Etat des lieux de l’opposition véritable et de sa répression policière, en régime pseudo-démocratique occidental.

1 – Généralités.

2 – Résumé de certaines méthodes répressives policières.


1 – Généralités.


Ce qui différencie uniquement l’actuel régime dictatorial totalitaire occidental, dit démocratique, des classiques dictatures totalitaires, c’est sa volonté de conserver une façade démocratique.

Il a en effet été trouvé bien plus avantageux de maintenir l’illusion de la démocratie, pour faire passer derrière cette illusion toutes les mesures arbitraires de coercition de la population.

C’est un peu comme un camp de vacances de M. Trigano, un club-med, camouflant un complexe pénitentiaire qui couvrirait toute la surface de l’Occident.

Ainsi, la majorité de la population croit être en démocratie, croit que le droit dans ce régime existe, croit au fond que les juges rendent la justice, croit que la police est là pour les protéger, croit que les élus sont leurs représentants et défendent leurs intérêts, croit que les élections influent un tant soit peu sur leur devenir, et autres.

Cette masse populaire tient d’autant plus à conserver toutes ces illusions, qu’en contrepartie de sa cécité volontaire et de sa soumission, en Occident, elle est gavée des miettes des prédateurs suprêmes qui pillent et saccagent sans aucun frein le reste du monde. Cette masse aliénée et dominée est de plus corrompue, et est devenue complice des pillards et saccageurs de la planête, complice de ses propres dominateurs, de ses propres bourreaux.

L’opposition vraie dans ce régime d’illusion démocratique et de dictature cachée, n’existe plus qu’à l’état de traces, d’individualités, reliées entre elles ou non.

Tout le travail de la police politique est d’encadrer cette persistance oppositionnelle, de la maintenir à l’état de germe, enclose dans l’œuf, d’autant que la crise cruciale approche, crise générée par l’épuisement définitif des réserves pétrolières, pétrole sur lequel tient tout le système marchand et donc le totalitarisme occidental, crise aggravée par le dérèglement climatique qui est de même irréversible, et dont les manifestations ne font que débuter, manifestations qui vont de plus en plus en s’amplifiant, défiant toute extrapolation.

Dans très peu de temps, il va être très difficile pour les appareils de sécurité du régime, de contenir les angoisses et les soubressauts de la masse populaire en Occident. Le régime va sans aucun doute s’éffondrer, du fait à la fois des menées hostiles venant de l’extérieur, mais aussi et surtout, du fait d’une déstructuration totale purement interne, contre laquelle il sera impossible de lutter, déstructuration quasi inscrite dans la constitution même de la société occidentale.

De tout cela, nos dictateurs sont parfaitement conscients. Ils ne peuvent que temporiser, et au fond, la seule raison de la répression des dernières traces de réelle opposition en Occident, est qu’il leur faut à tout prix étouffer pour gagner du temps, dans l’espoir de trouver la « solution miracle », la conscience que la fin de ce régime est proche. Il leur faut éloigner le début du ressenti de l’angoisse.

Pour le moment, la seule solution miracle trouvée est celle de l’invention des islamistes et du terrorisme, dont des attentats du 11 septembre 2001, de ceux de londres et d’Espagne, solution classique permettant de placer l’armée aux centres même des villes, et d’en finir avec toutes les libertés formelles individuelles, contraignantes pour les opérations de répression.

L’appareil policier politique dans ce régime dictatorial à façade démocratique s’est doté d’un panoplie politique répressive qui couvre de façon exhautive tous le champ socialo-politique populaire.

Cette panoplie est principalement constituée de trois pièces.

La pièce essentielle est celle des partis trotskistes, camouflés en communiste, révolutionnaire et libertaire, qui assurent la contention des masses populaires (LCR, LO, PT, FA, CNT, Alternative Libertaire… et les Verts).

Celle secondaire comprend les organisations de défense des droits de l’homme, en charge de donner le change, et de désigner ce qui est dénonçable et ce qui doit ne pas être dénoncé comme atteinte aux droits de l’homme (LDH, FIDH, Amnesty international, MRAP ...).

La pièce accessoire est celle des associations dites de la société civile, associations de volontaires plus ou moins spontanées et généralement subventionnées, qui quadrillent toutes les activités qui ne relèvent pas directement des deux premières catégories (il y en a une myriade).


Une nouveauté dans ce marigot :

il faut relever l’existence d’une petite nouveauté qui est apparue dernièrement, et qui est assez cocasse. C’est la création d’éléments concurrentiels aux partis trotskistes, à qui échappaient une partie des couches populaires étrangères, noires et arabes. Cette nouveauté consiste à faire traiter ces couches par l’extrême droite soit disant anti-sioniste. C’est l’opération « Dieudonné » qui est manœuvré par le Front national. Il faut rappeler là que le Front national est une création du Parti socialiste, qui l’a financé à l’origine et lui a assuré sa renommé médiatique, et que le Front national comme toutes les autres formations politiques est au service des sionistes, qui le financent.

L’opération « Dieudonné » n’est qu’une opération de contrôle de la partie de la population qui échappait aux trotskistes, trotskistes qui sont par essence sionistes, par l’impossibilité pour ces trotskistes de dénoncer la réalité de l’importance et de la prépondérance de la mainmise sioniste dans l’actuel régime totalitaire occidental, et la centralité dans la dictature occidentale, de l’Etat d’Israël. On peut dire de « Dieudonné » qu’il s’agit d’une pure opération sioniste.

Cette mise au jour de la réalité de l’implication sioniste au plus haut niveau de la dictature occidentale doit être contenue et amputée de son caractère déstabilisant, par l’extrême droite, qui elle seule est en situation idéologique pour le faire, puisqu’en façade cette extrême droite s’affronte aux sionistes. On assiste ainsi à la récupération par le Front national, qui est lui par essence raciste et xénophobe, de la fraction de la population d’origine arabe et africaine qui est la plus sensibilisée et conscientisée politiquement, et qui sent très bien la présence sioniste parmi les prédateurs au plus haut niveau de la hiérarchie oppressive et exploitatrice occidentale, qu’elle a eu à subir.

Cette présence des sionistes dans la hiérarchie dictatoriale occidentale au plus haut niveau, apparaît éclatante aux yeux des français d'origine arabe et des musulmans, par le génocide de Palestiniens mis en oeuvre par les sionistes.

Ce génocide est extraordinaire et unique par ce qu'il est à la fois et contradictoirement : dénié, légitimé et aidé par les complices des sionistes, et que de plus, on présente les bourreaux sionistes comme étant les victimes des Palestiniens qu'ils sont en train d'anéantir.

Tout ceci suffit amplement aux français d'origine arabe et aux musulmans, à voir qui domine le pays, et à leur faire jeter un éclairage inopportun aux yeux de tous sur ce qui constitue le coeur même de la dictature occidentale, et sur qui tient en partie les commandes de l'actuel totalitarisme planétaire, totalitarisme qui détruit écologiquement et d'une manière irrémédiable toute la planète (c'est d'ailleurs la raison du complet noyautage des Verts par les sionistes, afin de cacher la responsabilité prépondérante des sionistes dans la destruction écologique planétaire).

Il en est de même pour les français d'origine africaine qui ont eu à subir la destruction de leur continent et de leur culture millénaire par la colonisation occidentale, ce qui constitue sans doute l'un des génocides ou même le génocide le plus important de l'histoire humaine, colonisation au sein de laquelle le pouvoir financier de certaines banques était très important, et qui reconnaissent les sionistes comme étant parmi leur principaux bourreaux.

Tout ce qui précède explique que le contrôle des populations françaises arabo-africano-musulmanes qui échappent aux trotskistes et aux droid'lommistes, soit cruciale, et ai engagé l'extrême droite, sans doute à la suite d'un accord passé avec les sionistes, accord qui s'est concrétisé par l'opération de manipulation politique "Dieudonné".

 

2 – Résumé de certaines méthodes répressives policières actuelles contre ceux qui défendent le droit en Occident.


Ce qui est nouveau dans les méthodes policières de répression politiques actuelles, en direction des derniers opposants véritables, opposants incontrôlés par les « libertaro-trostkistes », les « droid’lommistes » et les « nazo-frontistes », de ceux qui authentiquement défendent le « droit » et n’émettent que des paroles et des écrits, c’est le commencement d’usage de méthodes rappelant celles réservées auparavant à la lutte contre les mouvements révolutionnaires usant de la violence.

Ces méthodes sont banales, et leur énumération est fastidieuse. Toutefois, il est utile d’en faire connaître à tous un rapide résumé.

Espionnage de la vie privée, écoutes des conversations dans les domiciles (probablement par l’usage même des combinés téléphoniques qui sont capables sans aucune modification de retransmettre toute conversation ayant lieu dans une pièce) et écoutes des communications téléphoniques.

Lecture des e-mails, lecture et/ou vol du courrier postal.

Suivi de toute activité informatique, par pénétration depuis l’extérieur des systèmes informatiques, qui sont tous prévus dès leur construction pour cela. Il n’existe aucune parade possible, sinon celle de ne jamais se connecter sur l’internet.

Pénétrations physiques dans les domiciles, sans effraction, fouilles, vols, sabotages et nuisances diverses (incendie et autres, tout est possible).

Procédures judiciaires, fabrications et usages de faux par la police et les magistrats (Procédures toujours menées sous les couverts vertueux de la répression de « l’appel à la haine et de la diffamation raciales » et de la répression de la « négation des crimes contre l’humanité »).

Création de documents compromettants.

Procédures fiscales, de l’URSSAF, de l’inspection du travail, et autres.

Manipulations du milieu opposant par des agressions physiques très élaborées.

Manipulation du milieu opposant par l’envoi en nombre d’agents policiers sous couverture de sympathisants.

Provocations délictuelles ou criminelles de la part de ces agents.

Coordination des services officiels de police et de justice, des médias de la propagande générale (tels « Le Monde », « Direct Soir », « 20 Minutes », « Le Parisien » et autres), et d’organes de police officieux, tels ceux sionistes comme la LDJ (Ligue de défense juive).

Implication des sectes (Scientologie, Raël, Arès et autres … ) avec les services policiers.

Et on en passe et on en passe.


Michel DAKAR, le 17 novembre 2006.