Echanges de correspondance entre M. Henri Lewkowicz, un être épris de vérité, et un esprit libre, et diverses personnes, sur des sujets divers.

 

De : Henri Lewkowicz
CENSURE
CENSURE - CENSURE

A : CENSURE, le 22 novembre 2002. à Monsieur CENSURE et Madame CENSURE

Madame, Monsieur,

ça m'a fait plaisir de discuter quelques instants avec vous l'été dernier sur la route de CENSURE.

Cependant, réflexion faite, comme vous faites partie de la famille de CENSURE, je ne vous fais pas confiance.

Je vous demande donc de ne plus m'adresser la parole si vous me rencontrez.

J'espère, d'ailleurs, ne plus jamais vous rencontrer.

Concernant CENSURE, CENSURE et CENSURE, deux observations :

1) ces trois messieurs se sont précipités le 17 mai 2000 pour soutenir Georges Mathis devant la 17ème Chambre ; les amis de Georges Mathis ne sont pas mes amis.

2) ces trois messieurs ont pris publiquement position CONTRE la loi Gayssot, et chaque fois qu'ils ont un procès ils REFUSENT de dire qu'ils sont INNOCENTS vis-à-vis de la loi Gayssot ;
les ennemis de la loi Gayssot sont mes ennemis.

Pour ces deux raisons, je ne veux plus aucun contact d'aucune sorte avec ces trois messieurs.

Concernant la loi Gayssot, deux observations :

1) lorsqu'ils ont un procès, les révisionnistes REFUSENT de dire qu'ils sont INNOCENTS vis-à-vis de la loi Gayssot,

2) et à ces procès, les avocats de la défense des révisionnistes REFUSENT de dire que leurs clients sont INNOCENTS vis-à-vis de la loi Gayssot.

Dans ces conditions, le mensonge des "CENSURE à CENSURE" n'est pas près de s'effondrer, mais bien au contraire, il a encore de beaux jours devant lui, et je ne serais pas étonné de le voir croître et embellir dans les prochaines années.

Et naturellement, certains diront que c'est la faute des Juifs. Contre-vérité monstrueuse.

Les Juifs ne sont pas responsables de la connerie d'une bande de Goys révisionnistes qui REFUSENT de dire qu'ils sont INNOCENTS vis-à-vis de la loi Gayssot.

Et les Juifs ne sont pas responsables de la connerie de quelques avocats Goys qui REFUSENT de dire que leurs clients sont INNOCENTS vis-à-vis de la loi Gayssot.

Vous pourriez objecter à ce qui précède que la plupart des avocats qui plaident CONTRE les révionnistes sont des Juifs.

C'est parfaitement exact.

Mais, ce ne sont que des avocats, ce ne sont que des plaideurs, et les plaideurs ne sont pas responsables des décisions des juges. Or, sauf erreur de ma part :

TOUS les juges qui ont prononcé des condamnations au titre de la loi Gayssot, ce sont TOUS des Goys, ce sont TOUS des mangeurs de cochons, et les avocats juifs ne sont pas responsables des injustices commises par ces magistrats mangeurs de cochons.

Ces injustices, d'ailleurs, ne sont pas dénoncées par les révisionnistes qui sont victimes de ces condamnations injustes parce que, justement, ils REFUSENT de dire qu'ils sont INNOCENTS vis-à-vis de la loi Gayssot.

Et ces injustices ne sont pas non plus dénoncées par les avocats de la défense des révisionnistes parce qu'ils REFUSENT de dire que leurs clients sont INNOCENTS vis-à-vis de la loi Gayssot.

Le fait d'aborder la question du caractère injuste des condamnations prononcées au titre de la loi Gayssot amènerait automatiquement à soulever la question de l'INNOCENCE des personnes condamnées au titre de la loi Gayssot, et cela, les révisionnistes et leurs avocats s'y REFUSENT avec une obstination qui laisse pantois !

Ainsi, la situation est complètement bloquée, et tout le monde est content ! ! ! sauf moi, bien entendu.
Finalement, les révisionnistes méritent une décoration israélienne en récompense de leur REFUS acharné de dire qu'ils sont INNOCENTS vis-à-vis de la loi Gayssot.

Et les avocats des révisionnistes méritent également une décoration israélienne en récompense de leur obstination sans borne dans le REFUS de défendre leurs clients révisionnistes, c'est-à-dire le REFUS de dire que leurs clients révisionnistes sont INNOCENTS vis-à-vis de la loi Gayssot.

Lors de mon procès, en l'an 2000, dans le milieu révisionniste : personne, personne, absolument personne ne m'a dit que j'étais INNOCENT vis-à-vis de la loi Gayssot, et je ne serais pas étonné que certains aient dit que ma condamnation c'était bien fait pour ma gueule.

Aussi, maintenant, à l'égard des révisionnistes, j'ai la haine, la haine, tout simplement la haine.

H. LEWKOWICZ

 

De : M. CENSURE

A : Monsieur Henri Lewkowicz,

CENSURE
CENSURE CENSURE

2/12/02

 

Mais moi je vous crois ! Cher Monsieur.

Simplement je n'arrive plus à retrouver le raisonnement astucieux, que vous aviez esquissé et qui, je pense, prouvait effectivement que les révisionnistes étaient innocents vis-à-vis de la loi Gaussot !

J'ai cherché, cherché ...

Je me souviens que vous insistiez sur le mot "existence" mais je n'arrive pas à retrouver le fil. Et c'est bien pour ça que je vous avais demandé d'avoir la gentillesse de me l'expliquer par écrit. Je regrette que vous me jugiez sans me connaître : CENSURE c'est CENSURE, et moi c'est moi.

J'aimerais tant retrouver votre raisonnement ...

Avec mon bon souvenir et celui de mon mari.

CENSURE

 

Annexe - 1 :

Concernant votre ami le CENSURE, poursuivi pour apologie de crime de guerre, 2 observations :

1) article 111-3 du Nouveau code pénal
Citation : Nul ne peut être puni pour un crime ou un délit dont les éléments ne sont pas définis par la loi.

Dans le délit d'apologie de crime de guerre, un des éléments est "le crime de guerre".

Question : quel est le texte de loi qui définit le crime de guerre ?

Sauf erreur de ma part, le législateur français n'a voté aucun texte de loi qui définit le crime de guerre.

2) On peut m'objecter à ce qui précède qu'il y a le statut du tribunal militaire international annexé à l'accord de Londres du 8 août 1945, publié au journal officiel le 7 octobre 1945, et dont l'article 6 b définit le crime de guerre.

Sauf erreur de ma part, ce texte n'a pas été voté par le législateur.

Ce n'est donc pas un texte de loi.

Si ce qui précède est exact, un des éléments du délit d'apologie de crime de guerre n'est pas défini par la loi, et si tel est le cas, du point de vue strictement judiciaire, l'accusation portée contre le CENSURE ne tient pas la route.

Quant à l'aspect historique de la question, si jamais il y a un procès, il est à souhaiter que le CENSURE aura l'intelligence de rappeler au tribunal qu'il a un diplôme d'ingénieur chimiste, et qu'il expliquera de façon scientifique qu'il n'existe aucun gaz qui, après avoir été mis dans une caisse, peut faire fondre deux cloches, défoncer une toiture, faire tomber une voûte, et tuer plusieurs centaines de personens.

La pierre angulaire du mensonge de CENSURE c'est la caisse à gaz.

Si la caisse à gaz s'écroule,

Tout s'écroule.

Parallèlement, et de façon surprenante, la pierre angulaire du mensonge de CENSURE

c'est la "CENSURE à CENSURE"

Si la "CENSURE à CENSURE" s'écroule,

TOUT s'écroule

mais ce n'est pas demain la veille,

surtout avec des révisionnistes qui REFUUUSENT de dire qu'ils sont innocents vis-à-vis de la loi Gayssot

c'est vraiment une bande de cons pour laquelle j'éprouve un profond sentiment de haine.

 

H. LEWKOWICZ

QUELQUE S EXPLICATION S

1°) Lettre à M. et Mme CENSURE.

Mme CENSURE est la soeur de CENSURE.

M. CENSURE est le beau-frère de CENSURE.

CENSURE est un village qui se trouve à environ 10 km de CENSURE.

Concernant l'affaire Mathis du 17 mai 2000, bien que je ne connaissais pas M. Georges Mathis et que je n'avais jamais vu M. Georges Mathis, sans me prévenir et, naturellement, sans me demander mon accord, CENSURE et CENSURE ont donné mon nom et mon adresse à M. Mathis afin que M. Mathis me cite comme témoin dans une affaire où je n'avais rigoureusement rien à voir et dont j'ignorais tout, et dont j'ignore tout encore aujourd'hui parce que tout le monde a refusé de me dire de quoi il s'agissait.

L'huissier qui m'a apporté la citation à comparaître comme témoin a senti quelque chose de pas clair, et cet huissier m'a demandé si j'avais travaillé au journal "Le Réverbère", (journal de M. Mathis, ce journal ne paraît plus). Je lui ai répondu "non". Alors l'huissier m'a demandé si j'avais vendu le journal "Le Réverbère". Là aussi, je lui ai répondu "non". L'huissier a compris et il n'a pas insisté.

J'aurais du préciser à l'huissier que non seulement je n'ai jamais vendu le journal "Le Réverbère", mais en plus, je ne l'ai jamais acheté, et je n'ai jamais eu entre les mains un exemplaire de ce journal.

Ainsi, CENSURE et CENSURE m'ont fait une belle vacherie un mois avant la deuxième audience de mon procès qui était fixée au 15 juin.

J'ai été tellement écoeuré par cette vacherie de la part des deux révisionnistes que je considérais comme mes meilleurs amis que je ne me suis pas présenté à l'audience du 15 juin, et lorsque j'ai été condamné le 7 septembre suivant, je n'ai pas fait appel, et depuis ce moment-là, j'ai arrêté toute activité révisionniste.

2°) Réponse de Mme CENSURE à la lettre précédente.

Concernant le mot "existence", j'ai effectivement insisté sur ce mot parce que M. CENSURE avait dit que la loi Gayssot interdit de "contester les crimes contre l'humanité".

En parlant ainsi, M. CENSURE a fait une citation tronquée du texte de la loi Gayssot : il a supprimé un mot très important, il a tout simplement supprimé le complément d'objet direct du verbe "contester".

En effet, dans le texte de la loi Gayssot, le complément d'objet direct du verbe "contester" est le mot "existence", mot que CENSURE n'avait pas prononcé, ce qui, à mes yeux, est une très grave omission.
La loi Gayssot interdit de contester l'EXISTENCE des crimes contre l'humanité. L'objet de la contestation doit être l'EXISTENCE.

Ainsi, contrairement à ce qu'a écrit dans sa lettre Mme CENSURE, je n'ai pas fait un "raisonnement astucieux", j'ai simplement demandé à M. CENSURE de citer le texte de la loi Gayssot de façon précise.

3°) Lettre à un ami de CENSURE.

J'ai écrit cette lettre quelques jours avant le procès de CENSURE à CENSURE pour sa cassette révisionniste de CENSURE.

J'aurais pu me rendre à ce procès, mais comme depuis l'affaire Mathis, CENSURE n'est plus mon ami, je n'y suis pas allé.

Dans cette lettre j'ai écrit "CENSURE" parce que CENSURE habite à CENSURE.

 

CENSURE, le 7 septembre 2005.

Bonjour Monsieur DAKAR,

suite à quelques petits ennuis de santé, je réponds avec un grand retard à votre lettre du 22 août, et je vous prie de bien vouloir m'excuser pour ce mata retard.

Inutile de vous dire que votre longue lettre m'a fait plaisir. Je commence ma réponse par la page 2 de votre lettre (internet).

Je suis entièrement d'accord pour que vous passiez sur un site internet tous les papiers que je vous envoie, et en particulier ma correspondance avec la famille CENSURE.

Je ne pense pas qu'il y aura un procès pour la publication de cette correspondance, mais au cas il y en aurait un, j'assume mon entière responsabilité d'auteur, et je persiste et signe en ce qui concerne son contenu.

Concernant la page 1 de votre lettre, c'est-à-dire le journal "Le Réverbère" et Georges Mathis :

1) A la fin de l'audience du 17 mai 2000, M. Mathis a indiqué que le numéro du journal "Le Réverbère" contenant l'article qui lui valait ce procès avait fait l'objet de DEUX tirages de 100.000 exemplaires chacun.
2) Je me souviens qu'un jour, à la radio, on a interviewé un certain Monsieur Flotto, (je ne sais pas si ce nom s'écrit comme ça).

M. Flotte est le fondateur du journal "L'Itinérant", journal vendu par des nécessiteux, comme le journal "Le Réverbère", mais avant de fonder le journal "L'Itinérant", M. Flotto avait fait paraître le journal "Le Lampadaire" afin de concurrencer directement le journal "Le Réverbère". M. Mathis a fit un procès à M. Flotto, et M. Mathis a gagné le procès.

Résultat : le journal "Le Lampadaire" a été interdit de publication.

D'autre part, M. Flotto a dit que M. Mathis était parti en Espagne, et M. Flotto a précisé qu'il savait de source sûre que M Mathis était en relation étroite avec les rexistes de Léon Degrelle.

3) Je ne peux rien dire du contenu de l'article qui a valu un procès à Mathis le 17 mai 2000 parce que personne n'a voulu me communiquer cet article.

4) Je sais que CENSURE a travaillé pour M. CENSURE à CENSURE, mais depuis le 17 mai 2000 j'ai cessé toute relation amicale avec M. CENSURE. Je ne peux donc avoir aucune information sur M. CENSURE par l'intermédiaire de M. CENSURE.

5) C'est CENSURE, puis CENSURE, qui ont donné mon nom et mon adresse à M. Mathis alors que tous les deux savaient très bien que M. Mathis avait l'intention de me citer comme témoin, et alors que tous les deux savaient très bien que je n'avais rigoureusement rien à voir dans cette affaire dont j'ignorais tout et dont j'ignore tout encore aujourd'hui parce que depuis le 17 mai 2000 ni CENSURE, ni CENSURE ne m'ont fourni la moindre information sur cette affaire.

Je terminerai cette lettre en vous parlant de CENSURE.

La famille de CENSURE est CENSURE, et le village de cette famille, CENSURE, se trouve à CENSURE kilomètres de CENSURE où j'habite.

Je suis arrivé à CENSURE en 1993, et au début que j'habitais là, chaque fois que CENSURE venait à CENSURE pour voir sa famille il passait me voir à CENSURE.

Mais, un jour, il y a environ 10 ans, CENSURE n'est plus venu me voir, il ne m'a plus écrit, il ne m'a plus téléphoné, et ceci sans aucune explication.

Sachant cela, M. CENSURE a essayé de recoller les morceaux, mais CENSURE lui a répondu sèchement "Je ne veux pas perdre mon temps avec un fou qui ne se lave pas".

J'espère que vous allez bien, et vous adresse mes sincères salutations.

A bientôt peut-être à Paris.

H. Lewkowicz

 

Annexe - 2 (trouvés sur Georges mathis):

Archives de l' "Humanité" :

« Réverbère » récidive dans la haine

Un lecteur indigné nous a fait parvenir l'éditorial du n° 99 du « Réverbère », un journal de rue - ne faudrait-il pas plutôt dire de caniveau ? - qui prétend représenter « le syndicat des exclus de la nation » en faisant quand même son beurre sur leur dos. Son directeur, Georges Mathis, déjà condamné le 19 novembre dernier pour injure raciale, y récidive. Cette fois, entre autres déchets de sa réflexion, il livre ce type d'immondices : la justice est « dans la dépendance politique maçonne et juive ». On comprend pourquoi les chiens, les meilleurs amis de l'homme, font preuve d'élévation de pensée en faisant leurs besoins au pied des réverbères.
C. M. 

Pris sur Internet :

Le semaine dernière, le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP) a porté plainte contre le journal de rue Le Réverbère pour "provocation à la haine raciale et à la discrimination». Dans un article signé "La petite dame" et paru le 17 février, le directeur de la publication, Georges Mathis, écrit: "Où est l'indépendance de la justice? Il serait intéressant de savoir quel est le pourcentage d'implication des macons et des juifs: 1. directement dans la politique. 2. indirectement dans la politique affairiste. 3: dans le judiciaire, par rapport aux populations et aux régions européennes."

Un dérapage ? Il y a deux ans déjà, le secrétaire général du MRAP, Mouloud Aounit, mettait en garde le journal au sujet de propos et d'écrits jugés tendancieux». Pour sa défense, le directeur du Réverbère tiendra-t-il les mêmes propos que l'abbé Pierre dans La Croix : "Ne plus pouvoir dire un mot relatif au monde juif à travers les millénaires sans se faire traiter d'antisémite, c'est intolérable. ".