras à beaucoup de nations, et tu n'emprunteras pas. Yahweh te mettra à la tête, et non à la queue; tu seras uniquement en haut, et tu ne seras pas en bas, si tu obéis aux commandements de Yahweh, ton Dieu ... ".

Deuteronome 19 – 1,

« Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé les nations dont Yahweh, ton dieu, te donne le pays ; lorsque tu les auras chassés et que tu habiteras dans leurs villes et dans leurs maisons. »

Deuteronome 20 – 10 à 20 – 16,

« Lorsque tu t'approcheras d'une ville pour la combattre, tu lui offriras la paix. Si elle te fais une réponse de paix et s'ouvre à toi, tout le peuple qui s'y trouvera te sera tributaire et te servira. Si elle ne fait pas la paix avec toi, et qu'elle veuille te faire la guerre, tu l'assiègeras et, quand Yahweh, ton dieu, te l'aura livrée, tu passeras tous les males au fil de l'épée. Mais les femmes, les enfants, le bétail, et tout ce qui sera dans la ville, tout son butin, tu le pilleras pour toi, et tu pourras manger le butin de tes ennemis que Yahweh, ton dieu, t'auras donné. C'est ainsi que tu agiras à l'égard des villes éloignées de chez toi, et qui ne sont pas des villes de ces nations-ci.

Mais quant aux villes de ces peuples que Yahweh, ton dieu, te donne en propriété, tu n'y laisseras la vie à rien de ce qui respire. »

Deuteronome 23 - 20,

Tu n'exigeras pas de ton frère un intérêt pour argent, ni intérêt pour vivre, ni intérêt pour autre chose qui se prête à intérêt. Tu exigeras un intérêt de l'étranger, mais tu n'exigeras pas d'intérêt de ton frère. »

Deuteronome 26 – 18 à 26 – 19,

« Et Yahweh t'a fait dire aujourd'hui que tu veux lui devenir un peuple particulier, comme il te l'a dit, et observer tous ses commandements, et ainsi te rendra-t-il supérieur à toutes les nations qu'il a faites, en gloire, en renom et en splendeur, et fera-t-il de toi un peuple saint à Yahweh, ton Dieu, comme il l'a dit. »

Psaume 2, 7 à 9

« Et moi (Yahweh), j'ai établi mon roi sur Sion, ma montagne sainte

Je vais publier le décret de Yahweh : Yahweh m'a dit : tu es mon fils, moi-même, aujourd'hui, je t'ai engendré.

Fais m'en la demande, et je te donnerai les nations pour héritage,

Tu les régiras avec une houlette de fer ; comme le vase du potier tu les mettras en pièces. »

Psaume 47, 17 et 18

« Tes enfants prendront la place de tes pères ;

tu les établiras comme princes sur toute la terre. »


2 - Citations de sionistes célèbres :

« Nous devons expulser les arabes et prendre leur place ».
David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël.


« Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves ».
Président Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987.


« « Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population arabe ».
Israël Koenig, « The Koenig memorandum ».


« La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule tribu ».
Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973.


« Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »,
Israel Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans.


Après avoir visité la Palestine en 1891, l’essayiste hébreu Achad Ha-Am a commenté : « A l’étranger nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque vide ; que rien n’y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas acheter les terres qu’il désire. En réalité, la situation n’est pas ainsi. Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà cultivée ».


« Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n’y a personne à qui les rendre ».
Golda Meir, premier ministre d’Israël, 8 mars 1969.


« Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens n’ont jamais existé ».
Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969.


« « Les palestiniens » seront écrasés comme des sauterelles … leurs têtes éclatés contre les rochers et les murs ».
Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril 1988.


« Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne sont pas les mêmes ».
Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989.


« Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la frontière en lui refusant du travail. Le processus d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection ».
Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale, note du 12 juin 1895.


Description par Rabin de la conquête de Lydda, après l’achèvement du plan Dalet. « Nous réduirons la population arabe à une communauté de coupeurs de bois et de serveurs ».
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion, 1960, tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias.


« Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent … ».
Ehud Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30 août 2000.


« Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes ».
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and the beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman, 25 juin 1982.


« Il y a une énorme différence entre nous (les juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c’est comme si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui n’appartenait pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait véritablement à une autre galaxie ».
Président israélien Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001.


« Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les palestiniens) ne reviennent pas » … « Les vieux mourront et les jeunes oublieront ».
David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948.


« Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille ».
Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces de défense israéliennes (Tsahal), New york Times, 14 avril 1983.


« La thèse d’un danger d’un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu’Israêl se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre ». Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972.


« C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction des arabes et l’expropriation de leurs terres ».
Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972.


« La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif ultime qui est la création de l’Empire israélien ». Moshe Dayan, ministre israélien de la défense et des affaires étrangères, 12 février 1952 Radio Israel.


« Des villages juifs ont été construits à la place des villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent plus. Et non seulement les livres, mais les villages n’existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays qui n’a pas une ancienne population arabe ».
Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz, 4 avril 1969.


« … si les gens s’habituent à cette donnée et que nous soyons réellement obligés d’accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour nous, quand nous seront confrontés à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne vivaient pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu’il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre … sinon ».
Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan, directeur général du ministère des affaires étrangères israélien (ISA FM 2564/22). D’après Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés palestiniens 1947-49 », p. 297.


« Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d’empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela qu’elle est dépendante d’une force armée. Il est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la colonisation.
Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur du likoud), Le Mur de fer, 1923.


« La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone.
C’est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d’une puissance indépendante de la population locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est notre politique à l’égard des arabes.
Vladimir Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923.


« Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons pas notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas d’autres possibilités que de transférer les arabes d’ici vers les pays voisins - tous. Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit rester.
Joseph Weitz, chef du département colonisation de l’Agence juive en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem ».


« Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les arabes des territoires ».
Benyamin Netanyahu, alors député israélien au ministère des affaires étrangères, ancien premier ministre d’Israël, s’exprimant devant des étudiants à l’université de Bar Ilan, tiré du journal israélien « Hotam », du 24 novembre 1989.


« A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ? De la même façon, les arabes de Palestine n’abandonneront pas leur souveraineté sans l’usage de la violence ».
Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes sionistes), cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou problème juif » (Jewish people or jewish problem).


« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ?
David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.


« Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont aucun droit de s’établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël …
La force est l’unique chose qu’ils comprennent. Nous devons utiliser la force absolue jusqu’à ce que les palestiniens viennent ramper devant nous ».
Raphael Eitan, chef d’Etat-major des forces de la défense israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York Times, le 14 avril 1983.


« Si l’assemblée générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de l’armistice (frontière d’avant juin 1967), Israël refuserait de se plier à cette décision ».
Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères. New York Times, 9 juin 1967.


« Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela …
Je vais vous dire quelque chose de très clair :
Ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique, et les américains le savent ».
Le premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael.


« Parmi les phénomène politique les plus inquiétants de notre temps, il y a l’émergence, dans l’Etat nouvellement créé d’Israël, d’un parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des nazis et des partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus premiers ministres ».
Albert Einstein.
Hana Arendt et d’autres juifs américains célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948.


« La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le mandat britannique. Le peuple juif possède une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate ».
Ben Gurion.


« Nous devons affronter la réalité qu’Israël n’est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion, nous les juifs avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population de réfugiés dans une diaspora ».
Martin Buber, philosophe juif, s’adressant au premier ministre Ben Gurion, sur le caractère moral de l’Etat d’Israël en faisant référence aux réfugiés arabes en mars 1949.


« Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous sommes retournés en Palestine … la majorité des juifs, ont préféré apprendre d’Hitler plutôt que de nous ».
Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958.


« Le pouvoir légal d’Hitler était basé sur le « décret de loi », qui était voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Führer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de loi. Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le parlement israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien, et à ses représentants le pouvoir d’Hitler, qu’ils utilisent de façon hitlérienne ».
Docteur Israel Shahak, président de la Ligue israélienne pour les droits de l’homme et les droits civiques, survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les lois d’urgence de l’armée israélienne suite à la guerre de 1967.
Palestine, vol. 12, décembre 1983.


« Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon a répété sa question : « Que devons-nous faire avec la population palestinienne ? » Ben Gurion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les » ».
Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New York times, 23 octobre 1979.


A l’origine :

Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non-juives en Palestine, ni aux droits dont les juifs jouissent dans tout autre pays.
Déclaration de Balfour au Baron Rothschild, le 2 novembre 1917.