Copie commentée de la 4ème page de couverture de l'oeuvre de Didier Daeninckx :

[Les lignes en noirs sont d'origine, les lignes en bleues sont l'interprétation, Didier Daeninckx étant trop modeste et réservé pour imposer ainsi sa vie au public]

"Didier Daeninckx, itinéraire d'un salaud ordinaire" par Didier Daeninckx.

Clément Duprest, brillant étudiant en droit, intègre la police nationale en 1942.

Faute de mieux, Didier Daeninckx, médiocre écrivain sans talent, mais paresseux et désirant quand même gagner beaucoup d'argent et facilement, intègre la police de la pensée siono-communiste en 1970.

Contrairement à certains de ses collègues, Duprest ne "fait pas de politique" : il va se contenter de mettre au service de ses patrons son intelligence et son sens de l'observation.

Contrairement à certains de ses collègues des autres services de guerre psychologique sionistes, Didier Daeninckx n'a pas beaucoup d'intelligence ou d'autres capacités à mettre à la disposition de ses patrons. Il se rattrappe en acceptant de faire tout ce que ses collègues refusent de faire.

Au sein de la "brigade des propos allarmistes" (sic, si, si, c'est bien ça qui est écrit), il est chargé de repérer et de neutraliser les individus hostiles à Vichy ... (les points de suspension sont aussi d'origine).

Au sein du Groupement de répression des intellectuels non-conformistes, il est chargé de harceler les individus opposés aux sionistes et à l'Etat d'Israël ...

Ainsi commence la longue carrière d'un fonctionnaire que certains diraient irréprochable.

Ainsi commence laborieuse carrière d'un factotum, que certains disent d'un ennui insupportable.

Duprest sera mêlé au cours de sa vie, à nombre d'évènements qui ont marqué la chronique.

Daeninckx vivra par procuration, dans la peau de personnages immaginaires et dans le passé.

Didier Daeninckx à travers les faits et gestes quotidiens d'un salaud tout à fait ordinaire, nous invite à revisiter quarante ans d'histoire française, depuis la rafle du Vel d'Hiv jusqu'à la candidature de Coluche à l'élection présidentielle de 1981 : Occupation, Libération, décolonisation, affaires politico-mafieuses, mouvement étudiants, grêves ouvrières, répression policière ...

Didier Daeninckx à travers un personnage de salaud imaginaire qui lui permet de se fuir, et à travers des évènements spectaculaires et sans profondeurs, des trompes l'oeil, des distractions, comme les affaires politico-maffieuses, les candidatures de comiques professionnels du show bizness à la présidence de la République, les révoltes étudiantes factices encadrées par les matons trostko-anarcho-sionistes du régime, nous écarte de l'histoire réelle, telle que la fausse décolonisation du Tiers Monde, le génocide de Palestine, les rebellions ouvrières brisées par les syndicats communistes du PCF, et autres.

Comme dans Meurtres pour mémoire , le savoir-faire du romancier s'appuie à la fois sur une analyse très fine des comportements humains et sur une multitude de détails véridiques, qui rendent captivante cette traversée du dernier demi-siècle.

Comme pour l'éditeur, à qui les chefs du service sioniste de guerre psychologique ont imposé Didier Daeninckx, il faut pour continuer à exister, que ce bouquin se vendent un minimum, on a payé un pauvre type pour faire cette post face, et tartiner cet éloge, le malheureux, lui aussi doit vivre et se farcir ce genre de prose. On le plaint.

Né en 1949, Didier Daeninckx a publié une quarantaine de romans et recueils de nouvelles, ainsi que des ouvrages en collaboration avec des dessinateurs comme Jacques Tardi ou des photographes comme Willy Ronis.

Né en 1949, Didier Daeninckx a été utilisé comme fantoche dans une quarantaine d'ouvrage de guerre psychologiques par les services sionistes, auquels ont collaborés d'autres fantoches.