Rappel de la lettre circulaire sur la nécessité d'explorer les archives relatives aux camps de concentration nazis, suivi d'extraits d'une réponse.

 

De Michel DAKAR
EDE - BP 324 - 75868 Paris cedex 18

Paris, le 5 septembre 2005

Lettre circulaire

Avez vous des informations concernant les archives allemandes relatives au système concentrationnaire nazi, archives qui étaient à porté des mains des soviétiques, lesquels ont occupé depuis les frontières de l'ex-Union soviétique, jusqu'à la moitié orientale de l'Allemagne, lors de la victoire des alliés contre les nazis ?

C'est sur cette portion de territoire européen que se trouvait la majeure partie des camps de concentration.

L'administration allemande était réputée extrêmement maniaque et extrêmement organisée, encore pire que les autres administrations occidentales.

Chaque fait et particulièrement en ce qui concerne les prisonniers, chaque décès, et sa cause, devaient être soigneusement enregistrés, et de plus, en plusieurs services.

Ceci afin de lancer l'idée d'interpeller publiquement le gouvernement russe pour obtenir l'ouverture aux chercheurs de ces archives.

Cela, dans le but, évidemment, de clore définitivement le bec à ces nauséabonds révisionnistes négateurs des 6 millions, des chambres homicides de masse au gaz, et de la décision de programmation par les nazis de l'anéantissement des juifs.

Tous ces faits, qui sont hélas toujours contestés par ces dangereux révisionnistes, devraient être corroborés grâce aux documents que recèlent les archives en Russie.

Il est totalement improbable qu'on ne retrouve une seule trace de l'évaluation admise par les plus hautes autorités historiques en la matière, comme Pierre Vidal Naquet et Arthur Spitzborn, des 6 millions de morts juifs, de la décision du programme d'anéantissement hitlérien, et du procédé par gaz homicide de mise à mort de masse en chambre, dans ces archives, même si il est inévitable qu'une partie des archives sur ces sujets ait été détruite, soit par les nazis eux-mêmes, pour masquer leurs crimes avant leur défaite, soit du fait de la guerre, soit en raison de pertes et de dégradations dues au aléas des transferts, des stockages ou autres, des archives.

Je suis sûr que ces archives recèlent de quoi étayer une fois pour toutes les déclarations du Tribunal militaire de Nuremberg, et je suis prêt à prendre le risque du contraire.

Michel Dakar, "chercheur d'humanité".

M. DAKAR Cette lettre est rendue publique sur le site http://www.aredam.net , au fichier de ce site http://www.aredam.net/archives-russes-shoah-unique.html et diffusée par e-mail, et par voie postale, au public et à toute organisation concernée.

 

 

Extraits d'une réponse :

 

" Le siège central des archives de l'Allemagne fédérale est à Coblence (Koblenz), sur le Rhin. "

" Il existe des kilomètres de rayonnages consacrés aux camps. "

" Le bibliothécaire a déclaré qu'il n'y a jamais personne qui y travaille. "

" Les soviétiques ont pris une partie des archives de Berlin et les ont transférées à Moscou. "

" Avec la pérestroika, elles sont devenues en très grande partie accessibles. "

 

Traduction en allemand de ce fichier en cours