Luttons contre la délation et les délateurs, aidons les à se réformer, et accéder à la joie et au bonheur.

Voici un exemple de cette lutte hygiéniste indispensable, par une lettre adressée au Procureur de la République à Paris.

Ce fichier est aussi un appel public pour qui connaît la personne qui a porté plainte à mon encontre, plainte que le Procureur a classé sans suite. Je désire contacter ce plaignant, qui est anonyme pour le moment, à la fin de lui venir en aide, dans la mesure de mes possibilités, pour qu’il ne reste pas dans son état de frustration qui ne peut que le rendre peu à peu gravement malade. Je désire sincèrement le soigner. Qu’il se fasse connaître spontanément en écrivant à :
E.D.E. - B.P. 324 - 75868 Paris Cedex 18, avant que cette affaire ne gravisse tous les échelons de l’appareil judiciaire, jusqu’à la Cour européenne des droits de l’homme.

 

De : Michel DAKAR,

A : M. le Procureur de la République à Paris, Jean-Claude MARIN

Paris, le 24 mai 2006

 

LRAR n° 1925 4909 9 FR

 

Objet : votre courrier daté du 9 mai 2006, (copie jointe à cette lettre).

 

Monsieur,

Par votre courrier daté du 9 mai 2006, vous m’informez que vous avez classé sans suite une « enquête diligentée » contre moi-même, relative à une « procédure » dont « l’examen » « n’a pas démontré l’existence d’une infraction ».

Ce courrier émanant de votre service « A4 Presse », dit des « Libertés publiques ».

J’ai le droit d’être informé de la cause de cette enquête, soit du contenu de la plainte à mon encontre qui l’a motivée, de l’auteur (identité détaillée et adresse) de cette plainte, de la date de cette plainte, et à cette fin, je vous prie de m’adresser, soit un compte rendu détaillé et complet, comportant ces informations, soit de me communiquer la copie de cette plainte.

L’article 6, de la « Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales », dispose que toute personne doit être informée de la nature et de la cause de l’accusation portée contre elle, et ce, d’autant plus, que cette accusation se révèle, selon le Ministère public, infondée, soit relève de la délation, de l’intention de nuire.

Je reconnais votre intégrité à me signaler qu’un acte de nuisance, de délation à mon encontre, n ‘a pas retenu votre attention, et attends le complément logique de votre courrier du 9 mai 2006, non pour moi-même poursuivre l’auteur de cet acte de nuisance (tiens pour innover, en procédure en civile en réparation pour dommage, … non je ne le ferais pas, c’est promis, quoique dans l’intérêt de l’innovation procédurale et de la lutte contre la délation … car cela obligerait le procureur à me fournir tous les éléments d’information que je lui demande …), mais pour en faire état publiquement.

Je vous prie de recevoir, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

M. DAKAR

P.J. : 1

Fichier internet : http:// www. aredam.net / delation-x.html