Eléments d'hygiène mentale :

Apprenons à connaître deux de nos faux-amis préférés :

La CAPJO, et son site Internet europalestine.org, et ...

Amnesty international,

deux organisations crypto-sionistes, qui trompent, qui trompent comme l'éléphant, énormément.

Arrêtons d'être pris pour des couillons, par ces deux baudruches.

Par Michel DAKAR, chercheur en droit humain psycho-analytique anti-nauséabond.

 

 

1 - Le cas de la CAPJO.

Comprendre ce qu'est la CAPJO, qui est en façade une organisation pro-palestinienne, qui est tenue par des juifs, est simple : il sont là pour accréditer qu'on peut être antisioniste et en même temps entériner le vol de la Palestine et l'éviction des populations indigènes de cette terre, par les Rothschild et les anglais en 1920, et l'ONU sous la domination sioniste en 1947. Ils sont là pour aussi récupérer les juifs de gauche effrayés par les organisations de droite, comme le CRIF, le Bétar et la Ligue de défense juive. Les gens du CAPJO sont des faux antisionistes, des faux pro-palestiniens. Il ne servent qu'à faire admettre qu'il existerait un sionisme honorable, et que l'évidence du sionisme qu'on constate en Israël, ne serait qu'un dévoiement du sionisme, un dérapage, que cela va s'arranger. On reconnaît ce type d'antisioniste frauduleux, par le fait que le slogan "Un seul état pour tous" (en Palestine, mélant à égalité de droits juifs et non-juifs), leur fait l'effet d'un verre d'eau bénite projeté à la face d'un vampire.

"Le seul état pour tous" est d'ailleurs le test fatal pour savoir qui est atteint de sionisme et qui ne l'est pas. Dans le même ordre d'organisations faussement pro-palestiniennes, mais en réalité sionistes pures et dures, on trouve les fameuses "Femmes en noir", l' "Association France Palestine Solidarité", et le "CCIPPP" (parmis bien d'autres - ce fromage étant particulièrement bien nourrissant pour les petits politicards parisiens).

En fait, toutes les organisations pro-palestiniennes qui ont pignon sur rue à Paris, sont toutes des organisations sionistes, tenus par des juifs, ou des arabes de type psychologiquement "harki", et toutes sont des tentacules des partis trotskiste ou communiste, qui eux sont des organisations pro-sionistes de la toute première heure.

 

Au suivant !

 

2 - Notre camarade Amnesty International, ou le fleuron occidental de l'imposture.

 

Le cas Amnesty International est bien plus vicieux. C'est même un monument mondial du vice, un cas d'école, qu'on doit enseigner aux élèves des instituts internationaux de manipulation politique et de guerre psychologique.

 

Amnesty International fut fondée en pleine guerre froide, officiellement par un avocat anglais, très proche des milieux diplomatiques, soit très proche des services secrets occidentaux.

Immédiatement, Amnesty International bénéficia pour son lancement de la publicité des principaux journaux américains, tous tenus par les sionistes.

Dès le départ, les vieux militants pensèrent qu'Amnesty International était une création de la CIA.

Amnesty International est à l'image de la Déclaration des droits de l'homme que les "socialistes" français imposèrent affiche dans tous les commissariats. soit une pure opération de propagande.

Amnesty International produit annuellement des rapports de surveillance des droits de l'homme, sur tous les pays du monde, dont les pays occidentaux. Mais ce qui est utile réellement dans ces rapports, ce sont ceux ayant traits aux pays ennemis des occidentaux. Ces rapports sont utilisés comme moyen de chantage, de pression, lors des marchandages d'Etat à Etat, entre pays occidentaux et pays dominés par eux. Quant à l'impact de ces rapports sur les pays occidentaux eux-mêmes, il est nul, car ce sont ces derniers qui commandent à la planète, et leurs gouvernements n'ont rien à craindre de plus puissants qu'eux, qui se serviraient de ces rapports pour les menacer de représailles ou de rétorsions économiques.

Amnesty International possède la structure d'une quasi secte.

Toutes les liaisons entre ses membres doivent passer par le sommet. Il n'y existe pas de liaison horizontale, que cela soit intérieure à chaque pays ou au niveau international.

De plus, chaque section nationale ne peut s'occuper du cas d'un prisonnier politique de sa propre nation, soit du contexte qu'elle connaît le mieux. Une section nationale ne peut s'occuper que du cas d'un prisonnier politique d'une autre nation. C'est la meilleure façon de diviser, de conserver étranger à une cause, qu'on ne peut connaître réellement en profondeur, dont on ne peut évaluer les tenants et aboutissants, et qu'on ne connaît que par ce que le centre de commandement d'Amnesty International juge bon de vous faire connaître. Cette méthode de ne s'occuper que de ce qui est à l'étranger, bien sûr sous le prétexte de la sécurité des membres d'Amnesty International, est idéale pour toutes les manipulations, et la désinformation.

De plus, toutes les actions sont décidées par le centre mondial situé à Londres, comme c'est Londres qui décide du choix des prisonniers politiques à aider.

Amnesty international décide ainsi qui est un "bon" prisonnier politique, une "bonne" victime, une victime "méritante", et qui mérite d'être "sauvée", de qui est un "mauvais" prisonnier politique, qu'on n'aidera pas, et qu'on peut laisser crever, et torturer. C'est à dire qu'Amnesty International décide de qui est un "bon" opposant et de qui est un "mauvais" opposant, soit de la manière dont on doit lutter contre une dictature. On va voir que la manière choisie comme bonne par Amnesty International, ne risque pas de bouleverser l'ordre des choses, et que le fond de l'action d'Amnesty International est donc de préserver les dictatures, et donc la torture qui va avec.

Amnesty International a pour critère premier du bon prisonnier politique, la non-violence. Un bon opposant à toute dictature, est l'opposant non-violent, c'est à dire l'opposant inefficace, inoffensif, qui ne menace pas la stabilité de la dictature, un opposant d'apparence. Il est vrai que la majorité des dictatures dans le tiers-monde, sont commandées en sous-main par les occidentaux. Autant dire qu'Amnesty International préserve les dictatures et donc l'intérêt des occidentaux, et ne lutte qu'en apparence contre la torture, qui est son objet favori de dénonciation et de prédilection, son "produit d'appel" médiatique et passionnel, pour attrapper les sous des gogos occidentaux culpabilisés par le reproche qu'Amnesty leur fait de ne rien faire, et alors de plus qu'ils ont les poches pleines.

Pour finir, évidemment, comme dans toute entreprise d'embrigadement, il est fortement déconseillé à un membre nouveau d'Amnesty International de ne pas intégrer un groupe local, et d'agir seul à partir de la documentation que lui envoie Amnesty International. Rester seul est en effet dangereux, car celui qui reste seul peut réfléchir seul, et prendre conscience de ce qu'est Amnesty international.

On retrouve les dirigeants nationaux d'Amnesty International dans les instances de direction des organisations internationales où ils poursuivent une carrière grassement défrayée (salaires platureux non-imposables, logements de standing et frais de déplacement pris en charge, indemnités d'éloignement etc ... des salaires de PDG), comme à l'ONU, dont on sait la totale inféodation aux américano-sionistes. C'est le cas de son ancien dirigeant en France.

L'évènement révélateur de la réalité d'Amnesty international comme agent répressif employé au maintien de l'ordre sioniste et occidental dominant la planète, fut la conférence de Durban en Afrique du sud qui eu lieu début septembre 2001, où les pays du tiers-monde, résistant aux pressions occidentales, votèrent un texte condamnant le sionisme et l'Etat d'Israël comme formes du racisme et de l'apartheid, ainsi que la colonisation de l'Afrique comme un crime contre l'humanité. Face à ces horreurs criantes de vérité, et banales pour tous, ce fut l'instant de vérité pour tous ces imposteurs crapuleux que sont la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH - France, liés aux services secrets français), Amnesty International (AI - Angleterre ? ou USA ? ou Etat d'Israël ? ou CIA) et Human wrights watch (HRW - USA - constitué d'ex diplomates américains, donc liés à la CIA), qui avec l'Etat d'Israël et les USA prirent la poudre d'escampette, la queue entre les jambes, sous les huées. Ce souvenir est inoubliable, aussi, ne l'oublions pas.

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