Compte rendu révélateur de la manifestation du 23 septembre 2006, à Paris, Place du Châtelet, d’organisations faussement pro-palestiniennes et faussement pro-arabes, et en réalité sionistes et pro-israéliennes.

 

Une trentaine d’organisations véritablement pro-israéliennes ont manifesté samedi 23 septembre à Paris, soit-disant pour soutenir la résistance arabe contre les sionistes, au Proche-Orient, mais en réalité pour soutenir Israël, en interdisant toute vraie opposition en France, contre Israël par le moyen de l’encadrement des arabes et des musulmans en France.

La listes de ces associations est reproduite à la fin de ce texte, ainsi que deux réactions de vrais opposants à Israël, qui ont été jetés de la manifestation par le service d’ordre sioniste, en collaboration avec la police politique des renseignements généraux qui quadrillait la manifestation.
Ce qui frappe en voyant cette manifestation est le nombre d’organisations présentes et la petitesse du nombre de manifestants.

En effet, une trentaine d’organisations appelaient à cette manifestation, et il y avait environ 150 manifestants, soit environ 5 personnes par organisation, ce qui est ridiculement faible. Cela signifie que ces organisations ne sont plus que des coquilles vides, qui n’ont plus aucun rapport avec la population, et encore moins avec les arabes et les musulmans. Il n’y avait en effet environ qu’une trentaine de personnes d’origine arabe et musulmane dans cette manifestation. Cette inexistence en effectif est d’autant plus significative que ces organisations et cette manifestation jouissent des relais médiatiques de masse, soit sur l’Île de France (11 millions d’habitants) principalement des deux radios dites « libres », en réalité sous contrôle étatique : « Radio libertaire » qui est une radio pseudo anarchiste d’Etat, et « Fréquence Paris plurielle » qui est une radio tenue par les trotskistes sionistes gouvernementaux, et du site internet sioniste camouflé « paris.indymedia.org ».
Autre point évident, c’est que cette manifestation avait donné lieu à une intense et très coûteuse campagne d’affichage (constatée par exemple près de la Gare du Nord à Paris), avec des centaines de mètres carrés d’affiches collées, ce qui signifie que ces organisations qui sont pourtant dépourvues quasi totalement de militants, possèdent d’importantes capacités financières (contrat passé avec des entreprises privées de collage d’affiches), capacités qui ressortaient de plus par le matériel coûteux déployé lors de la manifestation même ( fanions sérigraphiés « de luxe » (en couleur et avec des écritures arabes, cela pour cette association tenue par des juifs (Bernard Ravenel président), qu’est l’AFPS, tracts sur papier épais et en couleur pour la LDH (Ligue des droits de l’homme), camionnettes, banderoles, hauts parleurs etc…).

La conclusion inévitable est que ces organisations sont financées directement ou indirectement par des appareils d’Etat.

Il est à noter que ces organisations n’ont jamais maille à partir avec la police et la justice, dont avec les chambres spécialisées dans l’inquisition antisioniste, dont les principales en France sont celles de Paris (17ème chambre en TGI et 11ème en cour d’appel ; juges principaux Bonnal, Sauteraud Trébucq), et celles de Versailles (6ème chambre en TGI juge ultra sioniste Philippe David, et 8ème chambre en cour d’appel).

Il est à noter que ces organisations sont soutenues par la presse dominante qui est entièrement sioniste. Ainsi l’AFPS (Association France Palestine Solidarité de Bernard Ravenel est accueillie dans les pages du Monde, la LCR (Ligue communiste révolutionnaire) par tous les journaux toutes les radios et toutes les télévisions de France, les « Femmes en noir » (militantes sionistes de la place de la Fontaine des Innocents aux halles à Paris 1er) dans le Parisien etc …

 

 

 

Le cas révélateur du service d’ordre de ces organisations

 

Ces manifestations qui ne font que simuler l’opposition au sionisme, et qui ne rassemblent plus que des fantoches, sont fortement encadrées par un service d’ordre à le fois privé et policier. Le service d’ordre policier est constitué par des éléments des Renseignements généraux, dont deux officiers connus de tous les habitués de ce milieu, celui subalterne qu’on surnomme « Centor », qui est un physionomiste, et celui de grade supérieur, qui dirige les opérations sur le terrain, connu sous le surnom de « Pégaz ».

La police des renseignements généraux collabore étroitement avec le service d’ordre privé, la première opérant le nettoyage que ne peut faire la seconde. Ainsi, lors de la manifestation du 23 septembre, Pégaz a préventivement fait incarcérer un militant iranien avant que ce dernier ne rentre en contact avec le service d’ordre privé qui n’aurait pu en venir à bout sans employer ouvertement la violence. Le service d’ordre privé et le service d’ordre public collaborent et se partagent les rôles.
Cela n’est pas étonnant que dans une précédente manifestation de masse, des policiers aient été vus avec des brassards de la CNT et de la LCR. On peut même légitimement se demander si le mélange des effectifs policiers et de la CNT-LCR n’est pas déjà officieusement effectif.

 

 

Exposé relatif au service d’ordre « privé ».

Le service d’ordre « privé » est constitué par la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), qui comme son nom l’indique en verlan (la langue à l’envers) , est une organisation chargée d’étouffer dans l’œuf l’opposition, et de la CNT (Confédération nationale du travail) sise au 33 de la rue de Vignoles à paris 20ème, qui n’est en réalité que la façade « libertaire » de la LCR. La LCR et la CNT ne sont que des organes policiers d’Etat camouflés en organisations contestataires. Les excroissances les plus connues de ces organisations sont le Scalp Réflex et Ras’l Front, dédiées à la lutte contre le fascisme. Ces organisations ne se justifient que par l’existence supposée de diables, dont celui du fascisme, alors que les fascistes, ce sont bien eux à notre époque (le fascisme actuel ayant pour nom sionisme). L’un des lieux de concentration de ces organisations est le CICP (Centre international de culture populaire), sis 21ter rue Voltaire à Paris 11ème.

Lors de cette manifestation, la structure ordinairement cachée de ce conglomérat est apparue en plein jour. En effet, les quelques-uns que nous étions (trois en tout), nous sommes vus entourés par une quinzaine de « nervis » au regard haineux, visiblement fanatisés, dirigés par un supposé dénommé Shimoun Attiah, ceci pour la première ligne, et venant derrière, deux sbires de la LCR, qui visiblement surveillaient l’ensemble.

Il est clair que la LCR, qui ne recrute que dans la bourgeoisie, et dont la vocation est de former des futures cadres pour le Parti socialiste, lequel est le parti le plus anciennement et profondément sioniste en France, n’a pas la capacité à former des bandes de nervis pour les « services d’ordre », services pourtant indispensables à l’existence de ce genre de manifestation, qui sinon seraient ridiculisées par les vrais opposants à Israël. La présence de ce « service d’ordre » fanatisé est la condition cruciale d’existence de ces manifestations, et au-delà, de l’existence même de ces organisations, qui sinon ne pourraient même plus simuler ces manifestations, et qui finiraient donc par devoir disparaître, malgré le renfort que leur apportent les médias officiels sionistes. La tâche de recruter ces nervis est celle de la CNT, qui quadrille elle dans les milieux d’exclus et de précaires.

Il faut là se rappeler que c’est dans cette mouvance d’extrême gauche que quadrille la CNT, qu’a eu lieu l’affaire Rey-Maupin, un couple de jeunes fanatiques qui en 1994 a assassiné un chauffeur de taxi malien et trois policiers.

Il faut avoir à la conscience que les bandes de nervis de la CNT-LCR, qui sont le dernier rempart des organisations faussement anti-israéliennes, sont constituées de gens très dangereux, bien plus dangereux que ceux du Bétar et de la LDJ, qui elles agissent visiblement sur commande et sont très encadrées. Ce que les sionistes attendent de la part des nervis de la CNT-LCR est le dérapage non contrôlé. Il suffit d’avoir vu leurs regards de haine pour en être persuadé. De plus, ces gens sont couverts par l’appareil officiel policier, et tout le monde a pu les voir converser familièrement avec les RG Pégaz et Centor. Leur chef, le pseudo Shimoun Attiah a été reconnu comme ayant dirigé plusieurs autres actions violentes.

A cette bande répressive musclée se joignent des vrais arabes ou des arabes qui se font passer pour tel, et dans tous les cas se disant anti-israéliens, comme par exemple Youssef Boussouma du CCIPPP (campagne civile internationale pour le peuple palestinien), et Walid Attalah, qui lui est palestinien.

Leur travail est celui de reprendre les mots d’ordre authentiquement pro-palestiniens, comme par exemple celui du droit au retour, en les dévoyant. Dans le cas du droit au retour des Palestiniens chassés en 1948, ce qui est un thème fondamental, Boussouma et Attalah ne précisent surtout pas où ces palestiniens réfugiés pourraient rentrer, ce qui signifie que l’option de retour dans les territoires occupés est implicitement envisagée, soit le retour dans des miettes de territoires, miettes qui vont en s’effaçant, ce qui signifie que le droit au retour prôné par Boussouma-Attalah est le droit de retour dans le néant, soit le droit de disparaître une fois pour toute.

Il est très facile de déconstruire la fraude intellectuelle de ce milieu sioniste camouflé en anti-sioniste. Leur principe unique est de reprendre les mots d’ordre antisionistes est de les vider de leur substance.

Ainsi, le pseudo Shimoun Attiah, le chef des nervis sionistes, a déclaré qu’il était lui aussi pour « un seul état pour tous », car ce mot d’ordre devient incontournable et qu’il faut donc devancer ceux qui l’énoncent, afin de le dévoyer. Il est prévisible que le pseudo Shimoun n’ira pas jusqu’à tirer la seule conclusion logique à ce slogan, qui est celle du démantèlement justifié et inévitable de l’Etat d’Israël, seule solution juste et humaine afin que la paix revienne au Proche-Orient, ce qui d’évidence arrivera un jour, et amènera la constitution d’une zone déconfessionalisée restant à imaginer concrètement au Proche-Orient, où chacun sans dinstinction jouira des mêmes droits.

De même le slogan « pour une paix juste », signe le caractère typiquement sioniste de ceux qui l’énoncent. En effet, il ne peut y avoir de paix juste tant que le criminel existera et jouira des fruits de son crime, soit de l’existence d’Israël. Il n’y aura ni paix ni encore moins de paix juste tant qu’existera Israël. L’Etat d’Israël n’a vu son existence que par la violence exercée par une population soutenue par les empires coloniaux et les banques occidentaux, sur une population colonisée donc maintenue dans l’impuissance, soumise, et démunie de toute force militaire, puissance financière et de tout soutien, ce qui seul a permis l’installation des sionistes en Palestine. La seule paix qui pourra avoir lieu sera lorsque cette installation aura pris fin, et alors seulement se posera le problème de l’organisation des populations en Palestine, problème qui ne peut trouver humainement sa solution que dans la constitution d’une zone unique déconfessionalisée, où tout individu jouira des mêmes droits, ce qui se résume dans le slogan « un seul état pour tous ».

Il est clair qu’il faudra faire avec la réalité de juifs à qui on a imposé l’émigration en Palestine, et d’arabes qui auront le droit de retourner sur leur terres natales, et qu’il faudra reconstruire et panser, penser une nouvelles organisation sociale. Comme il est clair qu’il faudra imaginer au-delà même de la Palestine, une confédération Proche-Orientale, telle par exemple celle de l’Union européenne. Tout cela doit être réfléchi, et doit se préparer, et cela dès maintenant.

Il est à noter pour finir que la Ligue des droits de l’homme et le Parti communiste étaient présents lors de la manifestation du 23 septembre 2006.

Ces deux organisations sont intrinsèquement sionistes. Le parti communiste russe était dirigé à l’origine par une majorité de juifs, et malgré l’apparence de ses prises de positions pro-arabes, a toujours été sioniste. Le vote à l’ONU en 1947, décidant du partage illégal de la Palestine, entérinant le droit de conquête, n’a été possible qua par l’accord de l’URSS.

En ce qui concerne toute la mouvance dite des « droits de l’homme », tels la LDH, le MRAP, la FIDH et autres, il faut savoir que les « droits de l’homme » ont été à l’origine à la fin du 19ème siècle, mis en avant par les juifs sionistes, qui se considéraient comme un peuple étranger vivant au sein de nations étrangères, afin de contrer l’inévitable conséquence logique de la possibilité d’expulsion que cette conception entraînait. Ces « droits de l’homme » ainsi mis en avant, ne servaient dans l’optique des juifs sionistes, qu’à garantir de toute réaction conséquente à la vision sioniste de la population juive, comme population étrangère, dont la ségrégation ou l’expulsion. Cette vision est donc par essence raciale, puisque le judaïsme dans ce cas est bien plus qu’une religion, mais signe l’appartenance à une race, à une nation à laquelle on est lié par le sang. Il faut bien comprendre que paradoxalement, ce qui fonde l’idéologie occidentale des droits de l’homme est le racisme. La ligue des droits de l’homme, le MRAP, sont en réalité des organisations au fondement raciste inavoué. L’universalisme des droits de l’homme occidentaux, n’est qu’une façade qui masque aux regards un exclusivisme, un élitisme, le racisme et la ségrégation.

 

 

Ce texte se clôt sur une anecdote révélatrice.

Au moment de quitter cette manifestation mascarade, qui était un vrai enterrement du peuple palestinien, dont ces organisations doivent cacher prioritairement le génocide en cours, manifestaions qui ne peuvent avoir lieu que sous la protection de la police politique française aux ordre des sionistes, et d’une bande de nervis pétris de haine, nous avons croisé une femmes arabe invectivant un couple d’habitués de ces manifestations, visiblement selon leurs vêtements à dominante noir, membres de la CNT. La femme arabe nous a pris à témoin en nous disant que l’homme de ce couple lui avait déclaré que la vision dans cette manifestation de femmes voilées, lui donnait l’envie de vomir. Cette femme arabe courageuse se tenait face à cette grosse brute inepte et lui déclarait que quand elle le regardait lui, c’était lui qui lui donnait envie de vomir. C’est vrai qu’il était très grand, très gros et très laid. Cet épisode résume à lui seul qui sont en réalité les gens qui organisent et participent à ce genre de manifestation. Ces gens ont des envies de vomir quand ils voient des arabes et de musulmans. Nous, ce sont ces gens qui nous donnent envie de vomir.

 

Nota 1 :

On a constaté la présence de drapeaux du Hezbollah au sein de cette manifestation, ce qui signifie que l’entreprise d’encadrement des sympathisants en France du Hezbollah, par ces organisations sionistes à déjà commencé. D’ailleurs, la présence de Youssef Boussouma lors de la manifestation pro-libanaise qui a eu lieu au Trocadéro fin août, sur le podium à côté de membres de Hezbollah, était déjà révélatrice. A ce sujet, on a pu constater que les quelques libanais présents lors de la manifestation du 23 septembre, étaient menés par un libanais chrétien très complaisant vis-à-vis de la CNT.

 

Nota 2 :

Dans le passé, on a constaté la communication étroite existante entre les nervis de la CNT et le MIB (Mouvement pour l’immigration et les banlieues), qui lui est en lien étroit avec les « Etudiants palestiniens en France » (GUPS). L’un des nervis de la CNT, en 1996, qui avait diffusé un texte délirant de haine et de prétention au sujet de la mère d’un militant révolutionnaire incarcéré à vie et très probablement manipulé par la police politique à l’époque dirigée par les socialistes, avait été recyclé au sein du MIB. Ce nervi typique de la CNT, connu sous le pseudo de « William », avait la particularité d’avoir une matraque télescopique en permanence sur lui, dépassant de la poche arrière de son pantalon. Névrotiquement, il jouissait visiblement dans les moments de violence. C’est ce genre d’individu qui se complaît comme le pseudo « Shimoun », au sein de la CNT.

 

Texte écrit par Michel DAKAR, et diffusé le 25 septembre 2006.


 

Annexe :

 

Message de Ginette SKANDRANI, suivi d’un communiqué de Bernard FISHER :

 

De Ginette SKANDRANI :

Je vous transmets ce message de Bernard Fischer.
Nous avons également été agressé pour la même raison par les
services d'ordre de la CNT et de la LCR qui nous ont interdit de
participer à cette petite manifestation car... nous étions liés à
Dieudonné, et que j'étais une amie de Serge Thion. Je suis restée
plantée sur le trottoir pendant que mes amis s'expliquaient avec
eux. Ils étaient extrêmement violents et haineux.
Je ne désire pas porter plainte, ils n'en valent pas la peine et puis
je n'aime pas tirer sur des ambulances.
Cette extrême gauche, en perte de combat et qui a trahi tous les
idéaux ne rassemble plus personne... juste quelques traînes savates
qui les les suivent encore. lle se sentent obligée, pour survivre, de
relancer la "chasse aux sorcières" avant de recréer "la grande
inquisition".

ginette

 

 

 

Communiqué de Bernard FISHER :

 

 

Camarades

Les manifestations parisiennes pour la Palestine posent de plus en
plus de problèmes. Vous trouverez ci dessous copie de ma plainte ce
jour devant le commissariat de la Rue Pierre Lescot.

L’an 2006, le 23 septembre à 16 heures 35,
Nous, E.B., sous brigadier de police, agent de police judiciaire
Etant au service
Constatons que se présente devant nous la personne ci-dessus
dénommée qui nous déclare
Ce jour, alors que j’allais participer à une manifestation de voie
publique organisée par des associations de solidarité pour la
Palestine, cinq individus du service de sécurité de la manifestation
ont tenté de m’agresser.
En effet, après avoir discuté avec un groupe d’amis, le service
d’ordre s’est approché de nous pour nous affirmer qu’il ne voulait
qu’on participe à la manifestation.
Ce groupe de la sécurité nous reprochait sans aucune preuve que
nous étions antisémites, à tort.
J’ai quitté seul alors la manifestation pour ne pas y participer et
le même groupe de la sécurité m’a suivi.
J’ai eu peur et j’ai couru.
Ils m’ont poursuivi et je me suis réfugié dans un bar/brasserie se
nommant le « Chat Noir » situé sur le boulevard Sébastopol.
Ces cinq individus m’ont alors attendu devant le bar.
Ensuite, une autre personne s’est présentée à moi à l’intérieur du
bar comme étant policier et m’a demandé de lui présenter ma carte
d’identité en présentant sa carte de service.
Je lui ai alors présenté ma carte nationale d’identité.
Il m’a alors affirmé qu’après discussion avec le groupe de la
sécurité de la manifestation, je pouvais sortir et rentrer chez moi.
Je suis alors sorti avec le policier en civil et les personnes de la
sécurité étaient déjà parties.
Je dépose plainte pour ces faits contre personnes inconnues.
Je souhaite me constituer partie civile

Bernard Fischer.

 

Extrait du site http://www.aredam.net , relatif à cette manifestation :

IMPORTANT, A DIFFUSER LARGEMENT
Site internet http://www.aredam.net

Il est temps de dévoiler le lobby pro-israélien de gauche :
Manifestation d'organisations pro-israéliennes à Paris,
le 23 septembre 2006

Voici le texte invitant à une manifestation sioniste, d'organisations françaises d'encadrement de l'opposition à Israël. Ce texte est a été tiré du site sioniste "paris.indymedia.org".
Il s'agit pour ces organisations, qui se présentent comme défendant les Palestiniens et plus largement les arabes, et pour une paix "juste", d'interdire toute contestation de la légitimité de la création et de l'existence d'Israël, et d'interdire de parler de génocide en ce qui concerne les Palestiniens. Il s'agit aussi de cacher l'existence d'une vraie résistance à Israël au Proche-Orient, comme celle du Hamas et du Hezbollah, comme d'écarter l'éventualité de la solution d'un seul état pour tous à égalité de droit quelle que soit la confession, en Palestine.
Cette manifestation a le mérite d'agglomérer la quasi totalité de toutes les organisations de défense d'Israël, déguisées en défenseurs des Palestiniens et des arabes en général (il manque la CAPJO de Lutte Ouvrière).
Texte paru sur le site crypto-sioniste "paris.indymedia.org" :

Manif Palestine 23/9 / 2006 15h30 Chatelet/Paris
Les organisations suivantes membres du « Collectif National pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens » appellent à manifester le samedi 23 septembre :
A 15h30 PLACE DU CHATELET
Signataires :
Les Alternatifs,
Alternative citoyenne,
Association de défense des droits de l'Homme au Maroc (ASDHOM),
Association France-Palestine-Solidarité (AFPS),
Association pour la taxation des transactions financières et l'aide aux citoyens (ATTAC),
Association des travailleurs maghrébins en France (ATMF),
Campagne civile internationale pour la protection du peuple palestinien (CCIPPP),
Centre de recherches et d'initiatives de solidarité internationale (CEDETIM),
Collectif Paix-Palestine-Israël de Saint-Denis (CPPI),
Collectif Faty Koumba (CFK),
Comité de vigilance pour une paix réelle au Proche-Orient (CVPR),
Coordination des groupes femmes " Egalité ",
Courneuve-Palestine, Fédération syndicale unitaire (FSU),
Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR),
Femmes en noir,
Ligue communiste révolutionnaire (LCR),
Mouvement pour une alternative républicaine et sociale (MARS),
Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP),
Mouvement de la paix,
Parti communiste français (PCF),
Parti communiste des ouvriers de France (PCOF),
Une autre voix juive (UAVJ),
Union générale des étudiants de Palestine (GUPS-France),
Union juive française pour la paix (UJFP),
Union syndicale Solidaires, les Verts.
Avec le soutien de :
Al-Ghadir, Alliance for freedom and dignity (AFD),
Collectif des membres de la Société Civile Libanaise en France,
Fédération des associations des travailleurs et des jeunes (DIDF),
Parti communiste libanais (PCL),
Présence et spiritualité musulmanes (PSM).
Dans le cadre de la « Semaine Européenne Contre la Guerre » et de la « Journée Internationale pour la Paix »
A l'Appel du « Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens »
MANIFESTATION SAMEDI 23 SEPTEMBRE
A 15h30 PLACE DU CHATELET
Non à la logique de guerre israélo-US au Moyen-Orient
Retrait d'Israël de tous les territoires occupés !
Dans leur volonté de domination de cette région stratégique, jusqu'à quelle escalade guerrière les USA - avec Israël, puissance nucléaire - entraîneront-ils le monde ?
L'agression militaire israélo-US au Liban a provoqué plus d'un millier de morts, plus d'un million de réfugiés (un quart de la population libanaise !), la destruction massive d'habitations, d'infrastructures vitales, une catastrophe humanitaire et écologique.
Simultanément en Cisjordanie et à Gaza, Israël poursuivait les assassinats de civils - plus de 200 morts en deux mois - les enlèvements d'élus et de ministres du gouvernement palestinien démocratiquement élu.
Sous l'impulsion des USA, Israël commet des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité, une nouvelle fois, en toute impunité. Israël doit être sanctionné pour mettre un terme à la logique de guerre.
Il n'y aura pas de paix dans la région tant qu'Israël bafouera le droit international, aussi longtemps qu'Israël refusera de respecter les droits nationaux du peuple palestinien. C'est la condition absolue pour qu'Israël puisse vivre en paix avec ses voisins.
En 2002 la Ligue Arabe a proposé, une fois de plus, un règlement global en ce sens. Israël l'a rejeté.
Nous exigeons :
l'arrêt immédiat des agressions israéliennes en Palestine ;
des mesures de réparation et d'indemnisation à verser au Liban et à la Palestine par Israël ;
des poursuites judiciaires pour condamner les crimes de guerre et contre l'humanité commis par l'armée israélienne au Liban et en Palestine ;
l'arrêt de la coopération militaire entre la France et Israël ;
la suspension de l'accord d'association entre l'Union Européenne et Israël, conformément au vote du Parlement Européen en 2002 ;
la libération par Israël de tous les prisonniers ;
la libération immédiate des élus et ministres palestiniens kidnappés par Israël ;
le retrait de l'intégralité des territoires occupés par Israël depuis 1967, tant en Palestine qu'au Liban et en Syrie, et le démantèlement de toutes les colonies israéliennes ;
le démantèlement du mur d'annexion - en application de l'avis de la Cour Internationale de Justice de La Haye - érigé illégalement par Israël en territoire palestinien ;
le reversement inconditionnel par Israël des taxes douanières dues aux Palestiniens ;
le rétablissement de toutes les aides européennes précédemment allouées à l'Autorité palestinienne ;
la tenue d'une Conférence internationale sous l'égide de l'Assemblée Générale de l'ONU afin de résoudre les conflits au Proche-Orient sur la base des Résolutions des Nations unies, un Etat Palestinien souverain sur les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est pour capitale et le droit au retour des réfugiés.


Voir aussi les fichiers sur le site "aredam.net" :


16 septembre 2006,
Apprenons à connaître et à comprendre nos faux amis : les cas du réseau informatique d’information « INDYMEDIA » et de Patrice BARDET, ou, le terrorisme sioniste à visage humain, ou, la haine sous le masque de l’amour.
Lire le texte.

12 septembre 2006,
Le magicien Dieudonné dévoile les faux amis du peuple.
Richard MOYON a violemment agressé Dieudonné qui défilait avec les personnalités en tête de la manifestation de soutien aux expulsés de Cachan, qui a eu lieu à Paris, samedi 9 septembre 2006, entre République et Saint Augustin. Dieudonné a été brutalement projeté hors de la manifestation, par les gorilles de la LCR menés par Richard MOYON, qui ont de plus répandu sur le cortège un gaz toxique au Chlore. Qui est ce Richard MOYON ? ....
Texte suivi d'un exposé sur les "amis du peuples".
Lire l'ensemble.