Voici ci-après le contenu de l'objet de CODEIG

(voir aussi le site internet codeig.net, "gelé par le Procureur de la République à Paris, et dont trois fichiers en liens en page d'index - ou autrement nommée : page d'accueil - sont fermés - à vous de les découvrir.

 

Définition préliminaire de CODEIG

L'association « Compréhension et dépassement de l'idée de génocide » – CODEIG, est un outil pour le travail de compréhension et de dépassement de la morale génocidaire judéo-chrétienne.

L'association CODEIG par ses statuts, conformément à l'article 2-4 du code de procédure pénale, disposera de l'exercice des droits reconnus à la partie civile en ce qui concerne les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité, à compter du délai de cinq ans après le dépôt de sa déclaration en préfecture.

Exposé de l'objet de CODEIG :

Il y a très longtemps, bien avant la venue de l'homme sur la planète Terre, bien avant même l'apparition des premiers animaux, des insectes, existaient des formes de vie " collaborantes ".

Ces formes de vie, au lieu de se combattre, s'unissaient, se liaient entre elles, afin de se renforcer, de se complexifier, de s'améliorer, de s'épanouir. C'est la forme d'être collaborant qui permit à la vie de se complexifier et de passer des formes de vie simples aux formes de vie complexes, formées par la réunion de plusieurs formes de vies individuelles, qui étaient séparées, à l'origine.

Puis, un accident survint, une maladie, une malformation apparue au cours de l'enchaînement des mutations des formes de vies se succédant les unes aux autres. Pour la première fois sur la planète Terre, une forme de vie non collaborante apparut, une forme de vie fondée sur la concurrence, sur l'antagonisme.

Les vies collaborantes qui occupaient jusque là toute la planète, ne purent résister à cette forme de vie nouvelle à laquelle elles ne pouvaient que proposer leurs propres apports et non s'opposer, ce qui rendait encore plus forte cette forme de vie concurrente, et lui donnait encore plus de capacité pour détruire les formes de vies collaborantes qu'elle rencontrait, jusqu'à parvenir à les remplacer toutes par sa propre descendance, uniquement fondée sur la concurrence.

Commença alors le règne universel de la peur. La peur devint l'énergie qui alimenta les actes de tous. Chacun agit uniquement par peur, celle des autres. La peur fut et reste jusqu'à présent la motivation unique des agissements de tous. La peur se renforça perpétuellement de la peur, et chacun devint dépendant pour exister du sentiment de peur, sans lequel il se transforme en un pantin auquel on a coupé les fils qui le maintiennent et qui le font mouvoir. Il fallait avoir peur pour trouver l'énergie de vivre, et vivre eut pour but de ressentir le sentiment de peur.

C'est ainsi que s'établit sur la Terre , la concurrence comme mode d'être, comme détermination morale, et c'est le stade final de cette phase de l'histoire que nous subissons, soit la destruction générale de toute vie, destruction totale qui ne peut être que le seul aboutissement de la concurrence, où le vainqueur n'existe que par ses vaincus, et disparaît lui-même lorsqu'il n'y a plus rien à vaincre.

Ce qu'on nomme maintenant l'effet de serre, le réchauffement, n'est que le fruit de ce mode d'être concurrent, et rien ne pourra empêcher l'effet de serre de progresser, et d'aller en s'amplifiant, jusqu'à rendre rapidement toute vie impossible sur Terre, sinon l'abandon de la forme d'être concurrente. C'est de même cette forme d'être concurrente qui est la cause de la prolifération extraordinaire de l'humanité, des développements des maladies immunitaires et des cancers ayant pour origine l'empoisonnement massif de l'environnement dû à ce mode d'être.

L'aboutissement de la morale de la peur, de la concurrence qui est à l'origine de la peur, se nomme la morale génocidaire, morale qui domine l'humanité actuelle , et qui s'est particulièrement épanouie dans le monde occidental, lequel domine toute l'humanité, monde occidental dont la structure mentale, la colonne vertébrale psychique est le judaïsme, et son premier schisme : le christianisme, un schisme de continuation expansionniste, et à un degré infiniment moindre, l'islam, qui est le second schisme du judaïsme, un schisme d'opposition expansionniste.

Cette morale génocidaire judéo-chrétienne apparaît maintenant enfin clairement exprimée et extériorisée à la lumière du jour dans un texte dont l'importance est capitale.

C'est un texte de travail édité sur l'Internet par l'organisation EUMC ( European Monitoring Centre on Racism and Xenophobia ) ( http://www.eumc.eu.int ), l'une des multiples agences de propagande sionistes, celle-ci étant camouflée en organisation officielle de l'Union européenne.

Ce texte expose entre autres que c'est être antisémite et pour cela susceptible d'être poursuivi comme criminel en justice, si vous reprochez à l'Etat d'Israël de ne pas adopter une norme de comportement qu'on n'exige pas des autres Etats ( " Applying double standards by requiring of it a behavior not expected or demanded of any other democratic nation " ).

Cela signifie en fait, puisque la norme morale en Israël légitime le génocide du peuple Palestinien, que le génocide doit être la norme morale universelle ; norme génocidaire donc naturelle, qui existerait chez tous les autres peuples.

Le concept de génocide a été défini par son créateur, Raphaël Lemkin, un juriste juif polonais réfugié aux USA, en 1944, comme la disparition programmée d'une population, par la destruction de son identité en tant que peuple, destruction qui n'est pas forcément physique, mais de ses structures économiques et culturelles, de ses institutions sociales et politiques, de sa mémoire historique, de son langage, de la sécurité personnelle, de la liberté, de la santé, de la dignité, et même des vies des individus qui le composent, ce qui est la situation vécue par le peuple de la Palestine occupée par les envahisseurs colonisateurs juifs sionistes. Raphaël Lemkin prenait d'ailleurs comme exemple type, la colonisation de peuplement.

Mais à ces crimes se rajoute ce que n'avait pu imaginer Raphaël Lemkin, le fait que les Juifs sionistes effacent les traces matérielles de l'existence passée de leurs victimes en Palestine, et même, effacent de la mémoire et de la conscience des autres peuples, l'existence passée et présente du peuple de Palestine, en falsifiant l'histoire passée et présente de cette région.

De même, Raphaël Lemkin n'a pas imaginé que les génocideurs se feraient passer eux-mêmes pour les victimes d'un génocide, et terroriseraient le monde entier, en prenant cela pour prétexte pour criminaliser et poursuivre en justice tous ceux qui les dénoncent pour ce qu'ils sont, soit des authentiques génocideurs, et les plus accomplis d'entre-deux.

L'esprit de la définition de Lemkin transparaît dans la Convention de l'ONU du 9 décembre 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide, dans l'article 211-1 du code pénal français, et dans les articles 6, 7 et 8 traitant du génocide, des crimes contre l'humanité, et des crimes de guerre, développés dans les statuts de la Cour pénale internationale.

On se trouve, en ce qui concerne la Palestine , face à un crime contre l'humanité inédit, unique, incomparable et inouï, face à ce qu'on peut considérer comme la quintessence du génocide. L'étude du génocide de Palestine mène à la compréhension de l'origine même de l'idée de génocide.

En fait c'est la norme morale israélienne qui s'impose au monde entier. On en a la preuve à travers le texte de l'EUMC, norme morale qui légitime l'élimination d'autrui, en masse ou individuellement. La morale génocidaire devient donc par le fait du judéo-sionisme, la norme humaine unique universelle.

Cette norme d'idée sous-jacente à l'esprit judéo-chrétien craque enfin sa gangue épaisse d'hypocrisie constituée des " Droits de l'homme et du citoyen ", " Droits de l'homme et du citoyen " qui ne font qu'enrober le désir et la détermination de dominer, d'exploiter et d'éliminer tout autre que soi-même.

Il est important de remarquer que les autorités de L'Union Européenne n'ont pas à ce jour exprimé un démenti à ce texte de l'EUMC, qui à été présenté dans les médias en mai 2005 comme élaboré par l'administration de l'Union.

Le fait que l'ensemble des médias européens relaye depuis des années sans révéler sa véritable nature, les communiqués de l'EUMC, est la preuve que ces médias sont assujettis au mouvement sioniste dont l'EUMC n'est qu'une dépendance.

Il est de même important de relever la position du parquet de Paris, lequel a devancé la diffusion du texte de l'EUMC depuis des années, par la voix de l'actuel Procureur général près la Cour d'appel de Paris, M. Yves BOT, qui est l'ancien procureur de la République à Paris, à l'instar de l'actuel président de la 17 ème chambre du Tribunal de grande instance de Paris, le juge Nicolas Bonnal, 17 ème chambre qui est celle de la répression idéologique du régime actuel, M. Nicolas Bonnal ayant exprimé dans une ordonnance de jugement le 16 novembre 2004, portant condamnation pour antisémitisme et négationnisme, qu'il était diffamatoire d'accuser de génocide et de crimes de guerre les Juifs israéliens.

On peut voir là que la justice française est la justice extra-israélienne la plus parfaitement soumise au mouvement sioniste mondial. Ceci indique aussi la prédominance du mouvement sioniste dans le monde occidental, et plus généralement sur toute la planète, puisque l'Occident domine la planète.

La justice française est non seulement complice du génocide en cours de perpétration par les Juifs sionistes du peuple de Palestine, mais on peut dire que le fond de cette justice, et celui de la mentalité de ses magistrats, est génocidaire. Le juge du siège à Paris M. Nicolas Bonnal, le procureur général près la Cour d'appel de Paris M. Yves Bot, sont des propagandistes actifs de l'esprit génocidaire qui domine mondialement, au-delà de leurs actions en faveur du génocide de Palestine.

Le Palais de justice de Paris, qui sous le couvert du mot justice prône et propage l'idée de génocide en tant que morale et loi universelles, devrait être débaptisé et renommé : " Palais de la diffusion de l'esprit de génocide ".